Liste des maîtres de la province de Castille, León et Portugal de l'ordre du Temple

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Cet article présente une liste des maîtres de la province de Castille, León et Portugal de l'ordre du Temple.

Province de Castille, León et Portugal modifier

(la): « Magister militie Templi trium regnorum Hispanie » (Legionis, Castelle et Portugalie)

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Fernando Díaz
(† 1206)
1200-1206[1] (Maître en Espagne, (la) : « Fernandus Didacus, Magister militie Templi in Hispania »)[2]
fr. Sancho Fernández 1206 ((la):Sancio Fernandi)
Cité comme maître dans un acte relatif à la commanderie de Benavente (León) en
[3] ; Maître de la province selon Martínez Díez[4], du León uniquement d'après Pereira Martínez[1].
fr. Gómez Ramírez
(† )[5]
1210-1212[6],[7] [Probable]
((la):Gomecii Ramirit)
((pt): Gomes Ramires)
[8]
Pas de preuve directe qu'il ait été maître des trois royaumes d'Espagne même si c'est probable[1].
Attesté comme maître de Portugal en 1209
[7], il conclut un accord avec Alphonse IX de León en pour la restitution des forteresses d'Algodor, Alcañices, Ponferrada et autres[9], commandait les templiers lors de la bataille de Las Navas de Tolosa où il est blessé, meurt à Úbeda le [5],[10],[11],[12]
fr. Pedro Alvítiz
(Pedro Álvarez, Alvítez)[1]
1213 - 1223[13] ((la) : Petrus albiti(s), Alviti)
1214-1215 : « magister militie Templi in quibusdam partibus Yspaniæ »
[14]
1216-1217 : « magister militie Templi in Hispania »[15],[16]
1218: « Petro Alvarez, magistro Templi »[17]
1220 : « magister militie Templi trium regnorum Hispanie »[15].
Signataire d'un accord avec l'évêque d'Astorga (1213)
[18],[19],
majordome royal (es) d'Alphonse IX de León (1214)
[20],[21],
s'illustre lors de la bataille d'Alcácer do Sal (1217)
[22], plusieurs chartes à partir de 1220[15],[23].
Promu exécuteur testamentaire d'Alphonse II de Portugal (1221), il contracte d'importantes dettes afin de défendre les possessions chrétiennes de sa province et fut jugé par ses pairs, le pape Honorius III intercédant en sa faveur auprès de Pierre de Montaigut (1223-1224)
[24],[6],[25],[26],[27],[28]
Pedro Anes 1223 [Incertain]
Il est « maître » de Portugal à cette date[1],[29]. Peut-être assure-il l’intérim durant la période de disgrâce de Pedro Alvitiz (1223/24), ce dernier n' ayant pas démissionné mais a été renvoyé à la curie avant de reprendre ses fonctions[24].
Il se pourrait que Martín Sánchez que l'on trouve en 1228 soit maître de Castille et León l'année suivante mais la date du document où il apparaît est incertaine (c. 1224)
[N 1].
fr. Pedro Alvítiz
(Pedro Álvarez, Alvítez)[1]
1224 - 1227[24] [13],[32]
Henri III d’Angleterre lui paya les services d’un bateau et d’un frère du Temple (fr. Thomas) pendant la guerre contre le royaume de France (1224-1226)[33].
fr. Martín Sánchez
(† 1234)
1228[34] ((la): Martinho Sanches)
((pt): Martim Sanches)
Maître de Castille et León (c. 1224)
[30],[31].
Commandeur du Temple en Galice (1227), il n'est pas maître à cette date, actant au nom de Pedro Alvítiz, maître des trois royaumes
[1].
Maître des trois royaumes (1228)
[29],[35], il a démissionné de sa charge, remplacé selon certains auteurs par Guillermo Fulconis cette même année[34]. Puis désigné commandeur de Portugal mais il meurt avant de prendre ses fonctions[36].
fr. Estève de Belmonte 1229/30 - 1237/39[34],[37] (la) : Stephanus de Belmonte, de Bellomonte
(ca): Esteve de Bellmunt, (es) : Esteban de Belmonte
(pt) : Estevão de Belmonte
Cité par certains auteurs comme maître des trois royaumes d'Espagne à partir de 1229
[34],[29], 1230 d'après les sources les plus récentes[37],[38]. Il s'est rendu en Terre sainte en 1232[39]. D'origine catalane selon Damien Carraz[40]. Gutton indique qu'il est mort en 1237[41]
(?): « in istis tribus Regnis, Portugaliæ, Legionis, atque Castelæ, Preceptor »[42]
: « S. de Belmonte, magistrum milicie templi in tribus regnis Yspanie »[43]
avant 1233: « instanti magistro ordinis milicie Templi in quinque regnis Hyspanie »[44],[N 2]
déc 1236: « magistrum militiae Templi in istis regnis Hispania »[46]

