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Couverture de la revue Lit, burlándose de la censure pendant la dictature militaire (1973-1990) d'Augusto Pinochet.

Les niveaux de censure au Chili ont considérablement varié au fil du temps. La liberté de presse en Chili s'a entamé avec son Acte d'Indépendance en 1818, avec les libertés d'éducation, de commerce et de culte.

Depuis la deuxième moitié du siècle XX, la majeure période de censure dans le pays s'a habité pendant la période de la dictature militaire, correspondante à la dictature militaire d'Augusto Pinochet. Pourtant, après de la transition à la démocratie, la censure en les milieux s'est maintenue dans diverse occasions jusqu'à l'actualité.

Histoire modifier

Cologne modifier

Dans les colonies américaines s'ont établis des sièges de l'Inquisition, lesquelles ont eu à sa charge la fiscalización de la internación de livres par les posts frontaliers et des services douaniers. Les commissaires là pariés, fonctionnaires du tribunal, enregistraient les charges et des bagages des navires que débarquaient en recherche d'imprimés. Dans son Histoire du Tribunal du Saint Métier de l'Inquisition de Lima (1596-1820), José Toribio Médine rend compte de divers procès par lecture et possession de livres interdits exécutés pendant le siècle XVIII, lesquels, pourtant, n'ont pas terminé avec des condamnations importantes.

La censure est retombé même sur quelques livres de thématique religieuse. Un d'ils a été l'oeuvre du jesuita Pedro de Torres Excellences de San José, homme divin, patriarche grand, publiée en 1716. L'interdiction qui a affecté aux écrits du mandat jesuita s'a durci après de son expulsion des territoires de la Monarchie. Un cas emblématique est le de Manuel Lacunza et son oeuvre Venue du Mesías en gloire et majesté, laquelle a été mise son veto à par son affiliation à la doctrine milenarista, d'après a jugé l'Inquisition. Je joins avec empêcher la circulation d'imprimés des frères du Mandat, s'a aussi promû la divulgation d'autrui que impugnaban son oeuvre et les principes de son espiritualidad.[1]

Certaines des idées qui circulaient le plus clandestinement au Chili - surtout depuis le milieu du XVIIIe siècle - étaient celles contenues dans le programme illustré. Lors de leurs voyages en Europe, un groupe de créoles a pris contact avec ce mouvement et est revenu au Chili en apportant avec eux des copies de certaines de ses œuvres emblématiques, telles que l' Encyclopédie de Diderot, les écrits de Montesquieu, Rousseau, Voltaire, Linguet, Marmontel, Helvétius, Holbach et D'Alembert, ainsi qu'une série de traités scientifiques, exposants des connaissances expérimentales qui ont fleuri dans l'Ancien Monde. Le déclenchement de la Révolution française amena les autorités à redoubler la vigilance appliquée aux livres, afin d'éviter que le germe insurgé ne se développe dans la conscience des créoles. Pourtant, le flot de livres passés en contrebande ne s'est jamais arrêté et est devenu de plus en plus récurrent dans les cercles intellectuels avides de nouvelles idées. Les mêmes qui, à la fin, deviendraient les protagonistes du mouvement d'indépendance nationale.

Un des premiers condamnés en Chili par l'Inquisition a été l'espagnol Alonso de Escobar, dénoncé par «mot scandaleux et mal sonante contre notre religion chrétienne et une des opinions de Martin Luther et ses secuaces, et parce que convient savoir la vérité et remediallo avec justice et punir semblable herejía».[2]

Siècle XIX modifier

La Constitution de 1833 a assuré la liberté de publication sans censure préalable et le droit de jugement devant n'importe quelle condamnation d'abus de cette liberté, conformément à la loi. En 1846 il s'a promulgué une loi sur la liberté d'imprimerie, réactionnaire aux principes libéraux établis dans la Constitution de 1828; sa fonction a été réglementer l'usage de l'imprimerie, en sanctionnant les publications qui continssent information inmoral, séditieuse ou injuriosa. Les mesures contre ces abus à la liberté, ont été des peines de presidio, destierro ou amendes monétaires. Telles condamnations retombaient directement dans l'imprimeur, qui par loi sollicitait l'autorisation du Gouvernement pour établir une imprimerie, et il devait se responsabiliser par tout écrit publié. Dans la pratique, ces mesures cohibieron la prolifération de presse adversaire, laquelle dans cette époque a été presque nula. Son existence s'a réduit à l'activité de petits journaux clandestins de très de courte durée, qu'ils surgissaient généralement dans le contexte de quelque élection présidentielle ou parlementaire.

