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Jean-Alexandre Chertier

orfèvre français
Jean-Alexandre Chertier
Naissance
Décès
Sépulture
Nationalité
Française
Activité
Distinction

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Jean-Alexandre Chertier dit Alexandre Chertier (né le 3 décembre 1825 à Paris[1] où il est mort le [2],[3],[4]) est un orfèvre, doreur et bronzier parisien du XIXe siècle, actif entre 1857 et 1890[5] et auteur de nombreux objets et meubles liturgiques[6].

Sépulture Chertier au cimetière du Montparnasse (div. 2), à Paris.

Historique modifier

Naissance et famille modifier

Jean Alexandre Chertier est né le 3 décembre 1825 au 183 rue Saint Martin à Paris[4]. Il est le fils d'un couple marié depuis 1822, Charles Gabriel Chertier, marchand épicier âgé alors de 29 ans, et Marie Madeleine Sophie Wallet, âgé de 26 ans[4]. Il a un frère jumeau appelé Gabriel Gustave[4].

Fondation de la Maison Chertier modifier

Il commence sa carrière en travaillant pour l'orfèvre et bronzier Louis Bachelet[7],[8]. "Contremaître très habile", il obtient une médaille de bronze de coopérateur à l'Exposition Universelle de 1855[8]. Cette même année, le 30 juin, il se marie en premières noces avec Anaïs Duflos[4].

En 1857, il fonde sa propre maison et devient indépendant[8]. Son poinçon est insculpé le 14 avril de cette même année. Il s'installe au 48 rue Mazarine à Paris[8].

Sa femme Anaïs accouche d'une fille, Marie[9], en 1860[10].

Collaborations prestigieuses et expositions universelles modifier

Pendant plus de trente ans, il collabore avec des architectes diocésains et savants prestigieux[11] comme Danjoy, Viollet-le-Duc[12],[13], Verdier, Chabrol, Duthoit[12]. Il reçoit des commandes importantes pour des églises majeures en France et même à l'étranger[14].

En 1862, il présente des œuvres à l'Exposition universelle de Londres[8]. En 1864, lors de l'exposition organisée par la Société du progrès de l'art industriel, il offre à la vue des visiteurs une châsse en argent repoussé, des chandeliers et des candélabres[15].

En 1866, il déménage au 7 rue Férou[16],[8].

Il remporte un Grand prix à l'exposition universelle de 1878 pour la réalisation des portes du portail central de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg[17],[11],[18].

Fin de carrière et décès modifier

Les années 1880 s'annonce difficile pour Alexandre Chertier au point de vue personnel. Son ami proche, Gustave-Eugène Gresle, décède le 8 décembre 1883[9]. Il est son exécuteur testamentaire[9]. En 1884, sa fille Marie meurt à l'âge de 23 ans[10],[19]. Deux ans plus tard, le 19 février 1886, sa femme Anaïs, décède à l'âge de 50 ans[19]. Désormais seul, il décide de se remarier avec la veuve de son ami Gustave-Eugène, Victoire-Noémie Duval, le 5 août 1888[20],[9].

Il ne participe pas à l'Exposition universelle de 1889, qui avait pourtant lieu à Paris[21].

Sa carrière s'arrête avec le biffage de son poinçon le 16 juin 1890[14]. Le même jour, son successeur Edmond Lesage insculpe le sien[22].

 
Publicité pour Edmond Lesage dans le Bulletin du Diocèse de Reims (13 février 1892)

Il meurt le à Paris[23] dans sa 65ème année. Il est enterré auprès de sa première femme et de sa fille au cimetière du Montparnasse (2e div. Ire section). Sa tombe est décorée d'un buste de sa fille et de deux médaillons en marbre, dont un le représentant, réalisés par le sculpteur Lepind[3].

Catholique pratiquant, à sa mort, il est membre de l'Archiconfrérie de la Sainte Face[23]

Œuvres remarquables modifier

 
Publicité dans le Bulletin du Diocèse de Reims en 1876.

