Discussion:Blé

Dernier commentaire : il y a 3 ans par SenseiSam dans le sujet Apport protéique
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Discussions sur l'article modifier

Sans titre modifier

Blé : variété d'oseille (définition de mots croisés).

et quid de l'explication du "blé en herbe"

Données non fiables modifier

Il est écrit que l'épeautre a été abandonnée parce que ne réagissant pas aux engrais azotés chimiques. Première fois que j'entends cela !!! L'azote disponible dans le sol est un azote qui correspond aux engrais chimiques. A corriger par une raison moins farfelue.

J'ai modifié la phrase d'introduction qui était maladroite (mais pas totalement inexacte), en "de rendement moindre que le blé tendre". L'épeautre a un grain vétu qui doit être battu et le rendement net n'est que de 70% du rendement brut, la balle représentant 30%. La culture réagit aux engrais azotés: http://www.chambres-agriculture-picardie.fr/fileadmin/documents/publications/chambres_agriculture/chambre_d_agriculture_de_la_Somme/Elevage/Epeautre.pdf ou encore http://www.epeautre.fr/epeautre.asp . Si l'on accroît l'azote on augmente le risque de verse, la plante étant assez haute. C'est surtout le rendement économique qui est pris en compte. Le potentiel de marge brute avec le blé est bien supérieur à celui de l'épeautre.

Dans cet article et dans l'article "ploïdie" il est écrit que le blé ou Tricitum est une plante hexaploïde à 6n chromosomes, après vérification sur Biologie végétale 3e édition Dunod sciences sup page81 le blé tendre ou tricitum aestivum est diploïque 2n chromosomes= 42 et le blé dur également est diploïque à 2n chromosomes= 28. Je me demande si cette erreur grossière n'est pas volontaire pour planter les étudiants tentés de préparer des concours avec l'aide des sites internet.

Le blé est hexaploïde, c'est ce que dit l'INRA [1]Dheillyx (d) 2 septembre 2012 à 20:31 (CEST)Répondre

CONTRE SENS ! modifier

Bonjour ! L'article comporte un CONTRE SENS : "le blé de printemps est semé au printemps et signale les pays à hiver trop rude. La différence principale avec le blé d'hiver est que le blé de printemps supporte assez difficilement les températures basses. C'est grâce à lui que la Sibérie occidentale et le Canada sont devenus de gros producteurs." Merci à l'auteur ou à ceux qui s'y connaissent de corriger ! Sperner

Réponse : C'est exact. Le blé de printemps est semé après l'hiver car il ne supporte effectivement pas les hivernages trop rudes. Ce passage est donc exact

Non ce sont les hivers trop rudes dans ces pays qui ne permettent pas la culture du blé, la probabilité de mortalité hivernale serait trop importante. Un facteur important: les tempêtes d'hiver si le sol est peu couvert de neige, entraînant une rupture du collet. D'où l'obligation de semer après l'hiver, et il y a peu ou pas de tallage. Le potentiel de rendement est moindre également, mais les techniques culturales sont adaptées - TCS par exemple. Dheillyx (d) 13 avril 2010 à 09:39 (CEST)Répondre

Graphe inexact modifier

Le graphe présenté (pays producteur) ne représente pas la France, 4eme producteur mondial... -> enlevé en attente d'un autre graphique

Lien externe mort modifier

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Merci également de vérifier que d'autres liens de l'article ne sont pas morts. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 22 janvier 2006 à 10:37 (CET)Répondre


je suis surpris de l'absente dans la page de données concernant les normes de commercialisation. exemples: http://www.ipfsaph.org/cds_upload/kopool_data/codex_0/fr_cxs_199f.pdf http://www.ipfsaph.org/cds_upload/kopool_data/codex_0/fr_cxs_178f.pdf http://www.liste-hygiene.org/arcfusarium.html

une professionnel est celui qui est capable et s'engage à maitriser les dangers identifiés.

Bonjour,
Je suppose que tu es également l'auteur d'une intervention similaire sur [[Discuter:Viande]) ? Dans ce cas, voir ma réponse dans la page en question. Cordialement, --Laurent Denis 27 mai 2006 à 10:08 (CEST)Répondre

Prix du blé. modifier

On parle beaucoup de l'augmentation du prix du blé, qui justifiera de celui du pain.

Or les cours oscillent dans une fourchette large mais constante depuis les années 70. [2]

En revanche on note en 1970 une énorme augmentation qui ne disparait par la suite.

A quoi est-elle due ? La volatilité des cours qui augmente également à ce moment semble indiquer la spéculation comme un des facteurs, mais une si nette différence peut-être aussi structurelle.