À des débuts du décennie de 1830, le débat public il s'a allumé à l'égard du type de livres censurés. À l'assumer comme Vicaire de Santiago en 1830, Manuel Vicuña Larraín a nommé à des personnes de sa confiance aussi bien que revisores des livres que s'importaient. Les critiques aux mesures par ils adoptées —aussi bien que l'interdiction du revenu du roman Delfina de Madame de Staël et des Agis de gens de Emerich de Vattel—, n'ont pas tardé en se faire écouter. ils ainsi le démontrent les notes publiées en El Correo Mercantile, et même en Le Araucano —périodique oficialista de l'époque—, dont l'éditeur était Andrés Beau. Je descends la signature de «Quelques amants de l'Illustration», s'ont dénoncés là les continues attaques aux idées illustrées par part de la institucionalidad ecclésiastique. Le propre Andrés Beau, dans le même nombre, a renforcé ces critiques dans son éditorial, en signalant que les livres censurés ils ne méritaient pas semblable sanction. En continuant avec la discussion, dans le suivant nombre Beau a réfléchi sur l'importance d'instruire au village pour que pût discernir par soi même la pertinence d'une lecture.[3]

Le débat a continué le 23 novembre dans le même journal, où a primé l'opinion de que ils seulement devaient s'interdire les livres qu'ils eussent «anéanti tous les principes de la morale», la religion et la decencia, n'ainsi les écrits scientifiques.[4] Il S'a en plus sollicité que les censores n'allassent pas désignés exclusivement par l'Église, mais «hommes de véritable illustration» nommés par le Gouvernement. Cette demande s'a enfin accueilli à des fins de 1832, en se conformant juntes de censure laïques.

République présidentielle modifier

En le convulsionado environnement de l'an 1925, à l'occasion du putsch qu'a provoqué il la renonce du mandataire Arturo Alessandri Palma (1888-1950), s'a mis en vigueur un arrêté loi qui attribuait facultés au Président pour fiscalizar ou censurer "en cas de guerre ou commotion interne", tous les milieux de publicité, services de transmission de nouvelles et correspondance privée. À partir de ce moment, les décennies du vingt et le trente ils ont été marquées par les continues interdictions imposées à des divers médias adversaires aux gouvernements de tour.

Une fois que le colonel Carlos Ibáñez du Champ (1877-1960) est monté au pouvoir dans l'an 1927, a commencé à se mener à terme une politique de répression soutenue aux partis et organisations politiques et syndicales qu'ils montrassent une position critique au gouvernement. Selon Gonzalo Routier dans son Histoire du Chili, le régime ibañista s'a soutenu en le sometimiento de la presse, le congrès et les partis et dans l'application de censure sur correspondance, cinéma, radioemisoras, téléphones et réunions gremiales. Une des peu de déclarations publiques il à ce sujet signalait que la presse devait fiscalizar «avec élévation et hauteur de regardes les actes du Gouvernement» et «ne profiter de cette liberté pour faire propagande révolutionnaire desquiciadora».[5] Avec cet argument et je descends un style clairement autoritaire, il s'a procédé à la fermeture de toute la presse envisagée par le Gouvernement aussi bien que révolutionnaire. Également, il s'a procédé à la fermeture d'organes de diffusion de syndicats et fédérations de travailleurs, qu'ils composaient une des forces journalistiques plus populaires de l'époque: les journaux ouvriers. Un des cas les plus polémiques a été la clôture de la quotidienne Justice, journal officiel de la Fédération Ouvrière du Chili (FOCH).

