Discussion:Mario Vargas Llosa

Dernier commentaire : il y a 1 an par VeritasInVino dans le sujet Nationalité espagnole
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Le paragraph "Depuis lors il écrit des colonnes d'opinions dans les journaux de droite d'Amérique latine, dans lesquelles il fustige constamment tous les mouvements et gouvernements progressistes de la région et affiche un certain mépris pour son pays d'origine et pour l'Amérique latine en général. Ses positions réactionnaires l'ont poussé ces dernières années à dénigrer les sociétés de certains pays de cette région de par leurs choix démocratiques de politiques nationales et populaires. Pour beaucoup de penseurs et analystes l'écrivain péruvien s'est transformé en fondamentaliste d'un néolibéralisme autoritaire" dôit être supresée o démontrée avec de la bibliographie significative. Dans mon opinion cet paragraph n'est pas neutral.

Juan A. Malo de Molina (d) 11 décembre 2010 à 17:15 (CET)Répondre



Pourquoi ne pas combiner la bibliographie en français et la bibliographie en espagnol ?

  • Tours et détours de la vilaine fille (Travesuras de la niña mala 2006)
  •  La tentación de lo imposible (2004) essais sur le genèse des Misérables de Victor Hugo
  • Diario de Irak ("Chroniques de l'Irak", 2003) recueil de reportages pour El País
  • Literatura y política (2003)
  • Le langage de la passion : Chroniques de la fin du siècle (El lenguaje de la pasión, 2001), recueil d'éditoriaux dans El País)
  • Dictionnaire amoureux de l'Amérique latine
  • Sur Borges
  • Le paradis un peu plus loin (El paraíso en la otra esquina, 2003)
  • De Flora Tristan à Mario Vargas Llosa
  • La fête au bouc (La Fiesta del chivo, 2000), sur les derniers jours de dictature du général Rafael Trujillo en République Dominicaine
  • En el reino del espanto ("Au royaume de l'épouvante", 2000)
  • Una historia no oficial ("Histoire non officielle", 1997)
  • Lettres à un jeune romancier (Cartas a un novelista, 1997)
  • Les cahiers de Don Rigoberto (Los cuadernos de don Rigoberto, 1997). Suite de Elogio de la madrastra.
  • Les enjeux de la liberté (1997) (Desafíos a la libertad "Défis à la liberté", 1994), anthologie d'articles des années 1990-94, publiés dans El País.
  • L'utopie archaïque (La utopía arcaica. José María Arguedas y las ficciones del indigenismo, 1996)
  • Ojos bonitos, cuadros feos ("Jolis yeux, vilains spectacles" 1996), théâtre
  • En selle avec Tirant le Blanc (1996), réunit diverses études sur Tirant le Blanc, roman chevaleresque de Joanot Martorell, que Vargas Llosa affectionne particulièrement. Il a ailleurs préfacé l'édition d'Anacharsis: Tirant le Blanc, roman sans frontière (2003)
  • Le Poisson dans l'eau (El pez en el agua. Memorias, 1993), mémoires
  • Le fou des balcons (El loco de los balcones,1993)
  • Lituma dans les Andes (Lituma en los Andes 1993), prix Planeta.
