Utilisateur:Polaert/IEDES
Les diplômés de l'IEDES ont des professions à responsabilités variées et évolutives dans[1] :
- des structures internationales : Union européenne, Banque mondiale, OCDE, Organisation internationale du travail, agences des Nations Unies… ;
- des institutions nationales : organismes de coopération bilatérale de type Agence française de développement (AFD), ministères … ;
- des organisations de solidarité internationale - ONG ;
- le secteur privé : agences d’expertise, banques, entrepreneuriat social … ;
- le milieu de la recherche sur le développement.
Histoire modifier
Origines modifier
Trajectoire - chronologie modifier
Personnalités de l'IEDES modifier
Directeurs de l'IEDES modifier
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1960-1969 François Perroux économiste hétérodoxe, premier titulaire de la Chaire d’analyse des faits économiques et sociaux du Collège de France. -
1969-1973 Jean-Jacques Juglas géographe économiste, ministre de la France d'Outre-mer en 1955 sous Pierre Mendès France. -
1973-1982 Charles Morazé historien, président de la Commission internationale pour l'histoire scientifique et culturelle de l'UNESCO. -
2006-2013 André Guichaoua sociologue, expert du bureau du procureur du Tribunal pénal international.
2006-2013 André Guichaoua sociologue, expert du bureau du procureur du Tribunal pénal international.
Présidents du conseil d'administration de l'IEDES modifier
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1973 - 1979 Stéphane Hessel Ambassadeur auprès de l'ONU, auteur du manifeste Indignez-vous ! paru en 2010. -
2011-2013 Jean-Michel Severino Directeur général de l'Agence française de développement de 2001 à 2010. -
depuis 2013 Marie-Hélène Aubert conseillère pour les négociations internationales climat et environnement du président de la République François Hollande.
Anciens élèves de l'IEDES modifier
Cursus II° cycle : Master pro Etudes du développement modifier
L’IEDES délivre aux niveaux M1 et M2, un diplôme de master intitulé Études du développement, mention unique en France[2].
Ce master est à la fois interdisciplinaire et spécialisé.
L’IEDES entend décloisonner les disciplines universitaires, le dialogue entre sciences sociales et économiques est impératif. Quel que soit le parcours du master, les étudiants suivent un tronc commun pluridisciplinaire, dispensé lors du premier semestre du M1[2].
À l’issue du premier semestre, la promotion intègre par classe de 20 à 25 étudiants[3] des parcours spécialisés qui se poursuivent en M2. Ces parcours au nombre de six sont à dominante « économie et gestion » ou « sciences humaines et sociales ».
Les cours sont assurés par des universitaires, des professionnels, des experts internationaux spécialisés sur les problématiques du développement. Les enseignements alternent théorie et pratique avec des exercices de simulations : montage de projets, réponse à appels d’offre, diagnostics...[2] Comme tout master pro, les étudiants M2 consacrent leur dernier semestre à un stage professionnel de 3 à 6 mois, sanctionnant leur diplôme.
En 2011, il était estimé que[4] :
- 80 % des étudiants IEDES trouvent un emploi dans l’année qui suit l’obtention du diplôme ;
- 60 % occupent des postes de cadres ;
- 45 % travaillent hors de France.
La formation ne peut pas être suivie à distance ou en alternance[3].
Six parcours pro et recherche enseignés modifier
Master pro « économie et gestion » modifier
EPOLPRO modifier
Le parcours Expertise économique en politiques et projets de développement (EPOLPRO) forme des professionnels du développement aux diagnostics, à l'évaluation, à l'élaboration d'actions de développement pour des organisations du Nord et du Sud[5], avec un souci éthique de rationalisation des dépenses et de transparence[6].