Si les sources mentionnent la plupart du temps les œuvres religieuses et liturgiques de Chertier, il produit également des œuvres profanes et domestiques. Il fournit ainsi pour le château d'Abbadia une paire de chenets de style égyptien[24].

L'en-tête d'une facture établie pour en 1873 pour ce même château mentionne sur le côté gauche : "Orfèvrerie de table, Bronzes d'art et de fantaisie dorés, argentés et vernis" et sur le côté droit "Orfèvrerie, Bijouterie et bronzes religieux, style Moyen-Age, émaux en tout genre".

Œuvres datées et présentées par ordre chronologique modifier

  • Châsse-reliquaire garnie d'argent repoussé en verre du bienheureux Thomas Hélye de Biville (1861)[25].
  • Statue de la Vierge (hauteur 6m50) exécutée en cuivre repoussé au marteau, sur le modèle de l'architecte Danjoy, pour le couronnement de la tour Pey-Berlan, à Bordeaux (1862)[11],[7]. La statue appelée Notre-Dame d'Aquitaine est reproduite dans différentes tailles par Chertier.
  • Vierge au sommet de la tour Pey Berland à Bordeaux
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Reliquaire de Saint Martin dans la cathédrale Saint-Gatien de Tours
  • Ciborium du tombeau de saint Martin[28] pour la basilique de Tours, exécuté en 1867 sur les dessins de l'architecte Verdier[11]. En bronze doré, il couronne aujourd'hui le reliquaire surplombant le maître-autel. Il est supporté par quatre colonnes et terminé par quatre frontons à crêtes, décorés de moulures émaillées et d'incrustations de pierres de couleur. Les colonnes étaient autrefois reliées par des grilles en bronze doré.
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    Ciborium surplombant le maître-autel de la basilique de Tours
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    Ciborium surplombant le maître-autel de la basilique de Tours
  • Cinq autels de marbre avec appliques et garnitures de bronze émaillé, commandés pour la cathédrale de Limoges et exécutés sous la direction de l'architecte Chabrol (1868)[11]
  • Diadème en or et pierres précieuses pour la statue de Notre-Dame du Sacré-Cœur d'Issoudun (1869)[29]. Entièrement réalisée à partir de bijoux et de pierres donnés par les fidèles, il mesure 75cm de circonférence pour 15cm de hauteur.
  • Autel et statue de saint Michel pour l'église abbatiale de l'abbaye du Mont-Saint Michel (1872)[11],[30], aujourd'hui dans l'église paroissiale Saint-Pierre. La statue mesure 2m50 de hauteur et est exécutée en lames d'argent recouvrant un modèle en bois, fait par Chertier[11]
  • Autel et statue de Saint Michel dans l'église Saint-Pierre du Mont-Saint-Michel
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    Vue générale
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    Statue de Saint Michel
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    Tabernacle
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    Façade de l'autel
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    Façade de l'autel
 
Ciborium de la cathédrale de Sligo (Irlande)
  • Autel de la chapelle absidiale et autel de Notre-Dame des Miracles pour la cathédrale de Saint-Omer, exécuté sous la direction de l'architecte Darcy (1875)[11]. La fourniture comprend également des garnitures pour les autels, des lampes, des thabors et deux impressionnants anges céroféraires posés sur des colonnes, le tout en bronze doré .
  • Autel de la chapelle absidiale de la cathédrale de Saint-Omer
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    Vue générale
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    Retable
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    Retable
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    Tabernacle
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    Statue de Notre-Dame du Sacré-Coeur
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    Partie basse
  • Autel de Notre-Dame des Miracles de la cathédrale Notre-Dame de Saint-Omer
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    Vue générale
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    Vue de l'autel
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    Elément du retable
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    Tabernacle
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    Elément de la façade de l'autel
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    Chandeliers de la garniture d'autel
  • Anges céroféraires dans la cathédrale de Saint-Omer
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Autel du Sacré-Coeur
  • Grand ciborium et autel monumental, exécutés pour le chœur de la cathédrale de Moulins, sous la direction de l'architecte Schelmerscheur (1877)[11]
  • Ciborium de la cathédrale de Moulins
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  • Grand maître-autel, cuivre doré et émaillé pour l'église de Notre-Dame, à Mayenne ; composition de Chertier (1878)[11]
  • Portes en cuivre repoussé, exécutées pour la cathédrale de Strasbourg (1879)[11],[18],[17]. Les vantaux mesurent chacun 6m50 de hauteur sur 2 mètres de largeur. Le dessin est de l'architecte Klotz et l'ornementation du peintre-verrier Steinheil. Chertier fournit également le chemin de croix de la cathédrale en 1881[33].
 
