Utilisateur:Brodigny/Brouillon

Lutèce
Image illustrative de l’article Brodigny/Brouillon
Secon plan de Lutèce selon d'Anville en 1705.
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Coordonnées 48° 51′ nord, 2° 21′ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Lutèce
Lutèce

Paris, Fille de la Lutece gallo-romaine

Paris s'est construite siècle après siècle pour devenir une ville fascinante traversée par la Seine, attirant des touristes du monde entier venant admirer ses monuments, ses avenues, ses musées. Il serait cependant regrettable d'occulter son passé de cite antique, certains monuments, tels les thermes de Cluny ou les arènes de Lutece, n'en donnant qu'une vision fragmentaire. A partir de récits historiques comme la guerre des Gaules de César, par la découverte de vestiges archéologiques et la mise en évidence de statues, d'objets de la vie courante au cours de fouilles, il est possible de reconstituer en grande partie le parcours de la Lutece gallo-romaine.

L'histoire de Lutece modifier

Sur le site de Paris actuel, on trouve des signes d'occupation très anciens. Des fouilles en 1991 ont permis la découverte de barques datant du néolithique au niveau du quai de Bercy [1][2]. César situait l'oppidum des Parisii dans une île du fleuve, mais aucune trace d'occupation avant l'époque romaine n'a été trouvée sur l'île de la cité[3] [4]. Il est probable que celui-ci soit situé sous la ville de Nanterre, des fouilles récentes à l'occasion de la construction de l'autoroute A86 ayant révélé une vaste agglomération gauloise [5] [6]. Celle-ci se trouve dans un méandre très serré de la Seine, au niveau de la boucle de Gennevilliers, pouvant donner un aspect trompeur.
Ainsi le site de Nanterre pourrait représenter la capitale pré-romaine des Parisii. Sur 15 à 20 hectares, il existe de nombreuses fondations correspondant à des quartiers résidentiels, d'artisanat, un probable lieu de culte avec présence de divers objets tels que des armes, des outils, des parures, de la vaisselle. Les berges sont aménagées apportant la preuve de la réalité d'un port fluvial[7].

Les Gaulois appelaient leur cité Lucotecia. César l'aurait baptisée du nom latin Lutecia, à partir du terme lutum, boue évoquant les marais aux alentours[8]. En -53 av. J.C., alors que les peuples du Nord sont entrés en rébellion contre Rome, il convoqua à Lutece une assemblée des représentants des cités gauloises.

Mais l'année suivante, les Parisii vont rejoindre la révolte initiée par Vercingetorix contre l'envahisseur romain. A partir de 52 av. J.C. ,Titus Labienus, lieutenant de César, entreprend une campagne en partant d'Agedincum (Sens) et va se heurter au vieux chef gaulois Camulogene qui pratique habilement de telle façon que les armées romaines ne puissent manœuvrer dans les nombreux marais[9] [10].

Dans un deuxième temps, après s'être emparé de Melodunum (Melun) et avoir constitué une importante flottille de barques, permettant la construction d’un pont de bateaux, Labienus va revenir combattre Camulogene et ses troupes, qui seront défaits dans lieu controversé, peut-être au niveau du Champ de Mars, l'oppidum ayant été préalablement incendié, peut-être par les Gaulois[11] [12].

La Lutece Gallo-romaine va apparaître dès l'époque d'Auguste pour prendre son essor surtout à partir de Tibère. Elle va être intégrée dans la Gaule lyonnaise avec Lugdunum comme capitale, les deux autres provinces de la Gaule chevelue étant l'Aquitaine et la Belgique. La fondation de la ville se fait sur un schéma traditionnel d'un plan en damier s'ordonnant autour de deux axes principaux, le cardo-maximus et le decumanus. Elle est implantée à la fois sur l'île de la Cité et sur la rive gauche[13].

La ville va prospérer pendant deux siècles et demi, période du Haut Empire, mais son histoire va être marquée dès le IIIe siècle par différents événements, dont la menace des barbares, Alamans à l'Est et Francs au Nord, amenant les Parisiens à se retrancher dans l’île de la Cité qui sera entourée d'un puissant rempart sans délaisser totalement la rive gauche[14].

Lutece joue un rôle important à la fois comme carrefour fluvial et commercial et aussi dans le système défensif de la Gaule du nord. Des troupes romaines sont installées et une flottille de guerre est présente. Des chefs militaires vont y séjourner dont Julien l'Apostat, neveu de Constantin qui a rétabli les cultes païens interdits par les chrétiens, y sera proclamé empereur en 360 par ses légions[15][16]. Il meurt en 363 lors d'un combat contre les Parthes. Plus tard, Valentinien réside à Lutece pendant une brève période (365-366)[17].

