Discussion:Claudie Pierlot/Admissibilité

(Redirigé depuis Discussion:Claudie Pierlot/Suppression)
Dernier commentaire : il y a 11 ans par Kyah117 dans le sujet Claudie Pierlot
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L'admissibilité de la page « Claudie Pierlot » est débattue.

Consignes quant à cette procédure :

Qui peut participer ?
Le créateur de la page et les contributeurs ayant un compte ayant fait au moins cinquante contributions aux articles (espace principal) de fr.wikipedia.org au lancement de cette procédure peuvent exprimer leur avis.
Les avis des personnes n’ayant pas de compte ou un compte ayant moins de 50 contributions sont déplacés dans « Avis non décomptés » et ne sont en principe pas pris en considération. Lors de la clôture, les avis sans argumentaire sont également déplacés et ne sont pas pris en compte.
Durée de la consultation
Si un consensus clair s'est dégagé le 3 juillet après l'expiration de sept jours pleins de débat (168 heures), un contributeur ayant réalisé au moins 500 modifications et ayant 3 mois d'ancienneté (utilisateur autopatrolled) qui n'aura pas pris part au débat peut clore la proposition et indiquer si la page est conservée ou supprimée (la suppression devant être demandée à un administrateur). Dans le cas contraire, la discussion se poursuit et peut être close à partir du 10 juillet.



Important

  • Copiez le lien *{{L|Claudie Pierlot}} et collez-le dans la section du jour de la page principale « Débat d'admissibilité » . Attention, un décalage d'un jour est possible en fonction de la mise en page.
  • Avertissez le créateur, les principaux contributeurs de l’article et, si possible, les projets associés en apposant le message {{subst:Avertissement débat d'admissibilité|Claudie Pierlot}} sur leur page de discussion.

Claudie Pierlot modifier

Proposé par : Chris a liege (d) 25 juin 2012 à 11:29 (CEST)Répondre

  Cette demande est effectuée dans le cadre de la maintenance de la catégorie admissibilité à vérifier, en effet un bandeau d'admissibilité est posé sur cet article depuis juin 2011 et il est dommage de garder :

Dans tous les cas, les décisions de conservation ou de suppression sont prises suite à des discussions dans le cadre des pages à supprimer. Vous êtes donc invités à donner votre avis, dans le cadre des critères d’admissibilité des articles sur la question « cet article doit-il être conservé ou supprimé ? » Cette procédure ne met pas en cause son opportunité ; seul votre avis peut le faire.

Les projets auxquels est rattaché l’article ainsi que ses principaux contributeurs doivent être prévenus de cette démarche.

Conclusion

  Conservation traitée par Kyah117 [discutons ? Kevin.B] 3 juillet 2012 à 11:18 (CEST)Répondre
Raison : Unanimité pour la conservation

Discussions modifier


Toutes les discussions vont ci-dessous.

Avis modifier

Entrez ci-dessous votre avis sur l’admissibilité du thème à l’aune de l’existence de sources extérieures et sérieuses ou des critères d'admissibilité des articles. Il est recommandé d'accentuer l'idée principale en gras (conserver, fusionner, déplacer, supprimer, etc.) pour la rendre plus visible. Vous pouvez éventuellement utiliser un modèle. N’oubliez pas qu’il est obligatoire d’argumenter vos avis et de les signer en entrant quatre tildes (~~~~).

