Ciboure
Ciboure | |||||
Vue depuis le port de Saint-Jean-de-Luz. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Eneko Aldana-Douat 2020-2026 |
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Code postal | 64500 | ||||
Code commune | 64189 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cibourien, Ziburutar[1] | ||||
Population municipale |
6 220 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 836 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 23′ 11″ nord, 1° 40′ 00″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 83 m |
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Superficie | 7,44 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Jean-de-Luz | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ciboure.fr/ | ||||
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Ciboure est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Le gentilé est Cibourien[2] (ou Ziburutar[1] en basque).
Les habitants sont également surnommés les « Kaskarrot » ou « Kachkarrot[3]» forme francisée du basque kazkota ou kaskota. Ce terme pourrait dériver mais sans attestation formelle de kasko en basque issu du casco castillan. Augustin Chaho indique dans son dictionnaire de 1856-1857, un usage de ce terme équivalent à « forte tête[4] ».
GéographieModifier
SituationModifier
La commune fait partie de la province basque du Labourd et de l'aire urbaine de Bayonne située dans son unité urbaine.
Ciboure partage avec Saint-Jean-de-Luz la baie de Socoa, sur le golfe de Gascogne, les deux villes formant la même agglomération.
L'entrée de la baie de Socoa, encadrée par les phares de la pointe Sainte-Barbe et de Socoa, était défendue par le fort de Socoa, construit sous Louis XIII et remanié par Vauban.
AccèsModifier
Ciboure est desservie par la route nationale 10 entre Saint-Jean-de-Luz et Urrugne.
Ciboure est desservie par les lignes 1 à 3 et 20 du réseau de bus Hegobus.
HydrographieModifier
La commune est traversée[5] par un fleuve côtier, l'Untxin, et par la Nivelle ainsi que par les affluents de celle-ci, les ruisseaux d' Etxeberri et de Xantako.
Lieux-dits et hameauxModifier
Le quartier de Socoa situé entre l'Océan et la baie protégée, est administré à la fois par Ciboure et par Urrugne. Il est relié à Hendaye-Plage par la célèbre route dite de la Corniche basque qui offre de spectaculaires vues sur le golfe de Gascogne et les falaises plissées de la côte basque.
Communes limitrophesModifier
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ToponymieModifier
Attestations anciennesModifier
Le toponyme Ciboure apparaît[7] sous les formes Subiboure (XIIIe siècle, titres de Saint-Jean-de-Luz[8]), Siboure (1650, carte du Gouvernement général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins, Carte des Pays Basques de France et d'Espagne), Siboro (1657), Sanctus Vincentius de Siboure (1684, collations du diocèse de Bayonne[9]) et Ziburu[10] au XIXe siècle.
Siboro était l'ancien nom de la ville, tout du moins jusqu'en 1692 selon Jean-Baptiste Orpustan.
Graphie basqueModifier
HistoireModifier
Le début du XVIe siècle en Labourd est marqué par l'apparition de la peste. La lecture des registres gascons[11] permet de suivre son expansion. Après une période de rémission, la maladie réapparaît. En 1598, le corps de ville de Ciboure rédige de nombreux rapports sur « la maladie quy court », « la maladie de la peste »[12].
Jusqu'alors annexe d'Urrugne, Ciboure fut érigée en commune en 1603[13].
En prévision des États généraux de 1789, Me Saint-Esteven - curé de Ciboure - est élu député du clergé.
Maurice Ravel est né à Ciboure, le , dans la maison Estebania.
HéraldiqueModifier
Blasonnement :
D'argent à la mer d'azur, au cheval contourné d'argent brochant sur le fût au naturel d'un arbre de sinople terrassé du même, fruité d'or, accosté de deux vaisseaux affrontés au naturel voguant sur la mer, l'un à dextre et l'autre à senestre[14].
Commentaires : Les armoiries de Ciboure ont été approuvées par le conseil municipal en 1992. Elles se retrouvent sur la vieille fontaine de Ciboure classée monument historique (datant de 1676) et correspondent à une légère adaptation des règles d’héraldique par souci d’esthétisme (ajout du marron pour le tronc du chêne et bateaux).
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Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Liste des mairesModifier
IntercommunalitéModifier
Ciboure fait partie de huit structures intercommunales[19] :
- l’agglomération Sud Pays basque ;
- le SIVU des écoles maternelles et primaires de Ciboure et d'Urrugne ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’aménagement de la basse vallée de l’Untxin et de voirie de Ciboure et Urrugne ;
- le syndicat intercommunal de la baie de Saint-Jean-de-Luz et de Ciboure ;
- le syndicat intercommunal des collèges d'enseignement secondaire de Saint-Jean-de-Luz ;
- le syndicat intercommunal du centre de secours de Saint-Jean-de-Luz ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Ciboure accueille le siège du SIVU des écoles maternelles et primaires de Ciboure et d'Urrugne.