Par ailleurs, la ville s'est peu à peu christianisée. Progressivement le nom de Lutece va être abandonné pour devenir la Civitas Parisiorum, la ville des Parisii (IVe siècle)[18].

Au Ve siècle, le général Egidius puis son fils Syagrius essaient de maintenir le monde gallo-romain, mais après la défaite de ce dernier à Soissons en 486, la ville tombe sous la domination de Clovis qui en fera sa capitale en 508[19].

La religion dans l'histoire de Lutece : entre mythe et réalités historiques modifier

 
Cernunnos, Pilier des Nautes
 
Pilier des Nautes. Dédicace à Jupiter sous Tibère (Thermes de Cluny)

La tolérance des Romains est grande face aux croyances des Celtes, qui sont respectées[20]. Une sorte de cohabitation des dieux est réalisée. Le témoignage le plus frappant de ce syncrétisme[21][22][23] est représenté par le pilier des Nautes. On y voit à côté des dieux et déesses du panthéon romain (Jupiter, Mercure, Mars, Fortuna, Castor et Pollux, des divinités Gauloises (Esus, Tarvos, Trigaranus, Eurises, Smertrios, Cernunnos). Mais l'originalité des dieux autochtones souvent en rapport avec la nature, les animaux semblent préservée[24].

En dehors de la religion traditionnelle qui ne répond pas aux problèmes métaphysiques de l'au-delà[25], on voit apparaître d'une façon ponctuelle dans des lieux privés une orientation vers des cultes orientaux.

Evoquant une éventuelle vie après la mort : mise en évidence de statuettes d'Isis, Osiris, Bes (divinités égyptiennes), voir culte de Mithra (décor sur un sarcophage).

Le christianisme va s'implanter lentement pour s'imposer dans le milieu du IIIe siècle comme en témoignent des inscriptions sur les pierres tombales[26].

Ainsi l'histoire de Paris est imbriquée dans des faits historiques et dans des mythes liés a la légende chrétienne. Saint Denis, premier évêque de Paris (250), après avoir été décapité à Montmartre, se met en marche, portant sa tête tranchée, puis tombe dans la campagne et est enterré sur place au niveau de ce qui deviendra la Basilique saint Denis. Telle est la légende[27][28][29].

Evêque Marcel, une des grandes figures religieuses de l'époque aurait combattu un dragon. Après sa mort en 435, sa tombe devient l'objet d'une grande vénération[30][31].

Enfin l'épopée de Paris est associée à sainte Geneviève, qui, face à la menace hunnique, prend part d'une façon active à la résistance et aux affaires publiques. Elle avait par son père des relations privilégiées avec les dirigeants de l'empire romain. Mais le facteur déterminant du sauvetage de Paris sera la victoire du général romain Aetius aux champs Catalauniques (451) sur les Huns d'Attila[32]. Sainte Geneviève a sans doute joué également un rôle dans le cheminement de Clovis vers le christianisme[33].

 
Vulcain. Pilier des Nautes (Thermes de Cluny)
 
Mercure (Musée Carnavalet)

Urbanisme et architecture modifier

La Lutèce gallo-romaine, qui abrite environ 10 000 habitants, est implantée à la fois sur l’île de la Cité et sur la rive gauche, où les possibilités d'expansion sont plus grandes. La fondation de la ville se fait sur un schéma traditionnel d'un plan en damier où tout s'ordonne autour de deux axes principaux qui se coupent à angle droit : le cardo maximus (axe Nord-Sud) et le decumanus (Est-Ouest)[34]. Les voies majeures relient Lutece aux autres cités Gauloises et donc à l'Empire. Elles sont recouvertes de grandes dalles. Si la ville renferme des bâtiments importants, elle n'atteindra jamais une taille considérable, à l'inverse de villes comme Lugdunum (Lyon) et Augustodunum (Autun). Selon Goudineau, la romanité se dilue au-delà de la Bourgogne[35]. Sur l’île de la Cité, devaient exister un palais du gouverneur (sous le palais de justice) et à l'Est un temple ainsi qu'une basilique[36]. Mais les principaux bâtiments se situent sur la rive gauche. Comme dans toute ville romaine, les thermes sont présents, prouvant ainsi l'adaptation des Gaulois à ce type d'activité. Trois établissements existent. L'un est situé au niveau de l'actuelle rue Gay-Lussac. Ceux de l'Est, dits du Collège de France, avaient à la fois une fonction hygiénique et thérapeutique et se trouvaient au niveau de la rue des Ecoles.

