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Audioslave
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Audioslave au festival de jazz de Montreux en juillet 2005
Informations générales
Pays d'origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre musical Hard rock, metal alternatif, rock alternatif, post-grunge[1]
Années actives 2001 - 2007
Labels Epic Records, Interscope
Composition du groupe
Anciens membres Chris Cornell
Tom Morello
Tim Commerford
Brad Wilk
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Logo d’Audioslave.

Audioslave est un supergroupe de rock américain formé en 2001 à Los Angeles en Californie puis dissous en 2007. Le quatuor est formé de l'ancien chanteur de Soundgarden, Chris Cornell, et des anciens membres de Rage Against the Machine, Tom Morello à la guitare, Tim Commerford à la basse et Brad Wilk à la batterie. Les critiques ont initialement décrit Audioslave comme une fusion de Soundgarden et Rage Against the Machine, mais avec le second album du groupe, Out of Exile, il a été noté qu'ils ont établi une identité séparée[2].

Leur musique est une fusion de hard rock des années 1970 et de rock alternatif des années 1990. De plus, Morello a intégré ses célèbres et peu conventionnels solos de guitare dans l'équation. Comme RATM, le groupe s'est vanté du fait que la musique de leurs albums a été produite en utilisant seulement la guitare, la basse, la batterie et le chant.

En six ans d'existence, Audioslave a sorti trois albums et reçu trois nominations aux Grammy Awards en plus d'être le premier groupe américain à jouer un concert à Cuba. Audioslave est dissous en février 2007, quand Cornell publie une déclaration annonçant qu'il quitte le groupe à cause « de conflits d'ordre personnel [ainsi] qu'à des divergences musicales ». Le reste d'Audioslave se retrouve au Coachella Festival fin avec le chanteur Zack de la Rocha pour une réunion de Rage Against the Machine.

History modifier

Les débuts (2000-2002) modifier

L'histoire d'Audioslave remonte au 18 octobre 2000 lorsque le chanteur Zack de la Rocha annonce qu'il quitte Rage Against the Machine pour cause de divergences avec les autres musiciens[3]. RATM est dissous suite au départ de de la Rocha, mais les trois autres membres du groupe — Tim Commerford, Tom Morello et Brad Wilk — décident de rester membre et de trouver un nouveau chanteur[4]. Plusieurs chanteurs jouent avec les trois, dont B-Real de Cypress Hill, mais le trio ne veut pas d'un autre rappeur ou d'un chanteur comme de la Rocha[5]. Le producteur et ami du groupe Rick Rubin a plus tard suggéré de choisir Chris Cornell, l'ancien chanteur de Soundgarden. Rubin a également persuadé le trio d'aller à une thérapie de groupe avec l'entraîneur de performance Phil Towle après la séparation[6]. Rubin est confiant que la nouvelle voix de RATM a du potentiel pour en faire un meilleur groupe ; il croit « qu'il pourrait se transformer en un scénario de Yardbirds-en-Led Zeppelin »[c 1],[7]. Commerford a plus tard crédité Rubin pour être le catalyseur qui a amené Audioslave ensemble. Il l'a appelé « l'ange à la croisée des chemins »[c 2] parce que, dit-il, « s'il n'avait pas été là, je ne serais pas ici aujourd'hui »[c 3],[6].

La chimie entre Cornell est les trois autres membres est immédiatement apparente ; Morell a décrit : « Il a fait un pas vers le microphone et a chanté la chanson et je ne pouvais pas y croire. Il ne sonnait pas seulement bien. Il ne sonnait pas génial. Il était transcendant. Et... quand il y a une chimie irremplaçable dès le premier instant, vous ne pouvez pas le nier »[c 4],[5]. Le quatuor a écrit 21 chansons en 19 journées de répétition[6] et commence à travailler en studio en mai 2001 avec Rubin en tant que producteur, tout en réglant les questions de label et de management[8].

Nom du groupe modifier

L'idée originale du nom du groupe était « Civilian » mais elle fut abandonnée lorsque les membres ont découvert que le nom était déjà pris. Morello a plus tard démenti cette version, contredisant Commerford et Cornell[9],[10] en ajoutant que « Civilian » n'était qu'une rumeur circulant à l'époque. Il réplique : « Le groupe n'a qu'un seul nom et c'est Audioslave »[11].

