Famille Gaignault
Période XVe siècle - aujourd'hui
Pays ou province d’origine Normandie, Berry
Allégeance Drapeau de la France France
Charges Conseiller du roi, échevin, maire, juge, receveur particulier des finances, député suppléant, lieutenant de louveterie, administrateur de l'hôtel-Dieu et de l'hospice des incurables d'Issoudun, lieutenant du premier chirurgien du roi en la ville et ressort d'Issoudun, médecin, chirurgien, apothicaire
Fonctions militaires Officier, garde d'honneur

La famille Gaignault est une famille française subsistante, issue de l'ancienne bourgeoisie des villes d'Alençon, en Normandie, et d'Issoudun, en Berry.

Elle compte parmi ses membres des maires, des officiers. Elle dirigea une imprimerie à Issoudun de 1866 à la fin du XXe siècle. Pendant près de 115 ans elle imprima aussi l’Écho des marchés du Centre. Elle est aussi connue pour avoir édité l'Almanach de l'Indre surnommé dans tout le département le petit Gaignault qui a paru jusqu'en 1990.

Patronyme modifier

Ce patronyme est cité à Alençon (Orne) dès 1462 avec Jehan Le Gaigneau[1]. L'étymologie probable est le vieux français « gagner », signifiant labourer, cultiver[2]. Orthographié « Le Gaigneau » puis « Gaigneau » jusqu’au XVIIIe siècle, il s'est progressivement transformé en « Gaignault », sauf pour les rameaux cadets « Gaigneau » et « Gaigneau d’Etiolles » qui ont conservé à l'état civil la forme d’origine (avec un complément pour le second) jusqu’à leur extinction, en 1963 et 1983.

 
signatures de membres de la famille Gaignault au bas d'un acte de mariage en 1790 : illustration du passage de l'orthographe « Gaigneau » à l'orthographe « Gaignault » et de l'emploi des noms de terre jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.

Les différentes branches berrichonnes de cette famille ont toutes été connues sous des noms de terre : Vouet (commune de Paudy, Indre), Beaulieu (commune de Lazenay, Cher), Berthenon (commune de Saint-Ambroix, Cher), Saint-Soin (commune de Saint-Georges-sur-Arnon, Indre), Favrille (commune de Lizeray, Indre), la Pinauderie (commune de Cerbois, Cher), etc. Seule la branche aînée (autrefois « de Vouet ») subsiste aujourd’hui.

Histoire modifier

Citée en 1462 à Alençon, sa filiation est rigoureusement établie[3] à partir de Jehan Le Gaigneau, bourgeois d'Alençon, né vers 1480, qui testa les 25 juillet et 10 août 1537[4] en faveur de son fils Estienne, apothicaire et bourgeois de la même ville. De son mariage avec Guillemine Hébert[5], ce dernier fut père de Mathurin Le Gaigneau, né à Alençon, devenu apothicaire à Levroux (Indre), qui fixa sa descendance en Berry. Le fils aîné de ce dernier, Pierre Gaigneau, fut chirurgien-juré en la ville et ressort d'Issoudun, alors capitale du Bas-Berry, où les Gaignault sont toujours représentés. Cette famille a donné à cette cité entre autres : des conseillers de ville, cinq échevins et un maire, un lieutenant du premier chirurgien du roi, des médecins, des bourgeois, des officiers royaux de diverses juridictions (grenier à sel, élection)[6], des administrateurs de l’Hôtel-Dieu et de l'hospice des incurables[7], des hommes et femmes d’Église, etc. Deux de ses membres, représentant la classe des « bourgeois vivant noblement » ont siégé à ce titre dans l'assemblée municipale constituée en vertu de l'édit de 1765[8]. Les Gaignault ont également compté un député suppléant aux Etats généraux de 1789 et un garde d'honneur de l'Empereur (1813). Aux XIXe siècle et XXe siècle, ils ont donné des propriétaires terriens, un receveur particulier des finances, des industriels en textile à Corbeil-Essonnes et Paris[9], quelques officiers de Terre et de Mer, deux lieutenants de louveterie, des gestionnaires de patrimoine. De 1866 à 1990, ils ont dirigé à travers cinq générations l’imprimerie Gaignault, à Issoudun.

 
ex libris de M. Gaignault.

