Discussion:Bernadette Malgorn
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J'ai créé cette page sur Bernadette Malgorn dans la foulée des évènements des transmusicales 2005. Puisqu'en discutant avec des amis, je me suis rendu compte qu'on ne connaissait pas bien cette fameuse "préfète".
Je reste centré sur la sécurité urbaine, problème que je connais et qui me concerne. Mme Lagron a surement d'autres activités et d'autres actions, moins polémiques : à vous de l'enrichir ;-)
ZZ
(matjdn) : deux modifications récentes : supression du lien vers la préfecture d'Ille-et-Vilaine : BMalgorn n'y est plus, son cv non plus ! ensuite, la caricature n'a vraisemblablement pas vocation à être citée dans l'article, elle contrevient assez directement aux principes de neutralité, et de non aggressivité.
Poubelle
modifierJe laisse le texte viré ici, si quelqu'un veut essayer d'en tirer quelque chose. NPOV et TI presque dans chaque phrase, pas le courage de wikifier tout ça. Aucun des liens ne fonctionnent, et rien n'apparait dans la plupart des journaux cités. 6 juillet 2009 à 17:52 (CEST)
- j'adore la censure des liens : c'est remarquable !! --82.64.228.143 (d) 9 janvier 2012 à 10:01 (CET)Eddie.
- Le militantisme à 2 neurones ne l'est pas moins. Il y avait clairement un problème de neutralité, l'auteur lui même admettant ne vouloir traiter que les aspects polémiques. Le contenu n'avait donc pas sa place sur l'article, et le ménage a par conséquent été fait. XIII,東京から [何だよ] 9 janvier 2012 à 13:07 (CET)
Préfète de Bretagne
modifierPolitique d'ordre public à Rennes
modifierElle applique depuis son arrivée à Rennes une politique en rupture avec les précédents préfets. Elle lance une croisade contre l'alcoolisation des jeunes, change la réglementation des débits de boissons et tente d'empêcher le tapage nocturne par l'envoi de compagnies de CRS dans le centre-ville.
Rennes est une ville étudiante et jeune. La tradition festive des étudiants dure depuis des décennies, toujours accompagnée de flots d'alcools. Le jeudi soir est traditionnellement très agité, c'est la dernière soirée en ville pour beaucoup de jeunes étudiants qui rentrent pour le week-end dans leur ville d'origine. La fameuse "rue de la soif" (rue St Michel) et la place Sainte Anne sont le centre des sorties. Il y a toujours eu beaucoup de tolérance avec ces débordements alcoolisés. Tradition bretonne peut-être, mais aussi intérêt économique. Le centre-ville est quadrillé de bars, restaurants, kebabs, discothèques. Les sorties étudiantes génèrent un énorme chiffre d'affaire.
Cependant, depuis quelques années, de plus en plus de riverains se plaignent : le nombre d'étudiants a augmenté, l'alcoolisation est systématique, les tapages nocturnes s'amplifient et la fête dure de plus en plus tard. De plus, une importante partie des jeunes préfère faire la fête dans la rue, les consommations en bar sont devenues très chères (elles ont a peu près doublé en dix ans) et il n'existe aucun lieu gratuit en centre-ville.
Passé une heure du matin, heure de fermeture des bars de jour c'est pire. Il y a très peu de bars de nuit en centre-ville, les autorisations administratives étant délivrées au compte-goutte. Ces bars sont très chers, 4 à 5 euros pour une simple bière. Ils sont toujours bondés et souvent.
Dans ces conditions, la fête continue dans la rue et surtout sur la place Ste Anne. Après 1 heure, la place devient un lieu de fête en plein air, bruyant et jonché de canettes de bières.
Le bruit et les excès exaspèrent une partie des riverains qui font pression sur la municipalité et la préfecture pour chasser les fêtards. La préfète Bernadette Malgorn choisit depuis deux ans la voie de la répression pour résoudre le problème :
- Durcissement de la législation sur les débits de boissons, entre autres en amputant les heures d'ouverture de certains établissements.
- Arrêté interdisant le transport d'alcool le jeudi soir dans le centre ville.
- Envoi massif de CRS pour rétablir l'ordre.