Ces journaux que n'ont pas été fermés, sont resté soumis à une surveillance permanente. Pour cela s'a établi que toute maison éditoriale devait raconter avec une autorisation officielle pour la publication de ses revues et journaux. Encore plus, il s'a désigné un censor que révisât et il approuvât l'information emanada des nouveaux journaux plus importants du journalisme moderne (1900-1920). Le quotidien Le Mercure, de reconnue inclination vers le ibañismo, n'a pas éprouvé majeur sursaut dans cette période. Diverse chance ils ont couru La Nation, quotidien qui a été exproprié en 1929 et son propriétaire, Eliodoro Yáñez, obligé à sortir du pays, et Le Quotidien Illustré, qu'a été intervenu.

Dictature militaire modifier

 
Il brûle de livres pendant les premiers jours de la dictature militaire.

À partir du putsch de 1973, qu'a donné début à la dictature militaire d'Augusto Pinochet, la nouvelle Junte Militaire de Gouvernement a commencé un procès systématique de censure de n'importe quelle oeuvre et pensée de cour izquierdista. Il s'a entamé une poursuite politique des adversaires du nouveau régime et une répression militaire. Pendant cette période ils s'ont produits des nombreuses violations des droits humains, lesquelles s'ont étendus jusqu'à 1990.[6]

À peine commencée la dictature, s'a entamé un procès de destruction systématique de diverses oeuvres artistiques et sociaux créées pendant le gouvernement de l'Unité Populaire. Les militaires ont entamé une il brûle massive de livres de bibliothèques publiques et privées, dont contenus dans diverse occasions ils n'étaient pas liés avec politique.[6] Il s'a entamé une forte censure dans la littérature qu'a détaché un decaimiento dans le marché éditorial. Divers créateurs ont dû opter par le trafic clandestin de ses oeuvres. Les médias, universités, journaux, radios, télévision, ont été intervenus; dans le cas de Télévision Nationale du Chili, les militaires ils ont encaissé et ils ont détrui part de #son archives fílmico.[7][8]

Les médias, contrôlés par le gouvernement, ont aussi exercé «autocensura» de contenus. Par exemple, la série Holocauste il a été acquise par Télévision Nationale du Chili (TVN), pourtant n'a pas été émise jusqu'à la fin de la dictature.[9]

Transition à la démocratie modifier

Pendant la transition à la démocratie a existé censure établie par le Pouvoir Judiciaire du Chile. Côme exemple est Impunité diplomatique, livre du journaliste Francisco Martorell qui aborde les scandaleuses circonstances qui ont porté à l'exonération d'Oscar Spinosa Melo, exembajador de la l'Argentine en Chili pendant le gouvernement de Carlos Menem. En Chili il a été interdit après le acogimiento d'une ressource de protection interposé par le chef d'entreprise Andrónico Luksic Craig, fait allusion à dans le livre.[10][11]

En 1993, les exemplaires du livre Éthique et services d'intelligence d'Humberto Palamara, de même que les originaux du texte, ont été incautados par ordre du Jugé Naval de Magellan, avec tel de maintenir la confidentialité du même. Palamara Était un officiel retiré de l'Armée du Chili, et son livre cherchait établir standards pour l'approprié fonctionnement des organismes d'intelligence.[12][13] La publication du livre a été interdite par l'Armée à l'envisager qu'il attentait contre la sécurité et défense nationale, en entamant en plus une procédure pénale à l'encontre de l'auteur qu'a terminé avec sa condamnation par le délit de desacato, décision qui a été confirmée par la Cour Suprême.[14] Palamara A présenté une dénonciation dans la Commission Interamericana de Droits Humains contre l'État du Chili, ce que a dérivé dans une demande devant la Cour Interamericana de Droits Humains. La Cour, à travers une sentence dictée en 2005, a conclu que le pays y avait violé une série de droits fondamentaux du denunciante, entre ils la liberté d'expression.

