Discussion:Histoire de Tom Jones, enfant trouvé

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Robert Ferrieux dans le sujet Nouvelle tâche suggérée
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Reprise de l'article modifier

Je reprends cet article que je compte mener au niveau  . --RF Sesquipedalia verba (discuter) 16 septembre 2014 à 18:02 (CEST)Répondre

  ce projet fort bienvenu mérite, je pense, une petite annonce au club, dont je me charge de ce pas. Archibald Tuttle (discuter) 16 septembre 2014 à 22:09 (CEST)Répondre

Relectures à loisir et au pas promenade modifier

Parce que… heu, je ne sais plus : sœur célibataire ? Je vais vérifier. --RF sesquipedalia verba (discuter) 13 octobre 2014 à 16:40 (CEST)Répondre
Ça y est, j'ai trouvé : voir VI, II, « She had lived about the court, and had seen the world. Hence she had acquired all that knowledge which the said world usually communicates; and was a perfect mistress of manners, customs, ceremonies, and fashions. Nor did her erudition stop here. She had considerably improved her mind by study; she had not only read all the modern plays, operas, oratorios, poems, and romances—in all which she was a critic; but had gone through Rapin’s History of England, Eachard’s Roman History, and many French Mémoires pour servir à l’Histoire: to these she had added most of the political pamphlets and journals published within the last twenty years. From which she had attained a very competent skill in politics, and could discourse very learnedly on the affairs of Europe. She was, moreover, excellently well skilled in the doctrine of amour, and knew better than anybody who and who were together; a knowledge which she the more easily attained, as her pursuit of it was never diverted by any affairs of her own; for either she had no inclinations, or they had never been solicited; which last is indeed very probable; for her masculine person', which was near six foot high, added to her manner and learning, possibly prevented the other sex from regarding her, notwithstanding her petticoats, in the light of a woman. However, as she had considered the matter scientifically, she perfectly well knew, though she had never practised !them, all the arts which fine ladies use when they desire to give encouragement, or to conceal liking, with all the long appendage of smiles, ogles, glances, &c., as they are at present practised in the beau-monde. To sum the whole, no species of disguise or affectation had escaped her notice; but as to the plain simple workings of honest nature, as she had never seen any such, she could know but little of them. »
Donc c'est une spinster, mais on dit Mrs par politesse ? --Eymery (discuter) 19 octobre 2014 à 21:08 (CEST)Répondre
Sans doute. Aujourd'hui, on dirait « Ms », mais ça s'applique à toutes les femmes à partir de 15 ans, car avant, ce sont des « girls », et même par référence à leur âge ou leur dignité, elles ne sont plus jamais des « ladies ». Voilà les ravages du « politiquement correct ». Savez-vous que mon crâne dégarni me qualifie de « follicularly impoverished individual » ?, et que si je mesurais 1m,40, je serais un « vertically challenged individual », et encore que ma couleur de peau me doit de ne pas être un « pigmentary enriched individual » ? Vous êtes une femme, c'est-à-dire « a woman » ; moi, je suis promis à n'être plus qu'un « a he-woman ». Mais cette petite digression n'a pas vraiment sa place ici. Qu'on me pardonne ! --RF sesquipedalia verba (discuter) 19 octobre 2014 à 21:37 (CEST)Répondre
... et Mrs Western une « she-man » peut être avec son mètre quatre-vingts et malgré ses jupons (selon la description donnée par H. Fielding) ?  . Archie (discuter) 19 octobre 2014 à 21:48 (CEST)Répondre
  • Question du jour 2 : j'ai relu x fois cette très longue phrase de l'introduction, mais je la trouve toujours aussi obscure, même après l'avoir coupée « Le roman se distingue aussi, comme son prédécesseur[style à revoir] Joseph Andrews, par l'analyse constante de l'art[Lequel ?], directement partagée par l'auteur avec le lecteur lequel est en permanence pris à parti à propos de l'histoire et des personnages par un narrateur non neutre, par son[Qui ?] maniement subtil et varié des différentes facettes de l'ironie, par sa description minutieuse des us et coutumes de la société, par son ample usage des effets comiques et enfin par la dimension épique ou pseudo-héroïque (mock epic)... ». Le possessif « son » rapporte-t-il au narrateur ou à l'auteur, ou tantôt à l'un tantôt à l'autre ? Je ne suis pas sûre que mes corrections ne déforment pas votre pensée.-Eymery (discuter) 31 octobre 2014 à 14:51 (CET)Répondre

Suggestion d'illustrations modifier

 
Il faudra les légender....