 
Système hypocauste

Enfin les plus importants et les mieux conservés sont les thermes du Nord, dits de Cluny, entre la rue des Ecoles et le bd Saint-Germain. Leur construction date de la fin du Ier siècle. Ils comprennent des vestiaires, des palestres, des latrines, une salle froide (frigidarium), une salle tiède (tepidarium), une salle chaude (caldarium), un système de chauffage par hypocauste[37][38][39]. Des peintures, des mosaïques ornaient l'intérieur des bâtiments.


Mais le cœur de la cité se situe sur la montagne sainte Geneviève, au niveau de la rue Soufflot, où les vestiges du forum ont été dégagés. Il était implanté en avant de l'actuel Panthéon. Le forum représente le centre politique, religieux, et commercial de la ville gallo-romaine. Il comporte une esplanade entourée de portiques sous lesquels sont installées des boutiques, la basilique où se traitent les affaires judiciaires et au centre le temple dont on ignore à qui il était dédié, peut-être la triade capitoline (Jupiter, Junon, Minerve)[40][41]. Il est possible d'imaginer la foule se promenant sous les portiques, assistant au culte ou écoutant les plaidoiries à la basilique.

 
Acqueduc (près du square Montsouris)

L'approvisionnement régulier de la ville se fait par un aqueduc, les eaux étant captées dans le bassin de Wissoux au sud[42]. Des lieux pour le spectacle sont présents. A l'emplacement du lycée Saint-Louis existait un théâtre de plan semi-circulaire dont il ne reste que quelques pans de mur. Par ailleurs il est retrouvé en Gaule des monuments de spectacle de formes particulières (édifices dits mixtes)[43][44].

 
Arènes de Lutèce (vue actuelle)

Ce sont les théâtres avec arène. Il en est ainsi des arènes de Lutece, situées en dehors de la ville, qui seront mises au jour en 1860. Leur destruction programmée est évitée grâce à l'intervention de nombreuses personnalités dont Victor Hugo. Il comporte une arène elliptique, un podium et un mur de scène permettant aux spectateurs d'assister soit à des comédies ou des pantomines, soit à des combats de gladiateurs. Elles furent construites vers la fin du Ier siècle.

Suite a la menace des Barbares, l'aspect de Lutece va se modifier en se concentrant sur l’île de la Cité sans abandonner totalement la rive gauche. La plus grande partie de la population se retrouve sur l’île avec un remaniement des structures urbaines utilisant des blocs de pierre à partir des alentours, du Forum, des arènes de Lutece ou des nécropoles. Il est réalisé à partir du IIIe siècle un important rempart protecteur[45]. Sur le plan des techniques d'architecture, l'utilisation la plus courante est celle du calcaire dit parisien, trouvé sur le site même de la ville et aux alentours. Les blocs de grande dimension servent pour les soubassements, les petits moellons, parfois associés à des lits de brique sont utilisés pour les murs. Le mode de couverture est le plus souvent la tuile.

A la périphérie de Lutece, au-delà du pomerium se situent les cimetières. Deux grandes nécropoles ont été mises au jour : au sud-est, la nécropole Saint Marcel-Gobelins et au sud la nécropole du faubourg Saint-Jacques[46][47].

En dehors de la cité, comme dans la plupart des villes romaines, devait exister une ligne de sanctuaires et de bois sacrés. Sur la butte Montmartre, l'hypothèse d'un ou deux temples a été soulevée sans pouvoir préciser avec certitude l'attribution à Mars ou Mercure en l'absence d'inscription. La probabilité d'un temple dédié à Mercure se base sur le fait que le lieu se soit longtemps appelé Mons Mercurii jusqu'assez loin dans le haut Moyen Age[48].

A 4 km au sud-ouest de Lutece, au niveau du site de Vanves, ont été mis en évidence des thermes, un bâtiment luxueux pouvant correspondre à un sanctuaire périurbain[49].

 
Frigidarium
 
Mur d'enceinte du forum de Lutèce
 
Colonnes romaines (Saint Pierre de Montmartre)

La vie quotidienne à Lutece modifier

 
Four romain
 
Objets de la vie quotidienne (Musée Carnavalet

L'habitat peut se rapprocher pour les familles aisées de la villa romaine classique, domus revêtant un caractère sacré, renfermant l'autel familial, comportant une cour centrale, l'atrium à ciel ouvert avec un bassin central, l'impluvium recueillant les eaux de pluie. Dans cette cour s'ouvraient les différentes pièces d'habitation et de service qui étaient ornées de peintures murales et de mosaïques[50].