Commandeur de Castellote (1217-1220), Villel (1221), Cantavieja (1224)[47]
Maître de Provence et partie des Espagnes (1239)[37],[47],[48]
Maître de la province de Provence en 1246[37],[49]
fr. Guillermo Fulconis
(Guilhelme Fulcon, † 1239/40)
1239 [Sources contradictoires][N 3]
(la): Guilhermus Fulconis, Vilhelmus Fulq's
(pt): Guilherme Fulcon
: « per mandatum Domni Vilhelmus Fulq's Magister Templi cum concilio »
[56]
: « & vobis Guilhermo Fulconis Præceptori Domorum Militiæ Templi in tribus regnis Hispaniæ »[57]
: « D. Guilherme Fulcom, Mestre nos trez Reinos, e Commendadore da Ordem do Templo em Portugal D. Pedro Costem »[29]

Il tombe malade et sa mort provoque un conflit majeur entre les templiers de Portugal et ceux de Castille et León à propos de sa succession dont on trouve mention dans les retraits de la règle du Temple[34],[58].
Vacant c. 1240[N 4] [Aucun maître officiel des trois royaumes d'Espagne]
À la suite du décès de Guillermo Fulconis, scission entre les Templiers de Castille et León et ceux de Portugal. Un lieutenant (« en luec de Comandeor »)[N 5] pour chaque royaume[58]:
fr. Adam pour la Castille et le León

fr. Raimond de Lunel pour la baillie de Portugal
fr. Martín Martínez
(† )[59]
1241 - 1244[34] ((la) : Martinus Martini)
((pt): Martim Martins)
1241 : (la) « preceptor domorum militie Templi in tribus regnis Yspanie »
[60]
1244 : (la) « magister Templi in tribus regnis Yspanie » comme signataire du traité d'Almizra ()
[61],[62]
Attesté avec ce titre jusqu'au
[63],[64]
Il prend part au siège de Séville entamé en et meurt après neuf mois[59]
fr. Pedro Gómez 1247[N 6] - 1249[65] ((la): P. Gomecii)
: « frater P. Gomecii, Militiae Templi in tribus Regnis Hispaniae Magister »
[66]
: « Pedro Gomes Mestre dos Templarios nos tres Reynos de Espanha » pendant le siège de Séville[69]
: « P. Gomecii magistrum et fratres domus milicie templi[70]
Autres sources:[71],[68]
fr. Paio Gómez 1250 - 1253[65] ((la): Pelagius Gomesii)
Il renonce à sa charge en 1253
[65].
fr. Martín Núñez 1253 - 1265[65] ((pt): Martinho Nunes)[25],[72],[73]
fr. Lope Sánchez 1265[65],[74]-1266[6] Il cumule cette charge avec celle de visiteur pour la péninsule ibérique[75]
fr. Juan Eanes 1267-1268[65],[76] Peut-être commandeur de Benavente (1271/72) s'il s'agit de Oyraz Eanes[77],[78] ?
fr. Guillén 1269-1273[65],[76],[79] [6]
Gonçalo Martins 1266[25](1269) - 1271

Commandeur d’Acre (1262)[80].

fr. Garci Fernández 1271[6] ou 1272[65] Uniquement en Castille et León[65]
Beltrão de Valverde 1273 - 1277 (Beltran de Valverde)[25]
João Escritor 1280 - 1283[25]
fr. João Fernandes 1283 - 1285 Poussé à l'exil par Gómez García en 1285[81], il ne dirige plus que la baillie de Portugal jusqu'en 1288 tout en continuant d'acter avec le titre de maître des trois royaumes[N 7].
Camérier du pape à partir de 1296
[82],[83],[84]

Baillie de Portugal modifier

Période pendant laquelle les commanderies portugaises furent encadrées par un commandeur de Portugal ((la):« Commandator Templi totius Portugalis, ... in Portugalia ») subordonné au maître des trois royaumes d'Espagne. On trouve également des maîtres de Portugal pendant cette période, alors que la dignité de maître des trois royaumes d'Espagne existe toujours.