Morello décrit l'origine du nom « Audioslave » à LAUNCHcast comme suit[12] :

« C'est une suggestion de Chris qui lui est comme venue dans une vision. On était tous sur nos pagers et Chris, un soir, nous dit "j'ai trouvé. C'est Audioslave". On était tous genre "très bien, super"... Pour paraphraser Elvis Costello, parler de noms de groupes c'est comme danser à propos d'architecture - ça n'a pas de sens parce que le nom du groupe devient la musique et les membres.[c 5] »

Après que le nom a été annoncé, il apparaît qu'il est déjà utilisé par un groupe indépendant de Liverpool. Les deux groupes ont travaillé à un arrangement puis le groupe américain a payé 30 000 $ pour sceller une entente qui permet aux deux groupes d'utiliser le même nom. Pour éviter toute confusion, le groupe de Liverpool décide de finalement se renommer en « The Most Terrifying Thing »[12].

Le nom « Audioslave » a subi des moqueries de la part des critiques à cause de sa nature sans inspiration[13] et est vu comme l'un des pires dans le rock contemporain[14], voire de tous les temps[15]. Pitchfork Media le considère comme étant « le nom de groupe le plus idiot de l'année »[c 6],[16] et Chuck Klosterman du magazine Spin le critique comme étant « un des noms de groupe les plus stupides de l'histoire récente du rock »[c 7],[17]

Audioslave (2002-2003) modifier

Le 19 mars 2002, Audioslave a été confirmé pour la septième édition du Ozzfest, même si le groupe n'a pas encore de nom officiel ni de date de sortie pour leur premier album[18]. Quelques jours plus tard, les rumeurs disent que le groupe s'est séparé avant même de jouer en public. Le manager de Cornell a confirmé que le chanteur a quitté le groupe sans donner d'explication[19]. Sous le nom « Civilian » (ou « The Civilian Project »), treize titres de démo ont filtré sur les réseaux de partage de fichiers en pair à pair en mai 2002[20]. Selon Morello, le groupe est frustré parce que les chansons ne sont pas finalisés et dans certains cas, « n'ont pas les mêmes paroles, les solos de guitares, les performances de tout genre »[11].

Les premières rumeurs suggèrent que Cornell a contesté l'idée d'avoir deux managers impliqués dans le projet (Jim Guerinot de Rebel Waltz Recording Co. représente Cornell et Peter Mensch de Q Prime pour RATM)[21]. Selon le groupe, la séparation n'a pas été déclenchée par des conflits personnels mais par les querelles entre managers[9]. Après que le mixage de l'album est terminé, environ six semaines plus tard, le groupe se reforme et renvoie simultanément ses anciennes société de management pour en embaucher une autre, The Firm[22]. Leurs labels précédents, Epic et Interscope, règlent leur différend en sortant alternativement les albums du groupe[23].

Le groupe a divulgué son nom officiel et l'a lancé sur son site début septembre. Le premier single, Cochise, a été mis en ligne fin septembre et diffusé par les radios début octobre. Les critiques plébiscitent le style de Cornell, un départ distinct du rap de Zach de la Rocha[24] et estiment que « les anciens membres de RATM ont fait comme Paul Weller, revenant de la voie qui a fait leur succès aux sons qui les ont inspirés »[25]. Le réalisateur de clips Mark Romanek a fait une vidéo pour Cochise, vidéo qui met en scène les membres du groupe jouant sur une tour en construction pendant un feu d'artifice qui fournit tout l'éclairage. Les explosions de feux d'artifice ont fait craindre une attaque terroriste aux résidents de Sepulveda Dam, le lieu du tournage, proche de Los Angeles[26].

Le premier album, intitulé Audioslave, sort le 19 novembre 2002 et atteint la septième place du Billboard 200 après avoir été vendu à 162 000 exemplaires durant la première semaine[27]. Il est certifié disque d'or par la RIAA moins d'un mois après la sortie[28] puis est certifié triple platine en 2006[29]. C'est la plus grande réussite pour un album d'Audioslave à ce jour, vendu à plus de trois millions d'exemplaires aux États-Unis seulement. Malgré son succès commercial, Audioslave reçoit des critiques mitigés. Certains critiques jugent les efforts du groupe dénués d'inspiration[30] et prévisibles[31]. Pitchfork Media félicite Cornell pour la voix, mais critique pratiquement tous les autres aspects de l'album, qualifiant les paroles de « charabia complet » et la production de Rubin de « produit rock-like synthétisé qui n'émet aucune flamme »[16]. D'autres critiques ont, contrairement à Pitchfork Media, apprécié le style du supergroupe qui constitue une réminiscence au rock des années 1970 et les comparent à Led Zeppelin et Black Sabbath[32],[33], ils ont également dit qu'ils ont créé un son indispensable et un style de mainstream rock contemporain[34].

