Discussion:Tactiques et stratégies ferroviaires dans la guerre de Sécession

Dernier commentaire : il y a 14 ans par Rled44 dans le sujet Précision demandée
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  • 4 – Mise en oeuvre. = 4-1 Support des armées en campagne. ( Transporter - Ravitailler - Evacuer) = 4-2 Objectifs et enjeux.- 4-2-1 Faire rouler les trains. - 4-2-2 Détruire. - 4-2-3 Remettre en état. = 4-3 Les CF comme Armes dans ACW. - Artillerie portée. - Trains blindés.
  • 5 - Conséquences. = 5-1 L'influence des CF sur la guerre (révolution stratégique : bouquin de Weber, chapitre 14, 1e partie) - 5-2 L'influence de la guerre sur CF. (Weber, chapitre 14, 2e partie) - tous sujets peu ou prou en relation avec la tactique et la stratégie

( de Rled44)Thib Phil (d) 16 janvier 2010 à 15:30 (CET)Répondre

Photothèque modifier

Source : Commons Wikipedia

A propos de l'Atlas L'âge industriel , Crimée, Sécession, Unité allemande 1854-1871 de Brian Holden Reid modifier

note de l'éditeur :

L'ouvrage de Brian Holden Reid présente l'originalité d'étudier trois conflits du troisième quart du XIXe siècle : guerre de Crimée (1854-1856), guerre de Sécession (1861-1865), guerres de l'unité allemande livrées contre le Danemark (1864), l'Autriche (1866) et la France (1870-1871). Il comble une lacune historiographique dans la mesure où ces guerres, méconnues ou jugées marginales par les spécialistes de l'histoire militaire, sont peu traitées par la recherche universitaire française. Ces conflits ne constituent pas seulement une sorte d'intermède guerrier dans un siècle marqué par deux longues périodes de paix - la première courant de Waterloo à la guerre de Crimée, la seconde de la guerre franco-allemande à la Première Guerre mondiale. Comme le démontre Brian Holden Reid, ils se déroulent au moment crucial où la première révolution industrielle – dont les fers de lance sont le charbon, la machine et la vapeur – réclame sa contrepartie militaire. Oscillant entre archaïsme et modernité, ils préfigurent les guerres du XXe siècle au point de ressembler, à certains égards, aux deux conflits mondiaux.

La guerre de Sécession est l'exemple le plus achevé du nouveau type de guerre moderne - au sens industriel du terme -, même si elle a eu un faible impact de ce côté-ci de (Atlantique, les militaires européens l'ayant disqualifiée en raison de son caractère spécifique de "guerre civile". Les trois conflits étudiés constituent une indéniable rupture avec l'ère des guerres napoléoniennes où le progrès technique ne joua qu'un rôle infime.

Le blog de Bir Hakeim

Dans la magnifique collection "Atlas des guerres" dirigée par John Keegan, Brian Holden Reid nous propose de visiter la période qui fait basculer la guerre dans l'âge industriel". Après les guerres napoléoniennes, une longue période de paix de 40 ans prévalut en Europe. La montée des impérialismes et des nationalismes allait provoquer une série de conflits en parallèle de la révolution industrielle; la guerre civile américaine faisant exception à ces critères. L'auteur a fait le parti de sélectionner 3 conflis majeurs sur cette période: - la guerre de Crimée, conflit de puissances aux problèmes logistiques redoutables et préfigurant, avec le siège de Sébastopol, la guerre de position de la 1ère guerre mondiale. Si la technique ne suivait pas, la méthode y était. - la guerre de Sécession américaine, conflit qui marque encore lourdement les esprits aux USA: la puissance industrielle, les transports vont y jouer un rôle déterminant - enfin les guerres de l'unité allemande qui du Danemark à la France en passant par l'Autriche établirent l'hégémonie prussienne sur l'Allemagne et l'unification du Reich Allemand, à Versailles, rappelons le. Une nouvelle période de 40 ans séparera la guerre de 1870-71 de la Première guerre mondiale mais l'histoire militaire avait définitivement basculée dans l'ère industrielle. L'approche anglo-saxonne de ces conflits peu traitée en France est particulièrement vivifiante. J'ai d'ailleurs bien apprécié la préface de l'historienne française Michèle Battesti. Quant au choix des conflits de la période, certains ont pu reprocher à l'auteur l'absence des conflits que mena la France au Mexique et en Italie. Pour ce qui est de l'aventure mexicaine, elle fut bien un conflit colonial limité à l'ombre de la guerre de Sécession américaine. Quant au conflit franco-autrichien en Italie du Nord, il ne fut qu'un élément sur le chemin de l'unité allemande qui se fit sur le dos de l'Autriche, Bismarck réussissant à empêcher les deux puissances de s'allier au cours des deux conflits à venir. Enfin, rappelons que cette série est magnifiquement illustrée de photos, croquis, plans et cartes en relief. Une magnifique réalisation des Editions Autrement.

