Discussion:Franglais/Archives

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On aurait pu ajouter aussi aux anglicismes récents en français le mot "opportunité", dont le sens anglais d'occasion, chance (calque ? anglicisme sémantique) a été importé il y a une vingtaine d'années par des journalistes connaissant mal le français et l'anglais et qui fait fureur depuis. Rappelons qu'en français, le terme d'opportunité désigne le caractère de ce qui est opportun (opportunité d'une démarche par ex.), ce qui rend pratiquement impossible l'utilisation de ce mot au pluriel. Je pense qu'il faudrait ajouter ce terme dans le tableau. --Hubertgui (d) 15 janvier 2008 à 13:34 (CET)Répondre

Des arguments intéressants ont été échangés dans cette discussion : Wikipédia:Le Bistro/Militantisme anti-anglais sur Wikipédia

Photographies en exemple

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Je ne suis pas sûre que Foot Locker soit un bon exemple d'enseigne en Franglais : Foot Locker est bien un enseigne américaine originale, non ?

Besoin d'être à la mode

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Ironiquement, hit-parade est tres démodé en anglais, le mot fait un peu années 60 (en anglais britannique au moins on dit "charts") On dit "greatest hits" en anglais plutot que best-of

Calque et anglicisme sémantique

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* des traductions approximatives, notamment dans les médias, entre autre à cause des faux-amis et les expressions calquées sur l'anglais (« Je vous recommande la positive attitude »);

  • Je pense qu'il faudrait un meilleur exemple de calque, car en principe un calque c'est une traduction. Ici les mots "positive" et "attitude" ne sont pas traduits. Voir l'article calque.--Teofilo-Folengo 18 mar 2005 à 13:47 (CET)
Bien d'accord : exemple de calque « gratte-ciel », traduction mot à mot de sky-scraper. mais ce terme est entré dans l'usage et ne mérite pas à mon avis d'entrer dans une illustration du franglais. Spedona 18 mar 2005 à 18:59 (CET)
Je pense à quelque chose qui me heurte à chaque fois que je l'entends, c'est "L'administration Bush", qui en vrai Français donnerait plutot le "gouvernement" Bush. Administration est un mot typiquement américain pour désigner l'équipe éxécutive d'un pays...Tailindil 8 mai 2005 à 00:35 (CEST)Répondre
Dans le cadre d'un article sur le franglais, il me paraît important de bien faire la distinction entre calque et anglicisme sémantique. Pour « positive attitude », ça n'a en effet rien à voir, c'est surtout syntaxique (ce pourrait être aussi phonétique, si prononcé /attitioude/, mais je n'ai pas d'enregistrement). J'ai profité de la neutralisation de la phrase caricaturant le vocabulaire informatique pour déplacer les faux-amis dans la partie sémantique. FrançoisD 4 mai 2006 à 13:37 (CEST)Répondre
  • Je suis un professionnel de l'informatique, et n'ai jamais lu ou entendu l'expression "mur de feu". Quelqu'un a un meilleur exemple à proposer, car la liste d'exemples de calques m'apparait vide ("gratte-ciel" rentré dans l'usage courant, "mur de feu" bidon...) ?Francois31 20 août 2006 à 22:38 (CEST)Répondre
Lu une fois dans une très mauvaise traduction. Qu'est-ce qu'un bon exemple d'anglicisme sémantique sinon ce genre de trucs qui n'a pas envahi le langage au point d'être considéré comme calque « bien français » comme gratte-ciel ? FrançoisD 21 août 2006 à 11:51 (CEST)Répondre
Ma discussion se limite ici aux calques, que je comprends comme des traductions mot à mot. Je reviens sur le "mur de feu" : en utilisant un moteur de recherche je trouve 615 entrées pour "mur de feu", 32200 pour coupe-feu et 421000 pour pare-feu (en associant "firewall" à chaque recherche). Le premier est-il donc suffisamment répandu pour figurer comme exemple ? C'est le sens que j'attribue au (j'en conviens) subjectif "meilleur".Francois31 22 août 2006 à 10:30 (CEST)Répondre

Définition

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La définition actuelle « Le franglais désigne l'utilisation d'anglicismes, c'est-à-dire de termes d'origine anglo-saxonne ou à consonance anglo-saxonne dans l'expression écrite ou orale du français » est à mon avis insuffisante. Je pense que, pour qu'on puisse parler de franglais, il faut un certain abus d'anglicismes, le seuil étant cependant difficile à définir. A force de vouloir imposer une certaine vision du NPOV (anglicisme), on finit par édulcorer la définition au point qu'elle ne définit plus rien. La définition du Petit Robert est la suivante « Emploi, usage de la langue française où l'influence anglaise (lexique, syntaxe) est très sensible » et celle du Petit Larousse : « Emploi, état de la langue française caractérisé par l'introduction surabondante de néologismes et de tournures syntaxiques d'origine anglaise ». » Spedona 18 mar 2005 à 18:59 (CET)

  • Le TLFi : FRANGLAIS, subst. masc. Ensembles de calques et d'emprunts à l'anglais d'Amérique, superflus ou mal adaptés, qui ont proliféré dans les langues spéciales ou à la mode depuis la Libération.
  • L'article en:franglais : In French (and sometimes so used in English), the term refers to the use of anglicisms (English words) for which there are perhaps more appropriate French equivalents. These anglicisms are often regarded as unwelcome imports. --Teofilo-Folengo 18 mar 2005 à 19:41 (CET)
  • es:franglais : uso inapropiado de anglicismos en el idioma francés cuando existen expresiones equivalentes y más apropiadas en francés. --Teofilo-Folengo 18 mar 2005 à 20:27 (CET)
Le TFLi n'est pas une source valable dans le domaine linguistique, et en particulier sur les anglicismes. Pour ce qui est de la définition, essaye d'améliorer si tu peux, mais la version en est nettement plus NPOV que la définition précédente. Nicnac25 berdeler 18 mar 2005 à 21:20 (CET)
Le TFLi n'est pas une source valable dans le domaine linguistique'-->Pourquoi dis-tu cela?--Teofilo-Folengo 1 avr 2005 à 17:08 (CEST)

Mél

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mél est une abréviation (comme tél pour téléphone) pas un "mot".

Je conteste ce point de vue. Mél n'est pas une abréviation, si c'était le cas, quel serait le mot abrégé ? Par ailleurs tel en tant qu'abréviation de téléphone doit s'écrire avec un point final qui remplace justement la partie abrégée, donc tél. Spedona 12 jun 2005 à 13:55 (CEST)

Bien que j'ai la même opinion que toi sur l'illogique de ce terme, nous ne pouvons pas contester la norme fixée officiellement. Cette abbréviation a été crée par la Commission générale de terminologie et de néologie, pour preuve voici ce qu'en dit le site du Ministère de la culture [1]. Au Québec ce terme n'existe sans doute pas, mais en France on trouve ça un peu partout sur les papiers officiels maintenant. • le voleur de ƒeu • 12 jun 2005 à 14:28 (CEST)
Mel est l'abbrévation de message électronique... (CEST)

Le gouvernement fédéral canadien utilise officiellement "litéracie", anglicisme de "literacy", pour référer à "alphabétisation". L'usage officiel d'un mot n'en légitime pas pour autant l'existence. "Courriel", la contraction de "courrier électronique", est à mon avis le terme décrivant le mieux un message électronique dans un français correct et bref. L'usage social de ce mot est à développer davantage.

Le mot anglais "Literacy" ne signifie pas "alphabétisation" (l'action d'enseigner l'alphabet) mais, au delà d'une simple alphabétisation, un niveau d'éducation où la personne peut être considérée comme "lettrée". Comme il n'existait pas de mot en français pour rendre cette notion, les Québécois ont fabriqué le calque "littératie" avec trois "t". Inversement, on distingue l'analphabétisme et l'illettrisme. De nombreux illettrés sont alphabétisés mais leur niveau de lecture est insuffisant (ça me parait plus naturel que de dire "leur littératie est insuffisante"). --Teofilo @ 24 juillet 2005 à 00:50 (CEST)Répondre

Caricature ...