Cette famille est devenue propriétaire en 1866 d'une imprimerie créée en 1794 à Issoudun, à laquelle elle donna son nom[10]. Elle la conserva jusqu'à la fin du XXe siècle. Cette entreprise imprima notamment le code de la route Rousseau, et de nombreuses revues médicales, juridiques et techniques. Elle est aussi connue pour avoir édité l'Almanach de l'Indre surnommé dans tout le département le petit Gaignault[11]. Pendant près de 115 ans, elle fit en outre paraître l’Écho des marchés du Centre[12]. Ce journal dirigé par la famille Gaignault tirait à plus de 3 500 exemplaires jusqu'en 1914 puis à plus 8 000 exemplaires dans l'entre-deux Guerres. À cette époque, « tout le monde lisait le bihebdomadaire de Henri Gaignault » dans le Berry, selon le journaliste Pierre-Valentin Berthier[13]. La ligne politique du journal était nettement conservatrice. Les déclarations faites en 1880 par M. Gaignault cachent une adhésion personnelle au mouvement monarchique[14] : « Soumis aux lois constitutionnelles de notre pays, et sans hostilité préconçue contre la forme du gouvernement établi, nous restons les partisans convaincus de la liberté pour tous. Nous croyons que la République doit à son essence, à son principe, et à ses promesses, de donner cette liberté, comme aussi d'opérer toutes les réformes qu'appellera la marche du temps et surtout celles tendant à l'amélioration du sort des classes populaires »[15]. Le député républicain et journaliste Georges de Beauregard ne s'y trompe pas lorsqu'il écrit, au moment de la mort d'Alphonse Gaignault, en 1902 : « S'il fut une carrière bien remplie, c'est assurément celle de M. Alphonse Gaignault qui, comme imprimeur et journaliste, devint pendant de longues années l'arbitre des luttes politiques de sa région »[16]. Le lien entre son fils et des proches du comte de Chambord est par ailleurs établi[17]. Le journal s'en prenait aussi au maire d'Issoudun, Alexandre Lecherbonnier, représentant d'une gauche radicale et surtout anticléricale, ce qui lui valu un procès en diffamation[18]. Ce positionnement conservateur du journal valait à ses propriétaires d'incessantes critiques de la part d'autres journaux qui qualifiaient, au moment du Front Populaire, l'Echo des marchés du Centre de « journal dirigé contre la classe ouvrière »[19]. Maurice Gaignault, qui deviendra le quatrième directeur de l'imprimerie de la famille, était par exemple surnommé le « chevalier de la pomme de pin » en référence à l'hôtel particulier où il habitait[20]. À la Libération, le comité local de Libération saisit temporairement le matériel de l'imprimerie, ce qui conduisit à la disparition de l'Echo. Ses propriétaires, en effet, bien qu'autorisés à faire reparaître le titre suite à un arrêt de la Cour d'appel de Bourges prononçant un non lieu sur la collaboration par voie de presse et l'atteinte à la sûreté de l'État en 1947, et une décision de la Cour de Cassation cassant l'ordonnance de mise sous séquestre[14], sans doute usés par les combats politiques menés depuis des décennies, n'ont pas souhaité lui redonner vie[21]. Ils se sont alors retournés sur les seuls travaux d'édition et d'impression, en gardant toutefois le "Petit Gaignault" qui a paru jusqu'en 1990.

L'imprimerie fut l'un des principaux employeurs d'Issoudun avec plus de 300 salariés pendant de nombreuses années[11]. Sa présence marqua fortement Issoudun et les anciens ouvriers de l'imprimerie restent encore soudés en organisant des « retrouvailles »[22].

Cette famille compte une cinquantaine de représentants vivants[23]. Elle a été admise en 2006 au sein de l'association des Vieux noms français subsistants (VNFS), association cofondée en 2004 par l'un de ses membres qui en est le président depuis sa création[24].

