Discussion:Étalement urbain

Dernier commentaire : il y a 13 ans par Huesca dans le sujet Article confus et doublon avec périurbanisation
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premiers avis modifier

Ces dépenses sont cependant à relativiser car elles sont pour l'essentiel liées à l'augmentation de la population plus qu'à son étalement.

Non, justement, l'interet de cette phrase etait de dire qu'a population égale, l'habitat dense et l'habitat étalé ne presentent pas les mêmes coûts d'infrastructures

Papillus 29 aoû 2004 à 00:00 (CEST)

test

Pourquoi est-ce que la fonction modifier a disparu de cette page ?

  • J'ai supprimé "artificialisation des terres", qui ne me paraît pas approprié : il faudrait trouver une meilleure expression qui signifie, en gros, "c'est la fin de la ruralit en tant que paysage et mode de vie". Car l'étalement urbain (ou plutôt la "rurbanisation") apporte aussi le mode de vie urbain à la campagne.
  • J'ai corrigé l'erreur dans les liens externes : le PLU et le successeur des POS et non des PLU (qui ne concernent que les déplacements, comme son nom l'indique).
  • Enfin, même si l'étalement urbain, globalement, apporte pas mal de problèmes, je ne pense pas qu'il soit "mal", dans l'absolu, car après tout, si les citoyens lambda veulent habiter à la campagne, est-ce que des règles d'urbanisme pourront les en empêcher ? (en fait, est-ce que le législateur doit empêcher l'étalement urbain ?) C'est le grand problème ... Ce que je voulais dire, c'est qu'il serait préférable d'apporter un peu plus de neutralité dans cet article (au moins dans la forme). Non, Papillus, c'est pas parce que c'est toi !  ;) Mathounette 30 aoû 2004 à 9:59 (CEST)

Peut-on parler d'étalement urbain pour Talence, qui est largement contigue à Bordeaux ? On parle plutôt d'étalement urbain pour les communes plus périphériques, à dominante rurale il y a encore peu (?) De plus, comme tu le dis, Talence manque d'espace, donc a priori ce n'est pas une commune propice à l'étalement urbain (?) Mathounette 30 aoû 2004 à 11:32 (CEST)

artificialisation des terres est un terme couramment utilisé par les experts, le terme pourrait être autre, mais c'est celui utilisé, ce n'est pas un choix de ma part, bien que j'apprecie ce terme, j'aimerait remettre ce terme qui explique clairement le problème. Papillus 30 aoû 2004 à 16:02 (CEST)


J'ai jamais entendu parler de ce terme (ça arrive !) ... qui sont les experts dont tu parles ? Et de quelles terres s'agit-il ? Je ne trouve pas ça très parlant. P.S: arrête l' "étalement wikipediens" en mettant ta signature juste après la fin de ton post ! Mathounette 30 aoû 2004 à 21:14 (CEST)
Dans un de mes post précedents, il fallait lire PDU (plan de déplacements urbains) et non PLU Mathounette 30 aoû 2004 à 21:18 (CEST)

D'accord google ne le donne que 20 fois, c'est pas beaucoup, mais ce terme je l'ai entendus a travers une conference de spécialistes de l'étalement urbain aux assises du développement durable (je n'ai pa retenus leurs noms, mais je crois qu'il y'avait quelqu'un de la bergerie nationale de Rambouillet qui a étudié le sujet)et c'est un terme beaucoup utilisé par les assos oeuvrant dans ce domaine car très parlant.

Ce sont simplement les terres utilisées pour un usage agricole, pastoral ou forestier ainsi que les espaces naturels qui deviennent artificialisés, utilisés pour les routes, les batiments, les allées... -- Papillus 31 aoû 2004 à 01:23 (CEST)

Le terme merite peut être un article, mais je crois qu'il serait trop court, disons un paragraphe Papillus 1 sep 2004 à 03:45 (CEST)

A partir de l'eau virtuelle je clicke sur le mot clé urbanisation, puis mitage. Je me permets de faire les remarques suivantes :

1)Le mitage est une construction hors lotissement et pas spécialement une citée dortoir. Dans l'idée de mitage il y a l'idée d'absence d'organisation, d'initiative individuelle où chacun construit où il veut.