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Une prétendue absence ou faiblesse du vocabulaire français dans un domaine où le jargon anglais prédomine (par exemple, en informatique : « Je reboote (redémarre) pour que les librairies (bibliothèques) et les drivers (pilotes) du firewall (pare-feu) soient uploadés (chargés). » Cette phrase est une caricature, qui n'explique rien, puisqu'elle deforme la realité. Elle ne veut absolument rien dire, que ce soit en anglais ou en francais (en francais : Je redémarre pour que les bibliothèques et les pilotes du pare-feu soient chargés. Non seulement cette phrase a donc un interet que le limité, mais je n'ai jamais entendu personne utiliser le mot uploader dans ce sens (au pire on entendra loadés). Donc, ok, je ne suis pas un âpre defenseur de la langue française sur un sujet technique tel que l'informatique, mais en faisant preuve d'objectivité, on derape sur la caricature pure et simple, ici. Jylam 2 septembre 2005 à 15:21 (CEST)Répondre

J'ai remanié la phrase (Je redémarre pour que les pilotes que je viens de mettre à jour soient chargés) à la fois pour qu'elle ait un sens, et pour supprimer l'exemple de librairie qui ne relève pas de l'anglicisme lexical, mais sémantique. Le cas du firewall est un peu différent, il est bien un anglicisme lexical, mais je n'avais pas d'idée pour illustrer les mauvaises traductions littérales (anglicisme sémantique/phraséologique), à part celui-ci. FrançoisD 4 mai 2006 à 16:28 (CEST)Répondre

"L'effet boomerang"

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Le paragraphe ne semble être qu'un très court résumé du livre de Henriette Walter (Honni soit qui mal y pense) qu'il faudrait peut-être préciser afin de le faire comprendre aux personnes intéressées. De plus, la source n'est pas mentionnée, mais tout de même évidente.

C'est bin l'fun!

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L'idée de "fun" est difficilement traduisible en français comme le goût et la facture d'une "daube" en anglo-américain qui est ma première langue. Le "fun" franco-québécois est bien plus qu'un "plaisir". C'est plus proche d'une "rigolade", alors que le "fun" anglo-américain l'est d'une "paillardise". Un "boeuf en daube" ne peut pas être un "French stew" qui deviendrait un "boeuf bourguignon" sans les carottes qui font la différence. C'est en ceci qu'est le "fun" d'une langue à maîtriser dans ses finesses.

En tout cas, j'ai eu le "fun", une joie, "Freud", d'introduire la distinction entre "anglicisme" et emprunt" dont "riding coat" des années 1900 a été francisé en "redingote". L'avantage de maîtriser une autre langue est de voir la vie, le monde, "Weltanschauung" d'une autre façon. Aujourd'hui sont les états généraux de la francophonie à la ville de Québec, QC.

Takima 30 mars 2006 à 05:23 (CEST)Répondre

Anecdotes

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Lors d'une émission de radio (France Inter), il a été déclaré que lors d'une réunion consacrée à la francophonie la phrase malencontreuse suivante a été prononcée : "Il faut truster les leaders de l'establishment" ! Je n'ai pas inclus l'anecdote dans l'article franglais, car je n'ai plus les références, l'émission ayant été diffusée il y a longtemps.

Dans les dessins animés de Pépé le Putois dont l'action est supposée se passer en France, le réalisateur Chuck Jones aime à truffer le paysage de pancartes en franglais du style "le wette painte" (peinture fraîche) ou "baquerie" (boulangerie). Le but est de donner un aspect français à des mots anglais.

«un footing»

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(Je ne parle pas le français très bien. J'espère que vous me comprenez.)

Dans « Les faux anglicismes », il y a: un footing / a jogging / une « course à pieds »

L'anglais est ma langue maternelle, mais je ne comprend pas « a jogging ». C'est « to go jogging » où « I am jogging », mais ce n'est jamais « a jogging ». Dans mon dictionnaire, « footing » en français est « jogging » en anglais. En français, ce n'est pas « un footing », c'est « faire du footing », non? Et je pense que « une course à pieds » est « a footrace » en anglais. Qu'est-ce que c'est, un footing? Philbert2.71828 30 mai 2006 à 00:00 (CEST)Répondre

Bonjour.
Bon bah c'est moi qui ai ajouté cette entrée à la liste.
Ce que nous appelons « footing » ou « jogging » en français, c'est une course à pieds que l'on pratique seul (ou alors en très petit groupe), dans les rues ou les parcs publics des villes, dans les bois et forêts, etc. non pas pour se mesurer à d'autres concurrents et tenter d'être le plus rapide, mais simplement pour entretenir sa forme physique. Le but n'est généralement pas la performance, d'ailleurs beaucoup de joggers s'arrêtent à intervalles réguliers pour marcher. Voir à cet égard les définitions de « jogging » ou de « footing » sur le TLFi.
Or, bien que l'anglais soit loin d'être ma langue maternelle, il me semble que dans footrace, et plus particulièrement dans race, il y a justement cette idée de performance, de compétition. Le dictionnaire Oxford définit en effet ce mot : « a competition between people, animals, vehicles, etc. to see which one is the faster or fastest ».
Donc footrace ne me semble pas être une traduction adaptée pour l'utilisation qui est faite en français de « footing » ou « jogging ».
Sinon, je vous confirme qu'on peut très bien dire « un jogging » ou « un footing » en français, par exemple : « l'autre jour, durant un footing, j'ai vu passer un lapin ».
Maintenant avec tous ces éléments, quelle serait selon vous la meilleure traduction ? Je croyais sincèrement qu'on pouvait dire a jogging, désolé pour l'erreur. Je pense à a jog ou éventuellement a jog trot ? Qu'en pensez-vous ? Peut-on dire : « The other day, during a jog (trot), I saw a rabbit » ? /845/30.05.2006/06:15 UTC/
D'accord. Je comprends. Merci! On peut dire « The other day, during a jog, I saw a rabbit ». J'habite les États-Unis, et ici, on ne dit jamais « a jog trot ». Peut-être on dit la phrase en Angleterre, ou dans le sud des États-Unis, mais je ne sais pas. Donc je pense que « un footing » est « a jog » en anglais. Philbert2.71828 30 mai 2006 à 10:08 (CEST)Répondre
Ok, je modifie l'article en conséquence. Pour jog trot, j'ai trouvé ça dans un dictionnaire ; mais si son usage n'est pas répandu dans toutes les zones anglophones, mieux vaut s'en tenir au terme dont l'emploi est généralisé.
Merci pour votre apport de native speaker... :) /845/30.05.2006/08:22 UTC/

Choucroute

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Bonjour, je ne sais pas où vous avez trouvé que sûrkrût, en alsacien, voulait dire "herbe sure". Sûrkrût, comme son équivalent en allemand Sauerkraut, est composé de l'adjectif sûr = sauer, signifiant "acide" (cfr. anglais sour, ou saur dans "hareng saur") et Kraut, qui certes, peut signifier "herbe" (Kräuter, des herbes culinaires ou médicinales, Heilkräuter; ou bien Unkraut, mauvaises herbes) mais désigne surtout, dans beaucoup de dialectes, le chou. D'où sûrkrût = "chou acide". Choucroute, quoi. --83.202.199.198 (d) 15 décembre 2009 à 01:24 (CET)Répondre

Correction faite. Merci de cette remarque. --Elnon (d) 15 décembre 2009 à 02:12 (CET)Répondre
Je n'ai pourtant pas l'impression que ta modification dans l'article corresponde aux précisions qu'il a données.Ou alors bien préciser le sens qu'il faut donner à "sur". Serge Hartmann (d) 15 décembre 2009 à 12:29 (CET)Répondre
Les deux premiers exemples donnés sont tirés d'un livre cité en note. Henriette Walter donne "herbe sure", sans plus. C'est une citation.
Normalement, l'adjectif « sur, sure » ne se confond pas avec l'adjectif « sûr, sûre ».--Elnon (d) 15 décembre 2009 à 17:17 (CET)Répondre

Zapping

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Salut j'ai rajouté zapping mais je ne suis pas sur des traductions en anglais et francais. C'est un truc qui m'énerve vraiment parce qu'en france on utilise ce terme très facilement et je n'ai jamais trouvé l'équivalent en un mot en anglais.

