Utilisateur:Alycris/Brouillon

La transformation des encyclopédies

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L'Encyclopédie de Diderot et d’Alembert

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L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers est née d’une commande faite à Diderot par un libraire d'une simple traduction du dictionnaire anglais de Chambers, intitulé Cyclopœdia. Ce manuel modeste lui donna l’idée d'un vaste ouvrage qui serait l'inventaire de toutes les connaissances humaines. D'Alembert s'associa à cette pensée, dont ils comprirent toute la portée philosophique et le haut intérêt.


Le titre complet était Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et métiers, recueilli des meilleurs auteurs et particulièrement des Dictionnaires anglais de Chambers, d'Harris, de Diche, etc., par une Société de gens de lettres, mis en ordre par Diderot, et, quant à la partie mathématique, par D'Alembert, de l'Académie royale des sciences de Paris et de l'Académie royale de Berlin. La Préface disait « Le but d'une Encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre, d'en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons et de le transmettre aux hommes qui viendront après nous ; afin que les travaux des siècles passés n'aient pas été des travaux inutiles pour les siècles qui succéderont, que nos neveux, devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux, et que nous ne mourions pas sans avoir bien mérité du genre humain. »


Diderot et D'Alembert arrêtèrent le plan de l'ouvrage. Le premier écrivit le prospectus qui l'annonçait, le second le Discours préliminaire qui en exposait le plan, la méthode, les principales divisions. Tous deux s'occupèrent, le premier surtout, avec son incroyable activité, de procurer à l'œuvre commune des collaborateurs et les protecteurs indispensables. Parmi ces derniers figuraient Mme de Pompadour, d'Argenson, Richelieu, Bernis, Choiseul, Malesherbes, Turgot. Tous les écrivains qui avaient un nom se laissèrent enrôler ; Montesquieu, Buffon, promirent leur concours. Voltaire se mit à l'œuvre avec ardeur. Condillac, Duclos, Mably, Helvétius, d'Holbach, Beauzée, Dumarsais, les abbés de Prades, Yvon et Morellet, Turgot, Necker, etc., vinrent successivement prendre place dans la phalange. Les Jésuites et les jansénistes firent à l'envi des offres de collaboration qui furent repoussées.


Le privilège (autorisation d’imprimer) avait été accordé en 1746 ; les deux premiers volumes parurent en 1751. Puis l'impression fut suspendue par arrêt du Conseil du roi, pendant dix-huit mois. Autorisée de nouveau, elle subit, à partir de 1757, une seconde suspension, beaucoup plus longue : le Parlement, après une instruction de deux années, retira le privilège et prononça la suppression de l’ouvrage qui ne fut repris qu'en 1765, sans privilège nouveau, avec l'assentiment tacite du gouvernement et à la condition de dater de l'étranger les derniers volumes. La publication de l'Encyclopédie, non compris les Suppléments et les Tables, dura juste vingt ans (1751-1772, suppléments, et tables, 1780).

Difficultés de toute sorte, interdictions, poursuites, dangers personnels, Diderot avait tout bravé jusqu'au bout, profitant des courtes périodes de tolérance pour reprendre l'œuvre et la pousser en toute hâte. D'Alembert l'avait abandonnée, acceptant avec une spirituelle résignation les loisirs que lui faisait la haine des gens d'Église.


Rien de plus mêlé, au fond, et de moins homogène que l'Encyclopédie. Voltaire écrivait à Diderot : « Votre ouvrage est une Babel ; le bon, le mauvais, le vrai, le faux, le sérieux, le léger, tout est confondu. Il y a des articles que l'on dirait rédigés par un fat qui court les boudoirs, d'autres par des cuistres de sacristie ; on passe des plus courageuses hardiesses aux platitudes les plus écœurantes. »