Audioslave fait ses débuts en concert le 25 novembre 2002, jouant brièvement sur le toit du théâtre Ed Sullivan à Broadway dans la ville de New York pour l'émission The Late Show with David Letterman. C'est la première fois qu'un groupe joue sous le patronage de Letterman[35]. Cette année-là, KROQ Almost Acoustic Christmas organise leur premier concert payant officiel : le groupe joue le 7 décembre, après avoir donné un spectacle privé le soir précédent[36]. Vers la fin, alors que le groupe a joué six chansons, Cornell dit au public : « Ces gars m'ont sauvé la vie cette année »[37] et le concert finit par une accolade de la part de ses compagnons de groupe[38]. Par la suite, alors qu'on lui demande de préciser ses sentiments, il dit seulement qu'il a traîné le trio « sur un sentier de merde » au cours des mois précédents[37].

Pendant ce temps, une rumeur dit que Cornell subit une cure de désintoxication. Il a plus tard confirmé, dans un entretien accordé à Metal Hammer mené d'un téléphone public dans une clinique[10]. Dans un article de San Diego CityBEAT, Cornell explique qu'il a traversé une « horrible crise personnelle » durant le premier enregistrement, passant deux mois en cure de désintoxication séparé de son épouse[39]. Il a mentionné que Morello, Commerford et Wilk l'ont aidé à surmonté sa période difficile. Il a démenti les rumeurs disant qu'il était en cure de désintoxication pour addiction à l'oxycodone et l'héroïne mais quand on l'interroge sur la question, il répond « diverses choses. Je ne suis pas pointilleux. Surtout pour boire »[37],[40].

Like a Stone, le deuxième single d'Audioslave, sort début 2003. Il est le single ayant le classement le plus élevé de l'album, prenant la première place dans les classements Mainstream Rock Tracks et Modern Rock Tracks de Billboard magazine[41]. Il est certifié disque d'or par la RIAA, et est le single d'Audioslave qui a connu le plus de succès[29]. La chanson a été écrite par Meiert Avis. L'action se déroule dans une maison de Los Angeles alors que Jimi Hendrix écrit Purple Haze. Le clip utilise l'espace négatif pour invoquer la mémoire du passé des musiciens. Le clip du troisième single, Show Me How to Live, a été banni de MTV ; il met en scène le groupe dans une course-poursuite entre une voiture à haute vitesse et des voitures et motos de police[42]. Le premier DVD du groupe, Audioslave, sort le 29 juillet 2003. Le groupe effectue une tournée mondiale en 2003, profitant des critiques positives sur leurs performances en concert[43], incluant le festival Lollapalooza qui vient de renaître[44].

Out of Exile (2004-2005) modifier

En 2004, Audioslave est en lice pour la 46e cérémonie des Grammy Awards : Like a Stone est nommée pour la meilleure performance hard rock et Audioslave pour le meilleur album de rock[45]. Ils prennent le reste de l'année 2004 pour faire une pause dans les tournées et travailler sur le deuxième album. Ceci donne à Morello le temps de se concentrer sur son projet solo, The Nightwatchman, et ainsi prendre une part active à la vie politique. Cornell se concentre sur sa vie personnelle ; après un divorce avec sa première épouse, il se marie avec Vicky Karayiannis, une publiciste de Paris que Cornell a rencontré durant la première tournée européene d'Audioslave[39].

Le travail sur le nouvel album débute en 2003 durant la tournée Lollapalooza[46] et continue à la fin de l'année quand les membres du groupe entrent en studio. Mis à part le nouveau matériel écrit, le groupe a certaines bribes de chansons venant des sessions d'Audioslave ; selon Morello, ils ont « presque un autre album qui vaut la peine [d'être sorti] »[26]. Be Yourself, le premier single de l'album, toujours sans nom, est mal perçu par les critiques, qui qualifient la chanson de « boiteuse, aux paroles insipides et sans direction »[47]. Néanmoins, il atteint le numéro (???) dans les classements Mainstream et Modern Rock[41].