Depuis 2003, de nombreux affrontements opposent donc le jeudi soir fêtards et CRS.
En décembre 2005 l'interdiction par la préfète de la Rave provoque une manifestation de raveurs qui dégénère en émeute.
La Rave "Trans off" a pourtant lieu depuis 10 ans en contrepoint des officielles Transmusicales et le collectif qui l'organise a reçu l'accord de la mairie de Rennes. Un terrain est même prêté par la mairie en bordure de Rennes. Comme en 2001. À l'époque il n'y avait pas eu d'incidents.
La préfecture interdit l'événement pour raison de sécurité, raisons sanitaires... Ainsi la préfecture invoque « le manque d'accès pour les secours » ou « le danger lié à la proximité avec les étangs d'Apigné » où les ravers pourraient se noyer. La préfète déclare à Europe 1 : "Les organisateurs potentiels nous montraient qu'ils étaient incapables de nous garantir le nombre de 'sons', est-ce qu'il y en aurait 10 ou est-ce qu'il y en aurait 30, c'est-à-dire est-ce qu'il y aurait 10.000 ou 30.000 personnes". "Si on avait eu réellement 30.000 'teufeurs' qui se concentraient sur l'agglomération rennaise, moi en tant que responsable de l'ordre public, je n'étais pas en capacité de faire face à une telle situation"
Le conflit avec Edmond Hervé et la ville de Rennes
modifierLa politique de fermeté de Bernadette Malgorn est à l'opposé de la municipalité socialiste d'Edmond Hervé qui joue la carte de la prévention depuis des années : soirées sans alcools et gratuites (soirées Dazibao), correspondants de nuit, politiques urbaines, etc.
Le conflit est de plus en plus ouvert entre préfecture et mairie depuis le déploiement de CRS dans le centre-ville.
Suite à l'interdiction de la Rave par la préfecture qui a débouché sur des violences urbaines, le maire Edmond Hervé parle "d'erreur".
Les vœux de Jean-Marie Goater conseiller municipal de Rennes à la préfète montrent bien l'ambiance : http://lesverts-rennes.ouvaton.org/article.php3?id_article=112
Chronologie sommaire
modifierJuillet 2004 : durcissement de la réglementation des bars de nuit.
modifier> Par arrêté, la préfète Bernadette Malgorn modifie les horaires de fermeture des bars de nuits dans l'objectif de faire baisser l'alcoolisation des rennais. Les établissements estampillés bars d'ambiance doivent fermer leur porte dès 3 h du matin, et non plus 4 h, comme avant.
> L’heure d’ouverture est décalée de 5h à 6h30 : ainsi les bars et les restaurants ne pourront ouvrir que 1h30 après la fermeture des discothèques évitant ainsi le phénomène des « afters ».
> La possibilité pour les maires d’accorder une heure supplémentaire aux discothèques le week-end est supprimée.
Automne 2004 : envoi systématique de CRS dans le quartier Ste Anne le jeudi soir
modifierAffrontements réguliers et de plus en plus violents.
25 novembre 2004 : première utilisation d'un canon à eau contre les fêtards
modifierJanvier 2005 Nouvel arrêté préfectoral
modifierInterdiction de se déplacer une bouteille à la main dans les rues du centre ville du jeudi 21h00 au vendredi 06h00. La police confisque les bouteilles d'alcool aux fêtards.
Février 2005, Expulsion manu militari
modifierÉvacuation sur ordre de la préfecture du squat/salle de concert "l'écluserie", en pleine trêve hivernale, par -2°C. Destruction du bâtiment dans l'heure qui suit. La trêve hivernale, selon la préfecture, "ne vaut pas pour les squats".
A noter que les associations de riverains protesteront contre cette expulsion. Le bâtiment en question était truffé d'amiante et les émanations produites lors de la destruction ont elles aussi provoquées la colère des riverains.