Des informations ?

Remarques modifier

  • la page wheat de Citizendium est approved peut-être y a-t-il là bas des choses intéressantes.
  • Remarques du relecteur :
    •   Manque de référence vérifiable.
    •   l'aspect économique j'entend par là le faite que le prix du blé augmente dû au l'augmentation de la consommation qui peut entraîner une pénurie dû aux pays émmergeants comme la Chine.
    •   Trés bien rédiger. mikani * 22 août 2007 à 14:27 (CEST)Répondre

Attention aux références modifier

Certaines références pointaient vers des sites "commerciaux", d'autres n'étaient pas à jour.

éthymologie modifier

Ces informations sont intéressantes mais n'ont pas leur place dans l'article lui-même :

Le terme « blé » peut venir du gaulois *mlato, qui devient *blato, « farine » (équivalent du latin molitus, « moulu » ; cette étymologie est cependant contestée et un étymon francique *blâd, « produit de la terre », semble plus probable ;

Il est très difficile d'accepter un étymon francique pour plusieurs raisons (peuple non sédentarisé, arrivée tardive en gaule, les Francs ne sont pas agriculteurs, ils n'arrivent pas d'une région de culture du blé):

1) L'arrivée du blé (incluant le blé tendre) en France remonte probablement au moins 5000 avant J-C. Les Celtes s'installent en Gaule vers 2000 avant J-C, mais ceux qui seront les Gaulois arrivent probablement seulement vers 5-600 avant J-C, alors que les Francs (parlant francique, c'est à dire une langue du groupe allemand) ne se sédentarisent en gaule romaine que vers 580. Il serait donc étonnant que les Gaulois, remarquables agriculteurs (tonneau, moissonneuse, marnage des terres), n'aient pas dénommé le blé, qu'ils ont par ailleurs représenté sur des monnaies. Les Gallois qui n'ont pas fréquenté les Francs ont blawd, et les Bretons bleud, les deux mots signifiant également farine.

Pour revenir un instant sur les qualités des agriculteurs gaulois, vantées par les auteurs latins, parmi les mots légués au français actuel, se rencontrent de nombreux mots reflétant leurs domaines de compétence, notamment la construction et leur environnement. Retenons par exemple alisier, alose, alouette, arpent, bâche, berle, bièvre, bille, benne, bagnole, blé, bonde, bouc, boue, bouleau, brasser, brasserie, brassage, brasseur, brochet, bruyère, car, carriole, cervoise, chai, chamois, char, chariot, charrette, charretier, charron, charronnerie, charrue, charrier, charger, chargement, cheval, chemin, chene, cavalier, claie, clayon, clayonnage, coudrier, corme, crème, crémeux, crémerie, crémière, darne, décharger, dépecer, drèche, dru, entonnoir, entonner, gaillard, glaise, glaner, gober, grève, if, jachère, jante, jarret, javelle, lande, lauze, lie, limande, loche, lotte, marne, mouton, nant, ouche, quai, ruche, sapin, sillon, soc, souche, talus, tan, tanche, tanière, tarière, tonne, tonneau, tonnelier, tonnellerie, tonnelle, tunnel, trogne, truie, vanne, vautre, vergne, verne, vouge (cf P-Y Lambert).


2) Il serait compréhensible que les gaulois (remarquables agriculteurs donc) installés sur des terres depuis plus de 2500 ans, aient légué un étymon aux Francs, qui pour leur part, n'étaient pas sédentarisés avant leur arrivée en Gaule par le N-E (qui par ailleurs n'est pas la voie qui a amené l'agriculture en Europe). Il ne semble pas exister beaucoup de données sur les qualités d'agriculteurs de Francs.

D'une manière générale, il était fréquent de négliger le gaulois pour privilégier le latin (rex en latin, rix en gaulois pour roi) ou une langue germanique (dagobert est bien issu de la racine gauloise Dago- signifiant bon...., et non d'une racine germanique, puisque DAGO est attesté sur des documents datés de l'époque gauloise). Le temps n'est plus ou l'héritage gaulois était estimé à une cinquantaine de mots du français actuel. On approche du millier probablement, sans parler de la toponymie (incluant les noms de rivières et fleuves).