Au premier semestre du M2, EPOLPRO se subdivise en deux parcours :
- le parcours « politiques publiques » : les étudiants appliquent des exercices de modélisation en équilibre général, de micro-simulation, d’évaluations micro-économétriques ;
- le parcours « projets de développement » : les étudiants sont familiarisés aux différents types de cycle de projets, à l'évaluation de projets dans des domaines aussi bien financiers, sociaux qu’environnementaux[7].
En dépit de cette subdivision, tous les diplômés EPOLPRO sont formés aux bases de ces deux champs.
Quelques employeurs de diplômés EPOLPRO[5] |
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Consulting : Accenture, Asdo, Expectra, Team Trade |
Coopération internationale : Commission européenne, AFD, ONUDI, PNUD, Société financière internationale (IFC) |
ONG : Agence d'aide à la coopération technique et au développement (ACTED), Première Urgence - Aide Médicale Internationale (PU-AMI) |
Banques et finance : AXA, BNP |
Administration publique : Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie |
AGRI modifier
Le parcours Développement agricole et politiques économiques (AGRI) vise à former des agro-économistes sensibles aux enjeux de souveraineté et de sécurité alimentaires, enjeux primordiaux pour la stabilité du monde.
Le parcours AGRI aide les étudiants à comprendre le fonctionnement, les forces et faiblesses des politiques agricoles menées dans les pays développés ou en développement.
Le parcours permet d’acquérir une connaissance sur la dynamique des systèmes agraires, le fonctionnement des marchés agricoles à l’échelle locale ou internationale, l’évaluation de projets agricoles notamment les impacts socio-économiques et environnementaux[8].
Quelques employeurs de diplômés AGRI[8] |
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Consulting : GRET, Institut de recherche et d'applications des méthodes de développement (IRAM) |
Coopération internationale : EuropeAid, AFD, FAO, PAM, Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR) |
ONG : Oxfam France, Agronomes et Vétérinaires sans frontières, Association pour l'Amélioration de la Gouvernance de la Terre, de l'Eau et des Ressources naturelles (AGTER), Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) |
Chambres professionnelles d’agriculture nationales ou locales |
Administration publique : Ministère des Affaires étrangères |
Master pro « sciences humaines et sociales » modifier
LOCAL modifier
Le développement local est devenu une échelle d’intervention incontournable dans les pays en voie de développement. Cette échelle d’action est un moyen de renforcer l'efficacité des projets de développement afin de répondre au mieux aux attentes des groupes ciblés.
Le parcours Développement local : acteurs, mobilisations et territoires (LOCAL) entend former les étudiants à :
- différentes problématiques du local : décentralisation, urbanisation, gestion des terres dans les zones rurales... ;
- différentes logiques des acteurs locaux : opérateurs publics ou privés, médias, mobilisation citoyenne… ;
- des outils méthodologiques professionnalisant : diagnostic, gestion de projets...[9].
CRISES modifier
Le parcours Crises, interventions d’urgence et actions de développement (CRISES) aspire former des professionnels capables de conduire des programmes d’action d’urgence et de développement dans des situations de crise ou post-crise.
Ces crises peuvent résulter de conflits internationaux, de guerres civiles, de catastrophes naturelles, de chocs économiques et sociaux, de la déliquescence de l’État.
A travers l’étude de cas actuels ou passés, les enseignements poussent à la réflexion sur des situations où l’intervention non coordonnée a conduit à des stratégies diversifiées parfois contradictoires et non efficientes. Les étudiants de CRISES sont ainsi former à diagnostiquer, identifier les moyens pertinents et mobilisables pour répondre à une crise, « panser », prévenir la résurgence de crises[10].
