Utilisateur:Zyffor/Brouillon

Projet wiki Dominic

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Les symptômes apparaissent généralement chez les jeunes adultes. Cette maladie découle en partie d'une prédisposition génétique (nature) et en partie des facteurs sociaux et environnementaux, comme un choc violent pendant l'enfance. Les malades de TPB rapportent 13 fois plus de cas de maltraitance ou abus pendant leur enfance que toute autre maladie mentale (abus psychologique, physique, sexuel, ou abandon).  Bien que la maltraitance soit une cause connue, il y a aussi les problèmes avec la construction et le développement du cerveau, la génétique et des expérience traumatisantes (trauma). Cela étant dit, bien qu’il y ait eu des avancées par rapport au trouble de la personnalité limite, les causes ne sont pas totalement comprises, encore à ce jour, selon le site web Healthline.


Facteurs environnementales de la personne.

Certaines personnes ayant subi de l’abus, que ce soit physique mentale ou sexuel sont plus susceptible de développer le trouble de la personnalité limite/borderline. En effet, plus de 50 % des personnes souffrant de troubles de la personnalité borderline ont subi des maltraitances psychologiques, sexuelles et/ou physique. La négligence est un facteur important dans le développement de ce trouble. De plus, la détresse ou la peur peut faire survenir plusieurs pensées négatives entrainant la personne à développer un trouble de la personnalité limite.


Anomalies du cerveau

Il existe deux types de problèmes au cerveau, soit avec les problèmes avec le développement du cerveau, soit les problèmes avec le fonctionnement du cerveau. Pour les personnes atteintes du trouble de la personnalité limite ou borderline, certaines parties du cerveau, majoritairement le cerveau l’imbrique, puisqu’il est responsable de la gestion des émotions, ne fonctionne pas proprement ce qui ne permet pas au cerveau de bien fonctionner. Aussi, plusieurs études faites par the National institute of Mental health[1] ont démontré qu’un trouble de la régulation des neurotransmetteurs[2] et hormones, généralement la sérotonine, affecte la manière dont le cerveau travail. Un bas niveau de sérotonine peut affecter le comportement d’une personne en entraînant des dépressions, de l’agressivité ou des pulsions.  

Après une recherche faite par scan MRI, les chercheurs ont comparé le cerveau d’une personne atteinte de TPL avec celui d’une personne témoin, trois parties du cerveau sont différentes. Premièrement, les amygdales, exécutant un important rôle dans le contrôle et la régulation des émotions, tels que la peur, l’agressivité, l’impatience, l’anxiété, et les pulsions. Ensuite, il y a l’hippocampe, une structure du cerveau responsable de l’apprentissage et la mémoire. Cette partie du cerveau joue aussi un grand rôle dans le comportement et le contrôle des émotions. Pour terminer, il y a le Cortex orbitofrontal qui est en fonction de la prise de décisions[3]. À la suite des scans MRI, Magnetic resonance imaging, les parties citées si dessus était soient anormalement plus petite qu’à l’habitude, soit il y avait un inquiétant niveau d’activité.


Génétique

Comme la grande majorité des troubles, la génétique joue une grande partie dans les probabilités. Si votre famille a un historique avec le trouble de la personnalité borderline, vous êtes plus vulnérable de développé ce trouble qu’une personne qui ne possède pas le gène dans sa famille. Une étude a établi que si une jumelle avait le trouble, les probabilités sont 2 sur 3 que l’autre jumelle ait aussi ce trouble.  De plus, le comportement et la santé mentale des autres membres de votre famille peuvent aussi influencer le développement de ce trouble. Par ailleurs, il n’y a, à ce jour, aucune évidence propre du gène responsable du trouble de la personnalité limite/borderline.

Projet wiki Edith

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Ajout de la section :

Comportement sexuel à risque :

La sexualité est un sujet qui est de plus en plus parlé, que ce soit sur les médias ou dans le contexte de la vie sociale. De ce fait, elle est moins taboue, et les établissements scolaires ont ajouté un cours de sexualité au cursus de leurs programmes d'enseignement. En 2000, 58,7% des adolescents âgés entre 15 et 19 ans avaient déjà eu des rapports sexuels, et 7% d’entre eux ont eu leur première relation sexuelle avant l’âge de 15 ans. Les maternités précoces sont souvent en lien avec l’âge du début de la sexualité active. En effet, 42% des jeunes filles sont sexuellement actives, entre l’âge de 15-17 ans. De ce nombre, seulement 30% des adolescentes ont recours à des méthodes de contraception.[4]

En 2007, 9.7 jeunes filles sur 1000, âgés entre 15 à 19 ans avaient déjà accouché d'un premier enfant. 11% de ces femmes ont donné naissance à un deuxième enfant dans la même période. En ce qui a trait au père, 6,9% des mères adolescentes ont déclaré que le père était âgés de moins de 18 ans, et 48,4% étaient âgés entre 18 et 24 ans. Cependant, 32% des mères adolescentes n'ont pas déclaré le père du bambin, en 2004.[5]