Un autre livre censuré a été Le livre noir de la justice chilienne (1999), de l'auteur Alejandra Matus, dans celui qui aborde l'histoire et des mauvaises pratiques du Pouvoir Judiciaire de son pays. Le livre a été confiscado à un jour de son lancement, et son auteur accusée par le ministre de la Cour Suprême, Servando Jordán, du délit de "desacato", tipificado en celui-là alors dans l'article 6-B de la Loi de Sécurité de l'État.[15] C'est pour cela que, Matus a décidé exiliarse aux États-Unis, où a reçu asile politique. Ce cas a été l'antécédent pour que l'article du desacato fût derogado avec la Loi de Presse, signée le 25 mai 2001, après ce que Alejandra Matus est rentré au Chili.[16] Malgré la dictación de la loi, l'interdiction du livre a continué jusqu'à octobre de 2001, lorsque la Cour d'Appellations a levé la contrainte de sa circulation.[17]

Deuxième gouvernement de Sebastián Piñera modifier

Pendant le deuxième gouvernement de Sebastián Piñera se sont réalisé multiples dénonciations de censure. Le 23 février du 2019, après la fermeture d'Éditorial Télévise le Chili, la retirée journaliste Verónica López Helfmann a déclaré dans un entretien au quotidien Le Mercure que «fermer des milieux il est une censure celée de presse».[18] Le 19 mars 2019, le peintre chilien Rodrigo Vicencio a dénoncé la censure de sa peinture «La Naissance d'une nation», en que se montrait au président Sebastián Piñera en usant bikini, par part du centre culturel Gabriela Mistral de Villa Allemande. Le directeur du centre culturel, Marco Muñoz, a dit qu'il s'a décidé retirer l'oeuvre pour, selon son opinion, éviter ofender aux présents pendant la commémoration du Journée Internationale de la Femme. La retraite de l'oeuvre ne lui fut pas communiqué à l'artiste.[19]

 
«La télé ment», texte en faisant allusion à la phrase «Le Mercure ment», pendant une manifestation dans le contexte du estallido social de 2019.

Malgré tout l'antérieur, les cas de dénonciation par censure ils ont augmenté drásticamente à partir d'octobre de 2019, après du estallido social du Chili. Le 25 octobre, la Fédération des travailleurs de la télévision (FETRA TV) a dénoncé que le gouvernement avait rencontré les principaux directeurs des chaînes de télévision afin de coordonner les lignes éditoriales desdits médias de presse. Le président de FETRA TV a dénoncé que la situation correspondait à une "censure secrète", affectant l'autonomie et l'objectivité des médias et la liberté de la presse.[20] Le 30 octobre a été présenté une dénonciation par colusión devant le Ministère public National Économique en raison de la réunion.[21] En tellement, un syndicat de travailleurs du Groupe Copesa a dénoncé que quelques journalistes du moyen La Troisième ont été presionados par des éditeurs pour publier, le 28 octobre, une nouvelle en que s'impliquait à des étrangers (cubains ou vénézuéliens) dans les incendies du mètre et qu'il a après été déclarée aussi bien que fause par le Ministère Public.[22][23] Entreprises Subtile il a retiré le je avantage à un programme de CNN le Chili, en accusant à la chaîne d'avoir une «partialité totale à l'égard de l'action de la force publique et les Forces Armées ou n'importe quelle personne que discrepa respecto [des protestations]», ce que a été dénoncé par le Collège de Journalistes aussi bien qu'une «tentative de coartar la liberté d'expression et d'opinion».[24][25]

Le 21 janvier 2020, l'éditoriale Chaux et Chant a dénoncé que le Ministère d'Éducation du Chili (Mineduc), chargé de la ministre Marcela Cubillos, y avait censuré deux livres de texte pour éducation secondaire qu'ils se lui étaient après chargé de gagner une licitation publique. Cette présumée censure se devait à l'inclusion dans le livre d'une chanson de Víctor Jara (auteur-compositeur-interprète chilien torturé et assassiné par des militaires pendant la dictature militaire d'Augusto Pinochet) et d'un poème de Fernando Savater (filósofo et intellectuel espagnol).[26] Diverses organisations et particuliers ont critiqué cette mesure du Mineduc, dont la Sociedad de Derecho de las Letras.[27]

En février du même an, le Centre Culturel Gabriela Mistral (GAM) et le Centre Art Peupleraie ont dénoncé que ses façades ont été peintes sans autorisation, en censurant les expressions d'art urbain qu'y avait dans ses murs à l'encontre du gouvernement de Piñera.[28] Les deux façades ont été peintes par des personnes au visage découvert tôt le matin, qui ont refusé de s'identifier.[29]

Organismes régulateurs modifier

Censure dans la télévision modifier

La régulation de contenus dans la télévision est menée à terme par le Conseil National de Télévision (CNTV).