Mais, le centre ville était surtout composé d'insulae, îlots d'habitations à étage ou coexistent torchis et pierre, recouverts de tuiles ou de chaume, donnant sur des cours communes. Ils permettaient de tenir compte de la surface disponible avec occupation maximum d'un terrain qui en ville est rare[51]. En périphérie, pour les habitants privilégiés, sont bâties quelques villae, bâtisses beaucoup plus grandes comportant des jardins, des vignes[52].

Si les notables se rapprochent de la mode romaine dans leur habillement (tuniques, sandales, toges), l'ensemble de la population continue à porter les vêtements traditionnels (braies de leurs ancêtres ou manteau à capuchon, le cucullus)[53] [54].

L'alimentation est basée sur les céréales, les fruits, les légumes sans exclure la viande fournie par le bétail et les poissons péchés dans la Seine ou la Bièvre. Les fouilles ont mis également en évidence la consommation d'huîtres et de crustacés. La boisson, outre l'eau consiste en vin et en cervoise.

L'hygiène de vie a son importance comme en témoigne la présence de thermes qui participent aussi aux loisirs, gymnastique ou pugilat.

L'activité culturelle se manifeste, soit au niveau du théâtre, soit au spectacle des arènes.

Sur le plan économique, la Seine joue un rôle important par l'intermédiaire d'un trafic concernant les produits manufacturés, les biens de consommation, les matériaux de construction. Cette activité est sous le contrôle de l'importante corporation des Nautes qui emploie de nombreux bateliers. Ses dirigeants ont un rôle considérable dans la vie de la cité, assurant en partie l'administration. La nef qui sera adoptée comme armoirie de la capitale évoque à la fois la forme générale de l'île et l'activité la plus ancienne de ses habitants. Le fameux pilier des Nautes découvert sous Notre-Dame est dédié à Jupiter et Tibere[55] [56] [57].

L'artisanat des Gaulois a bénéficié des apports de la technologie greco-latine. La découverte de plusieurs fours à potier sur la rive gauche, situés en périphérie des zones résidentielles, témoigne de cet apport (assiettes, vases, gobelets, amphores, bouteilles en verre soufflé). La métallurgie est surtout représentée par le bronze (statuettes, ustensiles de cuisine, fibules). Des bijoux sont également retrouvés, complétant les aspects de la vie quotidienne des Parisiennes[58] [59].

Conclusion modifier

Une urbanisation incessante avec des opérations immobilières peu soucieuses d'archéologie a occulté le passe de la ville antique.

Les grands travaux commencés au moment du second Empire sous la responsabilité du Baron Haussmannt vont permettre de nombreuses découvertes archéologiques. Il est probable que de futurs chantiers puissent révéler d'autres antiquités. Ainsi récemment a l'occasion de travaux de l'A86 et de l'A14 le probable oppidum des Parisii a été mis en évidence à Nanterre, alors que la tradition le situait sur l'île de la Cité[60].

Dès 1844, Theodore Vacquer, considéré comme le père de l'archéologie parisienne, explore tous les chantiers de la Capitale. Malheureusement toutes les notes qu'il a pu consigner sont difficiles a utiliser.

En 1912 un historien Felix de Pachtere publie "Paris à l'époque gallo-romaine" à partir d'écrits et de sources archéologiques. En 1897, la commission du Vieux Paris sera mise en place avec pour vocation de surveiller toute fouille entreprise. Actuellement, le musée Carnavalet conserve et présente les vestiges du Paris antique[61] [62].

Il est toujours passionnant de faire revivre le passe lointain de la Lutece gallo-romaine. Les textes anciens, en particulier la guerre des Gaules, l'archéologie s'appuyant sur les monuments qui demeurent, comme les thermes de Cluny ou les arènes de Lutece, et les fouilles permettent une reconstitution. Certains éléments sont encore manquants. Pour reprendre une phrase de P. Grimal, l'archéologie est une science des lacunes[63].

