Discussion:Art numérique
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Définition de l'Art Numérique
modifierVoici ma proposition (1er jet) pour la version française. A vous d'y apporter des modifications, ajout de références, de domaines, ou retrait de mes commentaires trop personnels, si vous le souhaitez, et de l'installer. Je suis artiste, donc subjectif et subversif.
L'ART NUMERIQUE désigne l'ensemble des moyens par lesquels l'Homme tend à atteindre un résultat artistique en utilisant un ordinateur.
L'Art Numérique peut être purement généré par ordinateur, ou provenir d'une source extérieure, telle qu'une photographie ou dessin numérisée par un scanner, ou une image dessinée en utilisant des logiciels graphiques vectoriels, à l'aide d'une souris ou d'une tablette graphique.
Bien que techniquement le terme "ART NUMERIQUE" puisse être appliqué à l'art utilisant d'autres médias informatiques ou processus de programmation, il est habituellement et couramment réservé pour des créations artistiques qui exigent l'intervention, la maîtrise et le contrôle de l'Homme au cours du processus créatif.
Les procédés de calcul automatique dans lequel l'Homme n'intervient pas; tel qu'un programme en langage machine, réalité virtuelle, ou tout système électronique capable d'interpréter une entrée pour créer des données; comme les textes et enregistrements audio et visuels bruts digitalisés par exemple; ne sont pas considérés comme art numérique en eux-mêmes, mais peuvent faire partie d'un projet d'art numérique.
On ne parle jamais de livre d'art numérique, ni de musique d'art numérique qui pourtant utilisent la saisie clavier et l'ordinateur. De même que toute illustration créée par ordinateur, réalisée pour la publicité n'entre pas dans la catégorie "Art Numérique". Autrement même la comptabilité et la gestion informatisée deviendraient de l'art numérique.
La disponibilité et la popularité des logiciels de retouche photo a engendré une vaste et créative bibliothèque d'images fortement personnalisées. Beaucoup de ces images soutenant peu ou prou la comparaison avec l'image originale de départ, peut revendiquer le qualificatif d'oeuvre ou de création numérique originale dans un contexte de recherche artistique. L'usage en version informatique des outils traditionnels des artistes : pinceaux, brosses, crayons, fusains, pastels, etc., a aussi permis une finalité artistique des créations numériques. Les filtres et effets divers, de la panoplie photographique conventionnelle permettent de produire des images qui étaient jusqu'à là inaccessibles en ouvrant aux artistes de nouvelles possibilités d'expressions. Ces techniques de création font partie de l'Art Numérique tant qu'elles sont appliquées à l'Art.
En outre, les artistes du numérique peuvent manipuler toute source d'imagerie scannée (dessins, peinture de maîtres, gravures, estampes, objets, etc.) effectuer des collages, des montages, découper, déchirer, altérer, déformer, distordre ou au contraire redresser, selon leur propre inspiration, influence ou recherche. Ils peuvent aussi bien employer une ou plusieurs techniques mentionnées ci-dessus, de manière indépendante ou les associées entre-elles. Les artistes emploient également beaucoup d'autres sources d'information et de programmes au cours de leur travail qui valide leur démarche artistique.
Le 3D, qui ne s'apparente pas au Virtuel, issu d'un programme de conception en langage informatique a permis la génération de formes complexes, polygones, courbes géométriques, NURBS (Non Uniform Rational Beta-Splines) permettant de créer des scènes et objets tridimensionnels fictifs, imaginaires, inspirés du réel ou réalistes, que de nombreux artistes du numérique utilisent pour enrichir leurs créations artistiques. Le rendu 3D est toujours un calcul de perspectives multiples en 2 dimensions. Grâce aux effets spéciaux visuels du 3D, le champ de la création artistique s'est élargi. Ces outils 3D ont donné naissance à de nouveaux domaines de l'Art Numérique. Les artistes du numérique les ont parfaitement intégrés à leurs oeuvres numériques planes.
Si les ordinateurs sont utilisés intensivement pour produire des effets spéciaux dans les médias cinématographiques, télévisuels, ou industriels comme le prototypage rapide, et si les ordinateurs de bureau ont eu un impact énorme au quotidien, sur le monde de édition, ces utilisations restent liées à la conception et publication assistée par ordinateur et non à l'Art Numérique.
