Discussion:Pharmakos

Dernier commentaire : il y a 3 ans par 2A01:E34:EC74:CA60:1C21:E551:CB7E:7299 dans le sujet pharmakos et bouc d'Azazel
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Archivage de la proposition de fusion modifier

Cet article devrait, selon-moi, être fusionné avec la page Pharmakos et particulièrement avec la section « Le pharmakon dans la philosophie ». La présence des deux pages m'apparait comme un doublon dispersant l'information sur le sujet. --Maxime Raschella-Lefebvre (discuter) 7 novembre 2019 à 21:49 (CET)Répondre

La section « Le pharmakon dans la philosophie » de cet article devrait, selon-moi, être fusionnée avec la page Pharmakon (philosophie). La présence des deux pages m'apparait comme un doublon dispersant l'information sur le sujet. --Maxime Raschella-Lefebvre (discuter) 7 novembre 2019 à 22:05 (CET)Répondre

Après avoir fusionné le contenu des deux pages, j'ai fait une demande de fusion des historiques afin de m'assurer que les contributeurs soient crédités pour leur travail. J'ai également ajouté le modèle:Crédit d'auteurs à la fin de l'article à cette fin.

Fusion entre Pharmakos et Pharmakon (philosophie) modifier

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
La page Pharmakos contient déjà une section intitulée « Le pharmakon dans la philosophie », il me semblerait donc plus efficace de fusionner ces deux pages, en particulier la section sur Derrida. --Maxime Raschella-Lefebvre (discuter) 8 novembre 2019 à 02:10 (CET)Répondre

  Pour Et bonifier la section philosophie de Derrida.--Vincentx96 (discuter) 13 novembre 2019 à 05:09 (CET)Répondre

pharmakos et bouc d'Azazel modifier

Le rite grec, athénien du pharmakos bouc émissaire, est une reprise du mythe israélite, de la Torah au Temple de Jérusalem. Le rite est expliqué et la marche à suivre décrite dans le lévitique (chap 16). On ^parle d'une chèvre ou d'un bouc léAzazel pour Azazel, un lieu ou un ange ou une personne, on ne sait pas trop, ou un no man's land, enfin c'est toujours, au Temple de Jérusalem devant lequel se déroule le rituel, avec aspersions de sang, et rituels précis, donc ce n'est pas très clair (il y a des explications variées dans le talmud, les commentaires ou loi orale). On considère que l'animal, innocent est désigné au sort, pas pour échapper au sacrifice, mais pour se faire le véhicule des péchés envers Dieu de l'année écoulée, avant la nouvelle qu'on vient de fêter. Au lieu de la lapidation d'un des leurs, marginal, on, prend un innocent animal, le même qu'on va manger et sacrifier à Dieu, qui ne mange pas mais apprécie la fumée, et préfère les végétaux (véridique, le D.ieu de la Torah est végan!). Les officiers du Temple les Lévites, se paient en mangeant des légumùes ou de la viande grillée dont le fumet est pour Dieu.

Le nom de Dieu que le commandement interdit de prononcer en vain et qui a été depuis volontairement substitué systématiquement et oublié est ce jour là prononcé par le grand cohen.

L'acte d'extraire le mal de la cité des Grecs, se retrouve ici, sauf que le pharmakon est bien là mais le pharmakos n'est pas un marginal ou malfaisant ou mal tout court, ce qui fait du bien a la cité. Le bouc est le simple véhicule des péchés qui sont énoncés à voix haute (mais basse) afin que l'animal, accompagné par un homme qui devra se 'purifier' (changer les habits, et prendre un bain rituel comme le prêtre s'est purifié avant et s'est séparé, autre sens de consacrer). C'est le jour, la fête la plus importante de l'année, peut-être avec Pacques, Pessah qui existait avant le don de la Torah et la sortie d'Egypte, mais célèbre le don de la Torah au Sinaï (avant il s'agissait d'une fête païenne des semences, puis du sacrifice, des premiers nées, dont les ainés des familles sont substitués par des sacrifices animaux, dont on peint les portes des enfants d'Israël avec le sang, en Egypte, afin que le Pharaon (qui avait demandé lui à ce que l'on tue tous les Hébreux, c'est comme ça que Moïse s'est retrouvé être un hébreu parmi les Egyptiens, et le prophète des enfants d'Israël, le seul à rencontrer le Dieu d'Abraham de Isaac et de Jacob (alias Israël). Ce jour là en tout cas depuis la construction du Temple, on jeune et on fait sonner le chofar, instrument de musique à vent, fait d'une corne de bélier. Chaque année, après le nouvel an, Rosh Hashannah, on célébrait (et célèbre encore) le jour des expiations ou HaYom Hakippourim yom kippour. Pour cela, le grand prêtre (Cohen en hébreu) se mettait à part pour se consacrer, et on tirait deux boucs identiques, sans taches, et 'jumeaux' on les tirait au sort. C'est le bouc d'Azazel qui deviendra un humain chez les grecs, et le bouc pour le sacrifice. Le bouc d'Azazel tient le rôle de bouc émissaire. On met un bandeau à l'animal puis le grand prêtre (Cohen hagadol) fait une apposition des mains et énumère les péchés de la cité envers Dieu. En faisant sortir le mal par le pharmakos/bouc véhiculant hors de la cité, ces péchés la purifie, le bien est le mal qui sort.

Voilà d'où vient le rituel grec puis le sens du mot pharmakon, des Hébreux.

Le Temple aurait été construit par Salomon, donc en -900 ou -850 quelque chose comme ça. L'existence de David, du moins de sa lignée (le père de Salomon) est attesté par une mention ultérieure de la beit David ou maison (dynastie) de David, et part une pièce de monnaie. Le rite n'a pas survécu au Temple mais la Torah en parle déjà dans les écrits retrouvés à Qum Ran datant de l'époque de Jésus et avant, ainsi qu'en -300 pour la Septante, pour le reste de la fête de Yom Kippour, c'est aujourd'hui Rosh Hashana, l'an 5781 (vérifier) donc bientôt le moment du "grand pardon" mais on croit à tort que cela concerne le pardon des fautes mais, non, seulement des offenses envers Dieu, pas envers votre prochain, qui mérite réparation si vous avez péché envers lui, malgré tout! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:E34:EC74:CA60:1C21:E551:CB7E:7299 (discuter), le 20 septembre 2020 à 09:51 (CEST)Répondre

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