Octobre à Novembre 2005, "liaisons dangereuses" entre Ouest France et la préfecture ?
modifierOuest France publie une série de reportages entre le 15 octobre et le 19 novembre portant sur «la Bretagne face à ses démons». Ils sont présentés comme des articles, mais sont en fait rédigés par la préfecture et le service commercial de Ouest-France : Precom. Les jeunes sont encore une fois visés à travers leurs "démons" : alcool (15 octobre), tabac (22 octobre), cannabis (5 novembre), «la fête et ses dérives» (19 novembre). Une page entière à chaque fois. Ouest France ouvre ses colonnes à la "propagande" de la préfecture contre de l'argent à quelques jours de la traditionnelle Rave des Transmusicales. Un journaliste de Ouest-France interrogé par Libération déclare : «Cette histoire est déplorable dans son principe mais aussi dans une période où la préfète mène une politique répressive vis-à-vis des jeunes et où on a plus que jamais besoin de notre indépendance».
Sources :
- http://liberation.fr/page.php?Article=346192
- http://liberation.fr/page.php?Article=347611
- http://www.ouest-france.fr/dossiers/addictions_detail.asp?idDOC=272521&idCLA=7701
Citations de Bernadette Malgorn
modifierDans Le Monde du 16/01/06 ("La préfète et la rue de la soif")
"C'est assez hallucinant. Vous avez là des gens tout à fait normaux. Pas des SDF ni des marginaux, même s'il y en a quelques-uns. Non, des gens normaux : étudiants des écoles d'ingénieurs, en maîtrise ou en doctorat, qui viennent avec des sacs remplis de bouteilles. Ils commencent par des canettes pour se mettre en forme et poursuivent avec des alcools forts, comme du pastis sans eau, du rhum, de la vodka, du gin... On se rassemble, on discute. C'est quelque fois agrémenté de tam-tam, mais le sujet n'est pas là. Ces gens ingurgitent tout cela, se déshabillent, font partout... Il y a des accouplements en plein air, des hurlements... On casse tout ce qui se trouve sous la main."
"La lutte contre les consommations excessives d'alcool et de drogue n'est pas une politique de droite, mais une politique durable de l'État"
" Il y a ici un phénomène d'alcoolisation massive, donc un problème de santé publique", argumente la préfète, qui souligne aussi que les fêtes de la "rue de la soif" sont, avant tout, "illégales", puisque jouées sur la voie publique : "Quand un pauvre clochard se fait prendre par les pandores, on parle d'infraction. Pourquoi n'en serait-il pas de même avec des jeunes un peu plus éduqués ?"
Sources
modifier- Article du Monde : "La préfète et la rue de la soif" http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3230,36-731132@45-100,0.html
- Interview par Info du jour lors de son départ de Lorraine : http://www.infodujour.com/scripts/act_det.php?actID=2226
- Nouvelle réglementation pour les bars de nuit : http://www.breizhoo.fr/informations/actualite-378-nouvelle-reglementation-pour-les-bars-de-nuit.html
Blog de soutien électoral
modifierAprès 3 suppressions du sites http://www.bernadette-malgorn.fr/ revertées par XIIIfromTOKYO (d · c · b), il convient de passer par ici. SI l'on consulte les mentions légales de ce blog, il n'est en aucun cas un site officiel, comme mentionné dans l'article, mais un site géré par l’Association pour le Financement de l’élection de Bernadette Malgorn aux élections régionales de 2010 en Bretagne. Il a donc en outre une vocation temporaire. À mes yeux, il n'a clairement pas sa place ici. Vlaam (d) 22 février 2010 à 12:22 (CET)
- Après 3 reverts de ta part (karcheriser ici ou là pour reprendre tes mots en intro du bistro), je répète ce que j'avais déjà formulé sur le bistro du 9 février pour fixer un certain nombre de points. Contrairement à ce que tu y avais affirmé, les blogs sont autorisés sur les articles en vertu de Wikipédia:LE: Il est en revanche déconseillé de lier les articles vers (...) des blogs, des pages ou des sites personnels tels MySpace ou Facebook (à l’exception éventuelle des pages ou blogs appartenant officiellement au sujet abordé par l’article) ; Plusieurs contributeurs avaient d'ailleurs mis en évidence ce point avant que je ne m'exprime sur le bistro du même jour. Le terme officiel ne peut pas être