  • Un hombre triste y feroz ("Un homme triste et terrible", 1992)
  • El Combate Imaginario: Las Cartas De Batalla De Joanot Martorell ("Le combat imaginaire : les plans de bataille de Joanot Martorell", 1991)
  • Contra viento y marea. Volumen III (1964-1988) (1990)
  • La vérité par le mensonge (La verdad de las mentiras: Ensayos sobre la novela moderna, 1990, 2° édition corrigée et augmentée 2002)
  • Éloge de la marâtre (Elogio de la madrastra 1988)
  • L'homme qui parle, (El hablador 1987)
  • La Chunga ("La rigolade", 1986)
  • Vargas: Obras completas ("Vargas: Oeuvres complètes", 1986)
  • La suntuosa abundancia ("L'abondance somptueuse", 1984)
  • Kathie et l'Hippopotame (Kathie y el hipopótamo, 1983), suivi de «La Chunga» (1986)
  • Contra viento y marea. Volumen II (1972-1983) (1986)
  • Histoire de Mayta (Historia de Mayta, 1984)
  • Qui a tué Palomino Molero (¿Quién mató a Palomino Molero? 1986), roman policier sur le thème des violences politiques au Pérou
  • Contre vents et marées (Contra viento y marea 1962-1982, 1983), recueil d'essais
  • Entre Sartre y Camus (1981)
  • La señorita de Tacna ("La demoiselle de Tacna", 1981)
  • La guerre de la fin du monde (La guerra del fin del mundo, 1981), traite de la politique brésilienne au XIXe siècle
  • José María Argueda, entre sapos y halcones ("José María Argueda, entre crapauds et faucons", 1978)
  • Tante Julia et le scribouillard (La tía Julia y el escribidor, 1977), roman semi-autobiographique sur son premier mariage avec Julia Urquidi, qui était sa tante par alliance
  • L'orgie perpétuelle (La orgía perpetua. Flaubert y Madame Bovary, 1975)
  • La novela y el problema de la expresión literaria en Perú ("Le roman et le problème de l'expression littéraire au Pérou", 1974)
  • Pantaléon et les visiteuses (Pantaleón y las visitadoras 1973), satire du fanatisme militaire et religieux au Pérou, dont Francisco J. Lombardi a tiré un film en 2000
  • El buitre y el Ave Fénix. Conversaciones con Mario Vargas Llosa ("Le vautour et le Phénix — conversations avec Mario Vargas Llosa", 1972)
  • Historia secreta de una novela ("Histoire secrète d'un roman", 1971) sur l'origine du roman La Casa verde.
  • García Márquez: historia de un deicidio (1971), Thèse de doctorat à l'Université Complutense de Madrid.
  • Conversation dans la cathédrale (Conversación en La Catedral, 1969)
  • Los cachorros ("Les chiots", 1967)
  • La maison verte (La casa verde, 1966, prix Rómulo Gallegos pour 1967)
  • La ville et les chiens (La ciudad y los perros, 1963, Prix de la Biblioteca Breve et Prix de la Crítica)
  • Les caïds (Los jefes, 1959, Prix Leopoldo Alas)
  • Bases para una interpretación de Rubén Darío (Mémoire de licence à l'Université San Marcos de Lima, 1958)
  • La huida del inca ("La fuite de l'Inca", 1952), drame
  • Mis primeros versos ("Mes premiers vers", 1948)