La commune fait partie de l'Eurocité basque Bayonne - San Sebastian.
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].
En 2018, la commune comptait 6 220 habitants[Note 1], en diminution de 8,98 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,49 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
La commune fait partie de l'aire urbaine de Bayonne.
EnseignementModifier
La commune dispose de cinq écoles : l'école maternelle publique Marinela, l'école élémentaire publique Aristide-Briand, l'école primaire publique Croix-Rouge et l'école primaire privée Saint-Michel[24] (ces quatre écoles proposent un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[25]). L'ikastola kaskarotenia, ouverte en 2013, propose un enseignement entièrement en langue basque.
ÉconomieModifier
Ciboure partage le port de pêche avec Saint-Jean-de-Luz. La gestion est assurée par la Chambre de commerce et d'industrie de Bayonne Pays basque. Des conserveries de produits de la mer sont installées dans la commune.
Aujourd'hui, Ciboure est l'une des localités les plus dynamiques de la région. Les conserveries sur le déclin ont été reprises par de jeunes entrepreneurs. Un lycée consacré à la mer a ouvert ses portes en 1996 et, histoire de prouver qu'elle n'avait rien à envier à sa voisine Saint-Jean-de-Luz, la municipalité a rénové son patrimoine.
Ciboure fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture et patrimoineModifier
- Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Ciboure est le labourdin.
Patrimoine civilModifier
Fort de Socoa, œuvre de Vauban.
Au centre, maison natale de Maurice Ravel.
Le phare[26] du port, construit par André Pavlovsky, est classé monument historique ;
Le fort du Socoa[27] date du XVIIe siècle. Il a été construit pour défendre la baie de Saint-Jean-de-Luz.
Dès la fin des années 30 il a abrité une école de voile, sport alors très "tendance" et paré d'une image élitiste (Charlie Chaplin y aurait fait un court stage lors de vacances en pays basque).
À partir des années 40 l'école de voile de Socoa tente de démocratiser le sport (une politique voulue par Jean Borotra, ministre des sports de Pétain, qui visait un"réarmement moral de la Jeunesse" et mise en pratique par un ancien officier de marine , le commandant Rocq, avec l'assistance technique de Jean Jacques Herbulot) Cette démocratisation sera amplifiée , avec des méthodes similaires mais un tout autre cadre idéologique par les Glénans de Philippe Viannay. Dans les années 50 l'école, baptisée "Centre Virginie Herriot",toujours soutenue par la Marine Nationale, qui y voit une source de vocations maritimes, est dirigée par deux moniteurs très qualifiés et créatifs, le basque Pierre Latxague et le breton Aristide Lehoerff.
Tentant de dépasser le succès du Vaurien, dériveur en contreplaqué minimaliste à prix cassé créé par Herbulot pour les Glénans, Latxague et Lehoerff s'associent au designer Christian Maury et à l'industriel bordelais Lucien Lanaverre pour créer un révolutionnaire voilier d'initiation en composite verre polyester, performant, léger, imputrescible et quasiment sans entretien: Ce sera le 420 , qui connaîtra unsuccès planétaire, que ce soit à l'exportation ou en construction étrangère sous licence, tant pour l'initiation que pour la régate.
Par la suite la gestion de l'école de voile de socoa sera reprise par l'UCPA qui finira par la fermer pour manque de rentabilité dans les années 2000 après s'en être servi pour former ses moniteurs de ski saisonniers comme moniteurs de voile, une action visant à la professionnalisation des moniteurs sportifs qui n'aura pas le succès escompté.
Durant toute cette période le Centre de socoa a été une institution pionnière de la voile légère tant pour l'apprentissage de base que comme base d'entraînement des équipes nationales de voile. À partir de 1966, l'ENVSN implantée à St Pierre de Quiberon et dirigée par le très novateur Yvon Piégelin, venu de la FSGT, l'a progressivement supplantée dans le rôle de centre de voile de référence pour les formations de cadres et l'entraînement de haut niveau.
Longtemps laissé à l'abandon après la période UCPA, le fort est racheté à l'État par la commune en 2012. des travaux de réhabilitation sont prévus avec pour objectif final d'en faire un campus universitaire multiactivités lié à la mer et à l'environnement marin.