merci a Utilisateur:Philbert2.71828 pour la difference entre channel surfing et channel hopping! Fabwash 16 juillet 2006 à 06:20 (CEST)Répondre
(Je ne parle pas le français très bien, mais vous me comprenez, non? Est-ce que ma grammaire est correcte?)
Pour channel-hopping, vous avez raison parce que c'est dans le dictionnaire Oxford, mais j'habite les États-Unis et ici, channel surfing est plus ordinaire. (C'est channel-hopping, pas channel hopping, et channel surfing, pas channel-surfing. Pourquoi? Je ne sais pas.) Je ne savais pas que on dit channel-hopping en Angleterre, mais voyez ce dictionnaire du anglais américain et l'anglais de Grande-Bretagne: [2].
Voyez aussi zapping dans le dictionnaire: [3]. Selon ce dictionnaire, en l'anglais de Grande-Bretagne, zapping = channel-hopping! Peut-être ce n'est pas un faux anglicisme. Mais dans le dictionnaire Oxford, zapping = the practice of skipping advertisements when watching television programmes, et ce n'est pas channel-hopping. Philbert2.71828 16 juillet 2006 à 06:53 (CEST)Répondre
J'ai habité en france, je suis français d'origine, j'ai habité en grande-bretagne et je suis maintenant aux etats unis, et je fais toujours l'erreur entre les trois selon le pays ou je suis lorsque je zappe/hoppe/surfe! Je crois que le lien que vous avez trouvé est suffisant et explique bien les différences, merci et je vous comprends très bien! Fabwash 16 juillet 2006 à 17:44 (CEST)Répondre
De mémoire (vieille, faut pas taper), ce terme aurait été "inventé" par Jean Teulé à l'époque où il était journaliste (de mémoire encore, au milieu des années 1980), en référence au bruit du rayon de Flash Gordon, car pour lui le fait de changer de chaîne revenait à désintégrer celui qui se faisait chasser de l'écran. J'en suis quasiment sûr, mais j'ai pas retrouvé de source de cette histoire (je l'ai entendue bien avant l'invention d'internet, bien sûr...). Donc ce serait en fait un faux-anglicisme devenu d'usage courant en anglais ! Beau parcours...
A noter qu'une fois j'ai vu une image d'archive (en noir et blanc) d'une dame qui se plaignait que, à cause du fait qu'il y avait des programmes intéréssants sur les deux chaînes (les deux SEULES chaînes, on parle d'il y a très longtemps, là...), elle avait été obligée de slalomer entre les deux... et à l'époque, sans télécommande ! -- VieuxSale 18 juillet 2006 à 16:59 (CEST)Répondre

Faux anglicismes qui n'en sont pas...

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J'ai supprimé quelques uns des faux anglicismes ajoutés par Fabwash. En effet il semblerait qu'ils soient également utilisés dans la langue anglaise, ce qui en fait donc finalement de vrais anglicismes.

  • tilt est le terme employé en français et en anglais pour désigner la même situation (voir l'entrée tilt du Grand dictionnaire terminologique) ;
  • pickup peut désigner à la fois le véhicule (a vehicle with low sides and no roof at the back) et la pièce du tourne-disque (the part of a record player...), comme en français ;
  • pullover n'a pas été inventé par les Français ;
  • turf désigne aussi le monde hippique (the sport of horse racing).

Sinon, je n'ai jamais entendu l'expression « aller au turf » en français, mais je vous fais confiance... :) /845/17.07.2006/13:20 UTC/

Ca alors j'étais persuadé que pick-up (tourne disque) c'était une invention française! Pour les autres je n'étais pas sûr. Je me suis planté pour aller au turf ça veut dire aller au travail et non pas aller au lit.. ma bourde doit être Freudienne.. je corrige ça maintenant.
Les Français n'ont pas inventé le mot pullover mais je n'ai jamais entendu un anglophone le dire.

Recoupement

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Pourquoi ne pas faire une redirection de franglais vers anglicime et en en faire une sous partie? Et pourquoi faux anglicime est il à part cela complique la compréhension global c'est dommageable.

La page anglicime serait bien plus à même de contenir l'ensemble.

  Non. Le franglais est une forme bien particulière d'anglicisation de la langue, c'est-à-dire d'utilisation d'anglicismes : dans la langue française. En effet il existe des anglicismes utilisés dans la langue allemande, japonaise, etc.
Pour les faux-anglicismes, j'ai ajouté un exemple pour améliorer la compréhension, et ceux que ça intéresse iront consulter l'article spécialisé. Inutile donc d'en rajouter : la présence de développements à ce sujet alourdirait la présente page.
/845/29.08.2006/15:24 UTC/

Toubon

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Dans le paragraphe sur la lutte contre le franglais en France, il est écrit : « Jacques Toubon, ministre français de la Culture de mars 1993 à mai 1995, a en revanche échoué en proposant une liste complète de mots à utiliser à la place des mots anglais. ». Peut-on avoir une référence sur cette « liste complète de mots » ? A ma connaissance, la loi Toubon n'avait pas pour prétention d'imposer une liste de mots mais de protéger le citoyen et le consommateur français en faisant en sorte qu'on s'adresse à lui dans un langage clair et compréhensible. A défaut, il faudrait supprimer cette affirmation non sourcée. Spedona 11 septembre 2006 à 14:37 (CEST)Répondre

Sourcée indirectement, par le renvoi vers Loi Toubon, qui inclut la décision du Conseil constitutionnel censurant la partie réglementaire tentant d'imposer l'usage de certains termes. FrançoisD 11 septembre 2006 à 14:52 (CEST)Répondre

anglophobes?

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Certains voient de l'Anglais partout. Ainsi, le terme Agenda, classé comme terme de franglais dans l'article, est en fait un mot emprunté au latin dès le XIVe siècle par la langue française... idem pour Audience, emprunté au latin dès le XIIe siècle... idem pour confus, emprunté au latin dès le début du XIIe siècle... idem pour cotation, emprunté au latin médiéval (quota) dès 1530 dans le sens d'une "indication de la somme à payer" (pour citer ici mon Larousse étymologique...). etc, etc. Pour mémoire, on estime à moins de 13% les mots d'origine étrangère en Français (dont un petit quart de mots anglais, soit environ 4% du total). Français#Emprunts étrangers L'Anglais compte lui 28% de mots d'origine française... Anglais#Origine des mots Clio64 29 septembre 2006 à 06:20 (CEST)Répondre

La faute sémantique consiste à utilliser dans une langue le sens qu'un faux-ami a dans une autre. Il s'agit donc bien évidemment de mots français. FrançoisD 29 septembre 2006 à 11:14 (CEST)Répondre
Mais selon mon dictionnaire étymologique ces mots sont bien utilisés dans le même sens que leurs clones anglais assimilés à du franglais. Prenons le premier de la liste : "Agenda. du latin agenda, ce qui doit être fait, de agere, faire." (dico étymo Larousse). A mon sens, agenda ne peut donc pas être assimilé à du franglais. Clio64 29 septembre 2006 à 22:36 (CEST)Répondre
La même racine latine a fourni un mot en français, qui désigne un carnet dans lequel on note un emploi du temps, et un mot en anglais, désignant le programme d'une réunion. Voir atilf par exemple. Utiliser le même mot, avec son sens anglais, c'est pour les puristes un anglicisme, pour d'autres une acception déjà française. Mais comme cettte acception ne figure pas dans tous les dictionnaires francophones, il peut être pertinenet de donner ce mot en exemple. FrançoisD 1 octobre 2006 à 23:27 (CEST)Répondre

Exemples de franglais sémantique

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Actuellement, actually dont le sens réel est : en réalité, vraiment réeelement (idem actual, actuel, vrai). C'est un contre-sens que l'on retrouve dans de nombreuses traductions.

Pourquoi le mot senior est considéré comme un anglicisme ? Senior a toujours été utilisé dans la langue française, notamment dans le domaine du sport, pour parler des personnes plus agées. (voir ici : http://portail.atilf.fr/cgi-bin/dico1look.pl?strippedhw=senior&headword=&docyear=ALL&dicoid=ALL&articletype=1).

Je suggère donc de l'enlever de l'article...

Portail Quebec ?

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Pourquoi le franglais serait-il plus québécois que français ? Même si en effet quand je suis là bas on ressent plus le poids des anglicisme dans le langage courant, il est plus fort en France d'un point de vu institutionnel. C'est d'ailleurs assez intéressant de voir que d'un point de vu légal le Quebec se protége plus et que dans le quotidien il en est (pour des raisons assez évidente) victime. Enfin bref je dévie du sujet initial : pourquoi cette article appartient au portail Quebec ?