Les hardiesses dominent. Diderot les encourage et les recherche, et ne subit qu'à son corps défendant, par nécessité ou par politique, parfois même à son insu, tout ce qui ne relève pas de l'esprit d'indépendance et d'innovation. Il dit lui-même, à l'article Encyclopédie, que cet ouvrage ne peut être tenté que par un siècle philosophe « parce qu'il demande partout plus de hardiesse dans l'esprit qu'on n'en a dans les siècles pusillanimes du goût ». La hardiesse consiste, en philosophie, à ne retenir de Descartes que le principe de la libre recherche personnelle et à substituer à son système de l'âme et du monde, la psychologie de Locke et la physique de Newton ; en théologie, à entasser autour de chaque dogme, à la manière de Bayle ou de Voltaire, toutes les difficultés formées par les hérétiques, sans prendre parti pour ceux-ci, en les combattant même, mais de manière à mettre en relief toute leur force ; en politique, à pousser à l'application des principes de Montesquieu et à faire ressortir les inconvénients, les abus de toutes les institutions servant de cortège à la monarchie du bon plaisir.

On a remarqué que le domaine où l'esprit de hardiesse des encyclopédistes parait le moins est celui de la littérature, de la rhétorique et de la grammaire. Sur ce point seul, l'autorité du passé est respectée ; nulle initiative, nulle indépendance, nulle largeur de vue. Leur horizon est circonscrit par la timide et pesante critique de Marmontel.


L'Encyclopédie avait paru dans l'ordre alphabétique, si commode pour les recherches, mais qui a l'inconvénient de rapprocher, de mêler les choses les plus diverses. L'idée première, toute synthétique, aboutissait, dans l'exécution, à l'analyse la plus confuse.


L’Encyclopédie en chiffres :

 
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– Les 35 volumes comportent 17 volumes de texte, 11 de planches, 4 de supplément, 2 d’index et 1 supplément de planches.

– Les 17 volumes de texte regroupent 71 181 articles.

– Les 2 volumes d’index (achevés en 1780) comportent 18 000 pages de texte correspondant à 75 000 entrées.

– Plus de 150 auteurs ont participé à la rédaction de l’ouvrage.

– La fabrication fit vivre quelque 1 000 ouvriers durant 25 ans.

 
encyclopedie
 
Encyclopédie vol 6-11

– 25 000 exemplaires furent vendus entre 1751 et 1782, malgré la censure et les interdictions.

Wikipedia

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Wikipédia est une encyclopédie alimentée sur internet par des volontaires. Universelle, multilingue et fonctionnant sur le principe du wiki, chacun peut y collaborer immédiatement. Wikipédia a pour objectif d'offrir un contenu libre, objectif et vérifiable que chacun peut modifier et améliorer, sans nécessité de s'enregistrer. Tous les articles de Wikipédia sont un travail en progression qui peut être modifié et amélioré par tout le monde.

Pour plus d'informations, lire l'article Wikipédia. Lisez également un résumé rapide du fonctionnement de l'encyclopédie.

Wikipédia est un projet cofondé par Jimmy Wales en janvier 2001.

Une fondation de droit américain, Wikimedia Foundation, a été créée le 20 juin 2003. Sa mission est de soutenir le développement de l'ensemble des projets Wikimédia (dont Wikipédia) et d'aider à la diffusion de l'information collectée. Cette fondation possède les noms de domaine, les noms de marques et les serveurs du site.

À l'automne 2003, une très forte croissance a rendu nécessaire l'achat de plusieurs serveurs supplémentaires. À cette occasion, un système de donation a été mis en place. En l'espace de quinze jours, 40 000 dollars ont été recueillis. La majeure partie de cette somme a été réinvestie dans l'infrastructure. Un an plus tard, dans le même temps, 50 000 dollars sont collectés. Au total, depuis 2003, plusieurs millions de dollars de dons ont été faits à la fondation Wikimedia. L'essentiel de nos revenus provient de dons de lecteurs.