En avril 2005, le groupe lance une tournée des petits clubs qui dure jusqu'à fin mai. Bien que lors des tournées précédentes, Audioslave a joué occasionnellement des reprises, ils ont délibérément évité de jouer des morceaux issus de leurs anciens groupes afin de ne pas utiliser ces chansons comme « une béquille destinée à vendre et faire percer Audioslave, leur objectif étant d'établir le groupe comme une entité indépendante »[48]. Après avoir atteint cet objectif, ils estiment qu'il est « temps de s'approprier ces histoires » et commencent à jouer en tournée une sélection des chansons les plus populaires des deux groupes[48].

Le deuxième single, Your Time Has Come, connaît une promotion unique à sa sortie, durant une semaine qui implique des auditeurs radio du monde entier[49]. Les stations de radios ont été invitées à publier sur leurs divers sites internet un lien permettant, pour une durée limitée, de déverrouiller le téléchargement gratuit de la chanson. Après que le lien a été visité par un million de personnes, la chanson est devenue accessible à tous ceux qui avaient participé.

Le 6 mai 2005, Audioslave donne un concert gratuit à La Havane, le centre économique de Cuba, devant 50 000 personnes à La Tribuna Antiimperialista José Martí, construite en 2002 pour les manifestations contre le gouvernement des États-Unis[50]. Audioslave devient le premier groupe de rock américain à jouer en plein-air dans la république socialiste de Cuba. Accompagné d'une équipe de tournage, le groupe quitte La Havane le 4 mai pour passer deux jours à visiter des sites historiques et échanger avec des musiciens et de jeunes Cubains[51]. Morello et le reste du groupe insistent sur le fait que ce voyage n'est pas à prendre comme un manifeste politique, mais comme leur part dans un échange culturel. Cornell commente : « nous espérons que ce concert aidera à ouvrir les frontières musicales entre nos deux pays »[52]. Le voyage est organisé avec les autorisations conjointes du Département du Trésor des États-Unis et l'Instituto Cubano de la Musica (Institut Cubain de la Musique)[53], les trajets de citoyens américains vers Cuba étant restreints, mais l'autorisation arrive avec tant de retard que le groupe est contraint d'annuler ou repousser plusieurs dates de sa tournée américaine[52]. Le concert, qui compte 26 morceaux dont plusieurs de Soundgarden et Rage Against the Machine, est le plus long que le groupe a jamais donné[52].

Le deuxième album Out of Exile sort internationalement le 23 mai, un jour avant la sortie américaine. L'album débute au sommet du Billboard avant de descendre au troisième rang la semaine suivante, les ventes ayant chuté de 62 %[54]. Il est tout de même certifié disque de platine[55]. Cornell admet, en écrivant ses chansons les plus personnelles de l'album, avoir été influencé par les changements positifs survenus dans sa vie depuis 2002[56]. Il a également décrit l'album comme étant plus varié que le premier et dépendant moins des riffs de guitare[39].

L'album est mieux accueilli que le premier opus ; les critiques notent la voix plus puissante de Cornell, bénéficiant vraisemblablement du fait qu'il a arrêté de fumer et de boire[57] et soulignent que la chanson Out of Exile est « le son d'un groupe qui se définit »[58]. Allmusic, qui a donné une note mitigée au dernier album, dit de celui-ci qu'il est « sec, dur, fort et mémorable »[59]. Les paroles sont toutefois peu appréciées. Le site MusicOMH.com considère que les paroles de Cornell « continuent à tourner au ridicule »[60] ; l'approche plus douce et plus lente de l'album est elle aussi fréquemment critiquée[60][61].

Suite à la sortie de l'album, le groupe part pour une tournée européenne et joue entre autres au Live 8, un concert caritatif donné à Berlin le 2 juillet 2005 et fait sa première tournée des grands stades nord-américains de septembre à novembre. Le clip Doesn't Remind Me, le troisième single de Out of Exile est mis en ligne en septembre 2005. Le deuxième DVD d'Audioslave, Live in Cuba, présentant leur concert à La Havane, sort le 11 octobre 2005. Il est certifié disque de platine en moins de deux mois[29].

