Le Festin (éditions)

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La maison d'édition Le Festin a été créée en 1989, à l'occasion de la parution de la revue trimestrielle du même nom[1], fondée par Xavier Rosan, avec Olivier Schiltz[2]. Sous tutelle de l'association 1901 éponyme[3] (dont les présidents ont été Stéphane Taurand jusqu'en 2019, puis Bertrand Sacaze jusqu'en 2023), elle a pour but de favoriser les connaissances en matières de patrimoines, de paysages et de création en Nouvelle-Aquitaine.

Le Festin
Image illustrative de l’article Le Festin (éditions)

Pays Drapeau de la France France
Zone de diffusion Nouvelle-Aquitaine
Langue Français
Périodicité Trimestrielle
Format 22 × 28 cm
Genre Toute la Nouvelle-Aquitaine en revue
Fondateur Xavier Rosan
Date de fondation 1989
Date du dernier numéro 2023
Éditeur Association Le Festin (1989-2023)
Ville d’édition Bordeaux

Directeur de publication Xavier Rosan (1989-2023)
Rédacteur en chef Xavier Rosan (1990-2023)

Ligne éditoriale de la revue modifier

La ligne éditoriale de la revue[4] consistait à mettre en valeur les patrimoines culturels des départements de la région Aquitaine, en s'appuyant sur des travaux de recherches mis à disposition du grand public sous forme de magazines. Textes, visuels, mise en page étaient destinés à rendre attractifs et accessibles au plus grand nombre les sujets développés. De même, la distribution de la publication dans un maximum de points de vente (librairies, marchands de journaux, Relay de gares et aéroports, grandes surfaces, etc.) a participé de cette stratégie d'amener les connaissances au plus près des habitants des territoires concernés. C'est aussi dans cet esprit que Le Festin s'est longtemps distingué en multipliant les rencontres[4] avec les lecteurs (lancements de numéros, organisation de conférences, de visites, d'une grande braderie annuelle, participation à des Salons du Livre – de Paris à Pau, de Brive à Dax, etc.) et tout particulièrement avec les nombreux abonnés (passés de 1600 en 2023 à 1200 en 2024[5]).

La revue Le Festin a longtemps été subventionnée par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, le ministère de la Culture (Drac Nouvelle-Aquitaine), les Conseils départementaux de la Dordogne[6], de la Gironde[6], des Landes, de Lot-et-Garonne, des Pyrénées-Atlantiques et de la Ville de Bordeaux[6]. Ces organismes et collectivités ont constitué un Comité de Pilotage[1], chargé d'évaluer chaque année l'emploi des subventions et l'évolution de l'action. Grâce à ces aides, l'association a pu peu à peu se professionnaliser, s'organiser en deux pôles, l'un dédié à la "production" (rédacteurs, photographes, graphistes), l'autre à la commercialisation – Le Festin étant en effet un des très rares éditeurs à avoir intégré en son sein la diffusion et la distribution de ses propres titres (à partir de 2018 de ceux des éditions de L'Horizon Chimérique).

Au moment de la création de la nouvelle région Nouvelle-Aquitaine, Le Festin a ouvert ses pages aux patrimoines des départements composant les anciennes régions Limousin et Poitou-Charentes, à l'occasion d'une nouvelle formule[7] (2021).

À la suite de Jean-Claude Lasserre, Dominique Dussol[8] en a été le président du comité scientifique jusqu'en 2023.