Sinon pour la sémantique j'ai un pote qui avait fait un master là dessus, enfin plus précisément sur les mots français repris par l'anglais et revenu en français avec un autre sens, comme par exemple : Parlement (en français): on discute (parlementer) => Parlement (en anglais l'assemblée) => revient en france avec la définition anglaise échoppe (en français) un magasin => Shop (magasin en anglais => Faire du Shopping ajd'hui en français computer (compter en vieux français et prononce bien à la française) => computer (ordi en anglais) => repris par certain en français (plus rare c'est vrai) Parquer (ranger) => to park en anglais => Parking en français (mot qui n'existe même pas en anglais) et la liste était suffisamment longue pour qu'il fasse un dico

« menu maxi best of » dans l'image

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Le terme « best of », sans majuscule, fait ici partie de l'ensemble « maxi best of » qui est mis en apposition à « menu ». On peut penser que si « best of » est sans majuscule, c'est parce qu'il est passé dans la langue française (voir ci-dessous) à la fois en tant que nom et en tant qu'apposition et que le rédacteur ne le voit plus comme faisant partie d'un nom de produit.

best of (n m, pl inv)
1/ compilation (f), compile / compil' / compil (f), florilège (m) (de morceaux choisis) , plus grands succès (m pl), meilleurs morceaux (m pl), tour (m) d'horizon des meilleurs moments, meilleurs moments (m pl), meilleurs passages (m pl), morceaux choisis (m pl)
- le best of des Rollingstones : ce que les Rollingstones ont de mieux à offrir
- un best of de Claude François : les plus grands succès de Claude François
2/ classement (m)
- dresser un best of des 40 attractions de Disneyland Paris : établir un classement des 40 attractions de Disneyland Paris
- le best of des paris stupides : les paris les plus stupides

best of (app)
- un album best of de l’émission de Laurent Gerra sur Europe 1
--Elnon (d) 29 juillet 2008 à 01:14 (CEST)Répondre

Non, c'est un problème de typographie et on n'a pas à faire d'interprétations (« on peut penser que »). « Menu Best of » est clairement un nom de produit de Mac Donald's, chez Quick par exemple ce terme n'est pas utilisé mais remplacé par « Menu XL »). Dire qu'employer ce terme revient à parler anglais est aussi ridicule que de dire « Je conduis une Volkswagen » est une phrase en allemand. Moyg hop 29 juillet 2008 à 07:52 (CEST)Répondre
Qui dit une chose aussi ridicule qu'« employer menu maxi best of revient à parler anglais » (en plus avec « best of » prononcé « best off » par les Français)? Pas moi.
L'emploi de noms de produits en anglais (avec ou sans majuscule) ne peut manquer de concourir à l'anglicisation de la langue, à la popularisation de nouveaux termes dans le français. Est-il interdit de le constater ?--Elnon (d) 29 juillet 2008 à 10:07 (CEST)Répondre
C'est MacDo qui a popularisé l'emploi de l'expression « Best of » ? Si la non-traduction des marques étrangères a une réelle influence sur l'évolution du français, ça peut être mentionné dans l'article, à condition de le sourcer sérieusement. Moyg hop 29 juillet 2008 à 10:27 (CEST)Répondre

Conducteur

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J'ai retiré l'exemple du mot « conducteur » pour deux raisons. La première c'est que l'exemple ainsi présenté est purement spéculatif (« serait un anglicisme », alors qu'on ne sait même pas si c'est effectivement utilisé comme cela). La seconde c'est qu'il est assez confus et en fait un peu erroné. En effet, il y a bien un rapport entre « conducteur » et « conductor » car un conducteur de diligence n'est pas un cocher mais un employé qui s'occupe du contact avec les voyageurs. Pour l'anecdote, controleur se dit d'ailleurs « conducteur » en néerlandais (et conducteur se dit « machinist »). GL (d) 29 juillet 2008 à 14:27 (CEST)Répondre

« Pas de rapport entre la syntaxe et le franglais »

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Est-ce que Moyg pourrait développer son affirmation comme quoi il n'y a « pas de rapport entre la syntaxe et le franglais ». Veut-il dire que la syntaxe de l'anglais n'influence pas celle du français ? Si oui, a-t-il des preuves de sa déclaration à l'emporte-pièce ?
--Elnon (d) 29 juillet 2008 à 22:37 (CEST)Répondre

Le rapport est le peu de soucis qu'on apporte à la qualité de la langue dans cet exemple à tous les niveaux.--Gilbertus (d) 29 juillet 2008 à 22:49 (CEST)Répondre
C'est un peu le problème, un article de Wikipédia doit traiter d'une notion précise, de la façon la plus descriptive possible. Expliquer la notion de « franglais » implique bien entendu qu'on dise que c'est une notion normative et qu'on donne des exemples des évolutions de la langue condamnées par les pourfendeurs du franglais mais l'article n'a pas vocation à devenir un guide du bon usage de la langue française. De ce point de vue, la remarque obscurcit le propos. GL (d) 29 juillet 2008 à 23:09 (CEST)Répondre
Le sens de la remarque est « pas de rapport entre cette faute de syntaxe et le franglais ». GL (d) 29 juillet 2008 à 23:09 (CEST)Répondre
Je confirme ce qu'a dit GL. Il ne s'agit pas de « déclaration à l'emporte-pièce » mais juste d'une remarque indiquant que cet article concerne le franglais et qu'il est donc inutile d'y expliquer toutes les erreurs qui peuvent être faites en français. Moyg hop 30 juillet 2008 à 00:16 (CEST)Répondre
Merci à GL et à Moyg d'avoir levé l'ambiguïté de la remarque. L'influence actuelle de la syntaxe de l'anglais sur celle du français n'est donc pas une vue de l'esprit (en fait on peut constater la chose ici même dans Wikipédia, dans nombre d'articles qui sont des traductions partielles ou complètes d'articles correspondants dans la WP en anglais).
Pour ce qui est du texte de l'image, inutile effectivement de s'attarder sur sa syntaxe (sauf à être sûr qu'il s'agit d'une traduction littérale de l'anglais). Ne faisons pas tout un plat de ce « menu maxi best of »...--Elnon (d) 30 juillet 2008 à 00:55 (CEST)Répondre
Un Maxi best of est un plat que j'ai du mal à digérer, il est trop étranger à la langue de mon enfance. Il trahit trop, sans vergogne, la langue de Molière .--Gilbertus (d) 30 juillet 2008 à 04:50 (CEST)Répondre
Je comprends votre réaction mais pour rester dans le cadre et le sujet de la page il faudrait pouvoir montrer que le texte a une syntaxe anglaise parce qu'il est traduit littéralement de l'anglais ("A free sandwich for every Maxi Best Of menu purchased" ?) mais c'est impossible à savoir.
La majeure partie des Français aujourd'hui revendiquent le droit à employer des mots anglais ou pseudo-anglais (ceux-là créés par les publicistes pour les marchands) et ne supportent pas les "pourfendeurs du franglais" (comme le dit l'un des rédacteurs). Dans l'encyclopédie, on doit se borner à constater l'évolution de la langue.
Du temps de Molière, la langue maternelle de la majorité du peuple était non pas le français de Molière mais un des patois provinciaux. Cette situation a duré jusqu'à l'Ecole de Jules Ferry.--Elnon (d) 30 juillet 2008 à 12:20 (CEST)Répondre
La syntaxe anglaise influence notre langue par l'emploi abusif et incorrect des majuscules dans les titres et les noms comme dans Association Les Plus Beaux Villages de France--Gilbertus (d) 30 juillet 2008 à 17:52 (CEST)Répondre
Certes, mais la subversion de l'ordre dont les mots s'agencent entre eux se fait de façon insidieuse : exemple en ce mois d'août, « Paris Plage » (transformation d'une rive de la Seine en plage par la Municipalité), là où il y a 40 ans on aurait dit « Plage de Paris ». La prochaine étape sera "Paris Beach" (avec Paris prononcé "Pariss"). On ne peut que constater. --Elnon (d) 30 juillet 2008 à 18:07 (CEST)Répondre
L'expression Paris-Plage date du XIXe siècle. Dr Müller (d) 31 juillet 2008 à 18:43 (CEST)Répondre
Dernier tiers du XIXe (1874) plus exactement, car un siècle c'est long et vaste.
Vous avez peut-être raison, Dr Muller, il y a 40 ans on aurait peut-être déjà dit « Paris Plage ». N'y avait-il pas déjà « Paris-Match » ?. Il est amusant de constater que le terme « Paris-Plage » a été délaissé par les habitants du Touquet pour cause d'usure et de ringardise après 1960.--Elnon (d) 1 août 2008 à 22:36 (CEST)Répondre
Non, on doit réagir et lutter sans cesse. La France devrait créer un office de protection de la langue à l’instar du Québec et de son Office québécois de la langue française et la France c’est «on», c'est nous! Cordialement.--Gilbertus (d) 30 juillet 2008 à 18:49 (CEST)Répondre
En fait, ils l’ont déjà (Académie française), il y a aussi la commission «terminologie» du Conseil supérieur de la langue française (en France). Ceci dit, le français européen se sent moins menacé que le français québécois, puisqu’ils ne sont pas en contact avec l’anglais quotidiennement. L’utilisation d’anglicismes est généralisée et légitimée en France. On ne peut rien y faire, ils ne sont pas en même situation que nous. Au Québec, on est plus sur la défensive (de peur de se faire angliciser — et c’est normal), mais en France, ils ne craignent pas pour le français, pour l’instant. Jimmy Lavoie discuter le 30 juillet 2008 à 16:48 (HAE)
Les Canadiens utilisent largement autant d'anglicismes que les Français... comme le précise l'article sur le français québécois. Dr Müller (d) 31 juillet 2008 à 18:57 (CEST)Répondre
La différence, Dr Müller (d · c · b), c’est qu’au Canada, les anglicismes sont interdits dans le français officiel. Contrairement à l’Europe, écrire (ou dire) Parking, podcasting, e-mail, chat, etc., c’est une erreur. Ce qui veut dire que, dans une production écrite scolaire (exemple), la personne perdrait des points. Même en français parlé, dans la rue, c’est devenu rare d’entendre des anglicismes (du moins, au Saguenay—Lac-Saint-Jean), sauf chez le mécanicien. Il ne faut pas tout mélanger, et surtout pas avec des mythes ou des dires ou des cas isolés. À Montréal, je ne crois pas que c’est rare, car il y a maintenant beaucoup d’anglophones dans cette région. Jimmy Lavoie discuter le 31 juillet 2008 à 14:35 (HAE)
« Même en français parlé, dans la rue, c’est devenu rare d’entendre des anglicismes » : des anglicismes lexicaux, peut-être, mais les anglicismes sémantiques ou syntaxiques sont plus fréquents qu'en France. Dr Müller (d) 31 juillet 2008 à 22:56 (CEST)Répondre
Il est temps que les Français ouvrent les yeux. Question : une telle enseigne serait-elle permise au Québec?--Gilbertus (d) 31 juillet 2008 à 00:12 (CEST)Répondre
 