Six membres de la famille sont membres de la Légion d'honneur : Alphonse Gaignault (1855-1923), Arthur Gaignault d'Etiolles (1838-1892), Henri Gaignault (1870-1954), Pierre Gaignault (1898-1989), Robert Gaignault (1904-1972), Xavier Gaignault.

Filiation modifier

  • Jehan (ca 1480 - 1537), bourgeois d'Alençon;
    • Etienne (ca 1510 - 1581), apothicaire et bourgeois d'Alençon;
      • Mathurin Le Gaigneau (ca 1540 - ca 1596), apothicaire à Levroux (Indre);
        • Pierre Gaignault (ca 1565 - ca 1635), chirurgien à Issoudun;
          • Pierre Gaignault (ca 1595 - 1673) bourgeois d'Issoudun;
            • René Gaignault (ca 1625 - 1673), médecin à Issoudun;
            • Jacques Gaignault (1656 - 1699), bourgeois d'Issoudun;
              • Pierre Gaignault (1694 - 1770), seigneur de Beaulieu et de Dormillon, échevin d'Issoudun;
                • Pierre-Denis Gaignault (1737 - 1818), seigneur de Saint-Soin et des Burets, député suppléant aux Etats Généraux de 1789, maire d'Issoudun;
              • Denis Gaignault (1683 - 1739), seigneur de Vouet, bourgeois d'Issoudun;
                • Pierre Gaignault (1716 - 1768), seigneur de Vouet;
                  • Philippe-Etienne Gaignault (1742 - 1797);
                    • Philippe-Etienne Gaignault (1786 - 1862);
                      • Alphonse Gaignault (1833 - 1902), imprimeur à Issoudun, directeur de l'Echo des marchés du Centre;
                        • Alphonse Gaignault (1855 - 1923), imprimeur à Issoudun et directeur de l'Echo des marchés du Centre, chevalier de la légion d'honneur;
                      • Philippe-Etienne Henri Gaignault (1831 - 1916);
                        • Henri Gaignault (1870 - 1954), imprimeur et éditeur, directeur de l'Echo des marchés du Centre; croix de guerre 14 - 18, chevalier de la légion d'honneur;
                          • Pierre Gaignault (1898 - 1989), courtier à la bourse de Paris, chevalier de la légion d'honneur;
                          • Robert Gaignault (1904 - 1972), courtier à la bourse de Paris, croix de guerre 39 - 45, chevalier de la légion d'honneur;
                          • Maurice Gaignault (1905 - 1989), imprimeur et éditeur, directeur de l'Echo des marchés du Centre, maitre d'équipage;
                            • Cyr Gaignault (1938 - ), membre de l'académie nationale de pharmacie.

Personnalités modifier

 
Pierre, Robert et Christian Gaignault, courtiers en valeurs mobilières près la Bourse de Paris, vers 1960.

Alliances modifier

Les principales alliances de la famille Gaignault sont : Hébert (avt 1537)[39] ; de Mongoubert (1579)[40] ; Fouquelin (1586)[41] ; Pénier (1596) ; Chastain (1621) ; Renauldon (1638 et 1729) ; Baraton (1675)[42] ; Pignot de Favrille (1682) ; de La Châtre[43] (1723, 1741, 1760 et 1790) ; Dumontier d'Aigremont (1734) ; Trumeau de la Sablonnière (1751) ; Colas de Brouville de la Noue (1779)[44],[45] ; de Pacarony (1813)[46] ; Ardant (1817) ; de Sainthorent (1826) ; Pigelet (1771, 1855 et 1898)[47] ; Carpentier de Changy (1972) ; de La Rochefoucauld (1979) ; de Clermont-Tonnerre (1986), etc.