2)Je lis dans cet article un jugement de valeur : ce n'est pas bien, on comprend bien en lisant pourquoi ce n'est pas bien. Mais est ce le role d'une encyclopédie d'émettre un jugement de valeur.

Je partage votre avis sur le jugement de valeur. En particulier je conteste le jugement sur l'incompatibilité de l'habitat étalé avec le développement durable. Il me semble que l'habitat concentré est bien plus vulnérable à la moindre perturbation du système économique et logistique en place. N'hésitez pas à modifier l'article si vous avez des connaissances sur le sujet, et n'oubliez pas de signez vos messages (4 tides). Spedona 20 nov 2004 à 13:58 (CET)

Dépenses d'équipement et densité de population modifier

Ces dépenses ne sont pas à négliger, car elles ne sont pas liées à l'augmentation de la population, en croissance faible dans les pays occidentaux : l'essentiel des nouveaux réseaux sont établis pour desservir une population dispersée et peu dense, ce qui rend problématique à terme l'amortissement des dépenses.

Je maintiens que ces dépenses sont à relativiser :

  • d'abord, même si la croissance démographique du pays est faible globalement, il peut y avoir des variations locales. Grosso modo les grandes agglomérations s'acroissent tandis que les campagnes se vident ;
  • la densité n'est pas un critère absolu. Si je prends l'exemple de ma commune, Épône, la densité apparente est faible, mais vu que les 3/4 du territoire sont des zones agricoles, la densité réelle de la partie urbanisée est nettement (4 fois +) plus élevée.
  • l'apport d'un surplus de population n'est pas négatif s'il est contrôlé : il permet à une commune rurale de disposer de plus de moyens pour s'équiper, car elle dispose de plus de ressources fiscales et peut mieux rentabiliser certains équipements qui seraient de toutes façon nécessaires. Avant guerre le niveau de population stagnait à environ 1000 habitants pour le même territoire contre 7000 aujourd'hui. Cela veut dire qu'avec beaucoup moins de moyen, il fallait à peu près la même longueur de routes, de réseaux d'assainissement, de lignes téléphoniques et électriques et qu'on n'aurait pas pu se payer une station d'épuaration, un collège, etc. Notons en outre qu'avec la procédure des lotissements, les communes ne supportent pas les frais directs d'urbanisation, car les réseaux sont en fait payés par les acquéreurs des terrains.
  • m'appuyant toujours sur le même exemple, je peux ajouter que les déplacements de population se limitent pas à des dépalcements pendulaires avec le centre de Paris. C'est en réalité un système beaucoup plus complexe qui tient plutôt du mouvement brownien. La réalité est que les transports en commun ne desservent correctement que Paris, et encore. L'automobile assure l'essentiel de la mobilité des populations et constitue en réalité un véritable service public, irremplaçable jusqu'à présent.
  • Concernant les zones commerciales qui induiraient plus de déplacement automobile, là aussi, il faut relativiser et tout prendre en compte : si on les remplaçait par des commerces de détail dispersés, quel serait le bilan global des déplacements de marchandises et de personnes : approvisonnement, livraisons, enlèvements par les clients ?
  • Enfin il faut noter que dans certains centres urbains, on démolit des immeubles pour dédensifier. Il faudrait peut-être un article sur l'entassement urbain et son cortège de problèmes.

Ayant habité Talence plusieurs années, je confirme que c'est une commune urbaine qu'on pourrait assimiler à un quartier de Bordeaux. Spedona 30 aoû 2004 à 11:38 (CEST)

Je crois que le problème ne reside pas dans la densité au m² de terrain mais a l'habitat lui même, les quartiers hausmanniens ont une densité de personne au m² bien superieurs aux "cités" pourtant la vie y est jugée très agreable et le non étalement urbain permet d'avoir des epiceries a leur pied, impensable en pavillonaire, sans compter les transports en commun de proximité que ça permet, si des quartiers sont biens pensés, une densité forte est plus un avantage qu'un inconvenient.