Une fontaine monumentale[28] du XVIIe siècle est classée aux monuments historiques depuis 1925 ;
La maison Neria[29], rue du Docteur-Micé, date du XVIIe siècle. Elle servit d'hôpital aux troupes de Wellington en 1813 et 1814 ;
La maison natale de Maurice Ravel[30], quai Ravel, date du XVIIe siècle ;
La villa Lehen-Tokia[31], chemin Axotareta, construite entre 1924 et 1926, est inscrite aux monuments historiques ;
La villa Leïhorra[32], rue du Docteur-Micé, est inscrite aux monuments historiques ;
Le thonier sardinier Marinéla[33], dans le port de Socoa, fait partie de l'inventaire du ministère de la Culture ;
La commune a érigé en 1955 une stèle des évadés de France, à la mémoire des résistants qui quittèrent la France pour rejoindre l'Armée de la libération via l'Espagne durant la Seconde Guerre mondiale.
Au bord de la Nivelle, le quartier Zubiburu, inauguré en 2008[34], rassemble des hôtels et des immeubles résidentiels de type néobasque.
Patrimoine religieuxModifier
- L'ancienne église Notre-Dame de Bordagain[35], dite tour de Bordagain, est classée aux monuments historiques depuis 1987 ;
- Le couvent des Récollets[36] est inscrit aux monuments historiques depuis 1925. Il accueillait dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle une école de navigation[37] ;
- La croix blanche[38], sur l'ancien chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, date de 1616 ;
- Une croix monumentale sculptée[39], proche de l'ancienne église Notre-Dame de Bordagain, est classée aux monuments historiques ;
- L'église Saint-Vincent[40] date des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles ; elle recèle divers mobiliers[41] inventoriés par le ministère de la Culture dont une statue d'un christ gisant[42]. C'est en 1555 que Ciboure obtint son autonomie religieuse et administrative et se détacha de la paroisse d'Urrugne. L'église fut achevée en 1575[43]. Un nouvel orgue baroque, réalisé par le facteur d’orgue Thomas[44] a été installé en 2012-2013 qui compte 35 jeux et 2600 tuyaux[45].
PhilatélieModifier
En 1997, est émis un timbre de trois francs, multicolore, sur les corsaires basques qui ont servi les rois de France pendant l'Ancien Régime. L'illustration représente deux corsaires et leur navire, entourant le paysage montagneux de la Rhune derrière le fort de la Socoa, à Ciboure. La vente anticipée avec oblitération 1er jour se déroule le 13 septembre à Saint-Jean-de-Luz. Le timbre porte le n° YT 3103[46].
ÉquipementsModifier
- Sports et équipements sportifs
Ciboure possède un golf et un club de tennis (golf[47] et tennis-club de la Nivelle).
- Enseignement
Ciboure dispose de deux écoles élémentaires publiques (écoles Briand et Croix-Rouge), d'une école primaire privée (école Saint-Michel) et d'une ikastola (école Piarres Larzabal)[48].
Personnalités liées à la communeModifier
- nées au XVIe siècle
- Joanes Etxeberri, né vers 1580 à Ciboure, est un prêtre, poète et théologien écrivain de langue basque.
- nées au XVIIe siècle
- Bernard Gazteluzar (1619-1701), écrivain et poète basque et jésuite.
- nées au XVIIIe siècle
- Michel de Salaberry, né en 1704 à Ciboure, pionnier du Québec.
- nées au XIXe siècle
- Jean-Pierre Duvoisin, né en 1810 à Ainhoa et mort en 1891 à Ciboure, est un écrivain de langue basque.
- Arnauld Michel d'Abbadie d'Arrast, né en 1815 à Dublin, mort à Ciboure en 1893, explorateur.
- Maurice Ravel, né en 1875 à Ciboure et mort en 1937 à Paris, est un compositeur de musique.
- George Gissing est un romancier réaliste anglais qui a vécu à Ciboure peu avant sa mort en 1903 à l’âge de quarante-six ans.
- María Barrientos, soprano (diva du Metropolitan Opera de New-York de 1916 à 1920), née à Barcelone le 10 mars 1883, morte à Ciboure le 8 août 1946.
- Pierre Benoit, né en 1886 à Albi et mort en 1962 à Ciboure, écrivain.
- Florentino Goikoetxea, né en 1898 à Hernani, installé à Ciboure en 1936, il y meurt en 1980, passeur du réseau Comète.
- nées au XXe siècle
- Louis Bromfield a terminé la rédaction de son roman Twenty-four Hours (commencé à New York en 1925) en août 1929 à Socoa.
- Édouard Arrayet, né en 1904 à Ciboure, est un joueur de pelote basque qui devint champion de France en trinquet avec son frère Ernest.
- Pierre Lavergne, né en 1922 à Ciboure, est un joueur français de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France, le Saint-Jean-de-Luz Olympique et l'USA Limoges.