Assez rapidement après sa création (Wikipédia en français a été fondée le 23 mars 2001), les contributeurs ont poussé au développement des versions en d'autres langues que l'anglais. Envisagées au début comme de simples traductions, les versions dites « internationales » (comprendre non anglophones) sont maintenant partie intégrante du projet. Chaque langue partage une adresse similaire, commençant par un code de langue, suivi de .wikipedia.org. Par exemple : en pour l'anglais, fr pour le français, ja pour le japonais, etc. Le plus fort taux de croissance est observé sur les Wikipédias en version non anglophones démontrant par là même la nature de plus en plus internationale du projet. Le projet totalise rapidement plus d'articles dans d'autres langues qu'en anglais.

Vous pouvez consulter les statistiques de fréquentations de la partie francophone ici, ainsi que des statistiques détaillées sur l'ensemble de l'encyclopédie à [1].

Wikipédia est librement distribuable : elle est non seulement disponible gratuitement sur Internet, mais peut aussi être copiée, utilisée et vendue librement, tant que la source et les auteurs sont mentionnés. En effet, les auteurs permettent la réutilisation du contenu à travers la licence Creative Commons BY-SA 3.0.

La licence CC BY-SA 3.0 sous laquelle sont distribués tous les articles de Wikipédia permet à chacun de réutiliser librement et gratuitement le contenu de l'encyclopédie comme il le souhaite, y compris pour des usages commerciaux. L'utilisateur s'engage à respecter les engagements de la CC BY-SA 3.0 tant dans les copies conformes que dans les versions modifiées et doit créditer les auteurs des articles comme source.

Neutralité de point de vue

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Article détaillé : Wikipédia:Neutralité de point de vue.

La neutralité de point de vue est un élément absolument essentiel du projet. L'objectif d'une encyclopédie telle que Wikipédia est de fournir un ensemble cohérent de connaissances synthétiques, exposées dans le respect de la neutralité des points de vue. Dans la mesure du possible, toute écriture encyclopédique, telle que nous la concevons, doit se garder de prendre parti pour un point de vue ou un autre.

La neutralité consiste à présenter les idées et les faits de façon à satisfaire les partisans autant que les détracteurs. Bien entendu, il est difficile de parvenir à un accord dans 100 % des cas ; certains idéologues seront sans concession et chercheront à imposer leur propre point de vue. Sur Wikipédia, nous cherchons uniquement à respecter des règles d'écriture à même de convenir aux personnes rationnelles, même si celles-ci ne sont pas toujours du même avis.

La politique de neutralité de Wikipédia indique que nous nous devons d'évoquer toutes les facettes pertinentes d'un point controversé, et que l'article ne doit en aucune façon déclarer, sous-entendre ou même insinuer, qu'un des points de vue est celui qui est correct a priori.

La neutralité de point de vue n'implique cependant pas la représentation à égalité des différents points de vue. On accordera naturellement plus de place à des points de vue répandus, notamment chez les spécialistes, et bien étayés, qu'au point de vue de certains groupes minoritaires. De plus, si un point de vue est très minoritaire, par exemple soutenu uniquement par des groupes de tendances idéologiques spécifiques, il sera décrit comme tel.

Fonctionnement de Wikipédia

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Chaque page du site comporte un lien « Modifier » sur lequel tout visiteur peut cliquer pour modifier ce qu'elle contient, ajouter ou supprimer des éléments d'information. Chacun peut aussi créer de nouvelles pages, amenant le site à grandir.

Le site est aussi assorti de multiples fonctionnalités permettant de faciliter sa consultation et sa gestion. Il est ainsi possible de consulter à tout moment les dernières modifications apportées à l'ensemble du site (nouvelles pages, nouvelles contributions…). Pour l'édition des pages, une syntaxe wiki, sorte de langage html très simplifié, permet de traiter la mise en page et l'activation de liens.

Dans Wikipédia, les participants ajoutent leurs contributions à celles des autres ; ils corrigent les erreurs d'autres rédacteurs et travaillent ensemble sur les thèmes éventuellement controversés en respectant une neutralité de point de vue. Un dispositif de sauvegarde permanent permet de revenir au besoin à une version précédente. Tout l'historique des contributions est conservé. Ainsi, même en présence d'un « vandale » (le nom donné aux personnes qui effacent ou détériorent une page wiki), l'encyclopédie n'est pas mise en danger.