Censure cinématographique modifier

Le cinéma a été censuré depuis sa création au Chili, en commençant par des mécanismes de facto, avant qu'il n'y ait une réglementation adéquate de la question, avec un contrôle exercé par les municipalités, l'épiscopat et des groupes civils tels que la Ligue des dames chiliennes.[30][31] Le premier film censurée en Chili a été La baraja de la mort de Salvador Giambastiani, réalisée en 1916 et dont guion était basé sur un cas judiciaire que à la date d'étrenne encore se trouvait en démarche. Les parlementaires chiliens depuis 1921 ont commencé des débats pour appliquer la censure cinématographique, en entamant sa censure réglée en 1925. Cet an, le président Arturo Alessandri Palma a dicté l'Arrêté Loi N° 558, que créait le Conseil de Censure Cinématographique, organisme chargé d'autoriser l'exhibition de films dedans du territoire chilien. Dans l'article 3 de dit arrêté s'établissait l'interdiction de internar et exhiber des films «contraires à la morale, aux bonnes habitudes et à la sécurité et tranquillité de l'État».[32] Les critères utilisés par le Conseil ont été critiqués, entre autrui, par la revue Aujourd'hui, qu'a signalé que l'organisme appliquait «une morale de tante solterona, anticientífica et capricieuse».

La régulation de la qualification et censure cinématographique en Chili a été restructurée en octobre de 1974, pendant le premier an de la dictature militaire dominée par Augusto Pinochet, avec la dictación du Décrète Loi N° 679 qu'il créait le Conseil de Qualification Cinématographique. Il était un organisme dépendant du Ministère d'Éducation Püblica, chargé de «orienter l'exhibition cinématographique dans le pays et effectuer la qualification des films d'accord avec les normes qu'en est je décrète loi ils s'établissent».[33] Dans son article 9 l'Arrêté établissait les critères en base auxquels le Conseil devait rejeter les films, qu'ils consistent à ces oeuvres que «ils promeuvent ou propagez des doctrines ou des idées contraires aux bases fondamentales de la Patrie ou de la nationalité, telles comme le marxisme ou autrui, celles qui ofendan à des États avec lesquels le Chili maintient des relations internationales, celles qui soyez contraires à l'ordre public, la morale ou les bonnes habitudes, et celles qui ils induisent à la commission d'actions antisociales ou delictuosas».[34]

Entre 1973 et 1996 ils ont été censurées cents de films dans le pays, avec contenu sexuel, politique et religieux ou d'humeur militaire.[35][36]

En 1996, après de que le film La dernière tentation de Christ (1988) de Martin Scorsese il fût revaluada par le Conseil de Qualification Cinématographique, qu'a permis son exhibition en Chili, un groupe d'avocats liés à l'association conservatrice L'Avenir du Chili a interposé une ressource de protection devant la Cour d'Appellations de Santiago, en signalant que l'étrenne de dit ruban vulneraba ses droits et les du reste des personnes que professaient la foi catholique. L'appel a été accepté par la Cour d'appel le 20 janvier 1997, annulant la résolution administrative du Film Rating Council, une décision qui a ensuite été confirmée par la Cour suprême.[33]

Cette décision a porté à un autre groupe d'avocats, représentants de l'Association d'Avocats par les Libertés Publiques, à interposer une dénonciation devant la Commission Interamericana de Droits Humains contre l'État du Chili, ce que a dérivé dans une demande devant la Cour Interamericana de Droits Humains par les articles 13 (liberté de pensée et d'expression) et 12 (liberté de conscience et de religion) de la Convention Américaine sur des Droits Humains. Le cas, connu aussi bien qu'Olmedo Bustos et autres vs. le Chili a finalement été accepté par la Cour qui, par un arrêt rendu en 2001, a déterminé que le Chili avait violé l'article 13 de la Convention et a ordonné à l'État de « modifier son système juridique interne, dans un délai raisonnable, afin d'éliminer la censure antérieure pour permettre la projection du film ». [37]

