Discussion:Chemillé-sur-Indrois

Dernier commentaire : il y a 1 an par Roland45 dans le sujet Section Risques majeurs
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Chemillé-sur-Indrois BA ? modifier

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Commentaires d’Harrieta modifier

Bonjour Arcyon37  , j’ai commencé une relecture de l’article, toujours émerveillé par ton soucis de précision et de qualité. Quelques remarques au fil de l’Indrois :

  • Toponymie et hydronymie : je ne comprends pas ta tentative de graphie *CAMILIACU, toute en majuscules, alors que la forme précédente, Camiliacus, est en italique. Si tu tiens à utiliser les majuscules (pourquoi l’astérisque ?), tu peux utiliser {{pc|Camiliacu}}, modèle qui distingue les grandes et petites majuscules (Camiliacu).
  Cette section a été en grande partie rédigée par Nortmannus, que je sollicite fréquemment dans ce genre de circonstance. Les ouvrages de toponymie que j'ai consultés utilisent également les majuscules ainsi que l'astérisque. Il s'agit de règles de typo propres à cette discipline et que je suis loin de maîtriser. Il faudrait quand même que je m'y intéresse.
  • Toponymie et hydronymie : limons éoliens battants mériterait une note.
  Fait. Lien interne, lien Wiktionnaire et note.
  • Protohistoire et Antiquité : sur la forme et/ou, je reste partagé. Même si je l’utilise quotidiennement au travail, elle me paraît peu littéraire. Je te propose un peuplement antique conséquent, peut-être établi dans la durée ou encore un peuplement antique conséquent et peut-être durable (ou voire durable).
  Fait. Ta version 2.
  • Intercommunalité : j'ai supprimé, peut-être à tort, l’italique de « communauté de communes de Montrésor », et je me suis arrêté juste avant de supprimer celui de « syndicat intercommunal d'énergie d'Indre-et-Loire », qui ne me semble pas logique. S’agit-il d’une règle typographique ou de la volonté de mettre en exergue le nom des syndicats ?
 . Plutôt la seconde alternative, mais appliquée non systématiquement, donc systématiquement supprimée.
  • Télécommunications et énergie : je ne comprends pas la phrase : « l'ensemble du réseau de téléphonie fixe déployé sur Chemillé-sur-Indrois est accessible à l'internet haut débit ». Tu veux dire « à accès à l’internet haut débit », ou « est accessible par l’internet haut débit » ? (à vrai dire, je ne comprends pas le deuxième terme de l’alternative, mais je ne suis pas technicien).
 . Moi non plus ; reformulé.
  • Emploi : je ne retrouve pas dans les tableaux de justification à la phrase « le taux d'emploi de cette population active a baissé d'un peu plus de 3 points ».
 . 3e ligne du tableau Structure de la population... mais c'est normal que tu ne t'y retrouves pas : j'avais une erreur de calcul !
  • Patrimoine naturel : « Cette ZNIEFF semble toutefois fragilisée par la construction, à proximité immédiate, d'un lotissement qui peut conduire à sa fermeture ». La lecture de la phrase, pour un ignorant comme moi, laisse penser que la ZNIEFF va être fermée, c’est-à-dire supprimée. Et non, il s’agit d’un système écologique fermé. C’est bien ce que tu voulais dire ?
 . Exactement. Remplacé le mot fermeture par isolement en conservant le lien interne.
  • Patrimoine gastronomique : j’ai trop envie de venir visiter cette région, mes papilles en frémissent déjà !
Comment prendre en compte ta remarque dans le texte de l'article (WP:NPDV)  . Sinon, c'est plus ou moins sur un itinéraire entre le Pays basque et la côte de Loire atlantique.

Fin de relecture, largement bon pour le service. Bien à toi.--Harrieta (d) 25 avril 2015 à 14:12 (CEST)Répondre

Conflit d’édition Merci pour ta relecture. Bien à toi, --Arcyon (d) 25 avril 2015 à 14:22 (CEST)Répondre

Section Risques majeurs modifier

Bonjour à tous. Le texte suivant est généré par un bot et s'appuie sur les dernières données connues. Il peut être fusionné avec celui de la section Risques de l'article.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Chemillé-sur-Indrois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[1]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[2].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Loches, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[3].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chemillé-sur-Indrois.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 193 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 146 sont en en aléa moyen ou fort, soit 76 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[4],[5].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[1].

Cordialement.Roland45 (discuter) 4 septembre 2022 à 18:59 (CEST)Répondre

  1. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chemillé-sur-Indrois », sur Géorisques (consulté le )
  2. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  3. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
  4. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
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