Voir aussi l'importance de Jomini sur la pensée militaire américaine à l'époque. Thib Phil (d) 2 février 2010 à 20:16 (CET)Répondre

Discussion modifier

Quelques remarques, au passage.

  • Il me semble qu'il ne faut pas mélanger les aspects stratégiques et tactiques si on veut rester clair. Je suggère donc 2 parties (stratégie, tactique), le reste en sous-parties.
  • Pour la 1e partie, un paragraphe sur l'état de la culture stratégique en 1861 (orienté CF) me semblerait utile.
  • Pour la seconde partie, le plan est souvent redondant. Je suggère 2 sous-parties : CF comme arme tactique (artillerie, reconnaissance, raids, etc.), CF comme moyen tactique (construction, destruction, etc.).
  • la dernière partie actuelle me semble inutile (ou donner son titre à la future 1e partie. --Rled44 blabla ? 3 février 2010 à 16:21 (CET)Répondre

Salut d'Arapaima. Ca va les tchou-tchous ? modifier

Salut RL, voilà qque chose qui pourrait t'intéresser : description des destructions de voie ferrée autour de Jackson , Mississipi, dans le "3 mois ds les Etats du Sud" de Arthur Fremantle , à la date du 18 mai 1863

« On arriving within three miles of Jackson, I found the railroad destroyed by the enemy, who after pulling up the track, had made piles of the sleepers, and then put the rails in layers on the top of these heaps; they had then set fire to the sleepers, which had caused the rails to bend when red hot; the wooden bridges had also been set on fire, and were still smoking. »


« En arrivant à 3 miles de Jackson , je vis comment les ennemis avaient détruit la voie ferrée : après avoir arraché les rails, ils avaient mis les traverses en piles, et disposé les rails en couches sur ces tas de bois, auxquels ils avaient mis le feu. Les rails chauffés au rouge s'étaient tordus. Les ponts de bois avaient aussi été incendiés, et ils fumaient encore. » Bosse bien , A + Arapaima ([[Discussion utilisateur:Arapaima 8 fevrier 2010 à 11:13 (CET)


Salut Phil+Rled ! voici les précisions demandées : le "Diary" est : by Arthur James Lyon Fremantle : "Three Months in the Southern States: April, June, 1863" ; Mobile, ed.S. H. Goetzel, 1864.

Date de l'observation 18 mai 1863.