Avec tel de donner accomplissement à l'établi par la Cour, le 8 août 2001 s'a promulgué la Loi N° 19.742, une réforme constitutionnelle qui éliminait la censure cinématographique préalable, en créant dans son lieu «un système de qualification pour l'exhibition de la production cinématographique».[38] En tellement, le 9 décembre 2002 il s'a promulgué la Loi N° 19.846, que réglait les nouvelles fonctions du Conseil de Qualification Cinématographique et il éliminait sa faculté pour interdire l'exhibition de films.[39][40]

Accusations de censure récentes modifier

La recherche appelée «La caisse noire du Indap», de la journaliste Alejandra Matus a été censurée par son le quotidien La Nation, dans celui qui se démontre le détournement du 60 % de US$ 1000 millions dépensés par le INDAP, déviés à entreprises intermédiaires liées au Parti Démocrate Chrétien (PDC), partenaire en celui-là alors de la coalition de gouvernement. En raison de cette censure, grande part des journalistes du matinal ils ont renoncé à façon de protestation. Enfin, le moyen a décidé publier le travail de Matus le mardi 27 mai de 2003.[41]

Le documentaire Le quotidien d'Agustín, d'Ignacio Agüero et Fernando Villagrán, sur le rôle du Mercure d'Agustín Edwards Eastman pendant le Putsch et la dictature d'Augusto Pinochet, a été censuré dans le Musée de la Mémoire et les Droits Humains et dans la télévision chilienne, autant en ARTV aussi bien qu'en Télévision Nationale du Chili.[42]

Pendant l'enregistrement du documentaire Newen Mapuche ("La Force des Gens du Terroir"), la documentalista chilienne Elena Varela a été arrêté le 7 mai 2008 tant que réalisait la filmación du documentaire en l'accusant de voler deux bancs, en demeurant en raison de ceci deux ans et cinq mois en prison. Peine à celle que s'a ajouté l'application de réclusion interne d'un an et moyen plus de arrestation à domicile. Il A postérieurement été acquittée de ces charges.[43]

En 2016, le gouvernement il a décidé restreindre la présence de journalistes dans les voyages qu'il réalise la présidente Michelle Bachelet Jeria. Selon Abraham Santibáñez, Prix Nationale de Journalisme 2015, la nouvelle réglementation établie par la Présidence avec les journalistes accrédités est «une erreur gravísimo et affecte la liberté d'expression».[44]

Neutralité du réseau modifier

Chili a été le premier pays où il s'a garanti la neutralité dans le réseau, avec ce que n'y a pas des limitations en ce qui concerne accès de contenus ni de services.