Enseigne à La Rochelle, France
La Charte de la langue française (Loi 101) est moins respectée qu’avant. Avant, les compagnies doivent franciser leur nom et, par exemple, le magasin Simpson’s devient Simpsons, perdant l’apostrophe anglaise, puis, durant les années 1980, le s final disparaîtra aussi. De nos jours, il y a Walmart, Futureshop, Best Buy, etc. qui font bien jaser. La bannière serait PEUT-ÊTRE acceptée, mais pour combien de temps? On parle justement de renforcer la Charte de la langue française (Loi 101). Jimmy Lavoie discuter le 30 juillet 2008 à 18:53 (HAE)
Je suis sûr qu'on ne peut pas enregistrer un nouveau commerce au Québec sous le nom de Ear piercing. Même la syntaxe est protégée, si tu demandes Lavoie Distibution on t'accordera seulement Distribution Lavoie ou Les distributions Lavoie.--Gilbertus (d) 31 juillet 2008 à 01:29 (CEST)Répondre
Ouais, j’avoue. Jimmy Lavoie discuter le 30 juillet 2008 à 19:49 (HAE)

cosy

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« d'autres (anglicismes) sont devenus inconnus ou surannés (fully fashioned, cameraman, up-to-date, cosy...) », peut-on lire dans la page. Pourtant, cosy, dans le sens de « douillet » ou dans celui de « confortable », est toujours d'un usage répandu en France :
1/ douillet
- une ambiance cosy
- un appartement cosy
- un bar cosy
2/ confortable
- un tailleur jupe cosy
Il y a en plus l'abréviation typiquement française (en cosy) du meuble dit cosy corner, lancé en 1925 par l'Expo des arts décos de Paris, et aussi l'espèce de gant dont on emmitoufle la théière (tea cosy en anglais).
De même, cameraman est toujours employé (à côté des termes « opérateur », « cadreur », « preneur de vues ») :
- un cameraman du Service cinématographique des armées
- les cameramen qui couvrent la révolte palestinienne
Pour fully fashioned et up-to-date, on peut dire qu'ils sont out (un autre mot de franglais).--Elnon (d) 31 juillet 2008 à 02:26 (CEST)Répondre

Je suis un fan de cosy fan toute, c'est un must qu'on joue pas souvent, hélas, en prime time, surtout la toune Soave sia il vento, le best of de mon record. (J'espère que vous avez catché que c'est une joke)--Gilbertus (d) 31 juillet 2008 à 02:59 (CEST)Répondre

Parler du franglais, c'est bien; l'éliminer, c'est mieux

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On ne compte plus le nombre de fois où l'on voit dans la Wik non pas Untel, homme politique, mais Untel, un homme politique (sur le mode de Captain Brown was a teacher). Si vous corrigez ces anomalies quand vous les rencontrez, c'est déjà sympathique pour la langue. Merci :-) 212.198.138.73 (d) 31 juillet 2008 à 06:42 (CEST)Répondre

Réponse à l'anonyme : Il vaudrait mieux qu'un robot s'en charge, car il doit y avoir des dizaines de milliers de corrections à faire. Et même si elles étaient faites de façon systématique, les « contributeurs » (anglicisme) en remettraient une nouvelle couche très rapidement. L'emploi de l'article indéfini dans le cas cité ci-dessus, est destiné à s'imposer dans le français actuel s'il ne l'est pas déjà. On peut le regretter, c'est certain. --Elnon (d) 1 août 2008 à 00:41 (CEST)Répondre

Recyclage de l'article

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Pour commencer, l'article est pauvrement sourcé. De nombreux paragraphes ne sont basés que sur des exemples ponctuels (enseignement en suisse, 2 ou 3 sites web, etc) qui ne peuvent pas être considérés comme des sources. Faire l'analyse de la situation du français en Suisse ou bien du français employé par quelques sites web s'apparentent à du TI s'il n'y a pas des sources de référence qui ont déjà fait ces analyses. Et si ces sources existent, il suffit de les citer.

Ensuite, les deux illustrations en début d'article sont vraiment mal choisies elles peuvent être facilement contestées. « sandwich » est attesté en français depuis au moins 1885 et « Ticket » depuis au moins 1877 donc définir si simplement ces termes comme du franglais est plutôt contestable. Best of pourrait être considéré comme une marque... et idem pour les 6 photos d'enseignes (certaines sont simplement des marques américaines).

Il y a également des paragraphes qui devraient être entièrement repris :

A propos de la phrase « Le franglais (en anglais quelquefois frenglish) »

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Si le terme « franglais » a une traduction en anglais, cela ne peut être que « franglais ». Sauf erreur de ma part, le terme « Frenglish » sert à désigner l'usage dans la langue anglaise de mots ou d'expressions provenant du français ou censées en provenir. Je pense qu'il faudrait justifier ce « quelquefois frenglish ».

