Discussion:Attraction sexuelle génétique

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Allez savoir dans le sujet Introduction
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Introduction modifier

Franchement, je ne parviens pas à comprendre qu'on en soit là ! J'ai déjà tenté de simplifier une fois : ça pouvait être mal pris et en partie annulé, je suis habitué, mais non avec la nouvelle version, je me demande si ce n'était pas pire ! Il y a au moins quatre erreurs ! Faut-il les détailler plus qu'en commentaire de modif ? ou valider ma réécriture qui s'en tient à l'essentiel maintenant que j'ai vu qu'il n'y avait en fait pas grand chose à dire. Je souligne seulement la première, à savoir parler d'attirance sexuelle consanguine qui est à la fois une mauvaise paraphrase du titre et qui n'a pas de sens en français, s'il en a dans d'autres langues. La consanguinité n'a rien à voir ni avec le sexe ni avec l'attirance, il n'est donc pas possible d'y accoler consanguin. En tout cas, ça ne peut pas être le cas dès les premiers mots de l'article.

Il n'y a rien de compliquer à exprimer dans la première phrase, ça tient du roman-photo du siècle dernier : le style doit donc être dès plus banals.

Allez savoir (discuter) 20 mai 2014 à 21:46 (CEST)Répondre

Bonjour ! Non, je n’ai pas « mal pris » ni même « annulé en partie », j’ai juste tenté de proposer une nouvelle formulation dont la teneur diffère des autres tout en tenant compte des suggestions précédemment formulées. Ceci étant, le RI que vous avez consigné ici [1] contient — lui aussi — quelques erreurs ou approximations potentielles. En effet, la GSA survient — parfois — entre membres issus d’une même famille qui se retrouvent sur le tard après avoir été séparés dès la naissance ou au cours de la prime enfance. Il ne suffit donc pas qu’ils aient « vécu depuis très longtemps sans aucune relation » [2] : par exemple, s’ils ne se sont pas vus de l’âge de 25 à 60 ans, le phénomène ne se produit guère. L’autre condition étant qu’ils possèdent de réels liens génétiques entre eux, ce qui n’est pas forcément toujours le cas, même entre membres d’une alléguée « même famille ». Par extension, la GSA semble se déclencher même quand ledit lien génétique n’est pas connu ou n’a pas encore été formellement identifié comme tel par les protagonistes, comme s’il intervenait, sporadiquement, une sorte d’attrait irrésistible entre deux êtres génétiquement liés qui n’auraient pas été confrontés à l’effet Westermarck d’origine. Ceci étant, je suis bien conscient qu’il n’est pas forcément aisé de résumer tout ce qui précède en une introduction lapidaire, surtout s’il s’agit d’éviter d’éventuels contresens ou errances interprétatives. Résultat : je ne suis moi-même pas encore complètement satisfait par ma dernière mouture [3]. Je vous propose donc d’en discuter préalablement ici afin de nous permettre d’unir nos forces et clarifier la chose au mieux. Cordialement ! — euphonie bréviaire 21 mai 2014 à 01:34 (CEST)Répondre
Bonjour !
Je n'ai pas dit que tu avais mal pris et que tu avais (volontairement) annulé, relis doucement...'
Je vois bien qu'il te plaît d'employer certains mots et j'y suis moi opposé parce que le sujet n'est pas si abstrait ni si abscons. J'ai proposé une phrase qui prétend éliminer deux erreurs incontestables : 1. ne doit intervenir une question de terminologie que si l'article est du domaine de la linguistique ; il n'y a aucune raison de l'employer ici et de cette façon, surtout pour masquer une difficulté. 2. le terme "originelle" est revenu alors qu'il est aussi inutile que dénué de sens pour moi, si ces deux défauts sont compatibles. S'il y a quelque chose à approfondir de ce côté, je pense qu'il faut une seconde phrase.
