Discussion:Précarité

Dernier commentaire : il y a 2 ans par 90.37.141.144 dans le sujet Définition maladroite
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La version initiale de cet article était extrait de "Pour une sécurité des parcours professionnels" (E Guigou, V Champain) avec la permission des auteurs.

Les textes de Wikipédia, en plus d'être gratuits, sont "libres", sous licence GFDL, qui autorise notamment la réutilisation, même dans un but commercial de ces textes (version papier/DVD de l'encyclopédie, par exemple). Les auteurs acceptent-ils (et en ont-ils le droit?) de mettre cet extrait sous licence GFDL ? Eskimo  4 septembre 2005 à 20:08 (CEST)Répondre

Depuis WP:PCP :

Je ne sais pas ce qu'est la GFDL mais je confirme mon accord pour la publication. D'ailleurs le texte est déjà disponible gratuitement en ligne (http://fondatn7.alias.domicile.fr/affiche_page.php4?IdSite=1&IdRub=120&Id=425). V Champain

franco-centrisme modifier

Cet article relate le point de vue de français sur une précarité issue d'une surprotection du monde du travail.

Un emploi qualifié de précaire en France, peut-être considéré comme très protègé à l'étranger (cas du CDD non-résiliable par exemple).

Dans la majorité des pays les fonctionnaires sont licenciables.

Par ailleurs, cet article est à la limite du POV, car la précarité peut se retourner. Lorsque le marché de l'emploi est favorable au salarié, c'est l'entreprise qui est en situation précaire (cas des USA).

--Powermonger(kongossa) 21 décembre 2005 à 18:08 (CET)Répondre

Je vous encourage à écrire un article .. modifier

... sur la précarité des entreprises américaines.

Voilà, cliquer ici précarité (entreprise) et allez-y.

HDDTZUZDSQ 21 décembre 2005 à 18:21 (CET)Répondre

Alors commencez par renommer cet article Précarité (salarié).
Plus sérieusement, la précarité est plus une question de contexte. Avoir un contrat non-surprotégé dans un contexte de plein emploi n'est pas dramatique. --Powermonger(kongossa) 21 décembre 2005 à 18:47 (CET)Répondre
Ca n'est pas "mon" article. Ceci est une encyclopédie collaborative. Je m'étonne de votre remarque. HDDTZUZDSQ 21 décembre 2005 à 20:40 (CET)Répondre

NPDV modifier

Cet article est visiblement l'expression d'une opinion particulière, puisqu'il définit un problème éminemment subjectif (ou commence et ou s'arrête la précarité), sans expliquer  ; il devrait être plus prudent dans sa formulation, très affirmative. Par ailleurs il me semblerait utile de renommer le chapitre en Précarité (emploi) par exemple, ou Précarité (société) par exemple pour mieux situer le contexte de l'article. Enfin, je rejoins l'avis sur le francocentrisme qui est fortement lié au manque de neutralité Adricube 23 janvier 2006 à 15:35 (CET)Répondre

Idem. Contenu subjectif et non encyclopédique. Soig 23 janvier 2006 à 19:19 (CET)Répondre
Je pense aussi qu'une petite toilette, tout en gardant l'essentiel, pourrait améliorer la structure de cet article et le rendre plus objectif et plus universel.
Il n'est pas dans l'usage courant de parler de précarité des entreprises, mais plutôt de celle de l'emploi. En conséquence, en l'absence d'autres articles sur la précarité, je ne vois pas l'intérêt de renommer cet article.
Si nécessaire, une page de homonymie sera sans doute suffisante. Tamagochi 19 février 2006 à 02:02 (CET)Répondre

Après la petite toilette de 83.195.187.196, on pourrait peut-être enlever les bornes de NPDV et de franco-centrisme, non ? Tamagochi 2 mars 2006 à 00:19 (CET)Répondre

d'accord pour le NPDV, moins pour le francocentrisme qui reste quand même fort Adricube 2 mars 2006 à 10:07 (CET)Répondre

Vision différente modifier

La vraie précarité au sens propre du terme est avant tout le chomage. LE CNE, CPE, ... sont des éléments qui sont là pour la réduire rien de plus. Ils ne la suppriment certainement pas. L'idéal où tout le monde aurait un emploi pendant toute la durée de sa vie à un salaire correct ... personne ne peut y croire. L'utopie fait vivre, mais ne permet pas d'être en phase avec la réalité!