Références modifier

  1. BUSSON Didier Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001
  2. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  3. GOUDINEAU Christian Lutece. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean Leclant.Puf.2005.
  4. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  5. DEUTSCH Lorant Metronome. Editions Michel Lafon.2010
  6. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  7. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  8. DEUTSCH Lorant Metronome. Editions Michel Lafon.2010
  9. CESAR Jules La guerre des Gaules. Traduction par G.Lamothe; Librairie Hathier.1957
  10. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  11. CESAR Jules La guerre des Gaules. Traduction par G.Lamothe; Librairie Hathier.1957
  12. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  13. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  14. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  15. ROBERT Jean–Noël Rome ; Editions les belles lettres.1999.
  16. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  17. GOUDINEAU Christian Lutece. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean Leclant.Puf.2005.
  18. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  19. VIAND Antide Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  20. GOUDINEAU Christian, Gauthier Nancy Gaules. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean LECLANT. Puf.2005.
  21. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  22. LAVAGNE Henri Religion Gauloise in Dictionnaire de l'antiquité. PUF. 2005
  23. VIAND Antide, Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  24. BECK Francoise et CHEW Helene Quand les Gaulois étaient romains. Collection Gallimard .1989.
  25. ROBERT Jean–Noël Rome ; Editions les belles lettres.1999.
  26. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  27. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  28. DEUTSCH Lorant Metronome. Editions Michel Lafon.2010
  29. HERON DE VILLEFOSSE René Le passé de Paris. Paris tel qu'on l'aime. Editions Ogé. Paris 1950
  30. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  31. HERON DE VILLEFOSSE René Le passé de Paris. Paris tel qu'on l'aime. Editions Ogé. Paris 1950
  32. HERON DE VILLEFOSSE René Le passé de Paris. Paris tel qu'on l'aime. Editions Ogé. Paris 1950
  33. POULIN Jean Claude Geneviève 420-502 ap. JC in dictionnaire de l'antiquité. Puf.2005.
  34. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  35. GOUDINEAU Christian, Gauthier Nancy, Gaules. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean LECLANT. Puf. 2005.
  36. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  37. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  38. DE CARBONNIERES Philippe Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard.1997.
  39. ROBERT Jean –Noël, Rome. Editions les belles lettres. 1999.
  40. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  41. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  42. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  43. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  44. GOUDINEAU Christian, Gauthier Nancy, Gaules. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean LECLANT. Puf. 2005.
  45. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  46. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  47. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  48. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  49. BUSSON Didier, ROBIN Sylvie, Les grands monuments de Lutèce. Exposition crypte archéologique du parvis de Notre-Dame. 2010-2011
  50. GRIMAL Pierre, Voyage à Rome. Edition Robert Laffont. 2004.
  51. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  52. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  53. BECK Francoise et CHEW Helene, Quand les Gaulois étaient romains. Collection Gallimard. 1989.
  54. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  55. BECK Francoise et CHEW Helene, Quand les Gaulois étaient romains. Collection Gallimard. 1989.
  56. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  57. DEUTSCH Lorant, Metronome. Editions Michel Lafon. 2010
  58. BECK Francoise et CHEW Helene, Quand les Gaulois étaient romains. Collection Gallimard. 1989.
  59. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  60. VIAND Antide, Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.
  61. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.
  62. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.
  63. GRIMAL Pierre, Voyage à Rome. Edition Robert Laffont. 2004.

Bibliographie modifier

1. BECK Francoise et CHEW Helene, Quand les Gaulois étaient romains. Collection Gallimard. 1989.

2. BUSSON Didier, Paris ville antique Editions du patrimoine. 2001.

3. BUSSON Didier, ROBIN Sylvie, Les grands monuments de Lutèce. Exposition crypte archéologique du parvis de Notre-Dame. 2010-2011

4. CESAR Jules, La guerre des Gaules. Traduction par G.Lamothe; Librairie Hathier.1957

5. DE CARBONNIERES Philippe, Lutece. Paris Ville Romaine. Collection Gallimard. 1997.

6. DEUTSCH Lorant, Metronome. Editions Michel Lafon. 2010

7. GOUDINEAU Christian, Gauthier Nancy, Gaules. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean LECLANT. Puf. 2005.

8. GOUDINEAU Christian, Lutece. Dictionnaire de l'antiquité sous la direction de Jean Leclant. Puf. 2005.

9. GRIMAL Pierre, Voyage à Rome. Edition Robert Laffont. 2004.

10. HERON DE VILLEFOSSE René, Le passé de Paris. Paris tel qu'on l'aime. Editions Ogé. Paris. 1950

11. LAVAGNE Henri, Religion Gauloise in Dictionnaire de l'antiquité. PUF. 2005

12. POULIN Jean Claude, Geneviève 420-502 ap. JC in dictionnaire de l'antiquité. Puf. 2005.

13. ROBERT Jean –Noël, Rome. Editions les belles lettres. 1999.

14. SCHEID John, Le suburbium de Rome. Recherche sur l'organisation religieuse de Rome. Cours du collège de France. 2010.

15. VIAND Antide, Le site de Lutece. Geoguide. Gallimard.2006.



--Brodigny (d) 31 janvier 2012 à 00:27 (CET)