Risque pour la santé :

Les grossesses survenant avant l’âge de 20 ans présentent des risques accrus pour la santé de la mère, mais aussi la santé du bambin. En effet, l’enfant a plus de risque de vivre une naissance prématurer ou subir des anomalies congénitales. 7,1% des mères ayant donné naissance à un enfant avant l’âge de 20ans avaient accouché d’un enfant à faible poids. De plus, les enfants de parents adolescents sont plus à risque de vivre de la négligence, des problèmes d’adaptation scolaire et de développement. Ils sont aussi plus à risque d’être placés en adoption.[6]


Pour ce qui est des mères, elles sont plus susceptibles de développer des problèmes anémie, d’hypertension, de néphropathie, d’éclampsie, pendant et après la grossesse. Aussi, les mères adolescentes sont plus à risque d’avoir des troubles dépressifs, et d’avoir une grande consommation de substance illicites (alcool, drogues, etc.).[7] Les jeunes filles participent à la hausse des avortements spontanés, mais sont aussi plus susceptibles d’avoir recours à des avortements répétés, que les femmes adultes, ce qui comporte plusieurs risques pour leur santé. De plus, le risque de fausse couche est plus élevé.[8]

Ajout dans la section inégalités sociales:

Les femmes qui mettent au monde un enfant avant l’âge de 20 ans connaissent souvent des inégalités sociales, surtout en ce qui a trait au revenu. Il faut préciser que les jeunes filles provenant de milieux défavorisés sont 17 fois plus nombreuses à devenir mères avant l’âge de 20 ans comparativement aux filles de milieux plus favorisé aide, principalement pour des raisons familiales, soit un enfant de moins de cinq ans ou une grossesse et puis 46 % des familles dont le chef est une femme vivent sous le seuil de la pauvreté.

Dans un même ordre d’idées, ces jeunes femmes doivent souvent habiter dans un quartier plus défavorisé en raison de leur revenu. L’aide mensuelle moyenne versée, par l’assistance sociale, est de 692,45 CAD soit 8 309,40 CAD par année. Pour qu’un quartier soit jugé « de qualité », on devrait trouver plusieurs facteurs. Côté environnemental, oui ce sont des sources de pollution, mais on y trouve aussi des espaces verts. Pour l’économie, c’est souvent à proximité des commerces, il y a des marchés d’alimentation ainsi que des logements abordables. Côté institutionnel, on y trouve une accessibilité aux services publics, comme les écoles publiques, les CLSC, les hôpitaux, les Centres de la petite enfance ainsi que les transports collectifs.

Cependant, le revenu total personnel des mères adolescentes et des femmes adultes ne diffèrent pas beaucoup. En effet, en 2005, une mère adolescente a recensé 16 500$ de revenu après impôt, contrairement à 17 500$ pour une mère adulte. Une différence de 2 600$ de plus étaient versé aux familles de mères adolescentes qu'aux familles de mères adultes. Par ailleurs, les revenus familiaux avec une mère adolescente montaient à 40 300$, comparativement à 47 300$ pour les familles avec les mères adultes. La probabilité pour les femmes de vivre en situation faible revenu était de 9%.[9]

  1. (en) « Borderline Personality Disorder: Causes, Diagnosis, Treatment », sur Healthline, (consulté le )
  2. « Neurotransmetteur », dans Wikipédia, (lire en ligne)
  3. (en) « Causes - Borderline personality disorder », sur nhs.uk, (consulté le )
  4. Roy, Sylvie, 1962-, Jeunes filles enceintes et mères adolescentes : un portrait statistique, [Ministère de l'éducation], (ISBN 2-550-38599-3 et 978-2-550-38599-8, OCLC 77028631, lire en ligne)
  5. Sonia Guadalupe Jaco Castellanos, « Trois parents et un couffin : parentalité adolescente en contexte de cohabitation avec la gand-mère maternelle », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. Jean-Paul Mouras, « Être mère à l'adolescence », Figures de la psychanalyse, vol. 9, no 1,‎ , p. 97 (ISSN 1623-3883 et 1776-2847, DOI 10.3917/fp.009.0097, lire en ligne, consulté le )
  7. Roy, Sylvie, 1962-, Jeunes filles enceintes et mères adolescentes : un portrait statistique, [Ministère de l'éducation], (ISBN 2-550-38599-3 et 978-2-550-38599-8, OCLC 77028631, lire en ligne)
  8. Zone Divertissement- ICI.Radio-Canada.ca, « Toute la vie , le documentaire : des histoires de vraies mères adolescentes », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  9. « L'emploi et le revenu en perspective : Que sont devenues les mères adolescentes? », sur www150.statcan.gc.ca (consulté le )