Discussion:Direction de la protection de la jeunesse

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Cabestan dans le sujet Article à vérifier
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

continuer modifier

Merci de mettre ce sujet. Bonne continuation pour compléter avec les CLSC qui sont nos grandes réalisations, en matière de bien-être social et santé.

Takima 7 octobre 2007 à 22:11 (CEST)Répondre

Neutralité modifier

Cet article ne semble pas respecter le principe de neutralité : - Aucun autre pays ou région dans le monde occidental n'enlève autant d'enfants de leurs parents par la force : on parle de protection d'enfants, selon des principes de lois, et non pas "d'enlèvement". De plus, la référence utilisée semble biaisée et imprécise pour étayer ce propos.

- Le Québec traine en effet un héritage étatique d'abus d'enfants, commençant avec l'internement, dans des institutions de tutelle des enfants autochtones canadiens dans les années 1930[4], puis avec l'abus systématique et la torture de plus de 20 000 enfants lors du cas connu comme « Les Orphelins de Duplessis » vers les années 1940-1960 : ne décrit en rien la Direction de la protection de la jeunesse, mais tend à induire quelque chose.

- L'anonymat qui entoure les signalements soumis à la DPJ, les abus d'autorité des agents envers les familles, la complaisance de la chambre de la Jeunesse qui doit se plier à la machine administrative [5], tout cela empêchent de mesurer l'ampleur des critiques à son endroit, si bien que l'idée d'une enquête publique sur l'ensemble de la Direction de la protection de la jeunesse semble, selon certains observateurs, l'option la plus souhaitable[6] : le principe qui prévaut avec la Loi sur la protection de la jeunesse est la confidentialité des dossiers. De plus, les références utilisées ne reflètent que le point de vue (opinion) d'un individu.

- Section "La DPJ et les minorités religieuses: l’exode vers l'Ontario et le « chaos juridictionnel appréhendé" : cette section ne sert pas à décrire la Direction de la protection de la jeunesse, mais bien un récit d'une situation particulière.

- Mesures d'urgence : Pour toutes fins utiles, autant dire qu'il est impossible de s'opposer au placement d'un enfant si la DPJ en décide ainsi. Le juge se prononcera dans plus de 90 % des cas dans le sens de la machine administrative de la DPJ qui inclut les personnes autorisées par le Directeur de la protection de la jeunesse, les travailleurs sociaux, les psychologues[10], les avocats, etc. Tous travaillent en synergie, peuvent, au besoin créer la détresse nécessaire pour arriver à leurs fins tant du côté de l'enfant (couper abruptement les contacts avec les êtres chers, internement dans des cellules, contrôle chimique des émotions de l'enfant avec des médicaments puisque la notion même de l'amour est inconnue dans ces milieux) que du côté des parents (tel étendre leurs enquêtes sur la fratrie). Les parents qui s'opposent au placement de leurs enfants peuvent se retrouver accusés d'entrave à la justice (ils "aggravent leur cas!"). Cette réaction naturelle sera ensuite présentée devant les tribunaux comme une preuve de leur incapacité en tant que parents. Les parents qui n'opposent pas de résistance sont présentés comme désinvoltes, peu aimants, non protecteurs, détachés et affectivement indisposés (voir la section "La DPJ et les minorités religieuses") : opinion sur le fonctionnement.

- Références : la plupart des références dirigent vers des articles de journaux de faits divers (plutôt que de spécialistes) à propos de situations précises, utilisées pour généraliser (de façon négative) à l'ensemble du texte. Il existe une multitude d'articles qui étayent des propos beaucoup plus positifs sur la Direction de la protection de la jeunesse. CJM-IU (discuter) 27 mai 2014 à 20:11 (CEST)Répondre

Article à vérifier modifier

Proposé par : Shev123 (discuter) 28 mai 2014 à 20:22 (CEST)Répondre

Raisons de la demande de vérification modifier

J'aimerais que des contributeurs expérimentés et qui connaisse le sujet relisent l'article. Les doutes émis par un contributeur, CJM-IU (d · c · b), me semble justifiés.

Discussions et commentaires modifier

Un utilisateur, visiblement très fâché avec la DPJ, a créé un compte le 5 mai rien que pour s'acharner sur la page. Deux solutions : faire un revert jusqu'à la version du 5 mai ou réunir tous les passages critiques dans la section "Critiques", faire le tri et neutraliser, ce qui serait beaucoup de travail. — Cabestan, le 30 mai 2014 à 19:39 (CEST)Répondre
Un grand merci pour ta relecture de l'article! --Shev123 (discuter) 30 mai 2014 à 21:59 (CEST)Répondre
J'observe que l'utilisateur que je mettais en cause,   JeanDicaire, a commencé un travail de neutralisation (voir ce diff). Ça va dans le bon sens. L'objet de la controverse de neutralité n'est pas d'écarter les critiques tout à fait légitimes et documentées à l'égard de la DPJ, mais l'organisation et l'équilibre de l'information, son "sourçage" correct et la conservation du ton encyclopédique. Des passages comme "Aucun autre pays ou région dans le monde occidental n'enlève autant d'enfants de leurs parents par la force", qui plus est, non "sourcés", n'étaient pas acceptables ici. C'est avant tout une question de forme et de style, de respect des principes propres à WP. Voir en particulier WP:STYLE et WP:NPOV. Bien cordialement. — Cabestan, le 1 juin 2014 à 18:40 (CEST)Répondre
Revenir à la page « Direction de la protection de la jeunesse ».