Portes de la cathédrale de Strasbourg
  • Autel de la Vierge dans la basilique Saint-Donatien et Saint-Rogatien à Nantes
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    Vue générale
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    Autel
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    Tombeau de l'autel
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    Tabernacle et gradins
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    Tabernacle
  • Autel du Sacré-Coeur dans la basilique Saint-Donatien et Saint-Rogatien à Nantes
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    Vue générale
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    Porte du tabernacle
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    Détail du retable
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    Détail du retable
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    Tombe de l'autel
  • Grand autel de la chapelle du Sacré-Coeur, dans l'église de Saint-Augustin, à Paris, exécuté en 1880, sous la direction de l'architecte Train[11].
 
Autel du Sacré-Cœur de l'église Saint-Augustin de Paris

Autres œuvres modifier

A cette liste, nous pouvons ajouter :

  • Pièces du trésor de Notre-Dame de Paris
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    Epistolaire, missel et psautier
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    Buste de reliquaire de Saint-Louis
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    Buste reliquaire de Saint Denis
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    Ensemble dit de Napoléon III
  • église Saint-Louis d'Uza
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    Autel de l'église
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    Statue de Notre-Dame d'Aquitaine
 
Maître-Autel dans le choeur de la chapelle de l'enfant Jésus à Paris
  • Différentes variantes d'un chemin de croix en émail et bronze doré pour plusieurs grandes églises (cathédrale de Troyes, de Limoges, de Laon, de Strasbourg…). Le chemin de croix était proposé dans différents cadres et formes qui permettaient de l'adapter à l'architecture des édifices destinataires.
  • Chemin de croix de la cathédrale de Troyes
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    Station 1 : Jésus est condamné à être crucifié
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    Station 5 : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
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    Station 10 : Jésus est dépouillé de ses vêtements
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    Station 12 : Jésus meurt sur la croix
  •  
    Station 14 : Le corps de Jésus est mis au tombeau
 
Buste reliquaire de Sainte Marthe
  • Exposition au dessus du maître-autel de l'église Saint Merry à Paris (disparue)[43]
  • Reliquaire monumental en argent massif offert par l'archevêque de Quito au souverain pontife Léon XIII et représentant la future basilique nationale du Sacré-Cœur de Quito[44],[45].
  • Main-reliquaire en argent sur âme de bois contenant des morceaux de la main de l'ancienne statue de Notre-Dame de Boulogne-sur-Mer[46],[47],[48],[49]. Chertier réalise également son support[50].
  • Autel de la chapelle du Conseil d'Etat[51]
  • 4 anges reliquaires portant les instruments de la Passion et 4 anges céroféraires, le tout en bronze doré, pour l'Eglise Saint-Médard de Saint-Médard-d'Eyrans[52]