Développement modifier

L'association a développé, à partir de 1991, un programme éditorial[4] constitué de livres (La Lumière du Sud-Ouest d'après Roland Barthes, 1991), de monographies d'artistes contemporains (Jean-François Noble, Périgourdien, textes de Didier Arnaudet, Gilles-Christian Réthoré, Olivier Schiltz, 1992), de catalogues d'exposition, investissant plus particulièrement ses domaines de prédilection : patrimoines (Arnaga de Jean-Claude Lasserre en 1993, Hossegor de Claude Laroche en 2004, Art et Bourgeoisie. La Société des Amis des Arts de Bordeaux en 1997 de Dominique Dussol, Dax Art Déco de Delphine Costedoat en 2004, Pau Art déco de Dominique Dussol en 2011, Le Pays d'Orthe de Bertrand Charneau en 2015, Caudéran de Dominique Dussol en 2015, Arcachon, Ville d'Hiver de Bertrand Duboscq en 2018, L'Industrie aérospatiale en Nouvelle-Aquitaine de Laetitia Maison-Soulard en 2020, Biarritz de Jacques Battesti en 2021), beaux-arts (Pierre Lacour. Le Port de Bordeaux d'Olivier Le Bihan et Cécile Navarra-Le Bihan en 2007, Diego Rivera, les années cubistes de Françoise Garcia en 2011, Peindre les Landes sous la direction de Jean-Roger Soubiran en 2012, La Manufacture de vitrail et mosaïque d'art Mauméjean de Benoît Manauté en 2015, Jacques Vieillard et Cie de Jacqueline du Pasquier en 2015, Jacques-Émile Blanche, le peintre aux visages, dirigé par Thierry Saumier et Xavier Rosan, en 2018, La Poterie d'art de Ciboure de Jacques Battesti en 2020), littérature (Du beau monde d'Olivier Mony en 2011, Adour de Serge Airoldi en 2013, De la sincérité envers soi-même de Jacques Rivière, préface d'Éric des Garets, en 2013, Espagnes de Louis Emié en 2014, Le Sentiment de l'estuaire de Chantal Detcherry en 2017, Raymond Mauriac, frère de l'autre de Patrick Rödel en 2018, Montagne d'Andrée Matignon en 2018, Montaigne âme libre de Virginia Woolf en 2019, Le Livre de raison de François Mauriac en 2020, Le Cœur serré de René Maran en 2021), architecture (Bordeaux… un jour ! de Cyprien Alfred-Duprat, postface de Marc Saboya, en 2011, L'Église Notre-Dame de Royan de Franck Delorme en 2012, Chaban le bâtisseur de Marc Saboya en 2015), histoire (L'Art victime de la guerre en 2012, Clairvivre d'Hervé Brunaux en 2013, Bordeaux au 18° siècle, le commerce atlantique et l'esclavage en 2018, Mémoire de pierre de la Grande Guerre de Frédéric Laux en 2019, Les Lawton d'Alain Blondy en 2020, Bordeaux Criminel de Daniel Salmon en 2022, Buffalo Bill, les indiens, Rosa Bonheur et Bordeaux de Dominique Dussol en 2023). Au total, ce sont plus de 310 livres qui ont été publiés[9].

Parallèlement, les premiers hors-série de la revue sont apparus à partir de 2005 avec un premier volume L'Aquitaine monumentale, réalisé en collaboration avec la direction régionale des Monuments Historiques[10]. L'initiative a été conçue comme un prolongement du travail de démocratisation culturelle effectué par la revue en créant des titres d'un nouveau genre, avec les mêmes exigences de contenus, mais selon des formules éditoriales adaptées à un élargissement du lectorat. C'est ainsi qu'en 2006, un an avant l'inscription de Bordeaux à la liste du Patrimoine mondial par l'Unesco, Xavier Rosan initia une nouvelle formule de hors-série en lançant Bordeaux, un tour de ville en 101 monuments[11]. Fort d'un très grand succès (10 éditions actualisées et augmentées et plus de 120000 exemplaires vendus sans discontinuer jusqu'en 2023), cet opus fut suivi de plusieurs titres réalisés sur un principe identique, déclinés par zones géographiques (Le Pays basque, La Rochelle, Pyrénées béarnaises, Le Bassin d'Arcachon, La Gironde, Le Lot-et-Garonne, Autour de Bordeaux, Les Chemins de Saint-Jacques de Compostelle…) ou par thématiques (Architectures contemporaines remarquables, Biodiversité, Paysages…).

Plus tard, en 2021, Xavier Rosan a créé, avec L'ABC de Bordeaux[12], un nouveau concept également destiné à décomplexifier les rapports entre histoire et patrimoine, d'une part, et celles et ceux qui vivent au sein des environnements concernés d'autre part. Xavier Rosan reçoit, à cette occasion, le Prix de l’Office du tourisme Bordeaux Métropole 2022 en présence du maire de la Ville, Pierre Hurmic[13].