Ce qui n'exclut ni espaces verts ni places avec fontaine, gerer la verticalité faut savoir le faire. Papillus 1 sep 2004 à 03:49 (CEST)

Pour répondre à Spédona : tu compares des choses incomparables :
  • le problème de l'étalement urbain n'est pas l'accroissement des grandes villes, mais de la cannibalisation des campagnes : aujourd'hui, pour une croissance de population égale à celle d'il y a 50 ans, l'espace occupé est beaucoup plus important (pense à l'immeuble à dix appartements constructible sur un terrain pavillonaire, aux voies plus larges, aux parkings de supermarchés inutilisés les 2/3 du temps, etc.)
  • Je suis bien d'accord que la densité d'une commune rurale est plus importante dans le bourg que sur l'ensemble du territoire; mais dans quand tu as 50 communes rurales, étalées entre Bordeaux et Arcachon, (et qui font partie de la même zone urbaine), il y a un réseau d'acheminement du gaz important entre chaque commune
  • Pour Épône, oui l'apport de population est positif ; mais moins pour la collectivité qui doit financer des transports qui ne sont amortis que sur un faible nombre d'habitants, un réseau de gaz, un réseau d'assainissement idem (toujours en prenant pour base l'immeuble haussmanien, qui offre pourtant des densités bien plus faibles que les grandes cités à gratte-ciel) ; la même longueur de routes : oui mais avant guerre, surement deux fois moins larges, moins peintes, etc. (et il y a plus de routes dans une cité pavillonaire) ; de plus il faut relier toutes les cités qui ne se jouxtent pas toutes, si j'ai bien lu ton article Epone et tous les équipements que tu évoques seraient mieux amortis par une population plus dense (cinq fois plus de familles au même endroit), donc on aurait fait moins de dépenses pour la construction du réseau (environ cinq fois moins pour le réseau final : le principal coût n'est pas le dimensionnement des tuyaux, mais la tranchée), donc en fait on aurait fait des économies investies ailleurs (équipements que vous n'avez pas) ;
  • Si les transports en communs ne desservent que les centres, c'est bien parce que la population est trop dispersée ailleurs ;
Et pour Talence, qui est bien un quartier de l'agglomération, les avenues desservies par le tram étaient limitées à deux étages ; il n'y a que très peu de neuf (difficile d'amortir sur si peu); maintenant qu'elles seront à 4 étages, beaucoup de petites maisons sans étage devraient disparaître pour être remplacées, ce qui ne nécessitera pas la construction de nouveaux réseaux, mais amortira leur coût sur plus de monde. archeos 1 sep 2004 à 10:35 (CEST)

Je comprends bien ton raisonnement qui consiste à dire qu'une plus forte densité permet un meilleur amortissement des équipements. Cela paraît évident, mais il faut comparer ce qui est comparable et démontrer un certain nombre d'affirmations qui figurent dans l'article comme des évidences. L'exemple des transports collectifs est intéressant. En effet à Paris, il y a un excellent réseau de transport justifié par la densité de population, mais il est loin d'être équilibré et le contribuable doit largement mettre la main à la poche pour le financer, contribuable parisien ce qui est normal, mais aussi banlieusard et provincial ce qui l'est moins. En ce qui concerne les équipements des communes semi-rurales, ou rurbaines comme disent certains, pourquoi généraliser sans arguments solides. Je te signale qu'à Épône la commune a un bon équilibre financier et n'est pas endettée. Dans les communes à plus forte densité de population, ce n'est pas toujours le cas. Il faut aussi dimensionner autrement les équipements. Dans le cas de Talence, si on double la population en passant de deux à quatre étages, il faudra redimensionner certrains équipements : pense au débit des réseaux d'adduction d'eau, aux égouts, au nombre de places dans les écoles et dans les crèches... Rien ne prouve, j'attends une démonstration, que si la population était plus dispersée dans le territoire le bilan global serait plus défavorable. Quant à la destruction des écosystèmes, il est évident que l'urbanisation, surtout si elle est dense, détruit les biotopes d'origine, mais il faut choisir. Si on veut préserver toute la nature, il faudrait supprimer l'homme. Enfin, dans le choix entre habitat individuel et habitat collectif, puisque c'est bien de cela qu'il s'agit, je ne décrie ni l'un ni l'autre, ils ont leurs avantages et leurs inconvénients, et surtout il ne faut pas nier le libre choix des individus. A ce propos de densité, je me souviens qu'il y avait dans l'URSS une norme qui définissait le nombre de m2 autorisés par personne. C'est peut-être là que veulent en venir certains « géographes ». Spedona 1 sep 2004 à 20:14 (CEST)