Revelations, dissolution et activités suivantes (2006–2007) modifier

In December 2005, Audioslave received its third Grammy nomination at the 48th Grammy Awards in the "Best Hard Rock Performance" category for "Doesn't Remind Me."[62] Audioslave began recording their next album; Cornell had already expressed his desire to make "an album every year or year-and-a-half" even before Out of Exile was released.[63] In early July 2005, after the conclusion of the European tour, the band returned to the studio to write new songs; Morello said their aim was to "blur the lines between rehearsing, recording and touring."[64] The actual recording began in January 2006, with plans to release the album, Revelations in June.[65] This time, the band chose Out of Exile's mixer, Brendan O'Brien as producer.

Audioslave had 20 songs written and recorded 16 of those in only three weeks.[66] However, the album's release date was postponed to early September, and the band cancelled their previously announced European tour, to have a new album to support, when they embarked on touring.[67] The first single off the album, "Original Fire", was made available online on Audioslave's official website for free streaming in early July.

News about Cornell's departure emerged in July 2006, when insiders stated that after the third album he would split for a solo career. The singer immediately denied the rumors, stating "We hear rumors that Audioslave is breaking up all the time. ... I always just ignore [them]."[68] In the same interview, he also discussed his intentions to record a new solo album, the second in seven years, before the end of August.

A special marketing campaign preceded the new album's release in August, when the art concept was featured on Google Earth as a fictional utopian island, Audioslave Nation, created in the South Pacific. Several songs from the upcoming album appeared on movie and video game soundtracks; "Wide Awake" and "Shape of Things to Come" were featured in Miami Vice, while "Revelations" was on the soundtrack of Madden NFL 07.[69] Revelations was released on September 5, 2006. The album entered the Billboard 200 at No. 2 and sold 142,000 copies during its first week of release.[70] It became the band's least commercially successful album; dropping even faster than Out of Exile, its sales were down 65 percent the following week,[71] achieving gold certification a month later.[29] The album showed funk, soul and R&B influences that were non-existent for the band before; Morello referred to the new sound as "Led Zeppelin meets Earth, Wind & Fire."[66] Additionally, several songs took a more overtly liberal political stance than previous Audioslave releases.

The album received a similar critical response to Out of Exile with the majority of reviewers praising the band's integrity on the record.[72] The new funk and soul influences were also welcomed favorably, Allmusic called the album Audioslave's "most colorful, diverse, and consistent record yet."[73] Many others, however, saw it as "just another rock record,"[74] and musically not much different from the previous album[75].

Cornell decided to delay the Revelations tour until 2007, because he wanted to "let the album come out for awhile" and also concentrate on his second solo album.[76] The rest of the band went along; Morello also revealed his plans to release his debut solo album in early 2007. The second, and final single from the album, "Revelations" was released in October 2006 with an accompanying music video a month later.

On January 22, 2007, Rage Against the Machine was announced to reunite for one show only, at the Coachella Valley Music and Arts Festival, on April 29, 2007. Less than a month later, on February 15, 2007, Cornell officially announced his departure from Audioslave, issuing this statement:[77]

Due to irresolvable personality conflicts as well as musical differences, I am permanently leaving the band Audioslave. I wish the other three members nothing but the best in all of their future endeavors.

He stated that, as far as he was concerned, Audioslave had disbanded, and that a greatest hits collection would be issued in the future, because of label commitments.[77] The New York Post reported that according to sources the split was not about "irresolvable personality conflicts" but about the money, a friend of Cornell said: "Chris was unhappy with the financial arrangement within the group—he wrote all the music, yet the other three bandmates took an equal share in the multimillion-dollar publishing rights."[78]

Morello has said that he never officially heard and still has not heard from Cornell that he was leaving the group.[79] Cornell countered: "Tom and I did have communications about the fact that I was gonna go make a record, and that I was tired of what ended up seeming like political negotiations toward how we were gonna do Audioslave business and getting nowhere with it."[80] He also added that this process of "doing Audioslave business" led him to go solo[80].

