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La théorie de l’inoculation psychologique[1], développée pour protéger les attitudes et les croyances existantes, montre comment renforcer la résistance à de futurs contrarguments inacceptables ou à des attaques persuasives. L’inoculation consiste à exposer la personne destinataire à un contrargument et à son démenti. Les démentis présentés dans un message doivent soutenir correctement les attitudes et les croyances actuelles, mais suffisamment intelligibles pour que le récepteur puisse les comprendre[2],[3].

Depuis plusieurs décennies, les milieux académiques étudient la théorie de l’inoculation. Et, ils la testent en laboratoire et dans des situations réelles. On l’utilise comme outil dans la formation ou la manipulation de l’opinion publique. Plusieurs articles scientifiques passent en revue son application en politique[4], dans les campagnes en santé publique (en) [5],[6], en markéting [7], en éducation [8] et dans les communications scientifiques (en)[9] entre autres. John A. Banas et Stephen ont publié une méta-analyse [10], et Josh Compton un aperçu [2] de la théorie.

Historique

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C’est William J. McGuire[11] qui formula le premier la théorie de l’inoculation psychologique qu’il nomma ainsi par rapprochement avec le monde médical. Selon lui, elle permet d’« immuniser » l’individu contre de futures attaques persuasives au même titre qu’un vaccin biologique le protège d’un virus.

À l’origine du concept d’inoculation se trouvent les travaux en 1953 de Carl Iver Hovland; Arthur A Lumsdaine; Fred D Sheffieldd[12] qui comparent la portée persuasive de « messages de soutien », défendant un seul point de vue sur un sujet, et les messages montrant le pour et le contre, une forme d’inoculation. Ils concluent à la supériorité de l’inoculation à produire de la résistance à la persuasion, comparée aux messages de soutien.

Dans la continuité de ces travaux, McGuire réalisa une série d’expériences basées sur la comparaison entre procédure de soutien et d’inoculation. On testa avec des truismes culturels, des croyances largement acceptées, mais jamais remises en cause, l’hypothèse selon laquelle l’inoculation immunise davantage les individus que le soutien. C’est la guerre de Corée qui joua le rôle de catalyseur pour la théorie de McGuire. En effet, emprisonnés par la Corée du Nord, certains soldats américains vont renier leur pays et les valeurs associées : « capitalisme », « démocratie », etc. Ces croyances culturelles, qui semblaient aller de soi, n’avaient jamais été la cible de contrarguments dans le système d’éducation. Celle-ci consistait essentiellement à expliquer les raisons de maintenir ces croyances. Pour contrer le « lavage de cerveau » des soldats, perçu comme un échec des institutions à soutenir ces valeurs, on décida de renforcer davantage ces croyances comme solution. Au contraire, McGuire proposa non pas de renforcer les croyances, mais de rendre les individus conscients de la vulnérabilité de leurs croyances et de les aider à se défendre en leur enseignant les contrarguments et leurs réfutations. Ces deux perspectives correspondent aux deux mécanismes complémentaires à l’œuvre : la menace et sa réfutation[13].

Description de l’inoculation psychologique

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Deux procédures sont ainsi à distinguer : une de soutien et une d’inoculation qui explique les menaces et leurs réfutations.

Du point de vue médical, une « procédure de soutien » consiste à prévenir une attaque virale en renforçant l’organisme par différents moyens (c.-à-d. vitamines, régime alimentaire équilibré, etc.). En psychologie, celle-ci se traduit donc par l’apport d’arguments en accord avec l’attitude de l’individu dans le but de le protéger d’une attaque persuasive.

Une stratégie d’immunisation, dans le cas d’un virus, consiste quant à elle à inoculer une version réduite de ce virus à l’individu pour stimuler ses défenses immunitaires et les rendre plus à même de contrer ensuite une forme virale plus forte.

Sur le plan psychologique, les individus évitent, en général, les informations contradictoires pour éviter la dissonance. Cette attitude ne les conduit pas à développer de résistance, ils vivent dans un monde « aseptisé », dénué d’idées extérieures remettant en question les leurs. Ainsi, baignant dans un environnement idéologique généralement homogène, l’individu sous-évalue la fragilité de ses croyances ainsi que la probabilité qu’elles se fassent réfuter[11].

Pour McGuire, l’inoculation psychologique doit passer par l’exposition à des arguments en conflit avec son attitude, pour stimuler ses « défenses psychologiques » et de le motiver à répondre à une attaque persuasive[1].