La technologie numérique permet également la collaboration collective, se prêtant au partage et à la convergence d'un effort créateur ouvert sur des terrains communs entre plusieurs créateurs. L'art numérique a permis le développement de collectifs d'artistes exploitant de nouveaux horizons créatifs en mixant plusieurs sources de données numérisées (audio, vidéo, image fixe, image 3D, interactivité, toucher) dont quelques réalisations émergent en Art et production unique.
L'art numérique est finalement accepté et considéré comme art à part entière, peut-être en raison de la forte présence d'ordinateurs dans tous les domaines de la vie professionnelle et privée. La sensibilisation des utilisateurs à un travail qui passe obligatoirement par la main et le génie de l'Homme et non exclusivement par une machine surdouée en calcul, accrédite et affirme la cote des artistes du numérique. Nous sommes déjà dans une ère post digital, où les technologies numériques ne sont plus une nouveauté dans le monde de l'art.
La photographie numérique et l'impression numérique sont maintenant des mediums de création et de représentation acceptables par les musées et les galeries. Internationalement, beaucoup de musées commencent maintenant à rassembler l'art numérique, tel que le musée de San Jose et le département de l'impression de Victoria; l'Albert Museum aux Etats-Unis a également une petite collection d'art numérique.
Une des raisons pour lesquelles le monde établi et conservateur des arts appréhende difficilement l'art numérique, est leur perception du principe de la reproduction ou copie. Les copies numériques sont reproductibles sans limite. Pour être visible par un plus grand nombre les créations numériques nécessitent un changement de périphérique d'affichage. Une évolution technique de l'art, que beaucoup refuse d'admettre, avec toujours en tête la même idée, celle de faire de gros profits financiers des travaux d'artistes grâce au stratagème marchand de la rareté. Une loi capitaliste irrecevable, artificielle, élitiste et totalitaire qui exclurait l'immense majorité des Hommes à posséder une œuvre d'art. L'art numérique a changé les critères des œuvres d'art pour davantage de démocratisation, en cela l'art numérique est révolutionnaire.
Des artistes cependant acceptent d'effacer leur fichier informatique après la première copie, de ce fait, il crée un exemplaire unique, pour répondre aux normes du marché. Si l'on considère l'évolution des systèmes d'exploitation et des langages informatiques, un fichier informatique constituant la matrice d'une infographie originale à une durée de vie de 15 à 20 ans maximum.
L'autre raison invoquée souvent serait la tenue des couleurs dans le temps. La technologie de l'impression numérique d'aujourd'hui garantie que l'effacement des couleurs ne se produira pas avant 60 à 100 années (www.wilhelm-research.com). Mais voilà bien un faux problème d'un monde qui a perdu tout bon sens! Si les couleurs s'effacent, on réimprime avec la dernière technique mise au point; un autre avantage du numérique, à moins de faire appel aux onéreux services de restauration, et là nous verront si l'art numérique est encore un sous produit des beaux-arts.
Il est nécessaire de rappeler une évidence: aucune toile, aucun pigment, aucune couleur, aucune teinture, ne supporte les mauvais traitements et les expositions prolongées à la lumière vive, solaire ou lunaire. Les toiles d'art numérique seront encore lumineuses et colorées dans des siècles si l'on sait en prendre soin.
D'autres intolérances à l'art numérique, mais sans gravité; de la part de ceux là mêmes qui ont dû crier "au scandale!" lorsque les Hommes ont cessé de peindre sur les parois des grottes du Neandertal pour utiliser d'autres supports et d'autres mediums.
La qualité picturale n'est plus un critère de rejet de l'art numérique. Nous avons tous vu les horreurs dont sont capables les artistes professionnels contemporains qui utilisent les mediums traditionnels. A croire que le mauvais goût est moderne. En numérique, les mêmes horreurs faciles, résultat de fumistes, mystificateurs ou imposteurs sont en tout point de vue aussi facilement exécutables et repérables. Souvent les artistes entre eux n'hésitent pas à dénoncer ces attitudes qui discréditent le monde de l'Art. Seul le temps et l'intégrité artistique des auteurs face à un public ou acheteurs collectionneurs fait la différence. Être bancable, une valeur sûre, en art numérique devrait bientôt pouvoir se déceler.