L'expérience de L'Éveilleur (2016-2019) modifier

En 2016, sous l'impulsion de Xavier Rosan, une maison d'édition consacrée à la littérature a été lancée sous le nom de L'Éveilleur[14], diffusée par Harmonia Mundi Livres. L'Éveilleur[15] a, durant un peu moins de cinq ans, publié une quarantaine de livres à vocation nationale[16], construisant "un catalogue où les écrivains croisent les artistes, où le passé se réconcilie avec le présent, dans le souci de réaliser de beaux livres, agréables au toucher, riches en documents"[17]. La quais-totalité des titres étaient ainsi accompagnés d'illustrations et d'une riche documentation complémentaire. On peut citer, entre autres[18] : une réédition des Enfants pillards, de Jean Cayrol (2016), celle d'Un mort vivait parmi nous, de Jean Galmot, préface de Xavier Rosan (2016), une recherche indite de l'historien de l'art Robert Coustet consacrée à Odilon Redon botaniste en 2016), L'Élève Gilles, d'André Lafon, préfacé par François Mauriac, postfacé par Jean-Marie Planes (2017), Mémoires d'un chasseur de renards, de Siegfried Sassoon, préfacé par François Rivière, Le Plancher, de Perrine Le Querrec (2018), Le Grand Mal, de Jean Forton, postface de Catherine Rabier-Darnaudet (2018), Les Chats d'Amalfi, de Dominique Dussol (2018), Drifting, suites nocturnes 1983-1986, photographies de Luc Chery, texte de Michka Assayas (2018), L'Île magique, de William Seabrook, dans une nouvelle traduction Delphine Costedoat (d'après celle de de France-Marie Watkins, 2019), Les Esprits de la rivière, de James Oliver Curwood, préfacé par Thierry Chevrier, La Mort vous va si bien !, de Robert Louis Stevenson (2019), Les Éffarés de Hervé Le Corre (r2019), Louis Roubaud, Un homme nu dans une malle (2019)…

La fin d'une aventure éditoriale unique en France (2020-2023) modifier

Jusqu'en 2019, Le Festin a généré près d'un million de chiffre d'affaires par an[19] (dont 12 % de subventions ciblées sur la seule revue). Mais en 2020, la pandémie du Covid paralyse la France. L'association, comme toutes les entreprises du pays, est frappée de plein fouet par les périodes successives de confinement et l'arrêt de l'économie[19]. Un PGE (Prêt garanti par l'État) est négocié, qui permet d'assurer les salaires, ainsi que les charges qui ne peuvent être différées, mais pas la chute du chiffre d'affaires : commandes annulées, publications reportées faute de recettes publicitaires ou de sponsors privés, mise au pas des expéditions du fait des arrêts successifs des services postaux, baisse vertigineuse des ventes en commerce due à la fermeture des librairies et d'un grand nombre de marchands de journaux, etc.) À quoi s'ajoute, la même année, la liquidation judiciaire de Presstalis (société commerciale de messagerie de presse chargée de distribuer des imprimés à travers un réseau de points de vente) et de filiales en province, dont la SAD à Bordeaux[20], premier client du Festin : impayés colossaux, destructions de marchandises, pertes de chance. Lesté par une dette importante vis-à-vis de son imprimeur historique, Laplante, et malgré un plan de retournement offensif initié par le président de l'association, Bertrand Sacaze, Le Festin ne parvient pas à rattraper le poids de ses déficits.

En mai 2023, l'association, qui perd le soutien de la Caisse d'Épargne, sa banque historique (refus de financement des créances avec la cession Dailly), alors qu'elle doit faire face au remboursement du PGE et des arriérés URSSAF, se place en mesure de conciliation, sans pouvoir peu après éviter un redressement judiciaire[21]. Placé sous l'administration de Maître Vigreux (Ajilink[22]), en concertation avec le premier partenaire financier public, le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, présidé par Alain Rousset (PS), Le Festin fait l'objet d'un audit, commandité par la Région, auprès du cabinet KPMG. Sans attendre les conclusion de ce dernier, dont le rapport ne sera pas achevé, ni la transmission du montant exact de la dette par la mandataire judiciaire, l'administrateur et la collectivité s'accordent lors d'une réunion à l'hôtel de Région, le 5 septembre 2023, pour anticiper une option de reprise.