Conserver modifier

  1.   Conserver Oh que oui, il s'agit d'une marque connue ! Reste à développer l'article. Addacat (d) 25 juin 2012 à 16:53 (CEST)Répondre
  2.   Conserver Une styliste qui a compté.--Renee louise (d) 25 juin 2012 à 22:19 (CEST)Répondre
  3.   Conserver. Cf. notamment « Claudie Pierlot. (Who's Hip) (European Preview) » dans WWD 28/1/92 (article de 641 mots qui lui est consacré) et « France comes to New York. (Galeries Lafayette S.A. opens department store in New York) », WWD 26/9/91 (« There's also a Claudie Pierlot shop, expected to be one of the biggest volume areas for the store, according to Barbara Gould, buyer for all the sportswear and ready-to-wear in the store. "It's a schoolgirl look, but mothers and daughters shop the line," she said. The shop mirrors the clean-lined, white-walled, blond wood interiors of Pierlot's shops in Paris. Gould characterized Pierlot as a "younger version of Agnes B." The shop will carry Pierlot's entire collection, with a constant flow of fresh looks. »). — Racconish D 26 juin 2012 à 20:41 (CEST)Répondre
  4.   Plutôt pour je défends traditionnellement les articles liés à la mode sur les PàS, mais là, on est sur une marque/créatrice ayant une « petite » notoriété (les sources françaises me sembles rares...) [1] [2] [3] ; on ne peux pas dire qu'elle ait compté pour la Mode, et le potentiel encyclopédique me parait très faible. un avis {{plutôt pour}} positif mais peu convaincu. Seules les sources du respecté Women's Wear Daily citées par Racconish me font pencher vers la conservation, il serait intéressant de les inclure à l'article. --Arroser Γen mode Mode → 26 juin 2012 à 22:46 (CEST)Répondre
    Voici donc quelques passages de l'article de Heidi Lender le 28/1/1992 : « "My clothes are not for a tall woman -- they're more Tin-Tin-like," says French designer Claudie Pierlot, referring to every Parisians's favorite cartoon character. "I'm not very big, and not very sportif," she says. "Neither are my friends -- I started out dressing them." [...] "My fashion corresponds to a Parisian lifestyle," says the designer. "When I started out in 1984, there wasn't anything simple in fashion -- except Agnes B. My fashion is an 'esprit' -- it mixes well with others, like [Azzedina] Alaia." "In the beginning, Agnes B was my competition. We have kind of the same clientele. But now we're more feminine, more city and less expensive," she says, comparing herself to her boutique neighbor in the Les Halles district of Paris. "A mother wears Agnes B and her daughter wears Claudie Pierlot," says Barbara Gould, the designer sportswear buyer at Galeries Lafayette here. Young, hip French women know Claudie Pierlot means great basics: ribbed turtlenecks and cotton T-shirts, bulky knit sweaters, peacots and trenchcoat. "We are moving more and more out of the junior look to just classic, basic pieces at a similar junior price," says Pierlot [...] Pierlot loves knits -- a fabric she learned about while working as Jacqueline Jacobson's assistant at Dorothee Bis in the Seventies. "I liked the knits and diffirent colors she used," says Pierlot, who also trained at Mafia, a fashion consultant company, before starting her own line. Inspiration comes from "anything French," says the designer, who especially likes walking in the streets of Paris and breezing through magazines. The Forties are also on her list, as well as flea markets, where what the shoppers wear is as influential as the merchandise, she says. "In general it's the bourgeois French who buy Claudie Pierlot. Here it's an upscale customer as well -- trendy, but in a classic way," says Gould. » — Racconish D 27 juin 2012 à 07:14 (CEST)Répondre
    .edit à la suite : après quelques recherches plus sérieuses/longues, je trouve plus de sources, et surtout, la marque appartient à LVMH ; voulant faire pénitence face à mon précédent message donnant un avis « mou », je commence à sourcer un peu l'article afin de justifier de son admissibilité. --Arroser Γen mode Mode → 26 juin 2012 à 23:54 (CEST)Répondre
    Puisque vous appréciez WWD, voici un extrait de « Designer Claudie Pierlot, 61 », l'obituaire y consacré à Pierlot le 4/3/2009 par Ellen Groves : « Passionate about her work, Pierlot began her career in knitting factories in the south of France before joining French knitwear specialist Dorothée Bis. She went on to design junior lines for Printemps department store prior to joining design agency Mafia. In Paris in the early Eighties, she founded her own brand, with backing from Derhy, with the goal of offering chic, yet affordable designs for feminine young women. Highlights of this summer's sailor-themed collection include striped dresses and tops, a leopard-print coat and a wide belt, worn high on the waist. Outside of France, the brand's main market, Claudie Pierlot is sold in some 13 countries, including China and the U.S. The label, which operates three stores in Paris, has been developing its own-store network and recently opened a boutique in Taiwan. The company's sales last year were reported to be 5 million euros, or $7.4 million at average exchange. » De celui du Monde du 3/5/2009 : « Née le 29 novembre 1947, originaire de Troyes, Claudie Pierlot a évolué depuis son enfance dans la bonneterie. Après une école de style et de modélisme, elle devient l'assistante de Jacqueline Jacobson chez Dorothée Bis, avant de parcourir le monde en tant que styliste du secteur junior du Printemps. Elle a également travaillé dans le bureau de style Mafia, avant de créer sa propre société et de développer des collections simples et élégantes destinées aux jeunes femmes. Souvent inspirée par les rayures et les vêtements des marins, elle a créé une marque attachante, qui a rapidement connu un succès international. Le 6 février, se sachant malade, Claudie Pierlot avait vendu sa société aux actionnaires de Sandro et Maje pour garantir la pérennité de sa marque. » De celui de Frédéric Martin-Bernard, « La styliste Claudie Pierlot », dans le Figaro du 28/2/2009 : « Courageuse, elle avait anticipé sa disparition en cédant, le mois dernier, les parts de sa société aux actionnaires des labels Sandro et Maje, dans le souci d'assurer l'avenir de ses employés et la pérennité de sa marque éponyme, fondée en 1984, à l'issue d'une carrière free-lance. Originaire de Troyes, la capitale française de la bonneterie, Claudie Pierlot avait un don naturel pour la maille. Grâce à quelques croquis, elle est engagée, en 1970, par Jacqueline Jacobson chez Dorothée Bis, une des marques en vogue de l'époque. Suivront des collaborations avec le bureau de style du Printemps, l'agence Mafia et, surtout, la marque René Derhy qui soutiendra le lancement de sa propre maison au milieu des années 1980. D'emblée, ses collections réinventent le style de la Parisienne. La marinière est un des modèles emblématiques de sa mode accessible et facile à porter qui ne se la joue pas créateur. Les clientes affluent dans sa petite boutique de la rue du Jour, dans le quartier des Halles, à Paris, et développent une belle fidélité envers cette marque Claudie Pierlot, qui a suivi son bonhomme de chemin sans jamais défrayer la chronique. Les dernières volontés de la styliste la poussent à continuer dans cette voie. » Celui de l'AFP est ici.   — Racconish D 27 juin 2012 à 07:03 (CEST)Répondre

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Avis non décomptés modifier

Exception étant faite pour le créateur de l’article, les avis d’utilisateurs récemment inscrits, ayant moins de cinquante contributions ou non identifiables (IP, opinions non signées...) ne sont en principe pas pris en compte. Si vous êtes dans ce cas, vous pouvez toutefois participer aux discussions ou vous exprimer ci-dessous pour information :

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