- Thomas Mantérola, né en 1927 à Ciboure, est un joueur de rugby à XV qui a joué en équipe de France.
- Louis Echave, né en 1934 à Ciboure, est un joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France.
- Jean Garaialde, né en 1934 à Ciboure, est un joueur de golf.
- Jean-Michel Capendeguy, né en 1941 à Ciboure et mort en 1968, est un joueur français de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France et le Saint-Jean-de-Luz Olympique.
- Marc Claerbout, né en 1949 à Ciboure, peintre.
- Michel Urtizverea, né en 1950 à Ciboure, est un joueur de rugby à XV, qui a joué avec le Stade bagnérais.
- Philippe Bergeroo, né en 1954 à Ciboure, est un gardien de but international français de football reconverti depuis 1988 dans une carrière d'entraîneur.
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
- Gentilé sur habitants.fr
- Charles Videgain, « Enquête lexicale en domaine basque à Ciboure pour l'Atlas linguistique des Côtes de l'Atlantique », Cuadernos de Sección. Hizkuntza eta Literatura Eusko Ikaskuntza Donostia-San Sebastián, no 10, , p. 65–100 (lire en ligne, consulté le 16 janvier 2019)
- Augustin (1811-1858) Auteur du texte Chaho, Dictionnaire basque, français, espagnol et latin : d'après les meilleurs auteurs classiques et les Dictionnaires des Académies française et espagnole / par Augustin Chaho, 1856-1857 (lire en ligne)
- Notice du Sandre sur Ciboure
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le 14 octobre 201)
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Titres de Saint-Jean-de-Luz, archives communales
- Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, 1926
- Registres gascons, tome 1, pages 44, 53, 141, 154, 158-159, 195 et 233 - cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 42-43.
- Archives communales de Ciboure, BB 2 - citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 42
- Jean-Noël Darrobers; Hubert Lamant-Duhart; et al, Ciboure, Ekaina, 1992.
- Guy Ascarat
- Élection invalidée en 2001, réélu en mars 2002.
- « Les données des élections », sur Data.gouv, (consulté le 1er juillet 2020).
- « Sud Pays basque : Urrugne et Ciboure ont élu leur maire », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, 5 juillet 2020, p. 36.
- « Élections municipales : soutien d'EHBAI », sur Euskal Herria Bai, (consulté le 30 juin 2020)
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le 4 juin 2014)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Ciboure%20%2864%29}}
- http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1%5bcommune%5d=38&tx_ecoles_pi1%5bcdc%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bprovince%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bcategory%5d=16&tx_ecoles_pi1%5btype%5d=0&tx_ecoles_pi1%5beducation_mode%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bsubmit%5d=Rechercher&id=183&L=0.
- Ministyre de la Culture, base Mérimée - Notice sur le phare de Socoa
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le fort du Socoa
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la fontaine du XVIIe siècle
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Neria
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison de Ravel
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la villa Lehen-Tokia
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la villa Leïhorra
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le thonier sardinier Marinéla
- Inauguration des logements sociaux de Zubiburu
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la tour de Bordagain
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le couvent des Récollets
- Archives communales de Bayonne, EE 2, citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, t. 4, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 432 p. (ISBN 2913156460 et 9782913156463, OCLC 492295167), p. 81
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix blanche
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix sculptée du quartier Bordagain
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Vincent
- [1], [2], [3], [4], [5], [6], [7], [8], [9], [10], [11], [12], [13], [14] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Vincent
- [15], Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le Christ gisant de l'église Saint-Vincent]
- J.N. Darrobers, Des origines à la Révolution, Ciboure, Ekaina, pages 145 et 146.
- « Le futur orgue de Ciboure sera fabriqué en Belgique », sur SudOuest.fr (consulté le 29 mars 2019)
- « Le nouvel orgue de Ciboure est réveillé - Diocèse 64 Bayonne, Lescar et Oloron », sur diocese64.org (consulté le 29 mars 2019)
- Catalogue Yvert et Tellier, Tome 1
- Site du golf de la Nivelle
- Site de l'ikastola Piarres Larzabal
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
J. Garat, Ciboure en 97 documents - 1740-1823, Saint-Jean-de-Luz, Luz-Offset,
Articles connexesModifier
- Poterie de Ciboure
- Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques
- Toponymie basque
- Route nationale 10
- Route nationale 10c
Liens externesModifier
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Ciboure sur le site de l'institut géographique national (IGN)
- Ciboure sur le site de l'INSEE (INSEE)
- Le port de Ciboure et le fort de Socoa en visite virtuelle