Cornell admits that he has not spoken to the other members of Audioslave since the breakup. He has said that the breakup was not about money, but that he was just not getting along with the other members during their later years. Said Cornell, "Getting along as people is one thing. Getting along as a group of people that can work together in a band situation...We weren't particularly getting along well, no. Bands work in a way where everyone at some point has to have a similar idea of how you do things...Three albums into it, it started to seem like our interests weren't as conjoined anymore."[81]

In 2011, Cornell revealed further information about the band's breakup; "Personally a lot of it was me trying to land on my feet again. I went through a lot of personal turmoil right around the time Audioslave formed and unfortunately I think that affected the band a little bit in terms of me not really being grounded.... I think there was stuff that could have been resolved, and there was drama that was probably unnecessary, typical rock band stuff. I certainly played a role in it. I definitely feel like I was part of a lot of unnecessary stuff. It didn't need to become what it became. You learn with experience."[82]

In 2012, Tom Morello said that unreleased material that was not on the three albums could could be released in the future at an unspecified point[83].

Both Rage Against the Machine and Soundgarden have reformed since Audioslave's breakup. Rage Against the Machine has performed at several live venues and other festivals since its initial performance at the Coachella Music Festival in April 2007, although the band currently has no plans to make a new album. Soundgarden announced a reunion in 2010 and recorded a new album, King Animal, which was released in November 2012.

Musical style and influences modifier

By combining '70s style hard rock riffing with alternative rock, Audioslave created a distinctive sound.[84] This mix was driven by Cornell's wide vocal range,[85] Morello's innovative guitar solos and the rhythm section of Wilk and Commerford.[86] Morello, although stating he "never felt musically limited" in Rage Against the Machine, did say that he had "a lot more scope to explore with Audioslave" and a "wider musical territory."[87] This meant that the instrumentalists had the opportunity to write slow and melodic songs, something they had not done before.

As opposed to de la Rocha's lyrics, Cornell's were mostly apolitical; Morello referred to them as "haunted, existential poetry."[88] They were characterised by his cryptic approach, often dealing with themes of existentialism,[84] love, hedonism,[89] spirituality and Christianity.[88] Audioslave's first two albums drew influences from 1970s hard rock such as Led Zeppelin and Black Sabbath and from the members' previous bands (the grunge sound of Soundgarden and the funk metal sound of Rage Against the Machine).[90] For Revelations, which was influenced by 1960s and '70s funk, soul and R&B music, Morello used vintage guitars and amplifiers and Cornell adopted his "seventies funk and R&B-flavor vocals."[91] The guitarist also cited Sly & the Family Stone, James Brown and Funkadelic as a reason for the funk overtones on the album[92].

Just as Rage Against the Machine did, Audioslave also included the statement "All sounds made by guitar, bass, drums and vocals" in their albums' booklets as Morello's guitar work often caused listeners to believe that the band used samples, synthesiser effects or different turntable techniques to produce certain sounds[93].

Songwriting and recording process modifier

All of Audioslave's lyrics were written by Cornell, while all four members—as a band—were credited with writing the music. Their songwriting process was described by Wilk as "more collaborative" and "satisfying" than Rage Against the Machine's, which was "a battle creatively."[94] Cornell also felt the same way; he saw Soundgarden's songwriting method inferior to Audioslave's.[94] Rick Rubin, producer of the band's first two albums, was also lauded as "a great collaborative partner" and was likened to "the fifth Beatle" by Tom Morello[95].

The time spent on songwriting by the band was always short. They wrote 21 songs in 19 days for the first album and exceeded that rate for the second album by having a song or sometimes two written every day.[96] This method was adopted for the third album as well[97].

Cornell's battle with drug addiction and alcoholism was a defining factor in the writing and recording process of the debut album. The singer admitted that he was "never able to write effectively" while drinking,[98] and attended rehab after recording Audioslave. Although Morello stated that Revelations was "the first record [Cornell] didn't smoke, drink or take drugs through the recording," he later clarified his statement by saying: "Chris was stone sober during the making of our Out of Exile album. Chris was also sober during the making of Revelations and prior to recording he gave up smoking as well."[99]

Opinions politiques modifier

While Rage Against the Machine's music was politically influenced, Audioslave's music was mostly not. Cornell stated he did not want to become the new singer of Rage Against the Machine or any political band, but he would play benefits the other band members wanted to play.[100] Despite his reluctance to write political lyrics, he himself never discounted the possibility; he already touched upon political issues in Audioslave's "Set It Off"—a song inspired by 1999's WTO riots (the "Battle of Seattle")[101]—then later wrote an anti-war song, "Sound of a Gun," and what Morello called "the most political song Audioslave's ever written," "Wide Awake" for Revelations.[66]. La chanson Wide Awake est une attaque à l'échec de l'administration Bush pour agir sur les conséquences de l'ouragan Katrina.