mis en défaut ici, puisque les crédit du site précisent bien que "le directeur de publication" est la principale intéressée. Lle financement peut tout à fait venir d'une autre parti (comme pour n'importe journal d'ailleurs, dont le financement peut venir des abonnés, des annonceurs, ...), la responsable du contenu aux yeux de la loi EST Malgorn. Bref, j'ai attendu 24H pour voir si après ma mise au point sur le bistro des objections pouvaient apparaitre, et il n'en a rien été. Ma dernière question, à savoir pourquoi faire ces modifications spécialement maintenant, en pleine campagne électorale, n'a toujours pas eu de réponse claire. Je passe aussi sur le raccourcis "gestion actuelle=comité de campagne" donc "campagne finie=plus de blog", qui reste un point de vue particulier. XIII,東京から [何だよ] 22 février 2010 à 12:46 (CET)
- Je n'ai rien reverté : un revert est l'"annulation" de la modification d'un autre utilisateur. C'est un détail, passons. Pourquoi « spécialement maintenant, en pleine campagne électorale » : précisément parce que c'est à cette période que pullulent ces liens dont l'apport pour l'encyclopédie est discutable. Ce que tu appelles un « point de vue particulier » est un constat que j'ai pu faire lors de précédentes campagnes : ce type de lien et de site est éphémère et ne survit qu'exceptionnellement à la campagne électorale. Alors certes madame Malgorn est directeur de publication de ce blog de campagne, mais il ne me semble pas relever davantage du "site officiel" qu'un site servant de support à une campagne publicitaire d'une entreprise. Vlaam (d) 22 février 2010 à 13:02 (CET)
- Il y a un modèle à mettre en tête des articles d'actualité, pourquoi ne pas généraliser son utilisation en cas d'élection du coup ? Pour le reste, je reste opposé à ta reformulation dans l'article, le mot "blog" n'apparait pas sur la première page, et on pourrait y opposer une question de neutralité ("site" reste bien plus neutre vis-à-vis du contenu, même si la publication par billet reste une des marque de fabrique des blog), de même que l'attribution de "de campagne" qui reste une anticipation de ta part. Je viens de me rendre compte par la même occasion que la présentation sur le site est un copier/coller direct de l'article wiki (un peu caviardé au passage). XIII,東京から [何だよ] 22 février 2010 à 13:36 (CET)
Havang(nl) : - Bonjour, je vous rappelle les critères WP:NPP et WP:CAA
WP:NPP Un article séparé, dédié à une personnalité politique, est admissible si cette personnalité est au moins dans l'un des cas suivants :
- est ou a été membre d'un gouvernement national, d'un gouvernement d'entité fédérée, ou d'un autre corps exécutif d'importance et de notoriété similaires ;
- est ou a été membre d'un parlement transnational, national, de province canadienne, d'entité fédérée belge, d'Écosse, de Catalogne, ou d'un autre corps législatif d'importance et de notoriété similaires ;
- est ou a été élu maire de l'une des vingt villes les plus peuplées d'un pays (à condition qu'elle compte plus de 100 000 habitants) ;
- est ou a été l'objet principal de plusieurs articles, sur plusieurs années différentes, dans des publications d'envergure au moins nationale (journaux ou revues tels que Le Monde, le Times, Le Figaro, le Herald Tribune, Newsweek, Der Spiegel, Le Nouvel Observateur, L'Actualité, etc.). De tels articles doivent constituer des sources secondaires, et ne pas se borner à rapporter des faits, tels qu'une candidature ou un résultat électoral.
- avoir été l'objet principal d'un ouvrage publié à compte d'éditeur ou d'au moins deux articles ou émissions espacés d'au moins deux ans dans des médias d'envergure nationale ou internationale ;
- ou être mentionné dans une encyclopédie de référence (Encyclopædia Universalis, Encyclopædia Britannica, etc.).
Donc, je n'aurai aucun problème pour enlever ce bandeau si les sources arrivent - Je le ferai moi meme - Mais dans l'immédiat, permettez moi de douter de l'admissibilité --Lomita (discuter) 13 novembre 2015 à 12:39 (CET) - PS - Je n'aurai pas de doute, j'aurai lancé une PàS
refs événement historique première femme prefète de région..
modifierLomita : refs non exhaustives.