Dire que l'étalement urbain peut presenter certains problèmes qu'il convient de maitriser et dire que chacun doit vivre dans 9 m², pour moi, il y'a de la marge, c'est un choix individuel et un choix collectif.

L'idée n'est pas de preserver toute la nature mais de permettre au contraire de vivre "en bonne intelligence" avec elle, sans la sanctuariser ni l'eriger en valeur suprème, juste être bien conscient que si on malmène trop certains elements naturels comme par exemple via l'artificialisation des terres, la destructions des talus et des haies et qu'on construit a l'interieur des zones d'epanchement d'un cours d'eau, on a interet a savoir nager et a posseder un petit bateau. Papillus 2 sep 2004 à 01:53 (CEST)

Ne mélangeons pas tout. Je n'ai jamais dit pas qu'il fallait construire en zone inondable. Je suis d'accord sur l'expression « vivre en bonne intelligence avec la nature ». Habitant un lotissement qui a remplacé un champ de céréales à flanc de coteau, sans arbre et exposé au ravinement, je pense qu'on y vit en bonne inteligence avec la nature. Les eaux de pluis sont canalisées par le réseau d'assinissement et n'inondent pas les champs alentours, des centaines d'arbres et d'arbustes ont poussé, les oiseaux y pullulent... Est-ce qu'une cité type HLM aurait été préférable de ce point de vue ? Spedona 2 sep 2004 à 08:16 (CEST)
Ce n'est qu'un résumé de la situation vue par le gouvernement Jospin, mais voilà un extrait de la circulaire Voynet du 11 mai 1999 de la loi citée :
Ainsi, l'étalement urbain incontrôlé se traduit, à terme, par des situations socio-économiques peu supportables pour certaines catégories de populations. Nous en voyons les effets annonciateurs en Ile-de-France : ségrégation spatiale, logements sans valeur, coût des transports dépassant celui de l'habitat pour certains ménages, friches urbaines, violences. L'étalement urbain renchérit considérablement le fonctionnement de l'agglomération pour la collectivité, par les coûts d'investissement et de gestion des réseaux qu'il implique ; il crée des vulnérabilités dangereuses non seulement pour la santé publique (la pollution est proportionnelle aux distances parcourues), mais aussi à plus long terme pour l'économie générale de l'agglomération (énergie et transports). Enfin, sa poursuite rendrait difficile, et coûteuse pour le secteur industriel, par report de l'effort sur ce dernier, la poursuite de la lutte contre le changement climatique, priorité internationale souscrite par la France.
On a ici aussi un aperçu des problèmes (ce n'est qu'un plan de cours) que ça pose dans les PVD. Et je mets en annexe la politique de Montréal, où la motorisation individuelle est reine, vise à limiter l'étalement urbain par le développement des transports en commun. Elle a été poussée à cela par le gouvernement, le document cite aussi l'exemple de Curitiba.
Pour les équipements collectifs centralisés, le coût est identique quelque soit la densité de population, c'est à dire que les gens viennent de loin ou de près ; et si la population est importante, on fait des économies d'échelle. Pour les réseaux de distribution, si on reprend l'exemple des avenues principales de Talence, les égoûts sont déjà dimensionnés pour une population importante, ce n'est que postérieurement que la mairie avait voulu garder un caractère à ses avenues en interdisant la construction sur plusieurs étages. Et il faut aussi penser aux équipements qui sont impossibles faute de densité suffisante : par exemple, quand le Japon équipe ses villes de réseaux internet à bas-débit, c'est du 1 Mb/s. Le 33 et le 50 Mb/s sont répandus chez les particuliers. archeos 2 sep 2004 à 08:25 (CEST)

speculation modifier

La spéculation ne peut pas etre une raison fondamentale sur le long terme. Il faut indiquer ce qui est la base qui est l'accumulation de services.
Les quartiers haussmaniens ont une densité bien inférieure à une nouvelle ville comme Pudong (Shanghaï) avec des immeubles de plus de 200 m de hauteur. Fafnir 1 sep 2004 à 05:52 (CEST)