Cependant, il n'est pas inconcevable de parler de précarité pour ce type de contrat quand l'employeur ne respecte pas la règle du jeu. Certains gardes fou existent pour limiter les fraudeurs et stabiliser les contrats tel que le CPE sur plus de 2 ans en empéchant pendant une certaine période l'employeur qui vient de licencier une personne de réembaucher une autre personne (cf les discusions précédentes). Ce genre de gardes fou sont hélàs assez faibles. Dans le cas où l'employeur abuse du système le travailleur est réellement victime d'un système contre lequel il ne peut se retourner. C'est le fait d'être une victime malgré soit alors que l'on cherche a gagner honnetement sa vie qui défini la vraie précarité.

Romix

plus généralement, je trouve très décevant de lier la précarité à la notion de contrat de travail. La précarité est avant tout un problème de societé dont les differents contrats de travail ne sont que le reflet.. Enfin, il suffit de prendre un peu de recul: imaginez-vous discuter la précarité à l'aide des contrats de travail avec un mineur du siècle dernier?? Et dans 100 ans alors? Plus qu'un truc-centrisme ou je sais pas quel ism-skism, cet article nécessite d'être refondé et entièrement revu pour atteindre ce qui serait attendu d'un vrai article encyclopédique.. Je proposerai des modifications quand j'en aurai le temps... Toots5446 23 avril 2006 à 16:31 (CEST)Répondre

un grand bravo... modifier

Pour cette remise en forme, qui me semble nettement plus descriptive et donc neutre, toute en renvoyant aux notions liées. celà me semble une bonne base qui peut ensuite être enrichie.Adricube 1 mars 2006 à 16:30 (CET)Répondre

npov modifier

La partie politique/droit du travail n'est pas très neutre.

Je décris rapidement les points qui me choquent :

  • "contrat précaire" est un abus de langage, puisque c'est une situation qui est précaire, pas un contrat (d'ailleurs dans une situation de plein-emploi, aucun contrat ne peut être "précaire" au sens où il est entendu ici, puisqu'on est certain de retrouver un poste).
  • Le sous-entendu que le CDI français est stable alors qu'il existe des clauses permettant aux employeurs de déplacer comme elles le souhaitent les personnes partout dans le pays.
  • Les paragraphes "La situation" et "Luttes sociales" dans leur ensemble

Sinon, d'un point de vue de pertinence sur l'ensemble de l'article, je le trouve ultra-franco-centré, au niveau des faits comme des analyses.

J'ai ajouté le bandeau NPOV. Plyd /!\ 7 juin 2006 à 10:19 (CEST)Répondre

Je me passe également d'ajouter les bandeaux contenu évasif et manque de sources parce qu'il y en a déjà trop... Plyd /!\ 7 juin 2006 à 10:21 (CEST)Répondre
Voir également la discussion sur Discuter:Précarité/Neutralité. Plyd /!\ 8 juin 2006 à 13:46 (CEST)Répondre
"contrat précaire" est un usage, qui peut certes choquer, mais qui très usité, et qui a, à présent, son explication dans l'article.
Le CDI est stable par sa durée ; il est bien expliqué, dans l'article qu'il peut être instable par d'autres facteurs, il n'en reste pas moins le contrat normal, légalement parlant.
J'ai commencé à arranger le pragraphe "La situation", en commençant par le renommer en "Précarité et marché du travail" et en y mettant justificatifs et références.
(A suivre) Tamagochi 13 avril 2007 à 00:58 (CEST)Répondre