Quelques employeurs de diplômés CRISES[11] |
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Consulting : Institut de recherche et d'applications des méthodes de développement (IRAM), Société française de réalisation et de construction (SOFRECO) |
Coopération internationale : Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), AFD, Direction générale de l'aide humanitaire de l’UE (ECHO), Comité international de la Croix-Rouge (CICR) |
ONG d’urgence : Médecins du monde (MDM), Handicap International, Médecins sans frontières (MSF), Aide médicale internationale (AMI), Solidarités International |
ONG de développement : Amnesty International, Oxfam France, Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD), Secours populaire français, Enfants Refugiés du Monde, AFRANE |
Fondations et réseaux : Fondation pour le progrès de l'Homme (FHP), Coordination SUD, Confédération européenne des ONG de développement et d'urgence (CONCORD), COMPAS Qualité, Comité de liaison des ONG de volontariat (CLONG - Volontariat), Alternatives |
Administration publique : Ministère des Affaires étrangères, Office des migrations internationales |
SOCIAL modifier
Le parcours Développement social et économique : travail, formation, santé (SOCIAL) forme des professionnels aux problématiques liées à la pauvreté, vulnérabilité, inégalités de genre, chômage, exclusion sociale… Le parcours SOCIAL s'intéresse aux relations de travail dans un contexte de mondialisation, aux programmes et projets menés au niveau local, national ou international dans les domaines de l’éducation et de la santé[12].
Les étudiants apprennent à :
- évaluer des opérations de développement avec un souci éthique de développement social équitable, de renforcement de la capacité des populations ciblées.
- rechercher des solutions, des synergies positives entre développement humain et mutations socio-économiques[13].
Quelques employeurs de diplômés SOCIAL[14] |
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Consulting : Institut de recherche et d'applications des méthodes de développement (IRAM) |
Coopération internationale : Commission européenne, AFD, UNESCO, PNUD, OMS, BIT, Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), |
ONG menant des projets éducatifs et sociaux dans les pays en voie de développement |
Administration publique : Centre international d'études pédagogiques (CIEP), Direction générale de la mondialisation du développement et des partenariats du Ministère des Affaires étrangères, parlements français et européen, Office des migrations internationales. |
Master Recherche modifier
Le parcours Recherche : sociétés en développement proposé en M2 dit aussi « M2R » prépare aux métiers de la recherche mais également à des postes de responsabilité dans les organismes de coopération internationale.
Les étudiants M2R sont invités à comparer les politiques de développement élaborées dans les bureaux avec les pratiques de terrain (mobilisation des groupes ciblés, compromis…)[15]. À cette fin, à l’instar des M2 parcours professionnels, à partir de février, les étudiants du M2R sont libérés des enseignements et doivent réaliser un terrain de 3 à 4 mois[16]. Des bourses d'aide au terrain ont été mises en place[17].
Le parcours M2R partage avec le master Etude comparative du développement de l’EHESS un séminaire commun[17].
Quelques employeurs de diplômés M2R[18] |
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Instituts de recherche : IRD, CNRS |
Coopération internationale : Union européenne, AFD, Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), Direction du développement et de la coopération suisse (DDE), UNESCO, BIT |
Administration publique : Ministère des Affaires étrangères |
Admissions au master modifier
Ce master s’adresse aux :
- formations initiales, autrement dit aux étudiants diplômés d’une licence ou équivalent recherchant une spécialisation académique et professionnelle consacrée aux politiques et actions de développement dans le Sud ou dans le Nord ;
- formations continues, c'est-à-dire aux professionnels du développement, souhaitant parfaire ou actualiser leurs connaissances générales, cherchant à innover dans leurs pratiques professionnelles[1].
La tendance dans le recrutement est la suivante[3] :
- 25% sont diplômés d’une licence de science humaine ;
- 20% sont titulaires d’un diplôme d’études politiques ;
- 20% sont diplômés en économie (licence ou école de commerce) ;
- 35% sont des ingénieurs, techniciens agronomes ou diplômés d'autres parcours (droit...).
Une condition essentielle à l'admission est que le candidat manifeste dans sa lettre de motivation et son CV, une connaissance préalable et un intérêt particulier pour les questions de développement[19]. Le master est sélectif, seules 10% environ des candidatures sont retenues[20].
