Discussion:Crise économique

Dernier commentaire : il y a 3 ans par 81.249.104.115 dans le sujet théorie marxiste
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Amis de la crise économique, ne faudrait-il pas se lancer sur une réflexion sur la notion de crise. Page d'homonymie? Crise.LordAvalon 9 nov 2004 à 17:08 (CET)

N'a-t-on pas une nouvelle crise depuis peu ? est-ce trop tôt pour en parler ? Quartz

Crise du SME modifier

Il manque un article sur la crise du SME --Runn (d) 28 octobre 2008 à 10:12 (CET)Répondre

bonne question... modifier

y a-t-il vraiment une crise actuellement (22/11/2008), ou alors faut-il parler d'un réajustement après une surchauffe de l'économie ? De plus j'ai également modifié le début de l'article qui disait : "une crise débute généralement par un krach" par >> "Une crise économique se matérialise dans de nombreux cas (et non pas systématiquement) par une chute soutenue des valeurs boursières"

  1. 1. il n'y a pas nécessairement un krach ! (^_^) je pense qu'il s'agissait juste d'une erreur dans la typologie
  2. 2. la crise économique ne débute pas toujours ni même souvent avec une baisse de la bourse (sinon ça voudrait dire que lorsqu'il n'y a/avait pas d'institution boursière, il n'y a quasiment aucun risque de crise!?)
  3. 3. et même il y a matérialisation d'une crise sur les marchés financiers, les raisons viennent de l'activité économique de telle sorte qu'une crise peut atteindre son point majeur le jour d'une chute majeure des valeurs boursières, mais cela ne constitue pas le début de la crise, plutôt une des premières conséquences de la crise (même celle de 1929 !!)


dans le tableau comparé modifier

Continentale, voire mondiale au sein des pays industrialisés

est-ce que ça a seulement un sens? arkestra (d) 6 février 2009 à 19:19 (CET)Répondre

Avis modifier

Je me demande s'il ne vaudrait pas mieux enlever les deux bandeaux qui font lourd pour un seul qui pourrait être recyclage. Actuellement, je ne peux pas pousser plus loin dans cet article. Si quelqu'un, à partir des références données ou d'autres, pouvait le compléter ce serait bien.-- fuucx (d) 6 février 2010 à 09:17 (CET)Répondre

Pb de sources modifier

Je vien d'enlever la partie suivante. Je ne suis pas contre une remise de cette partie mais à deux conditions

  • il ne s'agit pas des causes mais d'un débat sur les causes
  • Il faut une source de qualité et pas un blog partial. Vu les auteurs cités cela doit être possible.


La théorie des cycles économiques considère que les crises économiques sont des évènements récurrents de l'histoire économique. Ce point de vue n'est pas consensuel[1].

Les causes possibles pour une crise économique ne font pas non plus consensus. On cite notamment :

  • une politique monétaire erronée (taux directeurs devenus trop faibles qui ont provoqué une bulle économique de surinvestissement ou de malinvestissement, ou alors des taux trop élevés étranglant le crédit)
  • une crise financière[1], ou une crise boursière
  • des changements majeurs du contexte politique : guerre, révolution, ou, sans même aller jusqu'à ces extrêmes, une crise sociale avec perte de confiance des milieux économique (nationalisations, fuite des capitaux, crise de change, …)
  • des erreurs de politique économique, sachant que toute politique ou son contraire pourra être accusée : politique protectionniste ou, au contraire, ouverture jugée brutale des frontières ; déficit public excessif ou, au contraire, rigueur budgétaire à contre-temps ;
  • un épuisement (ou raréfaction temporaire, du fait de choix politiques d'un fournisseur par exemple) d'une ressource naturelle importante (telle que le pétrole, à plusieurs reprises),
  • une surproduction d'une ressource localement importante, réduisant son prix à rien et ruinant les producteurs, et, par contrecoup, leurs fournisseurs
  • une confiance trop grande dans le caractère auto-régulateur du marché ou, au contraire, une régulation trop administrative
  • la nécessité pour toute économie capitaliste d'une masse importante de crédits/dettes (la création monétaire est principalement le fait des banques de 2nd rang par le biais du crédit) dont la quantité et la vitesse de circulation dépendent pour une grande de la confiance des acteurs dans l'avenir. Cette confiance passant rapidement d'une vision euphorique ("cette fois-ci c'est différent, les dettes seront remboursées car...") à la défiance ("tout est foutu ! Rien ne sera remboursé") dès les premiers signes d'essouflement, provoquant des défauts sur les dettes en cascade, une chute de l'investissement, une montée du chômage... Bref, un cercle vicieux qui plongent les économies dans la récession. (cf Bernard Guerrien, Michel Husson...)
  • Pour Keynes, l'incertitude radicale quant à l'avenir qui règne dans les économies de marché impose aux investisseurs la nécessité d'anticiper et donc d'agir en fonction de croyances. Or, ces anticipations peuvent être prophétie autoréalisatrice : que les acteurs soient optimistes ou pessimistes, le résultat se révèlera telle qu'ils l'attendent. Mais lorsque les croyances changent soudainement, l'activité économique pourra plonger dans une période de crise.

D'un point de vue général, on peut noter un clivage fort entre deux types d'analyse de la crise : pour certains économistes, d'obédience plutôt libérale (par exemple l'école autrichienne), le système capitaliste fonctionne "de lui-même" correctement, si ce n'est parfaitement. Toute crise a donc nécessairement une cause externe au système économique. Pour plusieurs autres écoles de pensée (keynésienne, marxiste, MMT...), cette manière de voir les choses n'est qu'une apologie du système capitaliste et non une réflexion critique sur son fonctionnement. Pour eux, l'analyse du système économique amène à mettre à nu certains défauts (l'incertitude endogène, la possibilité de la thésaurisation de l'épargne chezKeynes, la baisse tendancielle du taux de profit, les problèmes liés à la reproduction et à l'accumulation du capital chez Marx et ses poursuivants ou le fait que la création monétaire - à la base des revenus et donc de la demande - soit endogène et donc cyclique etc.) qui peuvent ou non être combattus mais qui sont en tout cas endogène au système économique.

Dans le cinéma modifier

l'affiche du film Les Trois frères, le retour cite sans faire de référence à WikiPedia cet article. Une photo placé sur le texte impute certains passages (http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=169812.html)

Une erreur modifier

"1973 et 1979 : crise provoquée par les chocs pétroliers ;"

La crise de 1973 a commencé bien avant la décision de l'Opep qui n'est prise qu'à la fin de l'année 73 et qui est la conséquence de la crise qui a fait chuter le dollar. Ce n'est pas une crise du pétrole, mais la hausse massive des coûts du pétrole l'aggravera considérablement et compliquera la sortie de crise. La cause principale est à chercher dans l'abandon du système de Bretton Woods et les troubles monétaires et financiers qui s'ensuivront. 1979 a connu un choc pétrolier mais pas une véritable récession mondiale. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.115.50.104 (discuter), le 26 décembre 2017 à 19:53 (CET)Répondre

théorie marxiste modifier

La "théorie marxiste" ne parle pas de développer "le capital organique", mais du "développement de la composition, organique du capital". — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.249.104.115 (discuter), le 5 avril 2021 à 17:20 (CEST)Répondre

  1. a et b Citoyen.eu.org, Les causes de la crise économique
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