Notes et références modifier

  1. ↑ Paris, État civil reconstitué, vue 11/51.
  2. ↑ Acte de décès à Paris 7e, n° 1724, vue 25/31.
  3. ↑ a et b Nouvelles archives de l'art français, t. XIII, Paris, Charavay frères, , 425 p. (lire en ligne)
  4. ↑ a b c d et e « Généalogie de Jean Alexandre CHERTIER », sur Geneanet (consulté le )
  5. ↑ Période d'insculpation de son poinçon.
  6. ↑ Liste des œuvres de Jean-Alexandre Chertier sur le site du Ministère de la Culture (consulté le 4 juillet 2010).
  7. ↑ a et b L'abbé E.Barthe, Vie de Pey-Berland, archevêque de Bordeaux, et monographie historique et religieuse de la Tour Pey-Berland, ou Notre-Dame d'Aquitaine., Bordeaux, Typographie de A.-R. Chaynes, (lire en ligne), p. 151
  8. ↑ a b c d e f g h i j et k Collectif, L'Art en France sous le Second Empire, Paris, Editions de la Réunion des musées nationaux, , 533 p. (ISBN 2711801179), p. 183-184
  9. ↑ a b c et d « Juridiction civile », Le Droit, journal des tribunaux,‎ (lire en ligne)
  10. ↑ a et b « Généalogie de Edmée Constance Marie CHERTIER », sur Geneanet (consulté le )
  11. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Alfred de Champeaux, Dictionnaire des fondeurs, ciseleurs, modeleurs en bronze et doreurs, depuis le Moyen Âge jusqu'à l'époque actuelle, vol. 1 : A-C, J. Rouam, , 357 p. (lire en ligne), p. 283-285
  12. ↑ a b et c Viviane Delpech, Viollet-le-Duc. Villégiature et architecture domestique, Presses Universitaires du Septentrion, , 234 p. (ISBN 978-2-757-42789-7, lire en ligne), « La collaboration entre Viollet-le-Duc et Duthoit aux chateau d'Abbadia et de Roquetaillade », p. 165
  13. ↑ Jean-Michel Leniaud, La Révolution des signes, L'art à l'église (1830-1930), Paris, Les éditions du Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France », , 429 p. (ISBN 978-2-204-08184-9), partie III, chap. 22 (« Viollet-le-Duc et le mobilier religieux »), p. 337, 341-342
  14. ↑ a et b Bernard Berthod, Elisabeth Hardouin-Fugier, Gaël Favier (préf. Alain Erlande-Brandenburg), Dictionnaire des arts liturgiques, Frémur éditions, , 512 p. (ISBN 979-10-92137-05-7), p. 191.
  15. ↑ « Exposition de 1864 - Société du progrès de l'art industriel », Les Beaux-Arts : revue de l'art ancien et moderne, vol. 8 « Du 1er janvier au 15 juillet 1864 »,‎ , p. 353 (lire en ligne)
  16. ↑ Lettre de Eugenio Cambacérès, Paris, 4 août 1888, à Antonino C. Cambacérès, Buenos Aires, page 16, Archivo General de la Nación, Buenos Aires, Documentos escritos, Sala VII, Fondo Exposición de París, Años 1887-1891, Legajo Nº 3586.
  17. ↑ a et b Émile Bergerat, Les Chefs-d'œuvre d'art à l'Exposition universelle, Tome 2, Paris, 1878.
  18. ↑ a et b « Causeries industrielles sur l'exposition. Bronzes et orfèvrerie d'église. », L'Univers,‎ , NP (1 et 2) (lire en ligne)
  19. ↑ a et b Nouvelles archives de l'art français - Revue de l'art français ancien et moderne, t. XIII, (lire en ligne)
  20. ↑ « Publications de mariages du dimanche 5 août », Le Gaulois,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  21. ↑ M. L. Falize, Orfèvre-Joaillier, Exposition internationale universelle à Paris - Rapports du Jury international - Classe 24 - Orfévrerie, Paris, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), p. 38
  22. ↑ Bernard Berthod, Elisabeth Hardouin-Fugier, Gaël Favier (préf. Alain Erlande-Brandenburg), Dictionnaire des arts liturgiques, Frémur éditions, , 512 p. (ISBN 979-10-92137-05-7), p. 319.