Propriétés modifier

Notes et références modifier

  1. Archives départementales de l'Orne, 4E 70/3 et bulletin des VNFS n° 32.
  2. M.-T. Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, Paris, 1991.
  3. Informations mises au jour début 2020 par l'archiviste et paléographe normand, Jean-Yves Laillier.
  4. AD Orne 4 E 70/36 et Jacques Dubois, Notre-Dame d’Alençon, financement et reconstruction (1350 – 1540), Presses universitaires de Rennes, Rennes, 2000.
  5. Louis Charondas Le Caron, Réponses du droict français, chez P. L'Huillier, Lyon, 1586, tome II, pp. 328 et suivantes.
  6. Ph. Werth, Issoudun à la fin de l'Ancien Régime, Issoudun, 1983.
  7. Dr Jugand, Histoire de l'Hôtel Dieu et des institutions charitables d'Issoudun depuis leur fondation jusqu'à nos jours[1], Issoudun, 1881.
  8. Ph. Girard de Villesaison, III-A 146 (1770), archives de la ville d'Issoudun.
  9. J. Varin, Corbeil-Essonnes, aux rendez-vous de l'histoire, Paris, 1986.
  10. Michel Moreau, Issoudun, les noms de rues, Issoundun, Les amis du vieil Issoudun, , p. 136 - 137
  11. a et b « Route de Levroux : une entrée de ville austère », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne)
  12. Michel Gaulmy, « La famille Gaignault à la tête de L'Echo des Marchés », Bulletin des amis du vieil Issoudun, no 4,‎ , p. 27 - 28
  13. La cité dans le tunnel : 1939-1945, un journaliste face à la censure, Editions Alan Sutton, St-Cyr sur Loire, , 320 p. (ISBN 2842537424), p. 140.
  14. a et b « L'imprimerie Gaignault », Bulletin des Amis du vieil Issoudun, no 12,‎
  15. 1829 - 1929 : Centenaire de l'Echo des marchés du Centre, Plaquette éditée en souvenir de ce centenaire, célébré le jeudi 20 février 1930
  16. Georges de Beauregard, « Point de vue », L'indépenant du blanc,‎ , p. 2
  17. « Ni juif, ni franc-maçon », Le Petit Caporal,‎ , p. 6-7 (lire en ligne)
  18. « Echos du Palais », L'Unité nationale,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  19. « Tyrannie inadmissible », Le Berry Républicain,‎
  20. « Tirs de représailles », Le Berry Républicain,‎
  21. Michel Gaulmy, « La famille Gaignault à la tête de l'Echo des marchés du Centre », Bulletin des Amis du vieil Issoudun, no 4,‎ , p. 27 et suiv.
  22. « Retrouvailles des anciens de l'imprimerie Gaignault », La Nouvelle République,‎ , p. 20
  23. Estimation d'après le site roglo
  24. Bulletin de l'association des Vieux Noms Français Subsistants, Paris, 2007.
  25. Dr J.-F. Mercier, Étude généalogique et sociale d'une lignée de chirurgiens et de médecins en Berry de la fin du XVIe au début du XIXe siècle : la famille Gaignault, in revue de l'Académie nationale de chirurgie, 2011.
  26. d'Hozier, Armorial général ou registre de la noblesse de France, tome III, Paris, 1736 - 1768.
  27. Mémoires du chanoine Métivier, Bulletin de la société du Berry à Paris, Paris, 1865.
  28. A. Saulnier, Les mémoires de M. Champion, enfant d'Issoudun, Issoudun, 1936. À noter qu'Anne a également été connue sous le nom de "Gaignault de Dormillon" jusqu'à son mariage.
  29. Vte A. Révérend, Armorial du premier Empire, Paris, 1897.
  30. X. Gaignault, Le colonel Pierre-Denis de La Châtre, baron de l'Empire, Paris, 2007.
  31. F. Naudin, Issoudun de 1789 à 1800, Châteauroux, 1929.
  32. [2].
  33. Archives nationales : dossier n° LH/1053/16
  34. Participation du 2e arrondissement maritime à la Guerre de 1870-1871, Brest, 1874.
  35. La Guerre de 1870 - 1871, tome IV, R. Chapelot, Paris, 1903-1904.
  36. https://www.universalis.fr/auteurs/jean-cyr-gaignault
  37. [3].
  38. [4].
  39. archives départementales de l'Orne 4 E 70/36.
  40. archives départementales de l'Orne 4 E 70/121.
  41. archives départementales de l'Orne 4 E 70/161.
  42. H. Desgranges, Nobiliaire du Berry, chez l'auteur, 1965.
  43. Famille d'Issoudun qui revendiquait une origine commune avec la famille de La Châtre écrit Gustave Chaix d'Est-Ange. D'autres auteurs écrivent qu'elle serait une branche de la famille de La Châtre mais sans donner une filiation prouvée.
  44. Chev. de Courcelles, Histoire généalogiques et héraldiques de pairs de France, Paris, 1822.
  45. Histoire généalogique de la famille Colas, Orléans, 1883.
  46. Viton de Saint-Allais, Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France, Paris, 1816.
  47. B. Tardy, Les Pigelet en Berry, Bourges, 1994.
  48. a et b Château, Manoirs et logis : L'Indre, Editions Patrimoine et Médias, , p. 103 et 137