De l'utilisation des sondages pour étayer une affirmation... modifier

  • Bonjour ! Le sens de la phrase suivante est peu clair et sans doute également trompeur :

"Une certaine aversion au risque et une résistance au changement[1] sont souvent désignés comme étant à l'origine de la position centrale donnée au thème de la précarité[2]"

Qu'entend-t'on par "position centrale" ? Une approche plus neutre du sujet pourrait être rédigée de la manière suivante : "La question de la précarité est régulièrement soulevée dans le débat public français. La persistance d'un taux de chômage plus élevé en France que dans la plupart des pays européens et la forte augmentation de la proportion des contrats de travail instables (CDD, intérim, stagiaires...) durant les 20 dernières années pourraient expliquer cette singularité française. On retrouve cependant un débat équivalent en Italie et en Espagne (génération "milleuriste")."

Reférences pour le terme "milleuriste" : http://www.cafebabel.com/fr/dossierprintversion.asp?Id=395 http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-849186@51-846229,0.html

La référence au sondage IFOP est trompeuse. Au dela de la validité toujours incertaine des sondages (quels mots ont-été utilisés pour poser les questions ? etc.) se pose la question de leur interprétation : est-ce par absence de perspective dans le privé que les "jeunes" projettent plus leur avenir dans le secteur public ? Est-ce le reflet d'une aspiration à faire coincider son travail avec ses valeurs ? Est-ce par peur de l'avenir ? Etc. Ces multiples interprétations sont d'ailleurs combinables entre elles... --Mielle gris 5 novembre 2007 à 12:45 (CET)Répondre

Oui, mais la hausse des CDD a eu lieu également dans les autres pays, où pourtant le sentiment de précarité est moins fort ? –MACROECO [ hum hum ] 5 novembre 2007 à 18:11 (CET)Répondre
Heu, c'est possible. Mais autant comparer la proportion de CDD créés entre pays de taille et de développement équivalents peut être intéressant, autant comparer les "sentiments" de précarité me semble assez casse-gueule : comme toujours la bouteille a demi-vide de l'un est la bouteille à demi-pleine de l'autre. Je ne m'y risquerais pas.
Sur le fond,
- il est possible que la stabilité de situation de quelques-uns (les quadras) précipite une situation précaire pour d'autres plus jeunes... ou plus vieux.
- par ailleurs, il se pourrait aussi qu'il y ait un lien entre rigidité et niveau élevé du marché immobilier de certains pays et fragilisation de franges de la population de ceux ci.
Si j'ai cité l'Italie et l'Espagne, c'est que ces pays partagent les mêmes problématiques (trentenaire squattant chez leurs parents en Italie, "milleuristes" en Espagne) que la France. Les modèles sociaux allemands, scandinaves ou anglo-saxons sont sans doute bien différents (cad ont d'autres défauts !).--Mielle gris 5 novembre 2007 à 22:40 (CET)Répondre
pour moi, ce paragraphe ne peut pas être conservé sans être radicalement changé. Parler de l'opinion des français, bon l'aversion au risque (c'est du grand non-npov ça qd même). Pour moi, on peut rédiger qqch sur la france mais on devrait repartir sans ce paragraphe, même modifié par Mielle. D'ailleurs, Macroéco, je l'avais retiré parce que je pensais qu'il était plus mauvais de mettre ça que rien du tout, mais tu l'as remis mais tu n'as pas justifier cela dans ton résumé, si tu pouvais le faire pour qu'on puisse se mettre d'accord :). Merci! cordialement, Plyd /!\ 5 novembre 2007 à 23:14 (CET)Répondre
En effet, "mon" paragraphe est pas terrible, je suis d'accord... Il faudrait faire un meilleur travail, et trouver des sources... Pour l'instant j'ai pas trop le temps... –MACROECO [ hum hum ] 6 novembre 2007 à 15:00 (CET)Répondre
oups macroéco, dsl pour mon manque de diplomatie. (je suis chanceux que tu ne sois pas suceptible :) )... Plyd /!\ 7 novembre 2007 à 00:02 (CET)Répondre
  • Bonsoir ! Je me suis permis de rédiger une introduction à la notion de précarité, aggrementé de quelques sources, histoire de donner de la cohérence à la page. A mon sens, il faudrait d'ailleurs revoir la composition de la page : tous les chapitres n'ont pas la même importance... A ce jour, elle fait un peu hétéroclite. Et même si les sources sur la situation en France sont plus facile d'accés, un chapitre spécifiquement consacré à la France n'est pas forcément utile, non ?--Mielle gris 7 novembre 2007 à 00:00 (CET)Répondre