L’opérationnalisation de l’inoculation psychologique

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L’opérationnalisation de l’inoculation psychologique, la prévention par réfutation, comporte trois phases. Le processus commence par une formation ou une séance d’information qui « … permet d’homogénéiser les connaissances des sujets et de les activer[14] ». En second, l’inoculation proprement dite expose les sujets à des arguments en désaccord avec les connaissances étudiées dans la phase antérieure. En troisième, la phase de réfutation, le sujet réfute lui-même les arguments négatifs présentés précédemment, on l'appelle la réfutation active. Le sujet peut aussi utiliser des contre-arguments qu’on lui propose, c’est la réfutation passive. Souvent, pour vérifier l’efficacité de l’inoculation, le sujet répond à un questionnaire, afin de mesurer le niveau de sa résistance à la persuasion.

En 1961, McGuire et Papageorgis[11] démontrent qu’une inoculation passive, consistant à lire les différents arguments, offre une meilleure résistance à la persuasion qu’une inoculation active, où les participants doivent écrire eux-mêmes les arguments et leurs réfutations. En revanche, lors d’une attaque avec nouveaux arguments, une inoculation active incite davantage les sujets à s’opposer[15].

Résultats expérimentaux

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Études comparatives

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Plusieurs tests en laboratoires et en société montrent l’efficacité de l’inoculation.

Dans une étude de D. A. Muller[16] en 2007, 364 étudiants de première année de physique ont suivi au hasard l’une de ces quatre types de formations sur les lois de Newton :

  • Exposition : une brève présentation ;
  • Soutien : une formation complète ;
  • Inoculation psychologique : formation complète et présentation d’idées fausses avec leur réfutation ;
  • Inoculation psychologique active : formation précédente avec ajout d’une discussion.

Les chercheurs montrèrent que l’inoculation psychologue, active ou non, apporte les gains d’apprentissage les plus importants et significatifs. Les participants ayant de faibles connaissances antérieures en ont profité le plus.

Par exemple, lors des élections américaines de 1988, Pfau et Josh Compton montrent que l’inoculation contre les attaques politiques était supérieure à une réfutation publiée après une attaque[17],[18].

Compton, Jackson et Dimmock[6] ont passé en revue plusieurs études où l’inoculation psychologique est appliquée en santé. Il existe de nombreuses études sur l’inoculation des enfants et des adolescents pour prévenir la consommation de tabac, de drogues ou d’alcool. Une grande partie des études montrent que les enfants inoculés avant l’âge de 12 ans résistent mieux à la pression des pairs lorsqu’ils deviennent adolescents ou jeunes adultes.

Persistance de l’inoculation

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Une étude de Pfau et coll.[19] examina le rôle et la persistance de l’inoculation pour dissuader les jeunes de fumer. Un groupe d’élèves du primaire dans le Dakota du Sud regarda une vidéo les prévenant des futures pressions pour commencer à fumer la cigarette. Au cours de la première année, on observa une augmentation de la résistance chez les personnes ayant une faible estime de soi (Pfau et coll., 1992). À la fin de la deuxième année, tous les écoliers ont montré plus de résistance comportementale au tabagisme qu’auparavant[5].

Effets de l’attitude initial

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Grover[20] a étudié l’efficacité d’une campagne anti-tabac sur les fumeurs et les non-fumeurs. Les données recueillies montrent que l’inoculation fonctionne différemment si le comportement existe (fumeur) ou pas (non-fumeur). L’attitude initiale joue un rôle majeur dans la capacité d’inoculer un individu.

Autre approche, l’inoculation active guidée avec débat

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C’est dans leur article sur la prévention de la violence juvénile publié en 2002 que Goutas, Girandola et Minary[21] proposèrent la notion « d’inoculation active guidée avec débat », qui ajoute un débat lors de la phase de réfutation. Dans le but de diminuer les comportements agressifs des préadolescents et de les immuniser contre les croyances dans la légitimité de la violence, ils utilisèrent la procédure d’inoculation active. Ainsi, la phase de réfutation active prit la forme d’un débat de 10 minutes sur la violence, où l’on conduisit les participants à donner des arguments en faveur (phase d’inoculation) et ensuite à les réfuter par eux-mêmes (phase de réfutation). Enfin, lors de la phase d’attaque, l’expérimentateur présentait des arguments favorables à l’utilisation de la violence.

Remarquons que les auteurs ne peuvent pas évaluer l’efficacité de la méthode d’inoculation active guidée parce qu’ils n’ont pas utilisé de groupe témoin. Néanmoins, cette nouvelle approche reste pertinente dans la mesure où elle permet d’interagir avec les jeunes participants durant la procédure, de la rendre plus interactive notamment lors de l’entrainement, et de fournir l’occasion aux élèves de demander des indications sur les arguments ou le vocabulaire qu’ils ne comprennent pas[1].