Sans attendre le jugement, les éditions du Bord de l'eau déposent le 24 novembre 2024 la marque "Le Festin" sur le site de l'INPI (institut national de la propriété industrielle) pour l'édition de périodiques et de livres[23], de même que la Société Polymedia[24], à Mérignac (dont les gérants sont Arnaud et Olivier Thonier, de l'imprimerie Laplante) pour la publication électronique de livres et de périodiques en ligne[25]. Le Bord de l'eau obtient de la Région Nouvelle-Aquitaine la garantie de bénéficier d'une subvention de 100000€ pour la revue – ainsi que le précise son offre de reprise –, ce que ne peut obtenir aucun autre candidat sur les rangs. La maison d'édition Le Festin est dépecée, puisqu'il s'agit d'une cession partielle[26] : seuls revue et hors-série (mais pas les livres), ainsi que la totalité de la banque documentaire numérique (dont celle des livres et des archives administratives de l'association) – soit 34 ans de contenus –, sont accordés, le 8 décembre 2023, en séance du tribunal d'instance de Bordeaux, pour la somme de 20 000 €, au Bord de l'eau[26]. Ce dernier conserve 5 salariés sur 14 , dont une apprentie et 4 CDI[27] (parmi lesquels les deux déléguées du personnel, Constance de Buor, rédactrice en chef adjointe, et Lucie Mugnier, secrétaire de rédaction[28] – au détriment de la graphiste Véronique Schiltz[29] et de la coordinatrice éditoriale Mado de la Quintinie, qui avaient été initialement retenues par le repreneur). Le même jour, l'annonce de la liquidation judiciaire du Festin est publiée[30].

Xavier Rosan quitte toutes ses fonctions (directeur de la structure, directeur des publications, rédacteur en chef de la revue Le Festin) et le conseil scientifique de la revue s'autodissout en désaccord avec les conditions de la reprise. Le contrat du directeur artistique Franck Tallon[31], qui œuvrait à la mise en page du périodique depuis vingt ans[32], n'est pas renouvelé.

Les éditions Cairn, qui se sont portées candidates pour le secteur Livres, voient leur offre déboutée.

Le repreneur modifier

Le Bord de l'Eau est une maison d'édition (SARL au capital de 100000 €[33]) créée en 1994 par l'écrivain Dominique-Emmanuel Blanchard. Basée à Lormont (Gironde), elle s'est spécialisée dans les sciences humaines, l'écologie et la politique[34]. Riche de 72 collections et revues[34], elle s'est particulièrement illustrée en Gironde par la publication d'ouvrages biographiques consacrées à des figures politiques locales[34], tels que Visages et portraits politiques de Gironde, de Jean Petaux (2011) Paroles Politiques, Michel Sainte-Marie (entretiens avec Jean Petaux, 2017), Philippe Madrelle, L'art de gagner en politique (entretiens avec Jean Petaux, 2019), Alain Rousset, le décentralisateur de la République (collectif, sous la direction de Jean Petaux, 2020), Être Girondin, la démocratie du quotidien, de Jean-Luc Gleyze (entretiens avec Jean Petaux, 2020).

Son dirigeant est, depuis 2007, Jean-Luc Veyssy. Philosophe de formation, il déclarait en 2010, au site tradabordo, après le départ de Dominique-Emmanuel Blanchard et sa reprise du Bord de l'Eau : "En tant qu’éditeur, je n’ai pas reçu de formation, je me suis moi-même formé sur le tas en ce qui concerne les outils de P.A.O. ou la gérance[35]." Il reconnait alors avoir souvent recours à des stagiaires, ce qui permet de "retarder l'embauche[35]". Chaque livre du Bord de l'Eau est vendu "en moyenne à 500 exemplaires[35]". Jean-Luc Veyssy est l'époux de Catherine Veyssy, maire (DVG) de Cénac (Gironde), vice-présidente CDC Portes-Entre-2-Mers, présidente Mission Locale Hauts de Garonne, dirigeante FCPortes-Entre-2-Mers, ancienne conseillère régionale (PS) de Nouvelle-Aquitaine (2015-2021), dans la majorité d'Alain Rousset (PS).