Le groupe s'oppose ouvertement à George W. Bush ainsi qu'à la Guerre d'Irak depuis le début ; le 17 mars 2003, seulement quelques heures après que Bush ait annoncé les plans pour envahir l'Irak, le groupe organise un concert à Hollywood avec les messages « How many Iraqis per gallon? » et « Somewhere in Texas, a Village is Missing an Idiot » défilant à travers la scène[102]. Le clip Doesn't Remind Me est également une critique à la guerre d'Irak. Wilk a appellé Bush comme un « putain d'arnaqueur » dans une entrevue, critiquant la justification de l'administration Bush pour la guerre en Irak[103].

During the time of the second album's release several politically charged Rage Against the Machine songs resurfaced in Audioslave's live set. Although the members committed to not making political statements during their Cuba tour, Commerford stated in an interview that the concert made Audioslave more politically active than Rage Against the Machine ever was.[104] While in Cuba, Cornell said that he takes "every aspect of human life" into consideration, when it comes to writing lyrics, and that he would write about the experience in a song, or more songs.[51] This culminated in the political influences on Revelations, although he did not write about Cuba specifically. He asserted that he felt Audioslave can be a band like U2, which is "not overtly political, but Bono gets a lot done."[51] That year, the band played at two more concerts organized to raise political awareness: Live 8, which aimed to end global poverty, and the Hurricane Katrina benefit concert, ReAct Now: Music & Relief.

Audioslave a été largement impliqué dans dans l'Axis of Justice, une organisation à but non lucratif fondé par Morello et Serj Tankian, chanteur de System of a Down, « pour rassembler musiciens, amateurs de musique et politiciens afin de lutter pour la justice sociale »[105]. Axis of Justice tents were set up at almost every Audioslave show, and with the exception of Commerford all band members appeared on the Concert Series Volume 1 CD/DVD charity album released in 2004.

Membres modifier

Discographie modifier

Notes et références modifier

Citations originales modifier

  1. « it could turn into a Yardbirds-into-Led Zeppelin scenario. »
  2. « the angel at the crossroads »
  3. « if it wasn't for him, I wouldn't be here today. »
  4. « He stepped to the microphone and sang the song and I couldn't believe it. It didn't just sound good. It didn't sound great. It sounded transcendent. And...when there is an irreplaceable chemistry from the first moment, you can't deny it. »
  5. « That was Chris's suggestion that sort of came to him in a vision. We're all on the two-way pagers, and Chris one night said, "I got it. It's Audioslave." We were all, like, "All right, fantastic." ... To paraphrase Elvis Costello, talking about band names is like dancing about architecture—there's just no point in it because the band name becomes the music and the people. »
  6. « most asinine bandname of the year »
  7. « one of the dumbest band names in recent rock history. »

Références modifier

  1. (en) « Audioslave » (Identifiant audioslave-mn0000040743 peu probable - vérifier et adapter, SVP), sur AllMusic
  2. « Slave New World » (version du sur Internet Archive)
  3. « Le chanteur Zack De La Rocha quitte Rage Against The Machine », sur TVA Nouvelles, (consulté le )
  4. (en) « Rage Against the Machine » (Identifiant rage-against-the-machine-mn0000863790 peu probable - vérifier et adapter, SVP), sur AllMusic
  5. a et b (en) Corey Moss et Heather Parry, « Audioslave: Unshackled, Ready To Rage », sur MTV (consulté le )
  6. a b et c O'Brien, Clare. "Pushing Forward Back." Zero Magazine. September 7, 2005, Iss. 1.
  7. (en) David Fricke, « The Last Days of Rage? », sur Rolling Stone, (consulté le )
  8. (en) « Rage And Cornell To Enter Studio Next Week » (version du sur Internet Archive)
  9. a et b (en) Corey Moss et Heather Parry, « Audioslave: Unshackled, Ready To Rage (cont.) », sur MTV (consulté le )
  10. a et b Ewing, Jerry. "Straight Outta Rehab." Metal Hammer. December 2002, Iss. 108.
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