Le bonjour à tous. Une carte de l'est de l'Angleterre montrant les différentes étapes du voyage de Tom et Sophia depuis le Sommerset jusqu'à Londres (Bath, Bristol, Upton etc...) me semble judicieuse et utile, un peu comme l'avait fait Eymery (d · c · b) dans l'article Univers de Jane Austen. Archibald Tuttle (discuter) 19 octobre 2014 à 16:13 (CEST)Répondre

C'est bien mon projet. Je ne me préoccupe pas encore des illustrations, cela viendra en son temps, mais Commons est bien pauvre en la matière et il faudra trouver des images importables quelque part. Cordialement, --RF sesquipedalia verba (discuter) 19 octobre 2014 à 18:22 (CEST)Répondre
 
Lady Cunliffe
La carte, je peux la faire, en reprenant le fond de carte que j'ai utilisé pour Jane Austen, si on me fait la liste complète des lieux. Je n'ai qu'un assez vague souvenir du roman (que j'avais, en outre, lu en français). Pour les images, il y en a là, libres de droit-Eymery (discuter) 19 octobre 2014 à 22:58 (CEST)Répondre
Ouais ! Je vais faire la liste des lieux. --RF sesquipedalia verba (discuter) 20 octobre 2014 à 00:23 (CEST)Répondre
J'ai importé les 6 illustrations, elles sont sur Commons-Eymery (discuter) 20 octobre 2014 à 00:54 (CEST)Répondre
Je vous ai envoyé l'itinéraire de Tom par Mail. Merci pour les illustrations, mais il faudra en trouver d'autres. --RF sesquipedalia verba (discuter) 20 octobre 2014 à 01:22 (CEST)Répondre
J'ai vu, mais ne soyez pas trop pressé, c'est assez long à faire, et tant qu'il fait beau, je m'occupe en priorité du jardin !-Eymery (discuter) 20 octobre 2014 à 10:11 (CEST)  Répondre

Il sera difficile de trouver des images libres de droit dans le mur d'images visible sur Google. Cependant, j'ai trouvé quelque chose d'intéressant. La gravure datée de 1784 de John Raphael Smith (coll. du British Museum) reproduisant (interprétant plutôt) le portrait de Lady Cunliffe est présentée comme Portrait of Harriet, Lady Cunliffe as Sophia Western in Henry Fielding's Tom Jones.-Eymery (discuter) 20 octobre 2014 à 12:29 (CEST)Répondre