Reporté par moi-même des archives --Rosier (d) 5 février 2010 à 18:31 (CET)Répondre

Mise à jour des données de production, partie Marché du blé, fin (parasitologie) modifier

Ceci pour vous informer que j'ai l'intention de mettre à jour les deux grands tableaux des données de production (obsolètes) ainsi que la partie "importation". La partie "marché du blé" me semble incorrecte, inexacte, sans lien... Elle devra être modifiée ensuite. Enfin le dernier paragraphe sur la parasitologie me semble plus relever de l'anecdote... Dheillyx (d) 31 mars 2011 à 08:46 (CEST)Répondre

Label Bon Article modifier

rendement par hectare modifier

Dans la section "Les_statistiques_de_la_production_mondiale", le Rendement (kg/ha) est apparemment calculé par une simple règle de 9. En se rendant sur http://faostat.fao.org/site/567/DesktopDefault.aspx?PageID=567 on s'aperçoit cependant que, quelque en soit la raison, le rendement (yield) n'est pas une simple division.

Pour la France par exemple, alors que l'article annonce 7447 kg/ha, Faostat renvoi 65277 hg/ha (soit 6528 hg/ha), c'est à dire une différence de 13% tout de même.

Il est toutefois bon d'ajouter que les bilans prévisionnels de FranceAgriMer indiquent des rendements allant de 6800kg/ha à 7400kg/ha. Drzraf (d) 12 mars 2013 à 19:37 (CET)Répondre

Je pense que j'ai mis à jour cette section en me basant sur les données disponibles à ce moment là, il se peut que les données aient été modifiées depuis. Si vous souhaiter mettre à jour l'ensemble du tableau (je dis bien toutes les lignes et colonnes), vous êtes le bienvenu.Dheillyx (d) 12 mars 2013 à 21:13 (CET)Répondre

Comparaison des productions blé,riz et mais modifier

L'introduction annonce : "[le blé est] la troisième par l'importance de la récolte mondiale et, avec le riz, la plus consommée par l'homme". Mais la section sur les types de blé explique que : [le froment] est devenue la céréale la plus cultivée. Une apparente contradiction... Après réflexion je "crois" (c'est pourquoi je n'ai pas corrigé moi même) que la première phrase porte sur les volumes produits alors que la seconde compare les surfaces cultivées. C'est trompeur, il faudrait rephraser la section sur le froment pour l'éclaircir.

Maïs et riz viennent avant le blé en terme de production totale, on peut le vérifier sur http://faostat3.fao.org/home/index_fr.html?locale=fr#DOWNLOAD (Maïs 875 MT, riz 718 MT, blé 675 MT)

mais le maïs est essentiellement consommé par les animaux. Il reste le riz et le blé. On peut ensuite comparer les surfaces mondiales. La surface en blé est 217 millions d'ha, celle en maïs est 177 millions d'ha et celle en riz 163 millions d'ha, le blé est donc bien la céréale la plus cultivée. Tant que l'on se réfère à des chiffres clairs (production ou surface) on n'est pas dans l'erreur.Dheillyx (discuter) 19 août 2013 à 23:31 (CEST)Répondre

Commentaire du lecteur : sol propice pour cultiver le ble modifier

41.207.184.23 a publié ce commentaire le 31 août 2013 (voir tous les retours).

sol propice pour cultiver le ble

Avez-vous des remarques à formuler ?

Litlok (m'écrire) 20 février 2014 à 13:36 (CET)Répondre

Apport protéique modifier

Bonjour, L'article parle en introduction de l'apport protéique supposément important fourni par le blé sans tenir compte de la proportion en réalité minuscule de protéines contenues dans la farine de blé, d'autant plus lorsque le grain est débarrassé de son enveloppe.

Ma modification demandant une référence nécessaire a été révoquée "puisque l'argument est discuté plus bas" mais en réalité, aucune source ne porte spécifiquement sur la quantité de protéines apportées concrètement par le blé dans l'alimentation, simplement sur les proportions en acides aminés.

SenseiSam (discuter) 2 avril 2021 à 14:37 (CEST)Répondre

Bonjour, vous avez raison dans le sens où l'article est avare de chiffres. Il y a cependant un tableau complet sur le germe de blé et un paragraphe sur la composition : Blé#Constituants du blé : aspects nutritionnels. La farine de blé contient environ 12 % de protéines, ce qui ne peut être considéré comme minuscule en alimentation même comparé aux protéagineux (environ 30 % de protéines). Il faudrait donc rajouter un tableau sur la composition de la farine de blé et rajouter un renvoi explicite sur l'article très complet concernant la principale protéine du blé : le gluten, ce qui ne saurait trop tarder. Merci pour votre signalement.-Jalbatros (discuter) 2 avril 2021 à 16:40 (CEST)Répondre
Bonjour, merci pour ces précisions. En effet 12% est plus que ce que j'imaginais.

SenseiSam (discuter) 5 avril 2021 à 04:13 (CEST)Répondre

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