Il n'y a pour moi que trois points à articuler le plus sobrement possible : attirance + proximité génétique + rapprochement brutal après des vies indépendantes. Sur ce dernier point, il me semble que ma version précédente était plus sûre que la tienne, à savoir que des enfants peuvent se retrouver physiquement après avoir pourtant entretenu une correspondance de loin en loin, relation qui doit suffire à activer le tabou de l'inceste. Le fait d'être séparés tôt et de longue date n'est donc pas une condition suffisante. Je t'accorde que ce point n'est pas des plus importants...
L'intérêt de traquer les mots inutiles est de disposer de l'espace et de la lumière pour ce qui importe d'être précis.
Allez savoir (discuter) 21 mai 2014 à 03:59 (CEST)Répondre
Bonjour !
Tu n’as pas non plus complètement interprété correctement certaines de mes intentions et inflexions. Partant de ce qui précède, je pourrais donc aussi décrypter une à une certaines erreurs et/ou approximations que tu consignes dans ton intervention ci-dessus. Toutefois, il ne m’apparaît pas primordial de le faire ici puisque la proposition complémentaire que tu as finalement ébauchée en deuxième ressort dans le RI m’a semblé aller davantage dans le sens d’un rapprochement plus conforme à la réalité factuelle. Sa teneur me convient donc mieux que celle que tu avais précédemment esquissée. J’ai essayé d’en compléter et peaufiner certains aspects qui, je l’espère, emporteront cette fois-ci ton assentiment. Si tel n’est pas le cas, je te propose d’en rediscuter ici ; on finira bien par trouver une formulation consensuelle. Cordialement ! — euphonie bréviaire 21 mai 2014 à 09:52 (CEST)Répondre
Bonjour ! Merci, je ne peux qu'être d'accord avec la version actuelle puisqu'elle conserve la simplicité qui est pour moi l'objectif principal des premières phrases pour un sujet donné. Je me demande encore cependant si petite enfance n'est pas préférable à première enfance ; et je ne parviens pas à supprimer la déficience d'euphonie des termes séparation s'étant produite ; séparation qui est intervenue n'étant guère mieux je crois.
Je suis content de ce résultat ; la suite de l'article ne pâtirait pas d'un traitement de même nature même si c'est moins important en ce qui me concerne. Je te laisse souffler un moment et j'ai un autre souci qui mobilise mon agressivité aujourd'hui  . J'ai déjà dans mon viseur le mot émergence, trouvé plus bas, qui est certes très beau, mais...
Excuse mon intransigeance et autres défauts, je ne sais pas faire autrement pour atteindre mon but ! Allez savoir (discuter) 21 mai 2014 à 10:15 (CEST)Répondre
Va pour « petite enfance » ! Je tiquais aussi sur « s’étant produite » ; n’ayant pas réussi à trouver plus satisfaisant, je viens d’élaguer en conséquence. Qu’en penses-tu ? Je reste bien entendu ouvert à toute formulation alternative. Nous sommes deux « intransigeants » et, par extension, « perfectionnistes », caractéristiques qui ne peuvent qu’aller dans le sens d’une bonification de l’article aussi longtemps que chacun reste à l’écoute de l’autre, ce qui me semble être le cas ici. Cordialement ! — euphonie bréviaire 21 mai 2014 à 10:44 / 10:52 (CEST)
Oui, la première impression est bonne, mais ne résiste pas à la réflexion. [Mais auparavant, tu ne préfères pas "après avoir été séparés depuis" à "après une séparation prolongée depuis" (ou alors une longue séparation) ?] Donc, ensuite je reviens au problème : rentrer adolescence et adulte me paraissait une bonne idée en dépit de ma traque des grands mots ; malheureusement maintenant ça ne colle pas avec "mère et fils" la mère étant déjà adulte à la séparation... Bon, si ça te va quand même, je me range à ton avis.
Merci de ta positivité et amabilité ! Allez savoir (discuter) 21 mai 2014 à 11:00 (CEST)Répondre