L'ART Numérique a quitté l'image informatique pour le tableau et l'oeuvre d'art; les prix s'envolent.
L'art numérique est hors de prix. Chic alors!
HOMINN Lebirec 2007
La Réalité Virtuelle est-elle de l'Art Numérique ?
modifierPeut-on intégrer "Réalité Virtuelle", traitement 3D particulier et très onéreux, dans ce que l'on appelle globalement "ART NUMERIQUE", travail d'artistes souvent très démunis financièrement? Je n'en suis pas sûr. Je serai d'avis de supprimer tous les paragraphes concernant cette technique mise en place par des grands groupes et dont les applications militaires ou civiles n'ont rien à voir avec l'ART au sens noble du terme. Les films réalisés en virtuel entrent, à mon avis, plutôt comme une extension de l'art cinématographique; quoique la Réalité Virtuelle soit un monde à part.
- Je ne connais pas de taxinomie dans l'histoire de l'art qui considère la dimension économique comme pertinente, sinon je suppose que de Michel Ange à Buren nous serions obligés d'amputer cette histoire de 80% de ses pièces majeures.
- Une encyclopédie se doit d'explorer les termes dans leur acception la plus large quitte à compléter les manques en ce qui concerne d'autre pratiques faisant appel au numérique (toute la partie liée au réseau mérite sérieusement d'être développée). Pour ce qui concerne les antécédents militaires des technologies c'est toute l'histoire de l'art qu'il faut réécrire. Sans parler des artistes qui comme Léonard ont directement contribué à l'effort militaire. Cela revient pour moi à condamner le marbre parce que les gands dictateurs l'ont utilisé pour leur propagande et la vidéo parce que le meilleur comme le pire se cotoient en télévision vendue au grand capital (c'était quand même le premier argument contre l'art vidéo à ses débuts). Donc prudence et ouverture...
Il apparaît évident que la 3D Virtuelle à une dimension de trop pour intégrer l'ART NUMERIQUE. Il serait peut-être temps que les artistes du numérique ne soient pas assimilés avec toutes les techniques issues de l'ordinateur. Pour moi, l'Art Numérique reste davantage en 2D, ou encore dans le domaine du multimédia interactif faisant appel aux techniques 3D mais dont le résultat est toujours visible, utilisable et restitué en 2 dimensions. Tout le monde sait que la 3D est un calcul de perspectives multiples en rendu final 2D. A DEBATTRE !!
Le Virtuel est autre chose. D'ailleurs j'ai le même problème avec la vidéo numérique, qui pour moi ne fait pas partie de l'art numérique au sens ou les artistes du numérique ont voulu le définir au départ. (HOMINN Lebirec / Artiste du numérique depuis 1984 / Fondateur du MAP - Mouvement d'Art Présent, du Lug-Art - 1992 - Art Vectoriel Syntone - et de bien d'autres catégories d'ART NUMERIQUE.)
Il serait tout de même intéressant que les ARTISTES pionniers dans le domaine de l'ART NUMERIQUE soient consultés avant de définir quoique que soit en ART NUMERIQUE. Nous ne sommes pas encore morts et PARIS ne sera jamais le centre de la FRANCE.
Je rappelle que le 2D, 2D 1/2 (techniques des calques), 3D et 3D Virtuel sont des inventions françaises. L'Amérique n'est en aucun cas une référence, ni un bon exemple, même si les américains sont très doués pour imposer commercialement leurs produits. Allez donc voir aussi ce que font les Québeccois ou les Japonais.
Moderation wanted, again
modifierJe ne comprends pas comment se fait la modération sur cette rubrique. Voici qu'un artiste "s'intéressant à la perte de l'acquité du détail" ce qui ne signifie rien, dans aucune langue, connue ou à venir, apparaît comme jouant un rôle significatif dans l'histoire de l'art itneractif. Nous sommes sur une encyclopédie et non sur un article journalistique à l'information approximative. Je ne me sens pas le droit de modifier l'ajout, mais j'apprecierait qu'un administrateur veille à éviter le révisionisme historique.