Commandeur[85] Période Commentaires
fr. João Domingues 1208[86] Précepteur de la baillie de tomar (1177)
fr. Simeão Mendes 1214[14] (la):Simeom Menendi, commandator Templi in Portugalia[87]
Commandeur de Tomar (1230/31)[88]
... ... ...
fr. Pedro Anes 1223[34]-1224[89] (la): Petrus Joannis,
Apparaît uniquement en 1223
[29],[34],[90], Capêlo proposant d'étendre la période jusqu'à 1224[89], une source plus ancienne mentionnait 1221-1224[91].
fr. Martim Sanches
(† 1234)[29]
1234 (?) [Dates incertaines][N 8]
((la): Martinho Sanches)
((es): Martín Sánchez)
Les sources primaires indiquent qu'il était :
Maître de Castille et León (c. 1224)
[30],[31]
Commandeur du Temple en Galice, actant au nom de Pedro Alvítiz, alors maître des trois royaumes (1227)
[96] qui avait conservé sa charge[24].
Maître des trois royaumes d'Espagne en 1228
[35],[N 9] mais il semble renoncer à sa charge, remplacé par Guillermo Fulconis[34] ou Estevão de Belmonte[89].
Il a bien été élu commandeur de Portugal
[34] mais il est mort avant de se rendre dans sa baillie, tel que mentionné dans le retrait n° 581 de la règle française du Temple[36].
Pas de sources primaires relatives à ses fonctions en 1225-26 mais après 1229, il n'a plus de titre si ce n'est celui de frère jusqu'à son élection comme commandeur de Portugal qui aurait donc eu lieu en 1234, année de sa mort d'après Viterbo
[29].
fr. Pedro Costem 1239[29],[98] (la): P. Costem, Comendatoris Templi Ordinis in Portugalia.
Ou en 1238 (?) tel qu'indiqué dans la source primaire (Figueiredo)
[99].
fr. Raimond de Lunel c. 1240[N 4] [Tenant lieu de commandeur][58],[N 5]

Chamberlain de Tortose (1228-1231)[47]
Commandeur de Tortose (1234)[47],[100]
Chamberlain, tenant lieu de commandeur de Monzón (1238)[100]
fr. Rodrigo Dias 1242[101] [Incertain]
Pas de sources primaires, Il apparaît dans une liste publiée par Figueiredo en 1800
[102], l'information étant reprise par Viterbo[29] et figure toujours dans les listes proposées par certains historiens portugais[101],[103]
fr. Gonçalo Fernandes 1253[73] Commandeur de Portugal, [73]
On trouve également Gonçalvo Fernandes avec ce titre en 1262[104]
fr. Afonso Gomes 1261[105] (la):Alfonsus Gomecii, magister milicie Templi in Regno Portugalie.
À ce moment-là, le maître des trois royaumes d'Espagne semble être Martín Núñez
[65].
On retrouve le même nom de 1288/89 à 1290
[89],[106].
fr. Gonçalvo Fernandes 1262[104] Commandeur majeur de Portugal.[104]
Même individu qu'en 1253 ?
fr. Gonçalo Martins 1265-1271
[89],[107],[73]
(Gonsalve Martin, maître de Portugal)
Commandeur d'Acre (1261-1262)
[108],[80]
Durant cette période, on trouve comme maître des trois royaumes d'Espagne
[65] :
fr. Lope Sánchez (1265)
[74], Juan Eanes (1267-1268)[76], fr. Guillén (1269-1273)[76],[79]