  23. ↑ a et b Annales de l'Archiconfrérie de la Sainte-Face, t. IX : juillet 1890 à juin 1891, (lire en ligne), p. 180
  24. ↑ a et b « Archives d'Abbadia - Notice simplifiée de document numérisé : Facture d'Alexandre Chertier (1878) », sur www.archives-abbadia.fr (consulté le )
  25. ↑ Hugues Plaideux, Le bienheureux Thomas Hélye de Biville: Petit abrégé, (lire en ligne)
  26. ↑ « akg-images - Search Result », sur www.akg-images.de (consulté le )
  27. ↑ « Reliquaire : de saint Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  28. ↑ Fiche IM37000372 de la base Mérimée relative au Ciborium de la Basilique Saint-Martin de Tours (consultée le 4 juillet 2010).
  29. ↑ Louis Leroy, Histoire des pèlerinages de la Sainte Vierge en France, Louis Vivès, (ISBN 978-0-8370-9077-1, lire en ligne), p. 571
  30. ↑ Henry Aux Cousteaux de Conty, Bretagne-Ouest : Îles Anglaises : Guide circulaire, Paris, Office des Guides Conty, coll. « Guide Conty », (lire en ligne), p. 338
  31. ↑ Fiche IM37000582 de la base Mérimée relative à l'autel de la vierge de la cathédrale Saint-Gatien de Tours (consultée le 4 juillet 2010).
  32. ↑ « https://twitter.com/chevillonw/status/971503632385544193 », sur Twitter (consulté le )
  33. ↑ « Un chemin de croix », sur Diocèse de Strasbourg, (consulté le )
  34. ↑ Photo sur le site de la Réunion des musées nationaux (consultée le 4 juillet 2010)
  35. ↑ « Notre-Dame de Paris le Trésor », sur Paris Autrement (consulté le )
  36. ↑ Fiche PM75000805 de la base Mérimée relative à la colombe de baptême (consultée le 4 juillet 2010).
  37. ↑ « Statue : Christ en croix », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  38. ↑ Zairon, Deutsch: Schatzkammer der Kathedrale Unserer Lieben Frau, Paris, Region Île-de-France, Frankreich, (lire en ligne)
  39. ↑ « ÉGLISE SAINT-LOUIS A UZA », sur Diocèse d'Aire-et-Dax (consulté le )
  40. ↑ « Chapelle de Jésus Enfant », sur dioceseparis.fr (consulté le )
  41. ↑ Har14395, « ICONOGRAPHIE CHRÉTIENNE: Sainte MARTHE de BÉTHANIE, vierge et disciple », sur ICONOGRAPHIE CHRÉTIENNE, (consulté le )
  42. ↑ « Buste-reliquaire : sainte Marthe », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  43. ↑ Paul Chéron, Inventaire général des richesses d'art de la France. Paris : monuments religieux. Tome 1, Paris, E. Plon et Cie puis Plon-Nourrit et Cie, 1876-1901, 540 p. (lire en ligne), p. 283
  44. ↑ « Exposition », La Croix,‎ , NP (3) (lire en ligne)
  45. ↑ (it) L'esposizione vaticana illustrata, giornale ufficiale per la Commissione promotrice, Gustavo Bianchi e C., (lire en ligne), p. 307 et 312
  46. ↑ « Main-reliquaire de l'ancienne statue de Notre-Dame de Boulogne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  47. ↑ « Main reliquaire de la statue miraculeuse de Notre-Dame de Boulogne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  48. ↑ Pas-de-Calais (France) Conseil général, De l'invisible au visible: trésors sacrés du littoral du Pas-de-Calais, Somogy, (ISBN 978-2-7572-0255-5, lire en ligne)
  49. ↑ « Reliquaire morphologique (main reliquaire) », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  50. ↑ « Support de reliquaire morphologique », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  51. ↑ Le Conseil d'État, « La chapelle », sur Conseil d'État (consulté le )
  52. ↑ « Huit statues dont quatre reliquaires : Anges », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