C'est curieux, je voyais jusqu'ici l'incomparable Sophie comme une beauté plutôt latine, avec ses cheveux noirs de jais et ses grands yeux noirs brillants, tandis que le portrait de Lady Cunliffe par JR Smith nous révèle un visage au teint clair encadré de boucles blondes. J'ai lu ici qu'un modèle de la belle Sophie pourrait avoir été Lady Margaret Cecil (1672-1728) née comtesse de Salisbury, puis comtesse de Ranelagh et épouse de Richard Jones, premier comte de Ranelagh (1641-1712) et ce portrait me semble assez convaincant. Cela dit on lit le plus souvent que le modèle pour Sophie aurait été la première femme de Fielding, Charlotte Craddock (v. 1715-1744) originaire de Salisbury, dont je n'ai pas réussi à trouver le portrait. Archibald Tuttle (discuter) 23 octobre 2014 à 22:48 (CEST)Répondre
Je ne pense pas que Lady Cunliffe soit un modèle, et le roman dit bien que Sophia a les cheveux et les yeux noirs. La gravure du British Museum, au port de tête beaucoup plus romantique que le tableau (head tilted to left), est présentée comme « Portrait of Harriet, Lady Cunliffe as Sophia Western in Henry Fielding's 'Tom Jones' », je comprends ça comme Lady Cunliffe « déguisée en » Sophie Western. Je crois savoir que ça se faisait beaucoup, pour les dames, de s'habiller ou de se coiffer « à la manière de », personnages de roman « furieusement » à la mode !
J'ai créé la catégorie Tom Jones, où j'ai mis les 4 gravures que j'ai trouvées de Hubert François Gravelot (Il y en a d'autres dans l'édition du Club français du livre, mais leur qualité n'est pas fameuse (1966, pour l'édition que j'ai). En revanche je n'ai pas réussi à téléverser les 4 que j'ai trouvées de George Cruitshank (en png).-Eymery (discuter) 25 octobre 2014 à 02:04 (CEST)Répondre
 
La brune Lady Ranelagh, citée par Fielding lui-même comme exemple de personnalité féminine ayant une certaine ressemblance avec la Sophia du roman ...
Merci Eymery pour avoir importé sur Commons la gravure en manière noire du British Museum pour l'utiliser en remplacement du précédent portrait de Lady Cunlife. J'ai de mon côté introduit la séduisante Lady Ranelagh, « beauté de Hampton Court » citée par Fielding lui-même et qui, ne serait-ce que pour cette raison, mérite de figurer dans la catégorie:Tom Jones que vous avez eu la bonne idée de créer dans Commons.
Je pense que, s'il était possible d'obtenir une image de meilleure résolution, ce portrait pourrait avantageusement remplacer dans l'article celui de Lady Cunlife, dont la pertinence (une blonde, certes jolie, déguisée en brune ...) me paraît, à vrai dire, quelque peu discutable. Archibald Tuttle (discuter) 2 novembre 2014 à 10:58 (CET)Répondre
PS : j'ai par ailleurs bien peur que le portrait de Charlotte Craddock, qui eût été en principe la meilleure solution d'illustration à cet endroit, n'ait jamais été peint à mon grand désespoir. Archibald Tuttle (discuter) 2 novembre 2014 à 12:12 (CET)Répondre
Gardons donc Lady Ranelagh pour l'article secondaire sur les personnages... Eymery (discuter) 14 janvier 2015 à 23:35 (CET)Répondre

Références cassées modifier

hello

les références suivantes sont cassées :

  • Entrée #Henry_Fielding20015II.2C_II.2C_74 appelée par la référence [2] (chercher)
  • Entrée #Henry_Fielding2003 appelée par la référence [8] (chercher)
  • Entrée #Tobias_Smollett2009 appelée par la référence [10] (référence non trouvée)
  • Entrée #Martin_C._Battestin1968 appelée par la référence [30] (référence non trouvée)
  • Entrée #Charles_Dickens1999 appelée par la référence [37] (référence non trouvée)

--TaraO (d) 25 octobre 2014 à 22:08 (CEST)Répondre

Bonjour
il reste toujours les références suivantes cassées :
  • Entrée #Tobias_Smollett2009 appelée par la référence [17] (chercher)
  • Entrée #Wayne_H._Booth1966 appelée par la référence [260] (chercher)
  • Entrée #Henry_Suhamy2004 appelée par la référence [291] (chercher)
--TaraO (d) 28 décembre 2014 à 09:36 (CET)Répondre
  Références cassées corrigées. Merci de les avoir signalées. Cordialement, --RF sesquipedalia verba (discuter) 28 décembre 2014 à 12:29 (CET)Répondre

Intention de proposition au label AdQ modifier

La proposition sera faite à la rentrée 2015 --RF sesquipedalia verba (discuter) 6 décembre 2014 à 09:10 (CET)Répondre