A la suite des remarques de l'interventiion précédente : les mots "sandwich" et "ticket" ont bien été, à un moment, du franglais. Aujourd'hui ils font partie effectivement de la langue courante. S'ils sont encore perçus comme du franglais, c'est parce que leur orthographe n'a pas été francisée officiellement (sandoui(t)che et tiquet) pour la faire correspondre à la façon dont ils sont prononcés.--Elnon (d) 15 octobre 2008 à 12:26 (CEST)Répondre

Lorsque je suis tombé sur ce coupon, c’est l’expression maxi best of qui m’a dérangé, car je ne comprends pas sa signification et cela ne ressemble pas à une marque de commerce. La présence de ticket et sandwich sur le même billet résume l’histoire du franglais et c'est en cela qu'il est pertinent. On peut dire qu’il s’agit d’une synchronicité dans cet exemple. Remarquez aussi la pauvreté de la syntaxe, la première phrase ne comporte pas de verbe : Sur présentation de ce ticket, un sandwich vous est offert avec l’achat d’un « maxi best of ». Cette offre est valable au restaurant, etc.--Gilbertus (d) 16 octobre 2008 à 02:29 (CEST)Répondre
Dans le cas de "maxi best" of, on a affaire à un nom de produit : cela veut dire que le franglais touche non seulement le vocabulaire usuel courant mais aussi la terminologie des produits commerciaux, évolution qui ne pouvait que se survenir. Il est tout à fait normal de rendre compte de cette catégorie de franglais. C'est d'ailleurs par le commerce et la publicité qu'arrivent la plupart des termes franglais.
"Best of" (prononcé "bestoffe" par les Français mais "bestove" par les Anglais) a une foule d'équivalents selon le contexte : compilation (et compile), florilège de morceaux choisis, plus grands succès, meilleurs morceaux, meilleurs moments, meilleurs passages, ex. : un best of de Claude françois; "best of" a aussi le sens de classement : dresser un best of des 40 attractions de Disneyland Paris.
A mon avis, il faudrait admettre voire systématiser l'orthographe des termes de franglais les plus courants, destinés à rester dans la langue. Blogue passe mieux que blog.--Elnon (d) 16 octobre 2008 à 03:33 (CEST)Répondre
Lorsque je tombe sur le site de Best of Dordogne Perigord[4], j’ai l’impression que quelqu’un trahit ma langue maternelle sans vergogne.--Gilbertus (d) 16 octobre 2008 à 05:36 (CEST)Répondre
Wikipédia n'est pas un forum et les pages de discussions servent à parler de l'amélioration des articles. Les prochains commentaires hors-sujets consistant à dire que seuls les québécois savent parler français ou que vous êtes dégoutés par ce qu'écrivent les français seront systématiquement effacés. Moyg hop 16 octobre 2008 à 11:57 (CEST)Répondre
Effectivement, les pages de discussion doivent servir à parler de l'amélioration des articles, mais cela n'exclut pas une certaine confrontation des idées, laquelle influera indirectement sur les interventions des divers rédacteurs dans la page.
Ceci dit, les pages de discussion de Wikipédia sont-elles un lieu où l'orthographe peut être négligée ?--Elnon (d) 16 octobre 2008 à 12:45 (CEST)Répondre
Si la confrontation d'idées qui influe sur les interventions dans les articles consiste à dire "j'aime pas ça" et à le critiquer dans l'article, ce n'est toujours pas le rôle des pdd. Et quand je vois le dernier commentaire de Gilbertus, j'ai vraiment beaucoup de mal à voir comment il peut permettre d'intervenir correctement sur l'article. Moyg hop 16 octobre 2008 à 13:20 (CEST)Répondre
Un « forum » sur la page de discussion d’un article est plus constructif qu’une guéguerre d’édition stérile sur la page principale de celui-ci.--Gilbertus (d) 16 octobre 2008 à 19:40 (CEST)Répondre

Le frenglish dans les chansons

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Je ne comprends pas ce que fait cette rubrique dans la page « franglais » puisqu'il s'agit d'autre chose, le frenglish étant l'emploi de mots et d'expressions en français dans des textes en anglais.--Elnon (d) 16 décembre 2008 à 11:19 (CET)Répondre

Je suis bien d'accord avec toi--Tpa2067 (d) 1 mars 2009 à 07:29 (CET)Répondre

couple Défi/Challenge

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Comment comprendre que ce couple vraiment typique de substitution de mot français par leur équivalent anglais sans raison soit absent de cette page?? Quand j'ai voulu ajouté la ligne "Dans tous les domaines : Challenge semble avoir définitivement pris le pas sur le petit mot "défi", avec toutes les variantes de prononciation de /ʃalɑ̃ʒ/ à /tʃalɛ̃dʒə/." elle a été retirée en moins d'une heure!! Ne peut-on remédier à cet état de chose??--Tpa2067 (d) 1 mars 2009 à 07:29 (CET)Répondre

J'ai réintégré « challenge », mais dans les réemprunts puisque le mot, devenu obsolète en français, y est revenu en 1884, avec une consonne de plus et une prononciation légèrement différente.--Elnon (d) 1 mars 2009 à 14:10 (CET)Répondre
Super! néanmoins en France, je n'ai pas entendu challenge en place de pari et les exemples que tu donnes seraient compris par un métropolitain comme relever un défi ou un défi perdu d'avance! Dans le Robert encyclopèdique sur CD Room que j'ai , ils donnent challenge : défi, provocation. - REM. Cet emploi récent est un américanisme à la mode comme l'emploi analogue de défi. comme def et pour étym. : 1884; angl. challenge «défi», de l'anc. franç. challenge «débat, chicane»; forme pop. du lat. calumnia. Calomnie. Mais tu as raison, il semble quand on regarde sur le net - ici par ex - que le vieux chalenge doive s'orthographier avec un "l" et que même le Robert est piégé par le franglais! :-)
Il semble aussi que même si challenge est revenu en français depuis 1884, il a definitivement éliminé défi en français métro depuis grosso modo 2000-2005. Adieu défi, mot que j'aimais bien!
Quant à la prononciation, en Français il serait régulier de dire /ʃalɑ̃ʒ/ comme la forme anglaise est /tʃalɛ̃dʒə/ mais dans la pratique, y en a pour tous les goûts : /tʃalɑ̃dʒə/, /ʃalɑ̃dʒ/, /ʃalɑ̃dʒə/, /ʃalɛ̃dʒə/ etc. Quoiqu'il en soit, la forme régulière est ultra minoritaire. Que la pronociation soit légérement différente soit! mais c'est surtout qu'elle s'est fortement anglicisée.--Tpa2067 (d) 1 mars 2009 à 14:51 (CET)Répondre
Tpa2067 (d · c · b) a dit : « [...] il a definitivement éliminé défi en français métro depuis grosso modo 2000-2005. »
Je ne sais pas pour la France, mais au Québec, même si le terme challenge est présent, « défi » semble encore le mot le plus populaire. J'ai donc fait une précision dans l'article. Cordialement, Jimmy psst! le 1 mars 2009 à 10:41 (HNE)
Dans « un challenge perdu d'avance », c'est plutôt « pari » qui est sous-jacent (perdre un pari), à mon avis.
L'étymologie latine (calumnia) explique la présence d'un seul l à « chalenge ». Dans l'ancien français, on trouve aussi la forme chalonge, encore plus proche de l'origine latine, et chalongement. --Elnon (d) 1 mars 2009 à 18:50 (CET)Répondre
En effet. Le Grand dictionnaire terminologique de l'Office québécois de la langue française précise même : « Si challenge désigne le plus souvent un défi, il peut être remplacé, selon les besoins du contexte, par de nombreux autres termes ou expressions, notamment gageure, pari, enjeu, stimulation et provocation, mais aussi éventuellement épreuve, impératif, objectif, affrontement, bravade, contestation, conflit, appel à l'action, difficulté à vaincre, problème à résoudre, entreprise hardie, gros risque, etc. » Source : « challenge », Grand Dictionnaire terminologique, Office québécois de la langue française
Au train où vont les synonymes, ce sera bientôt le Très Grand Dictionnaire...  C'est un outil formidable, incomparable. J'y ai souvent recours pour le vocabulaire technique.--Elnon (d) 2 mars 2009 à 00:21 (CET)Répondre
En effet, c'est également mon cas. C'est le dictionnaire que j'ai adopté, héhé.   Cordialement, Jimmy psst! le 1 mars 2009 à 19:25 (HNE)
Je confirme et maintiens : dans les média français de l'hexagone , je n'ai plus entendu le mot défi et pourtant je l'ai guetté depuis au moins 4 - 5 ans. Il faudrait p-ê poser la question sur le bistrot pour que d'autres wikipédiens franco-métropolitains puisse confirmer aussi et savoir ce qu'il en est en Wallonie ou en Suisse.