- refs événement historique: dans l'article; [1]
- contexte historique : [2]
- notoriété pérenne : Michel Rouger, Nono Têtes de Bretons: portraits de 12 leaders politiques bretons, Editions du Temps, 2007 [3] ;
- et toujours su front de la politique [4] ; [[5]. Mais continuez pour les 20.000 autres google hits. --Havang(nl) (discuter) 13 novembre 2015 à 12:45 (CET)
- Merci pour ces liens et pour votre recherche
- Le premier ne fonctionne pas :: Le deuxième est une source primaire - Intervention de Bernadette Malgorn
- La troisième est un site d'une assoication peu notable
- Les Editions du temps n'ont jamais été une grande maison d'édition (ils sont en cessation d'activité d'ailleurs) et l'auteur est inconnu
- Les cinquième (interview) et sixième sources font partie de la presse locale
- Il reste plus qu'à chercher dans les 127 entrées pertinentes sur google [6]
- Donc, j'ai toujours un doute - -- Lomita (discuter) 13 novembre 2015 à 15:45 (CET)
- Modèle:Conflit d'editionJ'ai continué moi-même,c'est trop intéressant. J'enlève le bandeau admissibilité.--Havang(nl) (discuter) 13 novembre 2015 à 16:01 (CET)
- Suite, Apres conflit d'édition: Le premier est déja dans l'article, je me suis trompé de copie diu lien
- Comme j'ai dit ailleurs: les liens dans les discussions ne sont pas pour l'article, mais pour argument d'admissibilité.
- J'ai ajouté des liens dans l'article. Peut-être que ceux-là t'ouvrent les yeux. --Havang(nl) (discuter) 13 novembre 2015 à 16:07 (CET)
- Donc, si je comprends bien, vous annoncez enlever le bandeau d'admissibilité, vous passez tout simplement en force et balayé d'un revert de main des avis des autres contributeurs ! - Très bien pour une encyclopédie collaborative et communautaire - Sans plus de commentaire - Bonne continuation -- Lomita (discuter) 13 novembre 2015 à 16:10 (CET)
- Je te donne largement le temps de réagir. Si tu n'a plus d'autre argument, je passe, mais pas en force.--Havang(nl) (discuter) 13 novembre 2015 à 16:14 (CET)
- Sans autre source que celles que vous me présentez, j'aurai des doutes, donc, si vous n'apportez rien d'autre et si vous enlevez le bandeau, cela s'apparentera à un passage en force puisque vous avez décidé que vous avez raison, alors que moi, j'ai encore des doutes - Je n'ai pas réussi à trouver ces sources et je fais donc confiance aux autres contributeurs pour les apporter - -- Lomita (discuter) 13 novembre 2015 à 16:18 (CET)
- Mes condoléances pour ce qui s'est passé hier soir à Paris, je ne l'avais pas remarqué, ayant travaillé toute la soirée sur l'article, placé sources et ajouts directement dans l'article selon les recommandations sur le bandeau pour rendre l'article admissible.--Havang(nl) (discuter) 14 novembre 2015 à 09:17 (CET)
- Sans autre source que celles que vous me présentez, j'aurai des doutes, donc, si vous n'apportez rien d'autre et si vous enlevez le bandeau, cela s'apparentera à un passage en force puisque vous avez décidé que vous avez raison, alors que moi, j'ai encore des doutes - Je n'ai pas réussi à trouver ces sources et je fais donc confiance aux autres contributeurs pour les apporter - -- Lomita (discuter) 13 novembre 2015 à 16:18 (CET)
- Je te donne largement le temps de réagir. Si tu n'a plus d'autre argument, je passe, mais pas en force.--Havang(nl) (discuter) 13 novembre 2015 à 16:14 (CET)
- Donc, si je comprends bien, vous annoncez enlever le bandeau d'admissibilité, vous passez tout simplement en force et balayé d'un revert de main des avis des autres contributeurs ! - Très bien pour une encyclopédie collaborative et communautaire - Sans plus de commentaire - Bonne continuation -- Lomita (discuter) 13 novembre 2015 à 16:10 (CET)
- Modèle:Conflit d'editionJ'ai continué moi-même,c'est trop intéressant. J'enlève le bandeau admissibilité.--Havang(nl) (discuter) 13 novembre 2015 à 16:01 (CET)