J'ai 2 objections à une présentation aussi rapide au jugement de la communauté :
- (1) l'article sous sa forme actuelle est vraiment long, plus de 300'000 ko. Je suggérerais de le délester dès maintenant des détails qui figureront dans les sous-articles détaillés projetés, en créant sans plus attendre ces sous-articles avec renvois habituels en tête des sections correspondantes de l'article principal.
- (2) il manque toujours, à mon avis, une section détaillant les sources d'inspiration du roman, notamment les personnalités réelles ayant servi de modèle aux personnages : actuellement il n'est fait que brièvement allusion à Ralph Allen (as Sq. Allworthy) et à Charlotte Craddock (as Sophia Western). Des développements plus importants concernant chaque personnage seraient les bienvenus. Par exemple, comment le nom choisi de Jones pour le héros est-il connecté avec Lord Ranelagh et sa biographie tumultueuse (sûrement pas un hasard) ...
Félicitations néanmoins pour le travail déjà accompli : Archibald Tuttle (discuter) 28 décembre 2014 à 21:07 (CET)Répondre

Merci pour les félicitations. J'ai évidemment l'intention de créer dans les prochains jour les articles détaillés et d'alléger d'autant le texte de l'article principal dont je m'étais mis en vacances depuis quelque temps pour me consacrer à Lady Roxane ou l'Heureuse Catin, Roxana, encore que sa longueur soit en bonne partie due aux citations originales. Quant aux sources d'inspiration du roman, je ne dispose d'aucune information pertinente à ce sujet. Je viens de recevoir The Cambridge Companion to Henry Fielding et espère y trouver matière à développer ce point. Bien cordialement, --RF sesquipedalia verba (discuter) 29 décembre 2014 à 13:20 (CET)Répondre

Les articles détaillés ont tous été créés, ce qui allège le texte de l'article principal de près de moitié. Quant aux sources d'inspiration, je n'ai encore trouvé aucun document. --RF sesquipedalia verba (discuter) 4 janvier 2015 à 08:19 (CET)Répondre

Et voilà, je crois avoir satisfait aux deux demandes formulées ci-dessus, sauf en ce qui concerne Lord Ranelagh, car il est à peu près certain que le nom Tom Jones a été choisi pour sa banalité (du genre Jean Durant), et que le personnage a été en grande partie modelé sur Fielding en personne, ce dont je rends compte dans la section que j'ai placée en tête. 5 janvier 2015 à 23:02 (CET)

Oui, au fond la coïncidence est plausible et les Anglais de cette époque étaient souvent de sacrés bons vivants, qu'ils se prénomment Richard ou Tom (ou Henry). Archibald Tuttle (discuter) 10 janvier 2015 à 16:26 (CET)Répondre

Je ne peux faire plus et vais, après une dernière relecture, présenter l'article au label annoncé. Bien cordialement, --RF sesquipedalia verba (discuter) 5 janvier 2015 à 23:02 (CET)Répondre

  : BPL (« bon pour label  ») Archibald Tuttle (discuter) 6 janvier 2015 à 12:04 (CET)Répondre

Influences de Tom Jones sur les contemporains de Fielding modifier

La remarque de Flopinot2012 (d · c · b) en page de discussion du vote AdQ concernant certaines similitudes entre Jacques le Fataliste de Diderot et Tom Jones m'a fait penser que j'avais trouvé le style et l'inspiration de Fielding très en phase avec les Lumières francophones : on pense aussi irrésistiblement en lisant les aventures de Tom Jones et la manière dont elles sont relatées au Candide de Voltaire. Or, on peut lire dans la Wikipédia anglophone dans la biographie d'Edward Langille :

« Candide: Sources and origins[edit] »

« Edward Langille has conducted extensive research on the sources and origins of Voltaire's 1759 satiric masterpiece Candide.[7] He argues, in part, that Candide draws on Pierre-Antoine de La Place's 1750 novel, Histoire de Tom Jones, ou l’enfant trouvé, a French adaptation of Henry Fielding'sThe History of Tom Jones, a Foundling. "A close reading of Candide and L'Enfant trouvé," Langille has written, "reveals an astonishing network of verbal, thematic and narrative analogies, which strongly reinforces the thesis that Voltaire's novel owes a great deal to La Place, in terms of the characters it portrays, the narrative that binds those characters together, and the language in which the whole is expressed."[8] Elsewhere, Langille has noted that La Place's adaptation eliminates Fielding's "consistent, all-pervasive irony" replacing it with "emotional self-indulgence" and conferring "a rosy cast on Fielding's love themes." He argues that Voltaire created Candide as a parody of the contemporary sentimental romance, the prevailing philosophy of Optimism and possibly, Fielding's own faith in "the controlling hand of Providence".[9][10] »

« In addition, Langille argues that Candide reflects elements of a second book, Le Cosmopolite; ou, le Citoyen du monde, the memoirs of Louis-Charles Fougeret de Monbron, also published in 1750. Noting the cynical tone, sarcastic humour and salacious sexual allusions of Le Cosmopolite, Langille suggests Monbron's memoirs provided Voltaire with anecdotes, descriptions and idiosyncratic expressions that were useful in creatingCandide. Moreover, he writes, parts of Candide are based on Monbron's extensive travels and the many incidents he relates.[10] Langille concludes: »

« L’Enfant trouvé gave Candide its original idyllic childhood setting, its principal characters and themes, including the protagonist’s all-important journey of self-discovery, which is also his quest for love...Le Cosmopolite gave Voltaire the idea of a wide-ranging and seemingly random European journey, conferring on Candide the world view that Voltaire clearly wished to emphasize. Still, it is doubtful whether either the optimistic Enfant trouvé or the cynical Cosmopolite would on their own have provided Voltaire with enough inspiration to write Candide. Rather, it was the mysterious combination of these two works together with a variety of other thoughts and texts in the crucible of Voltaire’s imagination that gave birth to what critics have since baptized 'le moment Candide'.[10] »

« Langille's most recent book, due to be released in 2013, is a 670 page critical edition of La Place’s translation of Tom Jones with a 66 page introduction and notes. The book signifies a new line of inquiry into Anglo-French civilization in the 18th century as historic translations have not before been considered as vectors or carriers of cross-cultural influence.[11] »

Je me demande par conséquent si cet auteur ne devrait pas être mentionné et ce point un peu plus développé dans l'article. Cela permettrait aussi d'ouvrir quelques développements sur la traduction de La Place et l'influence de Tom Jones hors de Grande Bretagne, un thème qui n'est pour l'instant qu'effleuré.

Archibald Tuttle (discuter) 7 janvier 2015 à 18:10 (CET)Répondre

Intéressant, en effet. Je verrai cela ce soir ou demain. Merci. --RF sesquipedalia verba (discuter) 7 janvier 2015 à 19:27 (CET)Répondre
J'espère que le dernier petit chapitre intitulé « Influence » saura trouver votre approbation. Merci encore de cet apport fort pertinent. RF sesquipedalia verba (discuter) 8 janvier 2015 à 04:47 (CET)Répondre

Mise en forme des références modifier

Pour atteindre un niveau de quasi-perfection formelle, il y aurait encore un (très gros) travail de mise en forme de la bibliographie par utilisation des modèles « ouvrage » et « article ». Par ailleurs pas mal d'articles secondaires à créer et à lier comme Covent-Garden Journal etc (idéalement en fait tous les liens encore rouges de la palette). Que de pain sur la planche mon dieu, mon dieu ... Merci cher Fielding de nous donner cette joie 250 ans après  . Archibald Tuttle (discuter) 14 janvier 2015 à 17:58 (CET)Répondre

Les liens rouges de la palette seront peu à peu, au moins en ce qui concerne les romans, bleuis par mes soins, DG. Je ne connais rien aux pièces de Fielding et fort peu sur les traités et pamphlets, et comme je n'aime guère traduire les articles anglais, j'espère que des amateurs de Fielding bien intentionnés s'en chargeront. Quand à la bibliographie, j'ai fait de mon mieux, mais certains contributeurs sont passés derrière moi et ont modifié ma présentation, si bien qu'il y a en effet une certaine disparité ça et là. Je vais essayer d'en éliminer quelques-unes. Attention : dans le texte rédactionnel, il y a quelques références qui n'ont pas été mises à la mode harvsp à dessein, car elles n'ont servi qu'une fois et la mention de l'ouvrage en bibliographie ne ferait qu'alourdir le lot déjà copieux. Enfin, je me demande s'il est vraiment opportun de créer une multitude d'articles portant sur des sujets annexes comme Covent-Garden Journal, justement. L'article anglais correspondant est assez copieux, mais a-t-on vraiment besoin de tout cela pour comprendre le roman ? Que de pain sur la planche, en effet : il y faudrait une vie entière ! Autre réflexion : les détails de forme sont très importants, je le sais, mais peut-être le fond de l'article n'est-il pas trop mauvais ? Si ?   --RF sesquipedalia verba (discuter) 15 janvier 2015 à 00:53 (CET)Répondre

Cher Robert, je m'empresse de vous rassurer : lorsque je parlais de « quasi-perfection » formelle, cela supposait que ce stade devait, selon moi, être considéré comme atteint quant-au fond, car ce dernier me paraît tout-à-fait excellent, comme à l'accoutumée lorsque vous êtes aux commandes. Encore que l'on puisse s'étonner de la faible place relative accordée à la genèse et aux personnalités réelles ayant inspiré le roman (mais vous assurez que les sources sont inexistantes et je suis persuadé que vous avez cherché à fond) ainsi qu'à l'impact et aux répercussions à long terme sur la littérature universelle et la culture en général de cette œuvre immense et véritablement révolutionnaire.

J'avoue que je suis en effet peut-être excessivement sensible (en fait grand amateur pour ne rien vous cacher  ) aux détails qui font tout le charme et l'intérêt de ces articles longs. Je suis ainsi parfaitement capable de me passionner aussi bien pour le Covent-Garden journal, que pour le professeur Langille, le manoir de Prior Park, la biographie de Sir Ralph Allen ou de Lord Ranelagh, un peu moins peut-être pour les chleuasmes, sauf pour faire des farces, comme cela ne vous a certainement pas échappé. Et c'est précisément parce qu'on le sait peu de choses des pièces de Fielding que j'aurais pour ma part envie d'en savoir plus (je ne suis même pas sûr qu'il en existe des traduction en français). Si vous ajoutez à cette passion du détail celle du jeu qui consiste à fabriquer des articles (quasi-)parfaits, vous comprenez maintenant peut-être mieux le sens de cette section de discussion.

En somme, en mettant un doigt dans l'engrenage Fielding, je me réjouis très sincèrement de constater que l'on débouche sur un univers finalement peu défriché (en tout cas dans le monde francophone), ce qui (je l'espère) permettra encore d'occuper des générations de lettrés (et donc de wikipédiens).

Très amicalement : Archibald Tuttle (discuter) 15 janvier 2015 à 19:53 (CET)Répondre

Allons, créons l'article Covent-Garden journal. Ce sera fait demain ! Oui, tout, bien sûr, est intéressant. Très amicalement, --RF sesquipedalia verba (discuter) 15 janvier 2015 à 20:36 (CET)Répondre

Remarques générales modifier

Je pense que dans un article de cette envergure (actuellement en fin de période d'évaluation pour l'obtention du label officiel de qualité), il conviendrait :

  1. de se poser quelques petites questions concernant l'équilibre et la nature des sources utilisées. Il est bien précisé que la profusion des documents rend le tri critique particulièrement difficile. Je reste pour ma part un peu ennuyé par la sur-représentation d'une source secondaire qui n'est pas très surprenante vu l'identité du rédacteur principal du présent article, qui est également le co-auteur de ladite source. Sur 274 appels de notes listés dans la section références j'en ai compté 84 (env. 30%) qui renvoient sur l'ouvrage de Gondebeaud et Ferrieux. Or cette source secondaire est un ouvrage académique totalement confidentiel datant de 1981, un cours de CAPES et d'agrégation d'anglais non consultable directement par les lecteurs de Wikipédia dont il est permis de supposer que le présent article (ainsi que les articles dérivés) constitue(nt) un résumé. Rien n'interdit à ma connaissance un tel procédé, mais il me semble qu'il serait honnête d'en informer clairement le lecteur dans une section inaugurale qui exposerait brièvement les raisons ayant conduit à ce choix éditorial : n'existe-t-il pas une ou plusieurs sources secondaires générales, idéalement (mais pas forcément) francophones, plus notoires et plus récentes, qui diraient plus ou moins la même chose mais seraient directement accessibles au public ?
  2. d'expliquer également tout au début de l'article voire à la fin de l'introduction le choix de la version française de référence utilisée dans l'article, la traduction de Defauconpret datant de 1835, alors qu'il en existe de nombreuses autres, plus récentes et (pour un lecteur non averti) à première vue tout aussi valables. En quoi celle choisie est-elle meilleure que les autres ? Par ailleurs, il me semble qu'il faudrait rectifier dans l'infobox les dates et éditeurs de cette première édition au lieu d'indiquer la réédition plus d'un siècle après du Club français du livre (version d'ailleurs utilisée comme source primaire, appelée en note dans un bon autre tiers des 274 références listées).
  3. de réfléchir à de possibles développements ultérieurs de la section postérité : il peut en effet sembler bizarre de ne citer "que" Voltaire et Jane Austen alors que Tom Jones à certainement influencé l'ensemble de la littérature des 2 siècles qui ont suivi.

Archibald Tuttle (discuter) 4 février 2015 à 22:20 (CET)Répondre

Ma réponse :
  1. «   : BPL (« bon pour label  ») Archibald Tuttle (discuter) 6 janvier 2015 à 12:04 (CET) », m'avez-vous dit : alors, j'y suis allé…Répondre
  2. La source secondaire principale : évidemment, j'ai trouvé dans de nombreux livres, introductions à plusieurs éditions, sites internet, etc. d'autres sources. Elles ne sont pas toujours concordantes et il m'a semblé inutile de donner toutes les variantes d'interprétation exposées. Cela m'a en effet conduit à faire un choix, pas seulement de commodité : le cours en question est en soi une synthèse déjà bien sourcée et oui, l'article s'en inspire pour ses rubriques principales. Certes, il date de 1981, mais ce qui a été publié depuis n'apporte pas grand'chose de nouveau, à mon avis du moins. D'autre part, j'ai désiré exposer dans le détail les mécanismes de la narration et de l'ironie, parfois techniques, j'en conviens, et cela, je ne l'ai trouvé nulle part ailleurs mieux agencé que dans cette source, due au regretté Louis Gondebeaud, le reste étant plutôt le fait de votre serviteur. Je crains qu'il ne soit impossible d'éviter qu'un universitaire se serve d'abord chez lui. Quant à insérer dans l'article un paragraphe explicatif, je ne sais si c'est vraiment souhaitable : les références parlent d'elles-mêmes et ce serait comme 1) inviter le lecteur à se munir d'une calculette, 2) présenter des excuses préalables : « honnêteté », dites-vous ? Si l'article est malhonnête, il n'y a qu'à en demander immédiatement la suppression, ce que je suis tenté de faire, je vous l'avoue.
  3. La traduction : j'ai choisi celle de Defauconpret pour la seule raison que je la trouve bonne, meilleure en tous les cas que celle de la Pléiade. Je dirais même que le fait qu'elle date de 1835, loin d'être un handicap, est un atout : moins on s'éloigne du XVIIIe siècle, plus la langue se rapproche de la source. Pourquoi l'édition du Club français du livre ? Eh bien, parce que je la possède et que les autres sont reléguées sur le web et souvent quasi illisibles. J'ajoute que les références au texte proviennent presque toutes de l'édition Penguin Classics de 1999.
  4. La postérité : j'ai amplement parlé de Dickens dans le corps de l'article ; j'ai cité Jane Austen et Voltaire. Que bien d'autres autres romanciers aient été influencé par Fielding est une évidence puisqu'il est l'un des créateurs du genre en Grande-Bretagne, avec Defoe, Swift et Richardson, dans le sillage de Cervantes et de Lesage.
  5. Les rubriques à explorer : lorsque j'ai terminé l'article, il dépassait les 300 000 octets : une fois les articles détaillés créés, que je suis en train de revoir et d'étoffer, il reste d'une longueur frisant le seuil critique. Tom Jones est inépuisable, il faut bien savoir s'arrêter. Cela n'empêche de créer d'autres articles détaillés : libre à chacun de le faire.
  6. Mon impression est que vous avez une prédilection particulière pour ce roman et que vous êtes déçu par mon travail : peut-être se trouvera-t-il quelqu'un ou quelqu'une plus habile que moi qui aura envie de blanchir la page et de présenter à la communauté le joyau dont vous rêvez. Pardon, mais j'ai fait de mon mieux.
  7. En tous les cas, j'ai été et reste très sensible à votre aide pertinente, méticuleuse et constructive : c'est à vous que je dois d'avoir ajouté certaines rubriques, corrigé des erreurs, mieux choisi les illustrations. Soyez-en à nouveau chaleureusement remercié. RF sesquipedalia verba (discuter) 5 février 2015 à 08:02 (CET)Répondre

Merci de ces précisions. J'ai effectué en conséquence les ultimes modifications me paraissant les plus indispensables. Vous avez raison de suggérer la création d'un sous article consacré à la postérité de l'œuvre dans lequel pourrait trouver place une revue critique de ses différentes traductions. Je suis un peu surpris par votre avant-dernière remarque laissant supposer que je pourrais être déçu par votre travail : il me semblait plutôt avoir fait preuve d'un enthousiasme à toute épreuve. L'idée de faire table rase d'un travail d'une telle ampleur pour repartir à zéro est, à mon avis, tout à fait contraire à l'esprit de cette encyclopédie collaborative, qui se construit comme un monument, pierre par pierre, comme la Sagrada Família à propos de laquelle Gaudí, sachant bien qu'il ne verrait jamais son œuvre achevée déclarait : « Mon client n'est pas pressé ». Bien à vous : Archibald Tuttle (discuter) 6 février 2015 à 06:36 (CET)Répondre

Pardon de mon coup de sang. Cela ne m'arrive pas souvent et en général, le lendemain, je le regrette : tel est le cas. Je vous prie de ne pas, surtout pas, m'en tenir rigueur. Le squire s'est comporté en Western plutôt qu'en Allworthy, mais son remords en est déjà au repentir, et n'attend que l'absolution pour devenir rédemption. Mes amitiés, --RF sesquipedalia verba (discuter) 6 février 2015 à 12:19 (CET)Répondre

Je vais vous faire une confidence : je me suis souvent surpris à préférer Western à Allworthy : les 2 sont prévisibles, mais le premier est nettement plus rigolo ... À bientôt : Archibald T. (discuter) 6 février 2015 à 12:36 (CET)Répondre

Nouvelle tâche suggérée modifier

Bonjour,

Cet article, malgré ses 6 Articles détaillés associés, est trop long et des phrases entières mériteraient d'être transférées dans ces articles détaillés.

Bon courage z653z cliquez ici 10 février 2015 à 15:52 (CET)Répondre

Merci. C'est très gentil de me signaler ce que vous pensez être un excès de longueur, mais je n'ai nulle intention de raccourcir l'article, d'autant que je m'emploie en ce moment à compléter les articles associés. Cordialement, --RF sesquipedalia verba (discuter) 10 février 2015 à 23:08 (CET)Répondre
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