Je n'ai pas trouvé les ccordonnées de l'édition princeps en GB, celle qui a certainenemt précédé l'édition à Mobile (Alabama); a été réedité en GB en 1954 et 2002 en GB par Walter Lord (in Bufford Books). Bon boulot ! Mush on boys ! Arapaima (d) 18 février 2010 à 11:45 (CET)Répondre

Précision demandée modifier

Un autre apport stratégique des chemins de fer lors de ce conflit sera ponctuellement l'annulation des bénéfices tirés antérieurement de l'utilisation des lignes intérieures d'opération par l'un des adversaires. ( contrib de Rled44)

J'ai lu exactement l'inverse chez d'autres auteurs ! Qu'en est-il ? Thib Phil (d) 17 février 2010 à 23:04 (CET)Répondre

Bin, reprends tes cours de l'École de Guerre (de mémoire, je crois que c'était la 7e leçon).    . L'exemple type, c'est le transfert des 2 corps de l'Armée du Potomac. J'expliquerai bien ça ici, mais il me faudrait un tableau et des craies. C'est lumineux.
Serait curieux de connaître les gusses qui disent le contraire ?
Cela me fait aussi penser que les articles sur l'Art de la Guerre en général sont quasi inexistants sur WP francophones (a pas regardé pour les autres). Quand tu auras des loisirs, et ravivé tes souvenirs en relisant Jomini et Carl Von C, ce sera une piste pour t'éviter un désoeuvrement coupable... N'est-il pas ?... --Rled44 blabla ? 18 février 2010 à 09:52 (CET)Répondre

Lieber p.ex. ( livre en ligne ) dit que le traina favorisé le défenseur en permettant de rameuter/dégarnir en un point et via les coulisses ( le chemin était long au sud ! ) de transférer vers un autre endroit menacé. Le transfert XI/XII me semble aussi répondre à ce principe : rafistoler et rallonger une ligne pour aider Rosecrans. Lieber évoque aussi l'impossibilité récurrente de déborder d'où le stalemate (impasse). Izeunetite ? Phil

  • Ah ! Je vois... C'est pour cela que ma formulation d'origine était prudente. Disons que la règle est : Celui qui dispose de voies ferrées est susceptible d'annuler le bénéfice que son adversaire pouvait tirer de manœuvres sur lignes intérieures. Bien sûr. si celui qui peut tirer bénéfice de manœuvres sur lignes intérieures dispose en plus de voies de CF, cela renforce son avantage.
En résumé, je pense que ma formulation initiale est bonne, mais peut-être trop elliptique. Faut-il pour cela expliquer ce que sont ces manœuvres stratégiques en note ou créer un article sur le sujet et des exemples tout au long de l'Histoire, je n'ai pas d'opinion. Enfin si : une note de 50 lignes, c'est pas glop (surtout que des schémas seraient bien plus parlants).
  • Pour "l'impossibilité récurrente de déborder", on en revient simplement au fait qu'une armée importante ne peut plus s'éloigner de la tête de réseau ferrée sans risquer de ne plus être capable de maintenir un niveau de ravitaillement normal. D'où, aussi, le recours aux raids de cavalerie. --Rled44 blabla ? 18 février 2010 à 11:42 (CET)Répondre

Un autre séquelle ( ou effet pervers ? choisir le terme ) global de l'utilisation du chemin de fer sera de mettre les adversaires dans l'impossibilité de tirer définitivement profit de l'utilisation de leurs lignes intérieures d'opération, en donnant une nouvelle fois au défenseur la possibilité de contrer toute tentative de l'assaillant dans ce sens, l'outil ferroviaire mis au service de la stratégie permettant d'annuler l'avantage accordé à un assaillant manœuvrant par lignes intérieures en offrant une meilleure capacité de réaction au défenseur - ce par la vitesse de déplacement des forces qu'il permet, les manoeuvres s'annulant ainsi réciproquement - formulation plus pertinente bien que moins tranchée ? Cela dit, les campagnes nordistes à l'ouest des Alleganys qui ont contraint le sud à la capitulation prouvent que l'Union, en utilisant ses lignes intérieures en arrière-plan, y est finalement arriver du pt de vue stratégique, non ? Thib Phil (d) 19 février 2010 à 15:57 (CET)Répondre