Pour information - une édition 1978 du Larousse en couleur, a bien la définition challenge anglicisme comme épreuve sportive mais n'a pas celle de défi. en fait le sens défi pour challenge est très récent et ne date pas de 1884.--Tpa2067 (d) 2 mars 2009 à 05:48 (CET)Répondre

Photo et citation de marque déposée

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Des photos ou des documents contenant ou citant des marques déposées sont present dans l'article. Moi cela me choque car cela fait de la publicité indirect pour ces marques. De plus je pense que l'utilisation et la citation de marques déposées sont peut etre soumises à autorisation du possesseur des ces marques. Qu'en pensez vous ? --Freddyz 24 mars 2009 à 16:25 (CET)

Je ne vois pas de problème; les photos ont été prises par des utilisateurs et son libres de droits ou compatibles avec la licence GFDL. De plus, je ne perçois pas de la publicité, directe ou non. S'il y a de la publicité, je ne crois pas que ce soit de la publicité positive. Ce n'est pas de la promotion, mais seulement des constats, utiles dans l'article. Je suis   Pour laisser ces marques déposées sur l'article. Cordialement, Jimmy psst! le 24 mars 2009 à 19:28 (HAE)
Oui mais pourquoi pas s'en passer non plus, on peut tres bien trouver des exemples non commerciaux pour illustrer l'article.De plus c'est un peu de la pub indirecte sans intention de la faire bien evidemment, on est envahis par les marques je vois pas pourquoi on seraient envahis sur wikipédia aussi.

--Freddyz 17 avril 2009 à 16:41 (CEST)

La photo composite montre des enseignes commerciales (ce qu'on appelle des raisons sociales) et non des publicités, il ne faut pas confondre. La photo a un caractère illustratif par rapport au contenu de la page, parler d'envahissement par les marques à son sujet est pour le moins exagéré.--Elnon (d) 17 avril 2009 à 19:39 (CEST)Répondre

Business comme faux anglicisme

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Comme indiqué 2 fois dans le commentaire de diff il est courant d'utiliser "business" pour "business class" dans le langage courant en anglais américain (de même que "first" pour "first class" et "economy" pour "economy class"). Même si originellement "business" ne désigne pas la "business class", il est utilisé comme tel et ne constitue pas un bon exemple de faux anglicisme. Je le retire donc une nouvelle fois. Nakor (d) 18 novembre 2010 à 16:04 (CET)Répondre

Merci de ces précisions. C'est plus clair ainsi. Comme la page est du genre à subir une "attrition" régulière, une certaine vigilance est de mise (dans le cas d'un retrait d'exemple, le mieux serait d'en trouver un autre en remplacement).--Elnon (d) 18 novembre 2010 à 16:26 (CET)Répondre

Listes de la page

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Cette page comporte de nombreuses listes, déjà assez longues et qu'il vaut mieux, de ce fait, éviter d'allonger davantage par des exemples pris dans les milliers d'emprunts existants. --Elnon (d) 10 juin 2012 à 23:24 (CEST)Répondre

Hégémonie de l'anglais

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Bonjour   Elnon :,

J'ai modifié la section dont la majorité des affirmations n'étaient pas sourcées, souvent non neutres, francocentrées et parfois hors sujet. En réalité il n'y a qu'une seule et uniquement source correcte dans toute la section (<ref>[http://www.francophonie-avenir.com/Index%20DDP%20Europ%20Assitance%20condamnée%20à%20traduire%20un%20logiciel%20en%20français.htm La justice ordonne à Europ Assistance de traduire un logiciel en français], AFP, 5 décembre 2008.</ref>) et elle ne concerne qu'un point de détail). Par exemple :

  • USA « qui tendent à imposer leur langue tant dans les organisations internationales que dans les relations bilatérales »
  • « L'anglais tend pourtant parfois à coloniser l'espace de travail, même en pays francophone. »

Cdlt, Antoine(A455bcd9) (d) 1 octobre 2014 à 17:37 (CEST)Répondre

Merci de ces éclaircissements. Effectivement, cette section de la page a besoin d'être reprise et mieux sourcée (le commentaire dans Agoravox n'est pas une source, il faudrait en trouver une autre). Elle aurait aussi besoin d'être actualisée. --Elnon (discuter) 1 octobre 2014 à 19:10 (CEST)Répondre

Article à charge

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L'article est tourné d'une manière démonstratoire et culpabilisante. Il n'est pas possible d'aller au but plus directement et de constater simplement ? Sur les utilisations, un paragraphe concerne la "neutralisation de jugements négatifs" et l'autre "une valeur euphémique. C'est exactement la chose.

Ca pourrait être résumé beaucoup plus simplement.

D'une part, l'anglais contemporain, qui privilégie énormément la construction facile (sans aucun besoin du latin et du grec) et imagée des mots, véhicule une image de dynamisme, efficacité et assurance. Ceci est particulièrement vrai pour sa version américaine. Il est de plus communiqué à travers de nombreux médias internationalisés. Son vocabulaire est alors utilisé comme un langage par les gens non-anglophones qui recherchent ces valeurs, notamment la communication d'entreprise.

D'autre part, tous les secteurs ou sociétés mondialisées ont besoin d'un langage commun. Le vocabulaire de l'anglais américain, en tant que langue internationale principale, est utilisé pour un ensemble de choses. Cette utilisation intensive finit par perturber les réflexes du non-anglophone sur sa propre langue, aboutissant à des anglicismes.

Enfin, des objets ou méthodes nouvelles sont créés dans des pays anglophones. Le nom utilisé dans ce pays, voire la marque commerciale, permettent de désigner directement, même dans un autre pays, ce qui n'existait pas avant.

Mais il ne faut pas oublier que l'anglais américain évolue très vite sous l'influence latine, donc le franglais actuel n'est que le reflet d'une époque. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.188.60.170 (discuter), le 10 janvier 2016 à 23:12 (CET)Répondre

Annulations à tour de bra

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Bonsoir Elnon, que nous vaut cette soudaine frénésie d'annulations? On décourage tout d'abord l'ardeur virginale des nouvelles ou nouveaux arrivé-e-s en qualifiant leur toute première contribution d'idiotie, puis on annule avec la même détermination mais avec une justification cette fois différente (le terme bra est une troncation d'un autre terme), et cerise sur le soutien-gorge, vous annulez à nouveau en affirmant péremptoirement que bra n'est pas un réemprunt intégré. Je ne connais pas vos qualifications concernant la terminologie des dessous féminins, mais je peux vous assurer que, pour certaines générations, bra est d'usage courant, le terme soutien-gorge faisant plutôt partie du vocabulaire fleur-bleue de grand-mère. Que cela nous plaise ou non, l'anglais est désormais partout, jusque dans nos sous-vêtements. Enfin, si la lecture de cet terme vous effarouche à ce point, je n'insiste pas, cachons donc ce bra que l'on ne saurait voir sur Wikipédia. Par contre, un petit mot gentil au contributeur novice dont vous avez qualifié sa première contribution d'idiotie ne nuirait pas l'esprit collaboratif de ce site. Bien cordialement,--Femme rigoureuse (discuter) 18 avril 2016 à 23:53 (CEST)Répondre

Et si l'auteur IP et moi-même sommes coupables d'idiotie dans cette page, il convient alors de supprimer la même idiotie qui s'est glissée dans la page bra, ou je lis que « Bra peut faire référence à soutien-gorge en anglais, contraction (plus précisément apocope) de brassiere, qui lui-même vient du français « brassière » ». --Femme rigoureuse (discuter) 19 avril 2016 à 00:04 (CEST)Répondre

Place des adverbes en -ment

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Pour la place de l'adverbe avec un adjectif, un adverbe, un participe, le Bon usage de Grevisse et Goosse précise au § 974 : « l'adverbe se place en général avant l'adjectif ou l'adverbe qu'il accompagne ». Exemples avec les adjectifs en -ment : « Il travaille extrêmement vite » (Académie) ; « Ce devait être un cercle relativement fermé » (Proust) ; « Ce sont des pièces étonnamment spacieuses » (Edgar Faure) ; « Un nom correctement orthographié » (le Dictionnaire contemporain donne d'autres exemples de ce type : « un devoir entièrement copié sur le voisin », « un ouvrage imparfaitement rédigé »…). De même, le dictionnaire des difficultés du français de Joseph Hanse confirme « on notera que l'adverbe précède l'adjectif ou un autre adverbe, précède (mais peut suivre souvent) le participe passé employé seul ».