Visuel trompeur modifier

Bonjour !

Le visuel illustrant le phénomène de précarité est mal choisi. Il peut induire une confusion entre les notions de précarité et de pauvreté qui sont distinctes : après une catastrophe naturelle, on peut se retrouver dans une situation de dénuement, pas spécialement de précarité. Le dénuement est immédiat (maison écroulée, mobiliers détruits, ressources alimentaires disparues, etc.), alors que la notion de précarité implique l'idée de durée, d'une incertitude prolongée. Ne pourrait-on trouver un visuel plus précis (sans forcément figurer une manif anti-CPE ! :) ) --Mielle gris 7 novembre 2007 à 11:40 (CET)Répondre

moi je le trouve très approprié, c'est un des exemples les plus prononcés de précarité (situation inacceptable dans la durée sans espoir de s'en sortir n'y est-elle pas présente ?).
Il est vrai qu'il y a plusieurs types de précarité, la précarité=chômage est une vision (dominante en france), mais n'est qu'une vision. la pauvreté sans espoir d'amélioration est une autre forme de précarité. Sans compter la précarité due à un niveau d'acceptabilité qu'on définit très élevé (ton paragraphe sur le néo-libéralisme en parle à mon avis), qui est plus dû à une disparité forte de richesses, provoquant un sentiment d'injustice de sa situation en voyant celle des autres. Cette précarité est moins une pauvreté que celle qu'on trouve en afrique par exemple, mais ça reste de la précarité.
D'ailleurs, je trouve que ton nouveau paragraphe sur le néolibéralisme est trop idéologique (de type anti-capitaliste). Pour moi, il devrait davantage pointer les raisons qui ont mené certaines politiques libérales à des sentiments de précarité dans la population. La disparité très forte des revenus provoquant un sentiment d'injustice et d'innaceptabilité de sa situation est une de ces raisons, à mon sens.
Bien cordialement, Plyd /!\ 10 novembre 2007 à 01:27 (CET)Répondre
Sur le visuel, je comprends ton point de vue : la précarité en pays développés n'est pas la même que celle en PVD. Il conviendrait alors de bien distinguer les deux formes (descriptions, etc.) et de préciser dans la description du visuel qu'il renvoit plus particulièrement à la précarité des pays du sud. Il faut bien comprendre que la précarité suite à une catastrophe naturelle est vraiment marginale en France, puisqu'à défaut d'assurances, c'est l'Etat qui prend en charge les sinistrés de catastrophe naturelle. Ces dernières ne créent donc pas de précarité en France (est-ce également vrai dans d'autres pays occidentaux ?).
la pauvreté sans espoir d'amélioration est une autre forme de précarité > Non. Pas d'accord. Un individu en CDI (SMIC 35h), vivant seul et payant un loyer de 0,6 SMIC est pauvre, mais n'est pas en situation de précarité ! Mais un intérimaire gagnant 2000 € net par mois (mais uniquement pendant deux périodes de 3 mois pendant l'année), payant le même loyer est à la fois pauvre et en situation précaire. Le non renouvellement d'un contrat, le mettrait à la rue...
La notion de précarité se définit aussi par la capacité à se réinsérer socialement, à rebondir. Grosso modo, les 50% de français qui peuvent prétendre au ASSEDICS ne sont pas en situation précaire : on leur donne une chance de rebondir. A l'inverse, ceux qui pour diverses raisons n'y ont pas droit, sont en situation beaucoup plus précaire.
Liens entre précarité et politiques néo-libérales : J'ai vraiment tenté de rester neutre, mais oui, ce paragraphe pourrait être amélioré : j'y marche un peu sur les oeufs ! Mais encore une fois attention, à ne pas confondre pauvreté et précarité : La disparité très forte des revenus provoquant un sentiment d'injustice n'est pas directement lié à la précarité. L'inverse de la précarité, ce n'est pas la richesse, c'est l'assurance que les aléas de la vie seront surmontables (être proprio, disposer d'un CDI dans une boite stable, etc.) Quelque chose comme le confort relationnel et la routine.
Sur le fond, le principal lien que je vois entre politiques néo-libérales et sentiment de précarité, ce sont les politiques en faveur de la flexibilité. La flexibilité non-accompagnée créé forcément un sentiment de précarité.--Mielle gris 10 novembre 2007 à 11:45 (CET)Répondre