Notes modifier

  1. Archivo Histórico Nacional, Tumbo Menor de Castilla, nº 101, pp. 337- 339. Publié dans O'Callaghan, Hermandades between the Military Orders[30], publication partielle dans Mascareñas, Apología en 1651[31].
  2. « quinque regnis Hyspanie » soit les cinq royaumes d'Espagne. Avis divergents selon les auteurs quant à l'aire géographique concernée. La source dans laquelle est publiée cette charte indique que cela correspond à: Portugal, León, Castille, Aragon et Navarre[44] mais ce n'est pas l'avis de Gonzalo Martínez Díez qui infirme cette hypothèse (León, Castille et Portugal uniquement)[45]. Ferdinand III de Castille était roi de Castille depuis 1217 et du León à partir de 1230 reformant ainsi la couronne de Castille.
  3. L'acte où il apparaît ne serait pas de 1239 mais de 1228 d'après Pereira Martínez[34] qui se base sur l'édition révisée de l'ouvrage de Viterbo par Mário Fiúza[50]. José Manuel Capêlo n'est pas de cet avis, le donne comme maître des trois royaumes de 1239 à 1242, élu lors d'un chapitre en mai 1239, il ne mentionne qu'un seul acte en juin 1239 relatif à la donation faite à Fonte Arcada (pt) par Froilhe Hermigues (Fruíla Ermiges) de Lauredo ((la): « quam habeo in Lauredo prope Caldis de Arregos »[51]. À priori Louredo de Baixo, Miomães (pt)) près de Caldas de Aregos (pt)), Santa Olaia (pt) et Cinfães[52]. Froilhe Hermigues ayant déjà donné Vila Franca de Xira[29],[53] et toutes ses possessions en Castille et au Portugal en 1228[54]. Les sources primaires ont été publiées dans un ouvrage du XVIIIe siècle (Bernardo da Costa, 1771), deux documents tous deux datés de 1277[55] dans le calendrier julien, donc 1239.
  4. a et b Date indéterminée, les retraits relatifs à cet événement ne mentionnent pas de date[58] mais postérieur à juillet 1239 et antérieur à la nomination de Martín Martínez qui est attesté en 1241.
  5. a et b « Et quant il fu mort frere Adam dist que il estoit en luec de Comandeor, et frere Reimont de Lunel dist qu'il avoit esté avant de lui, et sur ce orent contrast; »[58]
  6. À partir de juin 1247 si on suit l'opinion de Carlos Pereira Martinez[65] qui prend sa source chez Viterbo[66] sachant que ce dernier cite le Torre do Tombo, Leitura Nova, liv. 53 (Livro de Mestrados), fol. 36. La classification des archives nationales portugaises a été modifiée depuis, le « livre des maîtres » ayant été numérisé (lire en ligne) mais la charte relative à la donation de Maria Paes dans laquelle il apparaît (fol. 36) semble avoir été perdue ou tout au moins n'a pas été numérisée, cf. l'index des documents numérisés et rattachés à ce livre (même lien). Les historiens portugais proposent 1248[67],[68] comme année d’élection partant du principe qu'il n'aurait remplacé Martim Martins (Martín Martínez) qu'à la suite de son décès en avril/mai 1248 (après 9 mois de siège) pendant le siège de Séville. Rien ne permet d'affirmer que Martín Martínez était toujours maître des trois royaumes pendant ce siège, tout au moins on sait qu'il y a participé et qu'il y a été tué grâce à une chronique de l'époque[59], une autre chronique confirmant la présence autour de Séville de Pedro Gómez, maître des trois royaumes le 05 mai 1248[69].
  7. Officiellement il est resté maître des trois royaumes jusqu'en 1288 mais dans les faits, Gómez García est le seul à acter en Castille et León à partir de 1285 bénéficiant de l'appui du nouveau roi Sanche IV de Castille[81].
  8. Nombreuses sources contradictoires[6],[29],[31],[92],[93],[94],[90],[95].L'opinion des historiens portugais est qu'il était maître de Portugal de 1224 à 1229 et des trois royaumes d'Espagne[89] mais ce n'est pas l'avis des historiens espagnols notamment Pereira Martínez[13].
  9. Donation de Froilhe Hermigues dont on peut consulter l'original aux archives nationales du Portugal[54] ou lire la transcription dans Costa 1771, p. 265-266 (doc. 49). Il préside également le chapitre provincial de l'ordre à Castelo Branco cette année là[29]. On trouve également mention de ce maître dans les archives de l'ordre de Calatrava en tant que maître en Castille et León[31] à priori en 1228[97].