Tout contributeur peut se créer un compte avec un nom et un mot de passe, mais ce n'est pas obligatoire. Les contributeurs enregistrés bénéficient d'une page personnelle et de fonctionnalités supplémentaires. De fait, la plupart des contributeurs sont enregistrés. Il y a actuellement plusieurs dizaines de milliers de contributeurs pour la partie francophone et plusieurs centaines de milliers pour la partie anglophone.

Certains contributeurs ont des droits supplémentaires : ce sont des administrateurs. Ceux-ci peuvent supprimer des pages, bloquer ou débloquer une page, et aussi bloquer un contributeur, lorsque les règles de l'encyclopédie ne sont pas respectées. Ils n'ont en revanche aucune prérogative éditoriale. Les admins ou sysop sont choisis par consensus parmi les contributeurs ayant déjà plusieurs mois de participation.

Information technique

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L'encyclopédie peut exister grâce à un logiciel de type wiki : MediaWiki. Développés à l'origine par des communautés de développeurs de logiciels open source, les wikis sont des sites web dynamiques et collaboratifs : chaque lecteur peut modifier la page qu'il est en train de lire, simplement et rapidement. Le langage utilisé, dit wiki, est plus simple que le HTML (deux apostrophes pour mettre en italique, trois pour mettre en gras, deux crochets pour un lien, etc.). Sur un wiki, la limite entre le visiteur et l'auteur tend à disparaître. Créé en 1995 par Ward Cunningham, le wiki tire son nom du mot hawaïen wikiwiki, qui signifie « vite ».

Les besoins techniques sont importants. En décembre 2003, les projets Wikimedia nécessitaient quatre serveurs, en septembre 2004, nous possédons vingt-quatre serveurs, fin 2004, plus de quarante serveurs, et en octobre 2005, plus de cent vingt serveurs sont en cours d'utilisation. L'achat de serveurs, la bande passante, l'hébergement forment le plus gros du budget.

Comparaison entre la page de titre de l'encyclopédie d'Alambert et la page d'accueil de Wikipedia

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- La page d'accueil, page d'entrée ou home page en anglais, est la page principale d'un site web, elle se distingue des autres pages du site par le fait qu'elle est censée représenter, à l'internaute visiteur, le site sur lequel il se trouve de manière claire et forte.

Typiquement, elle renseigne sur le propriétaire et le contenu du site. Elle se situe au sommet d'une hiérarchie de pages, éventuellement rangées en sections. Les sites multilingues proposent généralement une page d'accueil par langue.

La page d'entrée des entreprises multinationales contient parfois une simple liste d'hyperliens vers leurs filiales. On peut aussi trouver une liste d'hyperliens aux pages d'accueil de chaque langue disponible, mais en général les hyperliens de langue sont disponibles dans la page d'accueil elle-même, et la langue du visiteur peut être automatiquement détectée. Dans les sites dont le contenu peut choquer, on y trouve le plus souvent un avertissement et une invitation, soit à entrer dans le site, soit à le quitter. Dans les sites d'orientation publicitaire et certains petits sites, une animation d'introduction distrayante est parfois proposée. Elle est généralement contournable pour ne pas perdre de temps. Enfin, dans tous les sites de grands acteurs du Web, la page d'entrée est aussi la page d'accueil

Souvent, chacune des pages d'un site Web comporte, toujours au même endroit quelle que soit la page, un hyperlien vers la page principale, afin d'y retourner facilement.

Selon la règle des trois clics, un visiteur doit pouvoir accéder à n'importe quelle page d'un site Web en suivant au plus trois hyperliens depuis la page d'accueil.