- Ce n'est pas particulièrement aux administrateurs de faire ça, c'est à l'ensemble de la communauté des wikipédiens : les admins n'ont pas d'autorité particulière sur le contenu. Bien que professionnel du domaine, je ne comprends pas plus que vous ce que c'est que cet artiste que s'intéressant à la perte de l'acquité du détail. En fait je trouve que l'article est un brouet infâme et je ne vois rien d'autre à faire qu'à l'asperger d'essence et à y mettre le feu. Si vous voulez éviter que le désespoir me pousse à une telle extrémité, n'hésitez pas à aider cet article atroce à retrouver un semblant de structure : moi je ne vois pas trop comment faire. (->Jn) 17 mars 2007 à 23:27 (CET)
- Je comprends le problème: un gros déséquilibre s'est créé par la présence d'une ébauche sur environement virtuels et augmentés. Il faudrait préciser la définition générale en définissant les sous catégories. Comparer aussi les usages français et anglais "Digital Art" signifie souvent imagerie créée avec l'ordinateur (en gros de la peinture sur ordinateur)
Media Art ou New Media Art qui semble s'imposer regroupe un champ assez large, et proche de ce que l'on tente de définir ici souvent proche aussi de l'appellation "Art Interactif" Mais Art interactif n'intègre pas l'Art génératif qui se passe d'interactivité... Net Art regroupe assez largement les pratiques artistiques en ligne Je peux essayer de trouver quelqu'un qui rédigerait une version plus équilibrée. D'un autre côté appliquer pour tous les noms mentionnés une validation fondée sur la reconaissance de l'entrée par d'autres que par eux-mêmes (je mentionnais google book, même en version beta) me parait une bonne solution pour faire un tri rapide relativement légitime.
Beaucoup de blabla, pas très Beaux-Art.
modifierCette page sur l'Art Numérique, que je pratique depuis plus de 20 ans, n'est que le reflet d'intellectuels urbains enracinés dans un jargon de théoriens de l'Art. Cela me rappelle Nov'Art qui logeait dans un château des Yvelines et très branché "installation vidéo". Un discours indigeste que peu d'artistes reconnaissent et admettent, exceptés les partisans du blabla conceptuel d'où aucune beauté n'est capable d'émerger. Mais l'art poubelle archi pollué et névrosé, certainement. ET dire que des subventions sont alloués à ces cyberartistes d'un microcosme Parisien, dont la plupart des artistes du numérique sont exclus, parce que trop terre à terre (même ceux connectés au divin et à la grâce du beau dans l'Art). Une époque de malades dans un monde de malades. Voilà mon sentiment d'artiste d'art présent.
Savez vous que l'Art Numérique se pratique aussi dans les campagnes? Comme autrefois les peintres allaient rechercher la bonne lumière dans des endroits précis de France, certains artistes du numérique (les meilleurs) vont aussi chercher leur inspiration et leurs couleurs, au vert et à l'air vif de la nature. Un artiste reste un artiste, quel que soit son support d'expression.
Pour moi, il n'y a aucun bon sens à tirer l'Art vers des concepts abracadadrants à dormir debout. L'Art doit approcher l'humilité, la simplicité pour être compris par tous. C'est le message que tout bon artiste cherche à retranscrire, dans ce cas, être artiste n'est pas un métier, mais une vocation, je dirai même une obligation vitale. Mais ceux là, ne font pas partie des bulles conceptuelles à la mord moi l'noeud.
L'Art Numérique n'est rien d'autre qu'un nouveau medium et le nouvel outil du 20ème siècle. Par contre que des malades s'en emparent pour faire croire à un quelconque projet artistique, c'est vrai; les écoles sont là pour cela : mouler des techniciens de l'art. 100 pages de discours pour faire passer des concepts hallucinants de bêtises, moches et souvent entièrement orientés vers le négatif et la destruction (alors que nous vivons en paix).
Peut-être devrai-je parler de l'Art Présent, ou de l'Art Vectoriel inhérent à nos techniques informatiques de dessins 2 ou 3D favoris? Non ! Pourquoi ? parce qu'un petit ambitieux va effacer tout ce texte très vite et dire : "Hors sujet!" même si cet article est dans le chapitre "discussion". C'est comme cela; il y a ceux qui savent et ceux qui croient savoir, ces derniers étant prolixes en écriture blabla très éloignée de l'Amour de la vraie vie (je veux dire celle de la Nature, des arbres, de l'eau, de l'air et des animaux... Pas celle des mégalopoles coupées des énergies terrestres et célestes de l'Univers et donc des véritables créations artistiques belles, vivantes, joyeuses, positives et authentiques)...