Autre formulation proposée : L'outil ferroviaire mis au service de la stratégie peut permettre d'annuler le bénéfice que l'adversaire aurait tiré de manœuvres sur ses lignes intérieures, et ce par la vitesse de déplacement des forces qu'il permet. Le transfert de deux Corps de l'Armée du Potomac vers l'armée du Tennessee en septembre 1863 en est un bon exemple. Ouate douillou 5 œuf zate ? --Rled44 blabla ? 19 février 2010 à 16:15 (CET)Répondre
Je décortique ta phrase :
  • L'outil ferroviaire mis au service de la stratégie peut permettre d'annuler le bénéfice que l'adversaire aurait tiré de manœuvres ..  : peut (?) .. aurait .. là tu n'es peut être pas assez tranché ou un peu frileux, pas sûr de ton fait et tu as l'air de spéculer => on risque de te le reprocher ou de te coller une note "à sourcer",
  • et ce par la vitesse de déplacement des forces qu'il permet .. : ça, je te le pique (intégré)  ,
  • Le transfert de deux Corps de l'Armée du Potomac vers l'armée du Tennessee en septembre 1863 en est un bon exemple : ça fera une redite avec le développement fait plus loin dans l'art ( cas d'école ) - faudrait évoquer un autre ex., je vais gratter un peu ma biblio, j'ai un truc en tête où j'ai lu un développement dans ce sens quasiment texto ( comme ça en pluche on pourra varier et sourcer ) Thib Phil (d) 19 février 2010 à 16:29 (CET)Répondre
Bon, bin : "permet d'annuler l'avantage accordé à un adversaire manœuvrant par lignes intérieures". <= intégré itou
Cela me rappelle que j'ai au moins un bouquin de H. Camon. Ce serait bien le diable, s'il n'exposait pas ce type de manœuvres. J'y jetterai un œil.
Comme ça on aura la note "Pour la définition du concept de "manoeuvres par lignes intérieures", voir Jomini, chapitre tant, voir Henri Camon, etc. etc." --Rled44 blabla ? 19 février 2010 à 16:46 (CET)Répondre
J'ai repiqué un autre passage à toi de supra pour le mettre dans l'art ! J'avais un peu levé le pied ( aïe, délais de bandeau pas respecté ) suite à qq soucis de santé, mais là on rattaque ! Phil
Une brève citation d'un de ces auteurs en note (4/5 lignes max) me semble de bon aloi. Ou alors un truc genre : Jomini définit une LI comme tcha-tcha-tcha tcha-tcha-tcha - voir tel livre, telle page . Une réf à Jomini serait bonnarde vu son influence à l'époque sur la pensée militaire américaine ! Phil
Ouaip ! --Rled44 blabla ? 19 février 2010 à 17:06 (CET)Répondre
Euch m'en va cherrcher ça sur l' ouèbeu comme y disent les galapiats du bourg et à la ville ! Phil
Baille de ouaille, ioure angliche iz déplorabeule, mon pauvre Rled   ! Phil toujours
C'est pourquoi je sévis sur le wp francophone et lui seul, mon brave...   --Rled44 blabla ? 19 février 2010 à 18:37 (CET)Répondre

Un autre résultat de l'utilisation du chemin de fer sera de mettre généralement les adversaires dans l'impossibilité de tirer définitivement profit de l'utilisation de leurs lignes intérieures d'opération[note 1], en donnant à maintes reprises au défenseur la possibilité de contrer toute tentative de débordement de l'assaillant par ce moyen, l'outil ferroviaire mis au service de la stratégie permettant d'annuler l'avantage accordé à un assaillant manœuvrant par lignes intérieures en offrant une meilleure capacité de réaction au défenseur - ce notamment par la vitesse de déplacement des forces qu'il permet , les manoeuvres s'annulant ainsi réciproquement et les tentatives de contre-attaque étant de même manière neutralisées