Conformément à ton excellente proposition, j’ai reformulé en « après avoir été séparées depuis » : tu as raison, c’est nettement mieux comme ça. Il est vrai qu’écrire « à l’adolescence ou à l’âge adulte » peut paraître au demeurant paradoxal, voire antagoniste. Toutefois, comme la conjonction de coordination « ou » sépare intentionnellement les deux périodes, elle peut accessoirement servir de « jointure » entre « fils » (adolescent) et « mère » (adulte). Certes, on peut vraisemblablement mieux faire. Tout filon en ce sens est bienvenu. Cordialement ! — euphonie bréviaire 21 mai 2014 à 11:26 (CEST)Répondre
Je viens de remplacer par « des années plus tard ». Qu’en penses-tu ? — euphonie bréviaire 21 mai 2014 à 11:42 (CEST)Répondre
C'est beau comme du ...   ["des années plus tard" est une bonne idée, répondant bien à mon doute, mais peut-être les mots adolescence et adulte soulignaient-ils mieux le changement d'état et de contexte des personnes... changement qui est en partie à l'origine soit de l'attirance, soit de la méconnaissance de la parenté...]
Le perfectionniste te soumet cependant une question mise de côté dans ma réponse précédente. J'ai conscience qu'on rentre dans des finasseries, mais voilà... Le mot parfois peut être compris ainsi : ces deux personnes éprouvent de temps à autre une attirance alors que ce qu'on veut dire - je crois - c'est qu'il arrive qu'une attirance s'installe chez certaines personnes se retrouvant, mais pas toutes. Ce n'est évidemment pas du tout la même chose. C'est pourquoi je crois avoir tenté déjà d'éliminer ce conditionnel ou cet hypothétique : on parle alors de l'attirance comme d'un fait et non comme un possible, possible qui n'est pas clairement exprimé, c'est là le seul problème, avec le mot parfois. J'ai bien pensé à "que peuvent éprouver", mais l'ambiguité n'est pas levée pour autant. Je pense qu'il n'y a pas de solution sans inconvénient sur le résultat actuel.
Allez savoir (discuter) 21 mai 2014 à 11:52 (CEST)Répondre
Bigre, tu dis vrai. Pourtant, sans l’adverbe « parfois », on pourrait accessoirement subodorer une attirance inexorable, inévitable, qui se produirait implicitement à chaque fois lors de « toutes » les rencontres tardives. Or ce n’est pas forcément le cas. Inversement, avec « parfois », on pourrait presque aussi penser, comme tu le soulignes à juste titre, à un « de temps à autre » survenant entre les mêmes deux personnes (style flirts sporadiques à l’heure du thé) alors que, lorsqu’elle surgit, cette synergie est constante, quasi-irrésistible : elle s’installe durablement et de façon pérenne dans le temps. Il existe aussi des cas où une mère est enceinte très jeune (voire à peine pubère) de son enfant... la séparation « originelle » survient souvent abruptement, la plupart du temps à l’initiative des parents de la jeune fille ; puis des retrouvailles « mère-fils » se précisent des années plus tard avec, incidemment (mais pas toujours), l’attrait consécutif dû au non vécu initial engendré d’ordinaire par l’effet Westermarck. — euphonie bréviaire 21 mai 2014 à 12:38 (CEST)Répondre
Oui, c'est ça !
Outre le recours possible à une phrase complémentaire palliant la suppression du mot parfois, par exemple en donnant dans cette phrase une indication sur la fréquence du phénomène ; j'imagine qu'une autre solution passerait par le renoncement à l'usage d'attirance sexuelle dans la phrase au bénéfice d'une formulation plus précise pour ce qui nous occupe ici (plus de parfois). Mais cette formulation, pour le moment, je n'en ai aucune idée concrète... Allez savoir (discuter) 21 mai 2014 à 13:55 (CEST)Répondre

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Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
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