Des entrées en M2 sont possibles pour des candidats ayant un bagage de connaissances et des diplômes équivalents au M1 de l’IEDES[2].
Cursus III° cycle : Doctorat - UMR Développement et sociétés modifier
Laboratoire codirigé avec l'IRD modifier
Depuis 2008, le centre pluridisciplinaire de recherche de l’IEDES pilote avec l’Institut de recherche pour le développement (IRD) l’unité mixte de recherche Développement et sociétés (UMR D&S).
L’UMR D&S est la plus importante unité de recherche française travaillant sur les questions économiques et sociales des pays du Sud. L’IEDES héberge la cinquantaine de doctorants sur le site du Jardin tropical de Paris dans un bureau équipé qui leur est réservé[21].
Outre les problématiques classiques, l’UMR D&S propose des thématiques innovantes[22] :
- « éthiques » portant sur la structuration de l’opinion publique et internationale, la promotion de la protection sociale, les tribunaux pénaux internationaux, etc. ;
- liées aux activités professionnelles délictuelles ou criminelles : industrie de la contrefaçon, trafics sur les biens et les personnes, etc. ;
- relatives aux formes de violences comme les guerres et génocides.
Grâce à l’IRD, le laboratoire de recherche de l’IEDES dispose d’un appui solide à la recherche : affectations à l’étranger, missions de longue durée, accueils d’enseignants-chercheurs, bourses doctorales et postdoctorales, etc.[23]
Cadre de recherches modifier
Les candidats réalisent leurs travaux sous l’autorité de leur directeur de thèse. Les travaux engagés peuvent être individuels ou collectifs. La durée usuelle de préparation du doctorat est de trois ans[24].
Des ateliers accompagnent les doctorants tout au long de leur recherche. L’IEDES et son laboratoire comptent actuellement 19 chercheurs et enseignants-chercheurs[25].
Doctorat en sciences économiques modifier
Doctorat en sciences sociales modifier
Admissions modifier
L'inscription en doctorat au sein de l'UMR nécessite d’être titulaire soit[26] :
- d'un master recherche avec a minima une mention « assez bien » ;
- d’un master professionnel avec a minima une mention « bien » ;
- d’un diplôme étranger équivalent au master.
Ensuite l'inscription requiert l'accord d'un chercheur pour diriger la thèse. Actuellement, le laboratoire de l’IEDES compte quatre chercheurs habilités à diriger des thèses[26] :
- Tania Angeloff, professeur des universités en sociologie ;
- Sarah Ben Nefissa, docteur en droit public habilitée à diriger des recherches en sciences politiques ;
- Roser Cussó, professeur des universités en sociologie ;
- Alain Desdoigts, professeur des universités en économie.
Organisation modifier
UFR15 de l'Université Panthéon-Sorbonne Paris1 modifier
Autonomie administrative modifier
L’IEDES est un département de l’Université Panthéon-Sorbonne, il correspond à l’UFR15 de Paris1. Les diplômes délivrés par l’IEDES sont de fait des diplômes délivrés par Paris1. À ce titre, l’IEDES est placé sous la triple autorité du conseil d’administration, du conseil scientifique et du conseil des études et de la vie universitaire de Paris1[23].
L’Institut dispose néanmoins d’une large autonomie de par ses statuts[23].
Le pilotage des six parcours du master Etudes du développement se fait au niveau de l’Institut par le biais de plusieurs instances[3] :
- La direction de l’IEDES
- Le directeur et son équipe assure la cohérence d’ensemble des différents parcours du master, nomme les responsables des spécialités.
- Depuis novembre 2013, la direction de l'IEDES est assurée par la sociologue Anne Le Naëlou.
- Le conseil de l’enseignement et de la recherche (CER) de l’IEDES
- Le CER est convoqué plusieurs fois par an, les étudiants élus y participent. Les enseignements et leurs évolutions y sont discutés.