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Dictionnaire des médecins, chirurgiens et pharmaciens légalement reçus avant et depuis la fondation de la République Française, publié sous les auspices du gouvernement, chez Moreau, Paris, An 10.
  • Almanach du département de l'Indre, années 1810, 1857, 1898, 1936, 1989.
  • Louis Raynal, Histoire du Berry, Vermeil, Bourges, 1847.
  • Bulletin de l'association des inventeurs et artistes industriels, Paris, 1870.
  • Recueil de médecine vétérinaire, 5e série, tome X, no 9, septembre 1873.
  • Eusice Guillard, Notice sur la commune de Lazenay, Bourges, 1876, p. 15, 20, 22 et 39 et 45 à 48.
  • R.P. Jules Chevalier, Histoire religieuse d'Issoudun, Issoudun, 1899, p. 130 à 133.
  • La Guerre de 1870-71, campagne de l'armée du Nord, Chapelot imprimeur, Paris, 1903, t. II p. 88.
  • F. Naudin, Issoudun de 1789 à 1800, notes d'histoire de la Révolution, Châteauroux, 1929, p. 24 à 29, 52 - 53, 58 - 61.
  • M. de Puymège, Les vieux noms de France, Paris, 1954 (notice complète sur la famille Gaignault)
  • H. Desgranges, Nobiliaire du Berry, tome II, chez l'auteur, 1965.
  • Ph. Werth, Issoudun à la fin de l'Ancien Régime, Issoudun, 1983.
  • M. Larguinat, Quelques notes sur le prieuré d'Allichamps, Saint-Amand-Montrond, 1985.
  • D. Bernard et J. Tournaire, L'Indre pendant la Révolution française, Lucien Souny, 1989.
  • Geneviève Catherine-Joffrion, Daniel Bernard et Jacques Tournaire, Grands notables du Premier Empire, Indre, CNRS éditions, Paris, 1994, p. 167 - 168
  • Michel Gaulmy, La famille Gaignault à la tête de l'Echo des Marchés, Bulletin des amis du vieil Issoudun, 1996, p. 27 et suiv.
  • A.-M. Aubin, Mœurs et coutumes en Berry au XVIIIe siècle, Royer, 1998.
  • A.-R. Voisin, Histoire de la ville d'Issoudun des origines à nos jours, Paris, 2000, p. 294 et 328.
  • Bulletin de l'association des Vieux Noms Français Subsistants, n° 2006, Famille Gaignault, détaillant la filiation de la famille sur les 400 dernières années.
  • Jean Gerbier, Contribution à l'histoire d'Issoudun, Les Amis du vieil Issoudun, 2008, pp. 115, 131, 338, 370.
  • Berry magazine, no 103, automne 2012.
  • Jean-François Mercier, Une famille de chirurgiens en Berry de la fin du XVIe à la fin du XVIIIe siècle : Les Gaignault, Histoire des sciences médicales - organe de la société française d'histoire de la médecine, juillet-août-, t. LII.
  • Bottin mondain.
  • High Life.
  • L. Charondas Le Caron, Réponses du droict français, tome II, Lyon, 1586.
  • d'Hozier, Armorial général ou registre de la noblesse de France, Tome III, p. 620, Paris, 1752.
  • chev de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, Paris, 1822.
  • Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, Orléans, 1922.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier