Discussion:Grande muraille de sable

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Proposition d'anecdote pour la page d'accueil modifier

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 31 mai 2016 à 01:45)

Grande opération de propagande chinoise sur les articles « Mer de Chine Méridionale » modifier

La Chine a fait de la conquête de la mer de Chine Méridionale une priorité nationale. Dans les années 80, la Chine a développé une puissante flotte de sous-marins nucléaires. La côte Est s’est révélée peu propice aux activités des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins : Mer peu profonde, en face d’alliés des Etats Unis (Corée du Sud, Japon, Taïwan). La Chine a construit au sud de la côte ouest de l’île de Hainan, une immense base souterraine « digne des films de James Bond » pouvant abriter une vingtaine de sous-marins dans des grottes artificielles. Elle voisine Sanya, la station balnéaire. Il lui est nécessaire de contrôler un « triangle de fer » (Paracel, Spratly, récif de Scarborough) pour sécuriser cette base de sous-marins de Hainan et cacher ses sous-marins nucléaires en mer de Chine Méridionale.

Source : Deutsche Welle | South China Sea dispute - Long way ahead for China, ASEAN • Date 22.05.2017 • Author Rodion Ebbighausen | http://www.dw.com/en/south-china-sea-dispute-long-way-ahead-for-china-asean/a-38940964

D’après la plus part des experts et des nations, cette stratégie de conquête est illégale, contraire à la charte de Nations Unies et au Droit de la mer (UNCLOS III) ; des textes pourtant signés et ratifiés par la Chine.

C’est pourquoi, l’ensemble des articles ayant trait à la mer de Chine Méridionale sont sujet à une intense propagande de la part de rédacteurs pro-Pékin ; encore appelés soft-power ou Armée à 50 centimes (en:50 Cent Party).

Tous les coups sont permis : Fausse Histoire, géographie fantaisiste, scissions de contenu pour imposer un point de vue (POV-fork en anglais), fausses plaintes de droit d’auteur et administrateurs véreux, (je découvre que l’un d’eux, INeverCry, a été globalement banni.), fausses cartes géographiques ou avec des noms de lieu trafiqués, sources non neutres et même écrire le contraire de ce que dit la source !

Fichier:Baselines of Eastern Asia SE Asia Crop.png
Exemple de carte truquée : Un utilisateur avait annoté la carte « Baselines of Eastern Asia English.png » signalant qu'elle était truquée. Elle a été officiellement supprimée pour Copyright violation ; ce qui fait astucieusement disparaitre le commentaire.) « Baselines of Eastern Asia SE Asia Crop.png » est un recadrage de la précédente. Dans cette carte, « Territoriale Sea Baselines » joint les 7 iles artificielles chinoises dans les Spratly ; une ligne de base que la Chine n’a jamais déposée à l’ONU (Pas déposable car basée sur des îles artificielles qui, de plus, encercle des îles naturelles occupées par d’autres états). Par conséquent « Chinas’ Territorial Waters » (SIC) et « EEZ of China » sont des mensonges aussi. 3 autres cartes de ce style sont en bonne place dans l’article.

Pour tout cela, je peux facilement citer 2 exemples de chaque ! Cette propagande commence dès l’article « mer de Chine méridionale » ; Un cours d’histoire géographie fantaisiste chinoise :

« 中 沙 : Zhongsha, îles du centre regroupant Macclesfield Bank et le récif de Scarborough, »

Or le haut fond Macclesfield Bank est sous la mer et le récif de Scarborough est... un récif d’une surface ½ m2 ; il n’y a pas d’îles ! L’article contient une dizaine de cette sorte de mensonge.

Dans la version anglaise, le 50 Cent Party avait créé une scission de contenu pour imposer le point de vue de Pékin (POV-fork) en l’article en:Timeline of the South China Sea dispute ; Les rédacteurs ont passé 2 ans pour rétablir la neutralité !

Dans la version française, la démarche est même plus astucieuse :

Un article orphelin « Géopolitique en mer de Chine Méridionale » qui ne reflète que la revendication chinoise (histoire géo fantaisiste, cartes truquées) est créé du 15 septembre au 10 octobre 2016 par un seul auteur.

Puis notre expert en propagande chinoise se propose de « réorganiser en 2 articles l’article Conflit territorial en mer de Chine méridionale créé le 22 septembre 2004 qui était lié à « Territorial disputes in the South China Sea » de la version anglaise. Il le rebaptise « conflit en mer de Chine méridionale » et déplace le lien vers en:Timeline of the South China Sea dispute, le POV-fork de la version anglaise. Notez que l’explication de cette « restructuration » se trouve dans la discussion de l’article déplacé, renommé, re-linké. Puis il renomme son article de propagande « revendications de souveraineté en mer de Chine méridionale » et le met à la place de l’article original. Ce nouveau contenu se trouve ainsi lié à la page anglaise en:Territorial disputes in the South China Sea. Il rapatrie quelques éléments de l’article original qu’il met en dernier paragraphe : « 4. Etat actuel des revendications ». Les 3 premiers paragraphes étant un mélange de remplissage et de propagande chinoise illustré par 4 cartes de propagande. Bien sûr l’historique de l’article est celui de « Géopolitique en MCM » et la discussion n’est même pas créée !

Pour rétablir la neutralité, il faut transformer l’article secondaire Conflit en mer de Chine méridionale en Chronologie de la mer de Chine méridionale puis rendre le titre original de l’article principal et SURTOUT le récrire !

Ces articles doivent être complétés et corrigés et mis à jour.

Actuellement, tous ces articles suivent la stratégie de propagande chinoise pour faire oublier que la Chine continentale ne possédait rien dans cette mer avant 1945 et même rien dans les Spraley avant 1988 :

a) Inventer une historiographie d’une présence chinoise ancienne, voir millénaire, sur les ilots. Certes, on trouve des débris de poterie chinoise mais ce sont les restes de cargaisons de bateaux, parfois anglais, portugais… qui ont fait naufrage. Les experts affirment que cette présence n’a pas existé. En 1937, alors que la France et le Japon avaient déjà colonisé ces îles inhabitées, la RDC envoie Huang Qiang, chef de la région militaire chinoise n°9 pour une tournée secrète dans quatre îles du groupe Amphitrite (Moitié Est des Paracel). Son bateau était chargé de 30 stèles de souveraineté antidatées à 1902, 1912, 1921… qui seront « redécouvertes » à partir de 1974. Ainsi la fiction des expéditions chinoises anciennes est née. Source : Bonnet, Francois-Xavier. "Archaeology and Patriotism: Long Term Chinese Strategies in the South China Sea"

b) Faire croire à l’existence de « milliers d’îles » car la Chine n'occupe que des récifs alors que les Spratleys sont 14 petites îles coralliennes ou cayes jamais habitées en permanence et la Chine n'en occupe aucune.

c) Entretenir la confusion récif = île ; et même haut-fond = île et bien sûr île = île artificielle (lesquelles ne donne aucun droit sur la mer).

d) Jouer sur le statut ambigu de Taïwan car cette République qui n’est pas une nation possède les îles Prata (Pescadores) et une île dans les Spratly.

e) Remplacer les noms originaux par des noms chinois.

Par exemple dans cet article : « grande muraille de sable » (chinois : 沙長城 ; pinyin : shāchángchéng)

L’expression sarcastique « Grande Muraille de sable », du style « château de sable », « tigre de papier » n’a jamais été employée en chinois avant l’INVENTION de l’amiral américain Harry Harris Jr., commandant la flotte du Pacifique des États-Unis. La voici pourtant traduite 2 fois en chinois. Pourquoi cette double traduction ? Traduire en tagalog ou en vietnamien serait moins ridicule ! Et pourquoi pas en javanais puisque la Malaisie possède une ile artificielle ancienne et touristique à l’extrême sud de l’archipel, le Récif Swallow ?

Mieux, avec cette phrase, l’article tourne au ridicule :

« Dans l'expression chinoise 沙長城, le terme 沙 désigne ici spécifiquement des îles ou récifs coralliens, mais peut se traduire usuellement par « sable », d'où la traduction (erronée) de « grande muraille de sable ». Il s'agit plus exactement d'une grande muraille formée d'îles coralliennes. »

Au mieux, c’est une recherche personnelle sans rapport avec l’article, au pire de la propagande pour nous faire croire à l’existence d’îles de Pékin. En effet, l’amiral Harry B. Harris Jr n’a rien traduit en inventant l’expression ! S’il y a une expression originale à rechercher, c’est en américain pas en chinois.

L’amiral Harry Harris a déclaré dans une autre interview : « La Chine affirme une souveraineté qu’elle ne peut pas prouver. Son seul argument est une carte gribouillée d’une projection inconnue » (la fameuse carte à 9 traits de la note verbale de 2009 à l’ONU). Plus tard, il a rajouté : « Ces îles artificielles, construites sur des récifs qui étaient sous la mer, ne donnent même pas le droit à des eaux territoriales de 12 miles nautiques, même pas le droit à 1 seul mile. […] La Chine ré-écrit la Convention du droit de la mer. (UNCLOS III) »

Il est donc indispensable de rapporter les quelques phrases entourant l’invention de l’amiral car la phrase contenant « grande muraille de sable » commence par « In sharp contrast, China… » (Bien au contraire…). Si on la sort de son contexte… Au contraire de quoi ? Le discours de l’amiral est très clair :

"Competing claims by several nations in the South China Sea increase the potential for miscalculation. But what’s really drawing a lot of concern in the here and now is the unprecedented land reclamation currently being conducted by China.
"China is building artificial land by pumping sand on to live coral reefs – some of them submerged – and paving over them with concrete. China has now created over four square kilometers of artificial landmass, roughly the size of Canberra's Black Mountain Nature Reserve.
"The Indo-Asia-Pacific region is known for its mosaic of stunningly beautiful natural islands, from the Maldives to the Andamans, from Indonesia and Malaysia to the Great Barrier Reef and Tahiti. And I get to live in the beautiful Hawaiian Islands, in one of nature's great creations, a magnificent geography formed by millions of years of volcanic activity.
"In sharp contrast, China is creating a great wall of sand, with dredges and bulldozers, over the course of months. When one looks at China's pattern of provocative actions towards smaller claimant states – the lack of clarity on its sweeping nine-dash line claim that is inconsistent with international law and the deep asymmetry between China’s capabilities and those of its smaller neighbors – well it’s no surprise that the scope and pace of building man-made islands raise serious questions about Chinese intentions.”

Traduction :

« Les revendications rivales de plusieurs pays de la mer de Chine méridionale accroissent le risque d'erreurs. Mais le remblaiement sans précédent de terres que la Chine est en train de réaliser suscite vraiment beaucoup d'inquiétude ici et maintenant. La Chine construit des terres artificielles en pompant du sable sur des récifs coralliens vivants – dont certains étaient sous le niveau de la mer - puis en les recouvrant de béton. La Chine a maintenant créé plus de quatre kilomètres carrés de terres artificielles, soit à peu près la taille de la réserve naturelle Black Mountain de Canberra."
« La région Indo-Asie-Pacifique est connue pour sa mosaïque d'îles naturelles incroyablement belles, des Maldives aux Andamans, de l'Indonésie et de la Malaisie à la Grande Barrière de Corail et à Tahiti. Et j'ai vécu dans les merveilleuses îles hawaïennes, l'une des merveilles de la nature, une géographie magnifique formée par des millions d'années d'activité volcanique.
« Bien au contraire, au fil des mois, la Chine est en train de créer une grande muraille de sable avec des dragues et des bulldozers. Quand on regarde l'ensemble des actions provocatrices de la Chine vers les petits États concurrents - le manque de clarté de son écrasante revendication par cette [carte à] ligne en neuf traits qui est incompatible avec le droit international et la profonde asymétrie entre les capacités de la Chine et celles de ses voisins plus petits - Bien, ce n'est pas surprenant que l'ampleur et le rythme de la construction d'îles artificielles soulèvent de sérieuses questions sur les intentions chinoises. »

En résumé, l’amiral décrit cette stratégie d’encerclement des 13 îles naturelles, d’une surface totale de 2 km2, occupées par les Philippines et le Vietnam, par la construction, au prix d’une catastrophe environnementale, de 7 bases militaires sur d’immenses îles artificielles de 13 km2 :

La Chine conduit une opération inquiétante et sans précédent de création d’îles artificielles d’une surface totale de 4 km2 (en 2015, aujourd'hui 13 km2). La Chine détruit et bétonne des récifs coralliens qui étaient parmi les plus beaux du monde. La Chine abuse de sa puissance face à ses voisins. L’opération n’a aucune justification légale or la ligne en neuf traits laquelle est incompatible avec le droit international. Le but n’est certainement pas celui qui est annoncé par la Chine. (Aide à la pêche et à la sureté et la sécurité.)

Les opérations de terrassement ont été terminées en 2016 avec une surface totale de 13 km2. En 2018, la Chine termine la construction de ces 7 puissantes bases militaires dans les Spratly.

De toute façon, tous ces articles doivent être mis à jour.Thanto19 (discuter) 12 juillet 2018 à 16:33 (CEST)Répondre

Mouais... Que faut-il alors penser de l'article de WPzh intitulé 沙長城, et déclarant, par exemple :
沙長城(Great wall of sand),是美國太平洋艦隊司令哈里·B·哈里斯海军上將於2015年3月31日在澳洲訪問時提出的新名詞,意指中華人民共和國(下文簡稱中國)在南沙群岛主权争议地區進行大規模填海建造人工島的行為[1]。中國政府在此有領土糾紛的區域開展了其稱之為「開荒」的一系列項目,他們抽取砂石至珊瑚礁的周圍,興建包括軍事設施在內的永久性建築,比如在永暑礁上的3000公尺跑道[2][3]。
在此爭議地區進行填海造陸的國家並非只有中國,但規模均與中國無法相提並論[4]。例如中華民國實際控制的太平島也進行了幾次小規模的擴建工程[5];越南早於中國進行填海造陸,在其控制的西礁與敦謙沙洲(越南稱山歌島)新增分別约6.5万平方米與2.1万平方米的土地;而中國在永暑礁一年就已經造出90万平方米的土地[6]。
soit (Google translate, je me fatigue pas à essayer de remettre ça en français) :
La Grande Muraille de sable est un nouveau terme que le commandant de la flotte américaine du Pacifique, Harry B. Harris, fera lors de sa visite en Australie le 31 mars 2015, signifiant la République populaire de Chine (ci-après dénommée la Chine) La restauration à grande échelle d'îles artificielles dans les zones contestées des îles Nansha [1]. Dans la région où il y a des conflits territoriaux, le gouvernement chinois a mené une série de projets appelés «récupération des terres», qui ont extrait du sable et du gravier autour des récifs coralliens et construit des bâtiments permanents comprenant des installations militaires, comme le récif Yongshu. 3000 mètres de piste [2] [3].
Les pays qui procèdent à la remise en état des terres dans cette zone contestée ne sont pas seulement la Chine, mais l'échelle n'est pas comparable à celle de la Chine [4]. Par exemple, l'île de Taiping, contrôlée par la République de Chine, a également réalisé plusieurs projets d'expansion à petite échelle [5], le Vietnam a commencé la remise en état des terres plus tôt que la Chine et a ajouté de nouvelles actions à West Reef et Dunqian Shazhou. 65 000 mètres carrés et 21 000 mètres carrés de terres, la Chine a déjà produit 900 000 mètres carrés de terres à Yongshui Reef en un an [6].
--Dfeldmann (discuter) 12 juillet 2018 à 18:02 (CEST)Répondre
Pas grand-chose à dire là-dessus : « La Grande Muraille de sable est un nouveau terme que le commandant de la flotte américaine du Pacifique, Harry B. Harris, fera lors de sa visite en Australie le 31 mars 2015 » Donc même en Chine, on sait qu’Harry Harris a inventé le terme. Mais si on le sépare des quelques phrases du discours, on ne comprend pas cette expression sarcastique.

Google translate se trompe parfois sur les temps : passé devient futur - pas grave). La source n°6 (« le Vietnam a commencé avant ») est simplement un mensonge mais c’est une source en chinois… Nous avons beaucoup de travail pour rétablir la neutralité de l’édition française alors zh.wikipedia… Google Translate ne sait pas traduire : « Spratlys reclamations » et « Reclaimed area », il traduit « la remise en état », « La restauration »... très drôle ! Mais les journalistes français non plus (surtout Le monde) tout simplement car le mot français n’existe pas. En français, on doit dire « bâtir un terre-plein ». Ce n’est pas sexy ! Donc un journaliste de Le Monde ou Libération a inventé une imbécilité : « Poldérisation » [de récif]. C’est doux ! Ce ne sont pas des polders mais sinon faut faire une longue phrase genre « Création de nouvelle terre par l’édification de terre-pleins… ». Les Français savent depuis peu que le sable de mer pompé au large des côtes est parfois volé : Les entreprises demandent une autorisation ; creusent un trou au large. Quelques mois ou années plus tard, la mer rebouche le trou et sur la côte… votre plage, votre dune a disparue. Les écologistes s’inquiètent que les cowboys australiens aient pompé du sable (en fait volé à l’Indonésie par le principe ci-dessus) pour le vendre aux émirats qui construisent des îles artificielles pour milliardaires. On apprend que le sable est devenu une ressource rare et qu’il y a des « mafia du sable ». Par contre peu d’écologistes s’inquiètent que la Chine ait volé du sable pour détruire des récifs coralliens et les transformer en bases militaires, en plus dans l’EEZ des Philippines ou à proximité d’îles vietnamiennes. Et tout ça pour faire joujou avec des sous-marins nucléaires! On se demande si la Chine paye des gens pour écrire le wikipédia ? Le procédé de déplacer une page la linker a une page anglaise qui avait été un POV créé par des pro Chinois. Puis Substituer une autre page sous prétexte de « réorganiser »… Je me demande si c’est bien conforme aux règles. (Le procédé déplace aussi la discussion et l’historique). De plus la page substituée est remplie de propagande RPC. Il faut appeler un 沙 (shā) , un 沙 (shā) ! Au moins, nous faisons connaissance avec la "first island chain" sans qu’on nous instruise qu’il s’agit d’une stratégie de conquête coloniale contraire à la charte de l’ONU. Des sources disent que la Chine est une dictature militaire qui a la paranoïa d’une invasion… Et ses voisins ont peur d’une invasion ; là ce n’est plus de la paranoïa !Thanto19 (discuter)

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