L'expression organisme génétiquement modifié est donc parfaitement correcte, et ce n'est pas du franglais syntaxique.

Cdlt, Ggal (discuter) 23 octobre 2016 à 08:14 (CEST)Répondre

Calques d'adjectifs composés anglais

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« Politiquement correct(e) » et « génétiquement modifié(e) » sont des calques des adjectifs composés anglais (formés d'un adverbe en -ly suivi d'un adjectif ou participe passé) politically correct et genetically modified. La place de l'adverbe avant l'adjectif ou le participe passé dans ce type d'unité lexicale n'a rien à voir avec le bon usage français, elle découle de la place de l'adverbe en -ly dans la locution d'origine (l'adjectif composé) en anglais. Idem pour « gênes différentiellement exprimés », calque de l'anglais « differentially expressed genes ». --Elnon (discuter) 17 mars 2017 à 23:51 (CET)Répondre

Il faudrait se référer aux livres de grammaire.
Pour la place de l'adverbe avec un adjectif, un adverbe, un participe, le Bon usage de Grevisse et Goosse précise au § 974 : « l'adverbe se place en général avant l'adjectif ou l'adverbe qu'il accompagne ». Exemples avec les adjectifs en -ment : « Il travaille extrêmement vite » (Académie) ; « Ce devait être un cercle relativement fermé » (Proust) ; « Ce sont des pièces étonnamment spacieuses » (Edgar Faure) ; « Un nom correctement orthographié » (le Dictionnaire contemporain donne d'autres exemples de ce type : « un devoir entièrement copié sur le voisin », « un ouvrage imparfaitement rédigé »…). De même, le dictionnaire des difficultés du français de Joseph Hanse confirme « on notera que l'adverbe précède l'adjectif ou un autre adverbe, précède (mais peut suivre souvent) le participe passé employé seul ».--Ggal (discuter) 18 mars 2017 à 05:53 (CET)Répondre
Il s'agit de franglais et non de français. Les règles auxquelles ces calques renvoient sont celles de l'anglais et non celles du français. Les auteurs du calque « politiquement correct » dans les années 1990, ont suivi la syntaxe anglaise et non le Bon usage de Grevisse et Goosse.
Dans l'adjectif composé anglais « politically correct », l'adverbe en -ly politically (« politiquement », « du point de vue politique ») est obligatoirement placé avant l'adjectif correct (« bon », « convenable »), on dit a politically correct idea et non pas a correct politically idea.
Le groupe adjectival français est le calque de l'adjectif composé anglais et, de ce fait, la place de l'adverbe en -ment « politiquement » est la même que celle de l'adverbe en -ly politically au sein de l'adjectif composé anglais. C'est ainsi non pas parce que le français emploie l'adverbe en -ment devant l'adjectif mais parce que l'expression française est le calque syntaxique de l'adjectif composé anglais. --Elnon (discuter) 19 mars 2017 à 11:37 (CET)Répondre
Pouvez-vous citer les livres auxquels vous vous référez ? Cdlt, Ggal (discuter) 19 mars 2017 à 11:47 (CET)Répondre
Et vous, sur quel livre vous appuyez-vous pour affirmer que la locution « politiquement correct » n'est pas du franglais syntaxique et qu'elle suit les règles du Grevisse ? --Elnon (discuter) 19 mars 2017 à 11:55 (CET)Répondre
Pour la place de l'adverbe avec un adjectif, un adverbe, un participe, le Bon usage de Grevisse et Goosse précise au § 974 : « l'adverbe se place en général avant l'adjectif ou l'adverbe qu'il accompagne »~. Dictionnaire des difficultés du français de Joseph Hanse confirme « on notera que l'adverbe précède l'adjectif ou un autre adverbe, précède (mais peut suivre souvent) le participe passé employé seul ». Ggal (discuter) 19 mars 2017 à 13:01 (CET)Répondre
Vous m'opposez toujours le Grévisse, il n'y a ni discussion ni recherche d'une solution de votre part.
Le Grévisse ne parle pas de la traduction de l'adjectif composé anglais politically correct (qui forme un tout indissociable et pourrait s'écrire avec un trait d'union, politically-correct) et de sa traduction littérale, son calque tant lexical que syntaxique (« politiquement correct »). Grévisse est mort en 1980, soit une décennie au moins avant l'apparition de l'anglicisme « politiquement correct » et de ses déclinaisons (si je puis dire) « socialement correct », « psychologiquement correct », « plastiquement correct », etc. Il n'aurait très certainement pas approuvé l'irruption de cet américanisme dans la langue française ni trouvé qu'il était conforme au « bon usage ». Si « politiquement » est placé avant « correct », c'est non pas par respect du bon usage en français mais parce que c'est la règle en anglais dans la formation des adjectifs composés du type adverbe en -ly + adjectif ou participe passé. --Elnon (discuter) 20 mars 2017 à 13:03 (CET)Répondre
J'ai cité trois ouvrages, et j'en attends un peu plus de vous, quels qu'en soient les supports. Peut-être avez-vous une thèse ou un mémoire universitaire en cours ? (PS : on écrit Grevisse, sans accent). Bien cordialement, Ggal (discuter) 20 mars 2017 à 13:27 (CET)Répondre
Puisqu'il vous faut une preuve écrite, en voici une :
« I have not dealt with what are known in French as 'des calques linguistiques', terms so obviouly modelled on foreign expressions that they look as though they have been copied on to tracing paper. There are a number of these, of which three of the most obvious are 'la majorité silencieuse' (the silent majority), 'garder un profil bas' (keep a low profile) and 'politiquement correct'. The fact that they are examples of morphologically impeccable French nevertheless makes it hard to see them as examples of 'le franglais'. »
La source : Philip Thody (ancien professeur de l'université de Leeds), Le Franglais: Forbidden English, Forbidden American : Law, Politics and Language in Contemporary France. A Study in Loan Words and National Identity, A&C Black, 2000, 308 p., p. 41.
Voillà qui devrait clore le débat, du moins je l'espère. S'il vous faut une traduction, je puis vous la fournir. S'il vous faut d'autres sources, je suis à votre disposition également. Bien cordialement, --Elnon (discuter) 21 mars 2017 à 09:38 (CET)Répondre
C'est quand même curieux de faire appel à l'anglais pour commenter propre langue. Je ne conteste pas du tout qu'il s'agisse de calques du sabir atlantyk (comme disait Étiemble). Ces concepts comme « politiquement correct », et le sens qu'on leur donne, on peut les rejeter, et c'est tout à fait légitime. Ce que je soulignais portait sur la forme où, généralement, l'adverbe se place avant le mot qu'il modifie, ce que d'ailleurs vous employez spontanément lorsque vous indiquez dans le commentaire : « exemple de franglais syntaxique particulièrement insidieux ». La construction est la même, c'est aussi ce que dit ce professeur : « Le fait que ce sont des exemples de français morphologiquement impeccable, rend néanmoins difficile de les voir comme des exemples de franglais ». Cela dit, s'agissant de la syntaxe modifiée selon vous, pouvez-vous fournir des exemples plus convaincants, et les rétablir selon le français qui vous sied. Cdlt, --Ggal (discuter) 25 mars 2017 à 07:07 (CET)Répondre

Selfie

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Le mot selfie est dans toutes les bouches françaises et les yeux français voient avec satisfaction la photo prise par soi-même vous représentant seul ou avec d'autres, une grande satisfaction disons narcissique étant alors ressentie. Le Grec Narcisse aimait voir son reflet dans l'eau et s'y trouvait beau.

On pourrait judicieusement en français remplacer ce mot "selfie" ", self" signifiant en anglais soi-même, : photo faite par soi-même et se représentant, par ce joli mot : NARCISSE : faire un narcisse, de préférence à un selfie.

Le mot selfie a une grande avance mais pourquoi ne pas lancer le narcisse : je fais un narcisse en disant ouistiti ! Et non un selfie en disant cheese... 2A01:CB08:9070:DE00:5014:52E:35AE:244F (discuter) 22 avril 2023 à 11:23 (CEST)Répondre

Le mot "narcisse" est adéquat et d'utilisation plaisante en bouche, même en l'absence de référence à la mythologie grecque chez le locuteur. Lancer ce mot que j'avais aux lèvres depuis quelque temps parait possible.

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