Références modifier

  1. a b c d e f et g Pereira Martínez 2003, p. 2
  2. Martínez Díez 1993, p. 39
  3. (es) Pilar Loscertales y García de Valdeavellano, Tumbos del monasterio de Sobrado de los Monjes : Tumbo segundo e índices, vol. 2, , 708 p. (ISBN 978-84-369-0072-9, présentation en ligne), p. 207
  4. Martínez Díez 1993, p. 64-66,95
  5. a et b (la) Rodericus Ximenes de Rada, De rebus Hispaniae, vol. ?, ? dans « Opera omnia », Textos medievales, no 33,‎
  6. a b c d e et f Campomanes 1747, p. 262-263, lire en ligne sur Google Livres.
  7. a et b Viterbo 1865, p. 241-242
  8. Gutton 1982, p. 16-17, 25
  9. (es) Julio González, Alfonso IX : colección diplomática, vol. 2, (présentation en ligne), p. doc. 274
  10. (es) Gonzalo Martínez Díez, Alfonso VIII, rey de Castilla y Toledo, Editorial la Olmeda, (lire en ligne), p. 204
  11. Martínez Díez 1993, p. 40-41
  12. Francis Gutton, L'Ordre du Temple, l'Ordre du Christ, l'Ordre d'Avis, l'Ordre de Santiago : la chevalerie militaire au Portugal, P. Lethielleux, , 205 p. (ISBN 978-2-249-60152-1, présentation en ligne), p. 16-17, 25
  13. a b et c Pereira Martínez 2003, p. 2-3
  14. a et b Viterbo 1865, p. 242
  15. a b et c Martínez Díez 1993, p. 64
  16. (la) G.H. Pertz et Carolus Rodenberg, Monumenta Germaniae historica : inde ab anno Christi quingentesimo usque ad annum millesimum et quingentesimum, t. I, (lire en ligne), p. doc. 35
  17. (es) B. Palacios Martín, Colección diplomática medieval de la Orden de Alcántara (1157?-1494), (présentation en ligne), p. 33-34, doc. 63
  18. Biblioteca Nacional, mss. 4357, fol. 64v et 191v, « P. Francisco Méndez (O.S.A.): índice de las escrituras de la S. Iglesia de Astorga dentro y fuera de los tumbos ».
  19. (es) Rodriguez López, Episcopologio Asturicense, vol. 2, (lire en ligne), p. 258
  20. (es) Carlos de Ayala Martínez, Libro de privilegios de la orden de San Juan de Jerusalén en Castilla y León (siglos XII-XV) : Ms. H211 del Museum and Library of the Order of St. John, de Londres, Instituto Complutense de la Orden de Malta, , 860 p. (ISBN 978-84-7491-530-3, présentation en ligne), p. 397
  21. (es) Archivos leoneses, vol. 20, Centro de Estudios e Investigación San Isidoro, (présentation en ligne), « 39 à 40 », p. 348
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  23. (es) Alonso de Torres y Tapia Torres y Tapia, Cronica De La Orden De Alcantara, vol. 1, (lire en ligne), p. 220-221
  24. a b c et d Pierre-Vincent Claverie, Honorius III et l'Orient (1216-1227) : Étude et publication de sources inédites des Archives vaticanes (ASV), Leiden, Brill, , 516 p. (ISBN 978-90-04-24561-7, lire en ligne), p. 261-262
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  27. Viterbo 1865, p. 242-244
  28. (pt) André Jean Paraschi, História dos Templários em Portugal : a fundação & os mestres da ordem, Sol Invinctus, , 99 p. (présentation en ligne), p. 35-41, 96
  29. a b c d e f g h i j k et l Viterbo 1865, p. 244
  30. a b et c Joseph F. O'Callaghan, « Hermandades between the Military Orders of Calatrava and Santiago during the Castilian Reconquest, 1158-1252 », Speculum, vol. 44, no 4,‎ (lire en ligne), p. 617-618
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  32. Viterbo 1865, p. 243
  33. Josserand 2008, p. 12 (note 89)
  34. a b c d e f g h i j et k (es) Carlos Pereira Martínez, « Los Maestres de la Orden del Temple en los Reinos de Galicia, León y Castilla », Revista V Feira Franca Medieval,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  35. a et b Biblioteca Nacional, mss. 13604, fol. 92, 169 et 177.