  1. Les lignes d'opération intérieures sont celles qu'une ou deux armées formeront pour s'opposer à plusieurs masses ennemies, mais auxquelles on donnerait une direction telle, que l'on pût rapprocher les différents corps et lier leurs mouvements avant que l'ennemi eût la possibilité de leur opposer une plus grande masse - Antoine de Jomini : Précis de l'art de la Guerre, Ch. Tanara Editeur, Paris 1855 - Réédition Editions Ivrea, 1994, (ISBN 2-85184-079-7), page 117.
On pourrait dès lors développer à partir de supra, dans un paragraphe suivant, qu'il en résultat des chocs frontaux aussi coûteux en vies humaines que stériles et que cela obligea les stratèges à "trouver autre chose pour vaincre" d'où la guerre totale économique : ne pouvant détruire les armées ennemies, on détruit sa capacité de combattre, on ruine son moral bref on lui pourrit la vie, on les lui brise menu, on l'escargasse ( peut met' ça dans l'art   ? ) - ça aussi se retrouve plus ou moins texto dans les textes que j'ai consultés. Jules ( mon 2ème prénom, merci parrain !   )
Ah ouais : et aussi que la surveillance des lignes, dépôts et mouvements permet d'anticiper et que le sabotage permet de prévenir les mauvaises surprises ou les velléités de l'adv ( rôle de la cavalerie dans les deux cas ) ...
Réponses et commentaires en plusieurs temps :
  • Antoine Henri Jomini, Précis de l'art de la Guerre, 1855, Paris, Ch. Tarana Editeur, réédition Editions Ivrea, 1994, (ISBN 2-85184-079-7), page 117 : "Les lignes d'opération intérieures sont celles qu'une ou deux armées formeront pour s'opposer à plusieurs masses ennemies, mais auxquelles on donnerait une direction telle, que l'on pût rapprocher les différents corps et lier leurs mouvements avant que l'ennemi eût la possibilité de leur opposer une plus grande masse".
  • "séquelles" = pas glop. "Conséquence" ? "fruit" ? "résultat" ? "Résultante" ?
  • Le reste, c'est pas du ressort de cet article (amha). Plutôt dans l'article que tu vas écrire : "Analyse de la pensée stratégique ACW"
  • Et Utopies (d · c · b) te compare à un esclave. Peut-être que El Barbudo accepterait de prêter sa tronçonneuse ?...   --Rled44 blabla ? 19 février 2010 à 21:44 (CET)Répondre

Heu... D'accord sur l'idée exprimée mais il me semble que la formulation   gagnerait à être simplifiée... --Rled44 blabla ? 19 février 2010 à 21:52 (CET)Répondre

Merci ! L'art sur le pensée, euh, mollo ! Aborder le sujet ici me semble suffisant pour l'instant, d'autant qu'il y a une section conclusive où l'on développera un chouia l'effet du CF sur la pensée stratégique. Le problème avec le Papillon, c'est qu'il est planqué la tête en bas à la cave ( basement en angliche - pas baise-main ) . Me faudrait une tracto-pelle pour me creuser une ligne intérieure à la Jules Verne ( Voyage au Centre de la Terre ) pour aller le tronçonner ! Phil
Mais qu'est-ce que je raconte, moi ?? J'avais Butterfly en tête pcq il était intervenu sur la mise en page et que du coup, je lui avais prêté les propos esclavagistes du Toto! C'est vrai qu'Uto est moins loin ! Passes moi la tronçonneuse, yerk yerk yerk gnarf gnarf gnarf - il va aussi pouvoir courir vite çuilà ! Phil
Simplifier, simplifier et créer un art "stratégie" .... pfffiou, oui mais là, « calmos » pcq je commence un peu à être débordé et à caler ( la preuve : je confusionne ! ). Faisons comme si l'art n'existera jamais .. et il sera toujours temps quand il sera créé de repiquer/bouturer des trucs d'ici puis de simplifier en faisant un lien "voir aussi .. ". Le truc ci-dessus me semble tout aussi concis que complet et auto-suffisant pour le moment. Li pôv piti esclave.
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