Voir aussi modifier

Liens vers les autres projets modifier

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Bibliographie modifier

Généralités (par ordre chronologique) modifier

  • Alfred de Champeaux, Dictionnaire des fondeurs, ciseleurs, modeleurs en bronze et doreurs, depuis le Moyen Âge jusqu'à l'époque actuelle, vol. 1 : A - C, J. Rouam, , 357 p. (lire en ligne), p. 283
  • Collectif, L'Art en France sous le Second Empire, Paris, Editions de la Réunion des musées nationaux, , 533 p. (ISBN 2711801179, lire en ligne), p. 183-184
  • Isabelle Saint-Martin, Répertoire des catalogues du mobilier et des objets religieux du XIXème et XXème siècle., MCC SDARCHETIS, (lire en ligne)
  • Bernard Berthod, Elisabeth Hardouin-Fugier, Gaël Favier (préf. Alain Erlande-Brandenburg), Dictionnaire des arts liturgiques, Frémur éditions, , 512 p. (ISBN 979-10-92137-05-7)
  • Bernard Berthod, Thibault Bruneau , Gaël Favier, Simon Guinchaud, Christine Jablonski, Sophie Vergne (préf. Catherine Arminjon, photogr. Charlotte Barraud / Service de l'Inventaire du Patrimoine - Région Bretagne), Trésors Dinannais. Dinan et l'orfèvrerie religieuse au XIXème siècle., Dinan, Editions Ville de Dinan, , 174 p. (ISBN 978-2-9531894-2-1)
  • Brigitte Galbrun (dir.), Regards sur le métal : Mise en valeur des savoirs et des savoir-faire, Arles, Errance / Actes Sud / ACAOAF, , 237 p. (ISBN 978-2-87772-974-1), « La lumière de l'archange retrouvée : restauration du groupe sculpté et de l'autel de l'église du Mont-Saint-Michel », p. 216-227
    Actes du colloque de l'Association des conservateurs des antiquités et objets d'art de France, tenu à Granville (Manche) du 30 septembre au 2 octobre 2021
  • Gaël Favier et Martin Bressani, Viollet-le-Duc, trésors d'exception, Canens, Editions In Extenso Art & Culture, , 109 p. (ISBN 978-2-38524-010-3)
  • Jannic Durand (dir.), Anne Dion-Tenenbaum (dir.), Michèle Bimbenet-Privat (dir.), Florian Meunier (dir.) et Lydie Bennet, Le trésor de Notre-Dame de Paris : Des origines à Viollet-Le-Duc, Paris, Hazan & Louvre Editions, , 332 p. (ISBN 978 2 7541 1352 6), « Un pillage à l'origine d'une renaissance »
    Catalogue éponyme de l'exposition présentée à Paris, au Musée du Louvre, du 19 octobre 2023 au 29 janvier 2024

Catalogues/albums commerciaux modifier

Un catalogue commercial est désormais accessible en ligne :

  • Alexandre Chertier, Orfévrerie et bronze religieux d'Alexandre Chertier, Paris, vers 1880 (lire en ligne)

Ecrits/textes de Alexandre Chertier modifier

  • Alexandre Chertier, « Rapport de M.Chertier sur l'Orfévrerie de Religion, lu dans la séance du 2 décembre, à l'Hotel-de-Ville », L'Art au dix-neuvième siècle,‎ , p. 246-247 (lire en ligne)
  • Alexandre Chertier, « L'Archéologie et ses rapports avec l'orfèvrerie religieuse », L'Art au dix-neuvième siècle, vol. IV,‎ , p. 113-116

Fonds documentaires modifier

Le musée Carnavalet à Paris conserve un fond documentaire de l'entreprise, le fond Chertier.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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