Accès modifier

Les bureaux de la revue Le Festin sont situés à Bordeaux-Bacalan dans un des bâtiments de l'ancienne raffinerie Saint-Rémy, devenue Béghin-Say[36].

Notes et références modifier

  1. a et b Nicolas Rinaldi, « Xavier Rosan et Le Festin, trente ans au service des patrimoines régionaux », sur ALCA, (consulté le )
  2. « Plein phare avec Xavier Rosan », (vidéo de 14:10 de France 3 Nouvelle-Aquitaine), sur youtube.com, (consulté le )
  3. « Association Le Festin », sur L'annuaire des entreprises (consulté le )
  4. a b et c « Portrait d’éditeur – Éditions Le Festin », sur Association des Librairies de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
  5. Serge Latapy, « Le Festin entame sa résurrection par un nouveau numéro », Sud Ouest,‎
  6. a b et c Le Conseil général de la Dordogne ne subventionne plus Le Festin depuis 2020, celui de la Gironde depuis 2018 et la Ville de Bordeaux depuis 2022.
  7. Julien De Jong, « Le Festin, la revue 100% Patrimoines et découvertes en Nouvelle Aquitaine, adopte une nouvelle formule », sur France Bleu, (consulté le )
  8. Joëlle Saugès, « Dominique Dossol est l’auteur d’un nouvel ouvrage paru aux Editions Le Festin », sur Hypothèses, (consulté le )
  9. « Le Festin - Notices bibliographiques », sur BNF Catalogue général (consulté le )
  10. « Festin (Le) : L'Aquitaine monumentale 1 », sur Catalogue BPI (consulté le )
  11. « Bordeaux, un tour de ville en 101 monuments », sur Aquitaine on line, (consulté le )
  12. « L'ABC de Bordeaux, un tout nouveau concept éditorial », sur Cairn
  13. « Remise du Grand Prix 2022 par le Maire », sur Académie nationale, des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux (consulté le )
  14. André Paillaugue, « L’Éveilleur, une maison d’édition du groupe Le Festin », sur ALCA, (consulté le )
  15. « L'Éveilleur », sur L'Éveilleur (consulté le )
  16. Frédérique Roussel, « L'Éveilleur, une maison avec du fond », sur Libération, (consulté le )
  17. « Maison d'édition l'Eveilleur » (consulté le )
  18. « Bnf Catalogue général » (consulté le )
  19. a et b Serge Latapy, « Nouvelle-Aquitaine : La revue « Le Festin », patrimoine culturel et régional en péril », sur Sud Ouest, (consulté le )
  20. « Presstalis, un redressement judiciaire et deux filiales liquidées », (consulté le )
  21. Annonce n° 1362 du BODACC A n° 20230105 publié le 02/06/2023
  22. « Appel d'offres, recherche de partenaire ou de repreneur entreprise en redressement judiciaire », sur Les Échos, (consulté le )
  23. « Marque FR5009038 », sur INPI, (consulté le )
  24. « Toute la donnée des sociétés », sur https://societeinfo.com/ (consulté le ).
  25. « Marque FR5009119 », sur INPI, (consulté le )
  26. a et b « Annonces commerciales detail », sur bodacc.fr (consulté le ).
  27. Coraline Bertrand, « Bordeaux : la revue Le Festin sauvée par les Éditions Le Bord de l’eau », sur Rue 89 Bordeaux, (consulté le )
  28. Coraline Bertrand, « Bordeaux : la revue Le Festin sauvée par les Éditions Le Bord de l’eau », sur Rue89Bordeaux, (consulté le )
  29. « Chercher partout » (consulté le )
  30. « Annonces commerciales detail », sur bodacc.fr (consulté le ).
  31. « Atelier Franck Tallon » (consulté le )
  32. « le festin, identité visuelle » (consulté le )
  33. « annuaire entreprises » (consulté le )
  34. a b et c « Le Bord de l'Eau » (consulté le )
  35. a b et c Laëtitia Sobenes, « Interview de Jean-Luc Veyssy, éditeur du Bord de l’eau », sur tradabordo, (consulté le )
  36. « La recette de la revue le « Festin » pour durer », sur 20minutes.fr, (consulté le )

Liens externes modifier