Paul Barbe (militaire)

militaire français
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Paul Louis Arthur Barbe, né à Paudy (Indre) le , mort pour la France le à Mettet en Belgique, est un général de division à titre temporaire (TT) de l'armée française.

Paul Barbe
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Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 58 ans)
Mettet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Paul Louis Arthur BarbeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Allégeance
Formation
Activité
Autres informations
Arme
Grade militaire
Général de division (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Conflit
Distinction
Archives conservées par

Sa sépulture se trouve dans la nécropole française de Chastre[2].

Biographie modifier

Paul Barbe est le petit-fils d'Arthur Nouail de La Villegille.

En 1931, il prend le commandement du 6e régiment de dragons. Il commande ensuite la 3e division d'infanterie motorisée[3]. Le , il est nommé commandant la cavalerie au Levant au Liban. Le , il devient commandant de la 4e division légère de cavalerie[4] qui vient d'être créée au sein de la 9e Armée. Lors de la bataille de Dinant, il est tué par un tir allemand alors qu'il prend contact avec le colonel du 14e régiment de dragons portés[5].

Il est l'un des treize officiers généraux français morts au cours des opérations de mai-juin 1940.

Distinctions et grades modifier

  • Avancement :
    • lieutenant-colonel ()
    • colonel ()
    • général de brigade ()
    • général de division (TT) ()[5]
  • Distinctions :
    • commandeur de la Légion d'honneur

Notes et références modifier

  1. « https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf »
  2. Numéro de la sépulture 525.
  3. Revue historique des Armées, op. cit..
  4. « Général de division Barbe », sur Musée des étoiles
  5. a et b Claude Franc, « Le Commandement français en 1940 : les généraux tués à l'ennemi en mai-juin 1940 », Le Casoar, no 199,‎ , p. 36-38 (lire en ligne).

Bibliographie modifier

  • Revue historique des Armées, 1979, no 4, pp. 226-227