LA DISCUSSION EST OUVERTE !
Paroles d'Artiste du Numérique (depuis 1984)
HOMINN Lebirec
- Bonjour.
- Art numérique ne signifie pas "truc créé sur ordinateur", de même que tel romancier ne peut pas qualifier de "littérature numérique" le livre qu'il a fait sous Word. On peut parler d'Art numérique lorsque les particularités de l'outil sont exploitées, que ce qui est produit n'aurait pas pu l'être autrement. De ce côté là, un peintre-en-meules-de-foin qui travaille avec photoshop est moins un "artiste numérique" qu'un inventeur de jeux comme Will Wright. Mais tout dépend de l'époque : dessiner des carrés et des ronds sur ordinateur et les imprimer, c'était de l'art numérique dans les années 1960, tandis qu'aujourd'hui, la création se situe plutôt du côté des applications en réseau.
- Bon à part ça votre discours aigre n'a rien de "retournant" : populisme, anti-intellectualisme, ignorance du sujet... Bah. On rentre dans l'ère du sarkozisme, c'est sans doute vous qui aurez raison, mais dans trois mois. (->Jn) 2 février 2007 à 19:15 (CET)
- L'art numérique n'est pas un "truc crée sur ordinateur", c'est un truc qui en sort pour vivre sa vie en toute autonomie et indépendance, comme le livre. Ne confondez pas "Cybermatrice" et "Infographie orginale", ignorance et propos d'un jour... C'est petit ou alors on est en plein délit d'opinion (HL 2/02/07 21h20).
La seule forme d’art nouvelle, à cette époque cul-de-sac où tout a été dit et redit au point que les artistes ne peuvent que rabâcher ou inventer de pauvres gags et gadgets souvent inintéressants ou, au mieux, ludiques, provocateurs ou surprenants cinq minutes, la seule forme vraiment nouvelle, neuve et qui ouvre un champ considérable à des aventures encore insoupçonnées, c’est l’art numérique, le digital art et, malgré l’indifférence ou les résistances qu’il suscite, comme au 19ème siècle la photographie, il doit obtenir une place dans les arts plastiques, pour les régénérer et les dépasser grâce à l’invention des esprits créatifs, que les outils fournis par les ordinateurs aident à formuler dans un langage encore jamais utilisé.
COMMENT FAIRE?
modifierJ'aimerais savoir comment faire pour compléter la page Art numérique en créant une page sur mes activités et me rajouter dans la liste des artistes bien incomplète, vu le nombre grossissant d'artistes travaillant "la matière numérique". Cette liste est bien restreinte et certains noms qui y figurent pas très représentatifs de ce qui maintenant a été identifié et reconnu par des historiens et des critiques comme Frank Popper, Christiane Paul, Edmond Couchot et bien d'autres. Personnellement, je vois que mon nom est cité, mais vu qu'il n'y a pas possibilité de modifier la page, je me vois dans l'impossibilité de compléter ces informations qui ont été mises. Cet article est-il donc irrémédiablement clos? Sinon donnez-moi les clés... --Foso (d) 27 février 2009 à 23:07 (CET)Sophie Lavaud
Compléter la liste des logiciels utilisés.
modifierBonjour, Les logiciels utilisés dépendent des besoins et ils sont nombreux, difficile de viser l'exhaustivité. Mais il y a quand même quelques incontournables qui touchent directement à la programmation et au rendement en temps réels et qui se présentent comme tels : je pense par ex à max msp (issus de pure data), ablaton live, Isadora, Quartz composer... etc. Je pense qu'il devrait être citer. Faire une liste serait une bonne chose si vous n'y voyez pas d'inconvénient. C'est assez difficile à cibler évidemment. Ca pose des problèmes : max par exemple est cité dans la sous catégorie logiciel de création musicale, il peut effectivement servir à cela, mais fondamentalement max est un logiciel qui permet de faire des calculs mathématiques en temps réel, en lui ajoutant des bibliothèques... ça se complique... mais bon, une simple petite liste sur cette page ne serait pas de trop il me semble.
Proposition d'anecdote pour la page d'accueil
modifierUne proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée là.
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 20 mars 2016 à 09:16)