Une interview dans Le Monde modifier

Dans un entretien avec Olivier Guez, MVL dit : "Jusqu'à ce fameux coup de téléphone, j'étais persuadé qu'un écrivain qui se déclarait libéral n'avait aucune chance de remporter le Nobel. C'est notamment pour cette raison que je pensais que je ne le recevrais jamais, que j'étais trop controversé, mes activités journalistiques et un temps politiques m'ayant entraîné, souvent malgré moi, dans de nombreuses polémiques. Eh bien, je me suis trompé !" — Mario Vargas Llosa : "Je me suis revu à 5 ans" entretien avec Olivier Guez dans Le Monde. Asteriks (d) 15 octobre 2010 à 18:18 (CEST)Répondre

litterature modifier

les romans ne sont écrits pour peindre la réalité mais pour la corriger.ils n'exprime pas la vie telle qu'elle est mais ce qui est de trop ou qui manque ou qui se gare dans la vie.qu'en pensez vous

Nationalité espagnole modifier

Salut! M. Vargas Llosa n'est-il pas AUSSI espagnol, càd. désormais binational péruvien-espagnol? Ne faudrait-il pas l'indiquer? L'Espagne semble le revendiquer comme prix Nobel "espagnol"... - R. Gastins-Briard

Bonjour,
En effet, il a obtenu la nationalité espagnole il y a quelques années. (Et évidemment que l'Espagne s'est empressée de le revendiquer ;) .)
Cordialement, --Daehan [p|d|d] 15 février 2016 à 10:38 (CET)Répondre
le site officiel du prix nobel mentionne simplement péruvien, et tant d'autres sources dans de nombreuses langues. [1], [2] Nous allons juste le garder comme il était. (N0n3up (discuter) 6 mars 2016 à 09:26 (CET))Répondre
Il a les deux nationalités ; c'est indéniable. Qu'il y ait une revendication pour le prix nobel ou pas, cela ne concerne pas son état civil.
Merci de ne pas faire de modification à l'emporte-pièce, alors que dans la discussion, il n'y a pas eu de consensus dans ce sens.
Cordialement, --Daehan [p|d|d] 6 mars 2016 à 12:12 (CET)Répondre
Si vous regardez les autres écrivains du boom latino-américain, vous verrez qu'ils ont trop de double nationalité, Isabel Allende a la nationalité chilienne et américaine, Gabriel Garcia Marquez avait la citoyenneté colombienne et mexicaine. Tous les deux de ces écrivains sont désignés comme chilien et colombien, pas chilien d'Amérique ou mexicain-colombiennes. MVLL a fait l'essentiel de son travail au Pérou et même se présente comme candidat à la présidence péruvienne. Il a acquis la nationalité espagnole plusieurs années plus tard après avoir eu sa renommée établie. Ainsi, il serait plus logique s'il devait simplement être dénommé « Péruvien ». Si vous trouvez que c'est nécessaire, passez au corps de l'article, pas la partie supérieure. No se si quieres hablar en espanol si te parece ser mas facil para ti, or in english which I'm also willing to discuss. (N0n3up (discuter) 6 mars 2016 à 21:54 (CET))Répondre
Il s'est installé en Espagne en 1990, donc dire qu'il a fait l'essentiel de son travail au Pérou est complètement faux.
Il vit actuellement en Espagne, est régulièrement consulté par les médias sur des thèmes culturels et politiques, et surtout il a non seulement la nationalité espagnole - après l'avoir expressément demandée (rien à voir avec ceux qui l'ont héritée) - mais en plus un titre nobiliaire depuis 2011 : le roi lui-même lui a octroyé le titre de marquis de Vargas Llosa.
Il me semble que c'est plus qu'une petite anecdote sans la moindre incidence (comme c'est le cas pour Isabel Allende).
Cordialement, --Daehan [p|d|d] 6 mars 2016 à 23:06 (CET)Répondre
Il est vrai qu'il s'installe en Espagne en 1990, mais même alors, il était déjà un écrivain connu. vous pouvez dire la même chose avec leo messi, qui avait fait sa carrière en Espagne, mais il est tout simplement considéré comme un argentin. Même s'il est titulaire d'un titre royal, il fait peu de différence. Wallis Simpson avait un titre royal et était marié à Édouard VIII, qui était la prochaine à être roi de Bretagne, et même elle est tout simplement considéré comme un américain. Je pense que le détail doit aller sur le paragraphe du corps mais il n'est pas suffisamment important pour aller dans la partie supérieure. l'article est très bien comme il était. Por sea caso, si quieres que hablemos en espanol, no hay problema. (N0n3up (discuter) 7 mars 2016 à 05:58 (CET))Répondre
Y, por si acaso, no se dice "por sea caso" (¿?). Si quieren discutir en español, al menos conozcan bien la lengua (tr. : Et, au cas où, on ne dit pas "por sea caso". Si vous voulez argumenter en espagnol, il faut au moins bien connaître la langue). VeritasInVino (discuter) 12 février 2023 à 08:54 (CET)Répondre

Bonjour. Clairement Mario Vargas Llosa est péruvien et espagnol. D'une, parce qu'il possède les deux nationalités (fait technique), de deux parce qu'il est très présent dans la vie citoyenne espagnole. Il s'est impliqué dans le mouvement anti-indépendantiste catalan, prenant la parole lors de nombreuses manifestations, etc. (fait social). La mention espagnol semble donc conforme à la réalité et ne retire rien au fait qu'il soit péruvien. Y no vamos a hablar en español porque aqui estamos en una pagina francófona  . – Rachimbourg (on cause ?) 25 mai 2019 à 10:25 (CEST)Répondre

D'ailleurs, merci d'éviter toute considération personnelle : on débat ici en bonne foi. Je ne suis pas espagnol ni suis le héraut de l'Espagne sur Wikipédia, et je n'ai pas besoin de vous demander si vous avez des origines péruviennes pour défendre mordicus votre point de vue... — Daehan [p|d|d] 25 mai 2019 à 11:16 (CEST)Répondre
Bien évidemment en accord avec Daehan. Cdt, Manacore (discuter) 25 mai 2019 à 11:38 (CEST)Répondre
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