  36. a et b Articles 580-581 de la règle française:Upton-Ward 1997, p. 150; Curzon 1886, p. 301-302. Voir également l'édition de la règle catalane: Archivo de la Corona de Aragón et Upton-Ward 2003, p. (art. 158)
  37. a b c et d Forey 2015, p. 207 ; Léonard 1930, p. 96,115
  38. Martínez Díez 2001, p. 100-101, 108, 422
  39. Josserand 2008, p. 12 (note88)
  40. Carraz 2005, p. 319
  41. Gutton 1982, p. 19
  42. Viterbo 1865, p. 244
    Viterbo indique qu'il a consulté le document original mais il ne précise son origine.
  43. (es + la) Jose Luis Martín (dir.), Documentos de los archivos catedralicios y Diocesano de Salamanca (siglos XII-XIII), Universidad de Salamanca, , 687 p. (ISBN 978-84-600-1017-3, lire en ligne), p. 269 (n°185b)
    L'auteur le nomme Sancho de Belmontemais la charte contient « S. de Belmonte », il faut lire Stephanus.
  44. a et b (es + la) Julio González, Reinado y diplomas de Fernando III : Documentos (1217-1232), t. 2, (ISBN 978-84-7231-855-7, présentation en ligne), doc. 575
  45. Martínez Díez 1993, p. 65
  46. (es + la) Julio González, Reinado y diplomas de Fernando III : Documentos (1233-1253), t. 3, (ISBN 978-84-7231-855-7, présentation en ligne), doc. 579 ; Bullarium Ordinis Militiae de Alcantara 1759, p. 73
  47. a b c et d (en) Alan John Forey, « Appendix II : Lists of Officials », dans The Templars in the Corona de Aragon, (lire en ligne), p. 420-421
  48. Martínez Díez 2001, p. 69
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  50. (pt) Joaquim de Santa Rosa de Viterbo et Mário Fiúza, Elucidario das palavras : termos e frases que em Portugal antigamente se usaram e que hoje regularmente se ignoram, vol. 2, Livraria Civilização, , 779 p. (OCLC 489673784, présentation en ligne), p. 103
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  56. Costa 1771, p. 270 (doc. 56)
    1277 dans le calendrier julien correspond à l'année 1239 de notre calendrier
  57. Costa 1771, p. 271-272 (doc. 57)
  58. a b c d et e Articles 582-583 de la règle française:(en) Judith Mary Upton-Ward, The rule of the Templars : the French text of the rule of the Order of the Knights Templar, Boydell Press, , p. 150-151 ; (es) Judith Mary Upton-Ward, El Código Templario : Texto íntegro de la Regla de la Orden Del Temple, Ediciones Martínez Roca, , 288 p. (ISBN 978-84-270-2593-6, présentation en ligne), p. 192-193 ; Curzon 1886, p. 302-303. Article 159 de la règle catalane:(en) Archivo de la Corona de Aragón et Judith Mary Upton-Ward, The Catalan Rule of the Templars : A Critical Edition and English Translation from Barcelona, Archivo de la Corona de Aragón, 'Cartes Reales', Ms. 3344, Boydell Press, , 113 p. (ISBN 978-0-85115-910-2, présentation en ligne), art. 159
  59. a b et c (pt) Amorim Rosa, Anais do Município de Tomar, vol. VIII, Câmara Municipal de Tomar, , p. 108-109
  60. (es) José Ángel Rey Caiña et al., « Benedictinos y Templarios en Guntín (S. XXVI) », dans AAVV: Actas del II Colóquio Galaico-Minhoto, vol. 2, Santiago, Instituto Cultural Galaico-Minhoto, , p. 247
  61. Martínez Díez 1993, p. 50,65
  62. Document publié (entre autres) dans : (la) Andrés Giménez Soler, La Corona de Aragón y Granada : Historia de las relaciones entre ambos Reinos, Barcelone, (lire en ligne), p. 14-15
  63. Martínez Díez 1993, p. 76-77
  64. Biblioteca Nacional, mss. 13123, fol. 44-r.