Je vois pas trop où tu veux en venir, mais touche-en un mot sur l'article ! Mathounette 1 sep 2004 à 10:18 (CEST)
Est-ce que Pudong est un quartier d'habitation ou un quartier d'affaires comme La Défense ? Spedona 1 sep 2004 à 20:15 (CEST)
Pudong est surtout un quartier d'habitation. Il bénéficie depuis peu du maglev avec l'aéroport. Fafnir 2 sep 2004 à 01:56 (CEST)

Manque de logements, fiscalité trop favorable aux bureaux (bien souvent vides) et spéculations sont les raisons essentielles de la hausse des prix

ça et la non volonté politique de maitrise de la spéculation et la non construction de logements sociaux en nombre suffisant, la non politique de mixité urbaine... Papillus 2 sep 2004 à 01:38 (CEST)

on progresse. ce n'est pas la spéculation mais la "gentrification". l'installation de populations à haut pouvoir d'achat, sans mixité d'une autre dans des logements subventionnés (sociaux). Pour les bureaux et plus généralement les incitations fiscales en faveur de tel ou tel type de commerce il y aurait surement à dire. Fafnir 2 sep 2004 à 01:56 (CEST)

et la spéculation immobilière Papillus 2 sep 2004 à 04:22 (CEST)

elle mérite un article. ;) Fafnir 2 sep 2004 à 04:36 (CEST)
Je t'en laisse la primeur Papillus 2 sep 2004 à 04:47 (CEST)
C'est fait Spéculation en matière immobilière. Fafnir 2 sep 2004 à 04:51 (CEST)
J'eusse préféré un article dédié exposant les differents aspect, les méthodes de controle de cette spéculation, les zones les plus frappés, les interactions avec les politiques de la ville, ce paragraphe n'est a mon avis pas a même d'expliquer le phénomène, même si un lien avec l'article spéculation doit exister. Papillus 2 sep 2004 à 05:18 (CEST)
avant de rentrer dans l'application qui nécessiterait un très gros effort qu'est ce qui explique le phénomène et pourquoi la raison que j'expose n'est pas la bonne? Fafnir 2 sep 2004 à 05:40 (CEST)
Loin de moi l'idée de dire que ton paragraphe se trompe, juste qu'il est trop succinct pour répondre a la question, ou du moins a toute la question. Certaine villes on lutté contre le phénomène avec succès, je n'en connait pas tout les détails, mais pour quelqu'un ayant un peu de données, cela peut être très eclairant. Nous pourrions élaborer une première ébauche, en coopération si le coeur t'en dit. Papillus 2 sep 2004 à 05:51 (CEST)

Je viens de commencer quelque chose n'hesite pas spéculation immobilière Papillus 2 sep 2004 à 05:57 (CEST)

A propos des équipements modifier

ce qui rend problématique à terme l'amortissement des dépenses

Peut-on donner des exemples concrets ? Spedona 1 sep 2004 à 08:27 (CEST)

Cette affirmation serait à vérifier (si tant est que ce soit vérifiable) Mathounette 1 sep 2004 à 10:17 (CEST)

~ Une bouche de metro pour une forte population de personnes (donc de forte densité) sera plus pertinent qu'une bouche e metro dans un lotissement au milieu de la campagne peri-urbaine. (mon exemple est caricatural, j'en convient) Papillus 2 sep 2004 à 01:41 (CEST)