- Le conseil d’administration (CA) de l’IEDES
- Le CA complète et entérine les résolutions discutées par le CER. Le CA se compose du CER et de quatre personnalités extérieures, dont son président.
- Depuis novembre 2013, la présidence du CA de l'IEDES est assurée par Marie-Hélène Aubert, actuelle conseillère pour les négociations internationales climat et environnement du président de la République François Hollande.
- Le comité d’orientation stratégique (COS) de l’IEDES
- Créé en 2011 le COS est un organe consultatif de l'IEDES regroupant des personnalités issues du développement et aidant l'IEDES à élaborer son programme stratégique.
- Depuis 2011, la présidence du COS est assurée par Emmanuel Faber, directeur général de Danone.
Les activités de recherche de l’UMR D&S sont quant à eux dirigées par un conseil de laboratoire. Ses membres sont élus, à l’exception de son directeur lequel est nommé après concertation par les présidents de l’Université Paris 1 et de l’IRD[23].
Financements modifier
Promotion de la langue française modifier
Réputation académique modifier
Partenariats internationaux modifier
Réseaux et connections modifier
Mobilité internationale en vigueur modifier
Tiers-Monde revue scientifique modifier
Vie étudiante modifier
Campus du Jardin tropical de Paris modifier
Lieu de rencontres : les conférences modifier
Association des études et du développement modifier
Notes et références modifier
Notes modifier
Références modifier
- IEDES 2011, p. 18
- IEDES 2011, p. 17
- AERES 2013, p. 2
- IEDES 2011, p. 20
- Marouani et Lanzarotti 2012, p. 2
- Marouani et Lanzarotti 2012, p. 1
- IEDES 2011, p. 24
- Guénard 2014, p. 2
- Capitant 2014, p. 1
- Le Naëlou 2014, p. 2et3
- Le Naëlou 2014, p. 4
- Angeloff et Marazyan 2014, p. 2
- Angeloff et Marazyan 2014, p. 1
- Angeloff et Marazyan 2014, p. 3
- Cusso et Capitant 2014, p. 1
- Cusso et Capitant 2014, p. 3
- Cusso et Capitant 2014, p. 2
- Cusso et Capitant 2014, p. 5
- « « Présentation » dans Master 1 Etudes du développement », sur http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/
- AERES 2013, p. 4
- IEDES 2011, p. 12
- IEDES 2011, p. 33
- IEDES 2011, p. 45
- IEDES 2011, p. 29
- « « Présentation » dans Qui sommes-nous ? », sur http://umr-developpement-societes.univ-paris1.fr/
- « « Doctorat à l'UMR 201 » dans Enseignement », sur https://umr-developpement-societes.univ-paris1.fr
Voir aussi modifier
Sources et bibliographie modifier
Sources primaires modifier
- IEDES, Institut d’étude du développement économique et social, Paris, Université Panthéon-Sorbonne Paris1, coll. « brochure de présentation », , 50 p.
- Mohamed-Ali Marouani et Mario Lanzarotti, Expertise économique en politiques et projets de développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 9 p.
- Mohammed-Ali Marouani et Alexandre Kolev, Expertise en économie du travail et développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 4 p.
- Charlotte Guénard, Développement agricole et politiques économiques, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 15 p.
- Sylvie Capitant, Développement local : acteurs, mobilisations et territoires, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 5 p.
- Anne Le Naëlou, Crises, interventions d’urgence et actions de développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 16 p.
- Tania Angeloff et Karine Marazyan, Développement social et économique : travail, formation, santé, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 15 p.
- Roser Cusso et Sylvie Capitant, Master 2 Recherche : sociétés en développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 5 p.
Sources secondaires modifier
- AERES, Rapport d’évaluation du master Etudes du développement, Paris, AERES, coll. « Vague D – 2014-2018 Campagne d’évaluation 2012-2013 », , 15 p.