Message normatif ou informatif et inoculation en deux séances

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Linda C. Godbold et Pfau[22] ont utilisé l’inoculation psychologique sur des élèves de sixième année de deux écoles différentes pour les protéger contre la pression des pairs sur la consommation de l’alcool. Ils ont émis l’hypothèse qu’un message normatif, adapté aux normes sociales, serait plus efficace qu’un message informatif qui explique seulement pourquoi il ne faut pas consommer de l’alcool. Cette étude montre que le message normatif crée une résistance plus élevée.

Dans la même étude, on compara aussi les niveaux de résistance des sujets qui reçoivent la formation sur les menaces deux semaines après la formation normative à ceux qui reçoivent la formation en une seule fois. On ne trouva pas de différence significative[10].

Méta-Analyse

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John A. Banas et Stephen ont publié une méta-analyse sur le sujet et dans le résumé de l’article il écrit :

« Une méta-analyse de 54 études ... montre qu'un message incluant utilisant l’inoculation psychologique est supérieure à conférer une meilleure résistance aux influences contradictoires qu'un simple message de soutien (informatif) ou qu'à l'absence de message[10]. »

De plus, la méta-analyse montre la même efficacité même si les messages de résistances ne sont pas les mêmes que ceux rencontrés par les gens.

les résultats ont révélé que les préemptions de réfutations identiques et de réfutations différentes sont également efficaces pour réduire le changement d’attitude[10]. »

Application de l’inoculation psychologique

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L’inoculation psychologique sert principalement comme outil dans la formation ou la manipulation de l’opinion publique. Plusieurs articles scientifiques passent en revue son application en politique , dans les campagnes en santé publique (en) [5][6], en markéting [7], en éducation [8] et dans les communications scientifiques (en) sur le réchauffement climatiques[9] entre autres.

Selon John Cook, en enseignement des sciences :

« Cette approche [inoculation psychologique] se traduit par des gains d’apprentissage nettement plus élevés que les cours habituels qui enseignent simplement la science[23],[16] ».

Dans le secteur de la consommation, Compton et Pfau[24] menèrent une étude afin de prévenir les dépenses excessives et le surendettement des étudiants. L’inoculation visait à les rendre plus résistants au marketing publicitaire sur l’adoption des cartes de crédit.

L’inoculation a fait ses preuves lors des élections américaines en 2000, par Pfau, Park, Holbert, et Cho[4], en augmentant l’intérêt de certains participants pour la campagne politique, leurs connaissances vis-à-vis des candidats ainsi que leur intention de vote, comparativement au groupe contrôle.

En santé, Olley, Abbas, et Gidron[25] (2011) travaillèrent sur la promotion du préservatif par les femmes nigériennes atteintes du SIDA. S’ils n’ont pas réussi à augmenter l’utilisation réelle de ce contraceptif avec des partenaires, la procédure d’inoculation a néanmoins induit une hausse du sentiment d’efficacité personnelle à se servir d’un préservatif et une baisse des barrières sociales et cognitives à son emploi (c.-à-d. concernant la motivation, la satisfaction sexuelle, etc.).

Ivanov et coll.[26] ont constaté que les messages d’inoculation équipent efficacement les enfants pour quand ils deviennent adolescents ils résistent aux les pressions pour avoir des rapports sexuels non protégées ou encore, participer à des beuveries.

En 2019, les chercheurs ont commencé à tester l’inoculation en tant que psychothérapie pour ceux possédant une mauvaise attitude ou croyance[27].

Josh Compton a publié un aperçu[2] sur l’ampleur de son utilisation.

Recherches en cours

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Dans le domaine de de la lutte contre la toxicomanie chez les enfants, on propose de faire des recherche pour utiliser l’inoculation pour :

-         Lutter contre leurs tendances à éviter les conversations sur la toxicomanie avec leurs enfants

-         Favoriser les conversations avec les enfants dans les familles.

Critiques de la théorie

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L’importance qu’accorde McGuire[11] à l’exposition sélective parait de prime abord surestimé à la lumière des résultats de Zuwerink Jacks & Cameron[28]. En effet, les stratégies de résistance reportées comme les plus utilisées sont le renforcement de l’attitude puis la confiance en ses dires et la contre-argumentation. En revanche, selon les auteurs l’exposition sélective, tout comme l’utilisation d’affects négatifs et la décrédibilisation de la source, est sans doute déclarée comme moins utilisée, car moins bien perçue socialement que les autres, considérées « impolies »[28].

Certaines études comparatives, comme celles de Romain Veillé[1] ne mesure pas de valeur ajoutée « On ne peut donc pas affirmer ici qu’une stratégie d’inoculation est plus efficace qu’une stratégie de soutien en termes de résistance à la persuasion … [dans notre étude], il nous semble étrange qu’il n’y ait pas eu réplication de la supériorité de l’inoculation face au soutien ».

Références

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