Lors des débuts du World Wide Web, dans la première moitié des années 1990, une part importante des pages Web appartenait à des étudiants ou enseignants disposant d'un compte UNIX dans leur université. En effet, il suffisait que l'administrateur du système ait installé un serveur HTTP, pour que le contenu d'un répertoire (public_html par défaut) à la racine de chaque compte soit automatiquement servi. Or sur UNIX, le répertoire à la racine d'un compte est appelé home et la variable d'environnement HOME contient son chemin (par exemple /home/nom_de_login). L'URL de ces home pages est généralement de la forme http://departement.universite.edu/~nom_de_login/. C'est ainsi que l'appellation home page est apparue puis s'est étendue jusqu'au sens actuel.

Les pages d’accueils personnalisées sont apparues durant la décennie 2000 (car rendues possibles grâce aux technologies du Web 2.0), ces pages permettent à des utilisateurs d'internet de personnaliser une page web hébergée sur un certain serveur spécialisé. La personnalisation consiste le plus souvent à choisir d'y inclure des flux RSS (fonction de type agrégateur), des actualités, des informations météo.

Les nuances sont minces entre une "Page d'accueil personnalisable" et un "portail web" personnalisable.[pourquoi ?]

L’Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, de son vrai nom l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers est une encyclopédie ou encore dictionnaire universel des arts et des sciences. Cette encyclopédie élaborée à partir de 1746 par Diderot a été rédigée en 21 ans, entre 1751, pour la publication de son premier volume, et 1772, pour le dernier volume des planches.

Il y a 17 volumes de texte, 11 volumes de planches, 25 000 pages et 60 000 entrées... Pour l'époque c'est presque une prouesse d'avoir mis des images pour chaque métier, puisque la photographie n'existait pas encore. Les collaborateurs de ce livre ont donc fait un immense travail. Il a fallu 42 ans pour publier les ensembles de cette encyclopédie.


- L’Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, de son vrai nom l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers est une encyclopédie ou encore dictionnaire universel des arts et des sciences. Cette encyclopédie élaborée à partir de 1746 par Diderot a été rédigée en 21 ans, entre 1751, pour la publication de son premier volume, et 1772, pour le dernier volume des planches.

Il y a 17 volumes de texte, 11 volumes de planches, 25 000 pages et 60 000 entrées... Pour l'époque c'est presque une prouesse d'avoir mis des images pour chaque métier, puisque la photographie n'existait pas encore. Les collaborateurs de ce livre ont donc fait un immense travail. Il a fallu 42 ans pour publier les ensembles de cette encyclopédie.

Sur le plan didactique, on peut noter 3 options:

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- Le classement alphabteique, qui facilite le reperage

 
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- Le recours à l'étymologie, qui permet d'expliquer le sens et de souligner les diferrentes connotations prises par un mot au cours de son évolution.

- Les planches et les schémas

Sur le plan critique, vient de ce que Diderot appelle "les ruses de raisons". En voici quelques unes:

- le systéme alphabteique

- le système des renvois d'un article à l'autre à une éfficacité du meme genre.

- enfin la structure de certains articles masque leur virulence.

Ces differents procédés permettent de comprendre l'inquiétude et l'hostilité des milieux politiques.

[1]

Sources

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- http://salon-litteraire.linternaute.com/fr/resume-d-oeuvre/content/1861904-l-encyclopedie-de-diderot-et-d-alembert-resume

- https://www.espacefrancais.com/lencyclopedie-du-xviiie-siecle/

- https://www.google.com/search?q=Encyclop%C3%A9die+de+Diderot+et+d%E2%80%99Alembert&rlz=1C1AVFC_enFR874FR874&sxsrf=ALeKk02-iCc6WI6CDRe9H4wflHCC0S5ycA:1585997656604&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjGy77Xzc7oAhVizoUKHeoEASAQ_AUoAXoECB8QAw&biw=1345&bih=608#imgrc=lKYZv1Wp73Q2xM

  1. « Création de Utilisateur:Alycris/Brouillon », dans Wikipédia (lire en ligne)