  65. a b c d e f g h i j k et l Pereira Martínez 2003, p. 4
  66. a et b Viterbo 1865, p. 245
  67. Capêlo 2008, p. 133,200-201
  68. a et b Paraschi 1990, p. 48
  69. a et b (pt) Antonio Brandão, Bernardo de Brito et al., Quarta parte da Monarchia lusitana : que contém a historia de Portugal desdo tempo del rey Dom Sancho Primeiro, até todo o reinado del rey D. Afonso III, (lire en ligne), p. 173
  70. (es) Marciano Sánchez Rodríguez, Tumbo blanco de Zamora, Salamanque, , 613 p. (présentation en ligne), p. 405
  71. Costa 1771, p. 83-84
  72. Martínez Díez 1993, p. 50
  73. a b c et d Viterbo 1865, p. 246
  74. a et b (es) Lope Pascual Martínez, « Los templarios en el reino de Murcia », Anuario de Estudios Medievales, no 11,‎ , p. 687-699
  75. Forey 1973, p. 329 (note 180)
  76. a b c et d Martínez Díez 1993, p. 51
  77. (la) Bullarium Equestris Ordinis S. Iacobi de Spatha, (lire en ligne), p. 266, script.14, n.3
  78. Martínez Díez 2001, p. 158,172
  79. a et b Campomanes 1747, p. 33-34
  80. a et b Josserand 2008, p. 12 (note 92)
  81. a et b Josserand 2004, p. 506-507
  82. Josserand 2008, p. 10 (note 54)
  83. Edbury 2013, p. 368-371,374
  84. Philippe Josserand, « João Fernandes », dans Nicole Bériou (dir. et rédacteur), Philippe Josserand (dir.) et al. (préf. Anthony Luttrel & Alain Demurger), Prier et combattre : Dictionnaire européen des ordres militaires au Moyen Âge, Fayard, , 1029 p. (ISBN 978-2-2136-2720-5, présentation en ligne), p. 504
  85. (pt) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en portugais intitulé « Ordem dos Templários » (voir la liste des auteurs).
  86. Viterbo 1865, p. 241
  87. Paraschi 1990, p. 43
  88. Capêlo 2008, p. 129
  89. a b c d e et f (pt) José Manuel Capêlo, Portugal templário : a presença templária em Portugal ; relação e sucessão dos seus mestres 1124 - 1314, Lisbonne, Zéfiro, , 272 p. (ISBN 978-972-8958-58-9, présentation en ligne), p. 200-201
    Ne pas tenir compte de la numérotation des maîtres des trois royaumes d'Espagne indiquée dans cet ouvrage, elle est basée uniquement sur ceux qui ont été maîtres de portugal.
  90. a et b Paraschi 1990, p. 53,73,96
  91. Costa 1771, p. 69-70, 118, 263 (doc. 48)
  92. Zapater 1662, p. 80,110,198
  93. (pt) fr. Luca de Santa Catharina, chap. 14 (02 julho 1722) « Catalogo dos mestre da ordem do templo portugueses », dans Colecçam dos documentos estatutos e memorias da Academia Real da Historia Portugueza, (lire en ligne)
  94. Costa 1771, p. 70-71, doc. 48
  95. Martínez Díez 1993, p. 42,64,66
  96. Rey Caiña 1985, p. 243-245
    Accord entre le Temple et le monastère de Ferreira de Pallares en 1227
  97. Zapater 1662, p. 198
  98. Paraschi 1990, p. 46
  99. (pt) José Anastácio de Figueiredo Ribeiro, Historia da Ordem do Hospital, hoje de Malta, e dos Senhores Grão-Priores della em Portugal, vol. 1, (lire en ligne), p. 408-409 (doc. CCXXIX)
  100. a et b Forey 2015, p. 209
  101. a et b Capêlo 2008, p. 133, 200-201
  102. (pt) José Anastácio de Figueiredo Ribeiro, Nova historia da militar Ordem de Malta, e dos senhores grão-priores della, em Portugal, vol. 2, (lire en ligne), p. 66-67 (doc. XLIII)
  103. Martínez Díez 1993, p. 227
  104. a b et c Toomaspoeg 2012, p. 52
  105. (la) Leontina Ventura, Chancelaria de D. Afonso III : Livro 1. Vol. I, Imprensa da Univ. de Coimbra, , 835 p. (ISBN 978-972-8704-87-2, lire en ligne), p. 281-284 (doc. 260)
  106. Viterbo 1865, p. 247
  107. Capêlo 2008, p. 176-177
  108. Burgtorf 2008, p. 547-548