Voyez-vous aussi modifier

Références modifier

  1. Bestard, Juan Buena Ventura, « Observaciones que Fr. Juan Buenaventura Bestard presenta al público, para precaverle de la seducción que pudiera ocasionarle la obra intitulada "La venida del Mesias en gloria y magestad" », (consulté le )
  2. Medina, José Toribio, « El primer hereje de Chile », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant,‎ , p. 14 (lire en ligne, consulté le )
  3. El Araucano, nº 84, 21 de abril de 1832.
  4. El Araucano, Nº 115, 23 de noviembre de 1832.
  5. Flores, Jorge. La dictadura de Ibáñez y los sindicatos. p. 28
  6. a et b « Represión y censura: Memorias sobre la quema de libros en Dictadura », Universidad de Chile, (consulté le )
  7. « Censura », Memoria Chilena (consulté le )
  8. « La heroína que salvó las imágenes de la dictadura » [archive du ], La Nación, (consulté le )
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  10. « "Impunidad diplomática": revocada exoneración de Spinosa Melo » [archive du ], La Nación, (consulté le )
  11. Comisión Interamericana de Derechos Humanos, « Martorell v. Chile », (consulté le )
  12. « Informe N° 77/01 », Comisión Interamericana de Derechos Humanos, (consulté le )
  13. González Morales, Felipe, Libertad de expresión en Chile, Facultad de Derecho de la Universidad Diego Portales, , 33 p. (ISBN 9567397775), « Censura judicial y libertad de expresión: Sistema interamericano y derecho chileno »
  14. « Ficha Técnica: Palamara Iribarne Vs. Chile », Corte Interamericana de Derechos Humanos (consulté le )
  15. « ART. 6B DE LA LEY DE SEGURIDAD INTERIOR DEL ESTADO (LSIE) », Periodismo U. Chile (consulté le )
  16. « Reseña del caso "El Libro Negro de la Justicia Chilena" », Periodismo U. Chile, (consulté le )
  17. « Levantan prohibición de circular al "Libro negro de la Justicia chilena" », Emol, (consulté le )
  18. https://www.emol.com/noticias/Espectaculos/2019/02/23/938836/Veronica-Lopez-autora-de-40-anos-de-revistas-sobre-quiebra-de-Televisa-Cerrar-medios-es-una-especie-de-censura-encubierta-de-prensa.html
  19. « Polémica por supuesta censura a pintura del Presidente Piñera en bikini », La Hora, (consulté le )
  20. Bastarrica, « Federación de Trabajadores de Televisión acusa reuniones del Gobierno con ejecutivos de canales », Publimetro, (consulté le )
  21. Bastarrica, « Ingresan denuncia a la FNE por "colusión" de los canales de televisión tras reunión organizada por Chadwick », Publimetro, (consulté le )
  22. « Sindicato de Copesa denuncia presiones a periodistas para publicar tesis instruidas por editores », Colegio de Periodistas de Chile, (consulté le )
  23. « Aclaración sobre artículo publicado por La Tercera: un error del que nos hacemos cargo », La Tercera, (consulté le )
  24. « Empresario Juan Sutil retiró publicidad de CNN Chile por ser "absolutamente parcial": "No han actuado a la altura del periodismo correcto" », www.radioagricultura.cl (consulté le )
  25. (es) Dannae Arias, « Acusan "censura indirecta": Colegio de Periodistas rechazó "extorsión económica" de empresario agrícola a CNN y CHV por su cobertura del estallido social », Publimetro Chile (consulté le )
  26. « Mineduc comprará dos libros para Educación Ciudadana: editorial acusa censura por páginas de Víctor Jara », El Mostrador, (consulté le )
  27. « Sociedad de Derecho de las Letras rechazó censura de material educativo por Mineduc », El Mostrador, (consulté le )
  28. « GAM y Centro Arte Alameda denuncian que sus fachadas fueron pintadas sin autorización », CNN Chile, (consulté le )
  29. Jerez Pinto, Christopher, « ¿Quién borró los murales del GAM y Centro Arte Alameda?: Espacios culturales descartan censura y defienden manifestaciones artísticas », El Desconcierto, (consulté le )
  30. Purcell, Fernando, « Cine y censura en Chile. Entre lo local y lo transnacional, 1910-1945 », Revista Atenea, Concepción, no 503,‎ , p. 187-201 (lire en ligne, consulté le )
  31. « Censura cinematográfica (1925) », Memoria Chilena (consulté le )
  32. « Decreto Ley N° 558 », Biblioteca del Congreso Nacional (consulté le )
  33. a et b « Los límites de la tolerancia: Libertad de expresión y debate público en Chile », Human Rights Watch, (consulté le )
  34. « Decreto Ley N° 679 - "Establece normas sobre calificación cinematográfica" », Biblioteca del Congreso Nacional (consulté le )
  35. « Listado de películas de 35 mm que han sido censuradas en Chile entre 1972 y 1996 » [archive du ], Emol (consulté le )
  36. Velasco, Javier, « 40 años de censura en Chile, 1972-2012 » [archive du ], Ballotage, (consulté le )
  37. « Caso “La Última Tentación de Cristo” (Olmedo Bustos y otros) Vs. Chile », Corte Interamericana de Derechos Humanos, (consulté le )
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  41. Censura en Chile: publican reportaje controversial luego de renuncia de periodistas
  42. El Tintan erreur modèle {{Lien archive}} : renseignez un paramètre « |titre= » ou « |description= »
  43. La pupila insomne.
  44. (en) {{Article}} : paramètre « titre » manquant, paramètre « périodique » manquant, paramètre « date » manquant (lire en ligne)

Tu raccordes externes modifier

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