A recycler modifier

Je note ici pour mémoire que cet article est à recycler (TI, POV, affirmations erronées, manque de sources). --Pa2chant. (discuter) 5 juin 2019 à 07:44 (CEST)Répondre

Fusion entre Précarité et citoyenneté et Précarité modifier

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
Il me semble que le premier article (Précarité et citoyenneté) fait partiellement doublon, et n'est pas suffisamment encyclopédique. Tithee.lefebvre (discuter) 30 novembre 2020 à 14:33 (CET)Répondre

  Tithee.lefebvre : Sujet vraiment confus, problème déjà soulevé ici Discussion:Précarité et citoyenneté. Une suppression paraîtrait tout autant justifiée. Plyd /!\ 30 novembre 2020 à 17:07 (CET)Répondre
Précarité et citoyenneté ressemble fort à un "TI en X et Y". Une suppression ne serait pas choquante... Cdt, Manacore (discuter) 1 décembre 2020 à 09:35 (CET)Répondre
Je trouve également que Précarité et citoyenneté est une anaylse personnelle de sources, comme l'avait faire remarquer Celette qui avait posé un bandeau {{TI}}, bandeau retiré peu après par le créateur de l'article (  Gugen) sans réele discussion derrière. Ce genre de sujet n'attire pas vraiment les foules et peut passer sous le radar pendant longtemps.
Un article de 20 ko pondu en une seule fois et quasiment pas touché depuis est un signal fort. La fusion ne ferait qu'injecter un TI potentiel dans Précarité (qui a déjà besoin d'être recyclé) est ferait plus de mal que de bien à mon avis. La chose à faire est de passer Précarité et citoyenneté en PàS. Cordialement, Şÿℵדαχ₮ɘɼɾ๏ʁ 1 décembre 2020 à 17:48 (CET)Répondre
Je suis tout à fait d'accord, une PàS sur le premier article serait tout à fait nécessaire. Apollinaire93 (discuter) 1 décembre 2020 à 23:01 (CET)Répondre
À y regarder de plus près, un bon nombre des créations de Gugen semblent poser les mêmes problèmes, j'en parle sur le bistro ([1]). Cordialement, Şÿℵדαχ₮ɘɼɾ๏ʁ 2 décembre 2020 à 06:04 (CET)Répondre

Fait. Nouill 5 décembre 2020 à 03:06 (CET)Répondre

Définition maladroite modifier

La première phrase de cet article, qui définit le mot précarité, est maladroite. "La précarité est une forte incertitude de conserver ou récupérer une situation acceptable dans un avenir proche". La précarité n'est pas "une incertitude" '(sic). La précarité est un état, une situation. La bonne définition serait : "La précarité est la situation d'une personne qui se trouve dans une forte incertitude ..." La définition actuelle évoque "une incertitude" sans indiquer qui (ou quoi) est affecté par cette incertitude. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.37.141.144 (discuter), le 26 avril 2021 à 15:14 (CEST)--90.37.141.144 (discuter) 26 avril 2021 à 15:16 (CEST)26 avril 2021Répondre

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