Consanguinité végétale ? modifier

J'ai enlevé "[...] pouvant entrainer la mort ds populations par asphyxie génétique (problèmes de consanguinité)." En effet, je ne suis pas sûre du tout qu'on puisse parler de consanguinité concernant les plantes. Un biologiste parmi nous ? Mathounette 1 sep 2004 à 10:10 (CEST)

Je ne sais ce que ce passage évoquait, mais de toute façon les plantes en milieu urbain n'ont rien à voir avec un écosystème. Le fait qu'il n'y ait qu'une seule variété de chaque plante, souvent issue des mêmes souches, provoque peut-être le problème évoqué. archeos

L'urbanisation pose des problème de la diversité génétique est aussi important chez les végétaux, un étude a montré que la grande muraille de chine a eu une influence sur la diversité génétique, des populations ayant été scindées (pas ou peu de flux de gène possible, donc des populations scindées ont évoluées séparement jusqu'a parfois, ne plus être génétiquement compatibles et d'autres ont disparues faute de diversité génétique qui a fragilisés les populations, sans compter les plantes qui refusent des pollens si ils sont génétiquement trop proches, la diversité etant la principale force du monde vivant, mais bon, je vais pas vous parler de dynamique evolutive ici, y'a surement un article sur le darwinnisme pour ça dans Wikipedia).

On ne parlera pas de consanguinité (qui n'etait en fait qu'un exemple), mais la problematique est la même, sans compter que les pollutions ne sont pas forcement bénéfiques aux pollinisateur donc des plantes peuvent mourir par manque de pollinisation, pour les végétaux anemophiles le problème est different..

Un milieu urbain ne constitue pas un ecosystème au sens populaire (milieu naturel) mais en constitue tout de même un au sens scientifique, même si les rapports entre ces constituants est très differents de ceux observés en milieu naturel (généralement plus complexes), mais n'oubliez pas qu'outre les espèces cultivées la ville hebèrge de nombreuses plantes non desirées.

Mais le paragraphe ne s'attardait pas sur les espèces horticoles.

Même si je m'egare un peu, sachez que la problematique est aussi pertinente pour les végétaux. Papillus 2 sep 2004 à 01:34 (CEST)

Je viens mettre mon grain de sel avec quelques semaines de retard. J'ai corrigé un peu la fin du § "développement durable", car il contenait quelques imprécisions. Pour information:
  • Une niche écologique, c'est l'ensemble de l'environnement dans lequel peut vivre une espèce. Par exemple, la niche écologique du lion, c'est la savane avec des herbivores dedans (parce qu'il est carnivore). Dans l'article, on parle plutôt d'habitat (lieu géographique où une espèce peut vivre).
  • Il n'y a absolument aucune raison de séparer animaux et végétaux, la génétique ne distingue pas les deux car ils sont soumis aux mêmes problèmes. Au passage, la consanguinité fonctionne de la même manière chez les animaux et les végétaux. Certains végétaux peuvent même s'autoféconder, ça fait bien monter le taux de consanguinité.
  • Asphyxie génétique: ce n'est pas vraiment une expression commune, je l'ai retirée.
Au passage, je ne suis pas persuadé que la rupture des flux de gènes soit spécialement impliquée dans la diminution de la diversité (je dirais même le contraire). Par contre, la réduction de l'habitat (diminution des effectifs), oui, sans aucun doute. Voila! Arnaudus 16 sep 2004 à 20:51 (CEST)

Pour mettre de l'huile sur le feu modifier

En dépit du mépris qu'il est convenu de porter, dans les milieux éclairés, à l'étalement urbain, la majorité de nos concitoyens sont de plus en plus nombreux à aimer vivre dans cette "non-ville". Ne serait-il pas judicieux d'y investir un peu plus de réflexion urbanistique plutôt que de nier l'évidence ?

A méditer ... Mathounette 2 sep 2004 à 12:18 (CEST)

Un sondage récent réalisé en France (CREDOC) indique que 75 % des Français préféreraient vivre en habitat individuel plutôt que collectif. Spedona 16 sep 2004 à 21:56 (CEST)

N'y a t'il pas une difference entre ceux qui choisissent les zones périurbaines du fait de la dégradation du tissu urbain et des coûts prohibitifs et donc tombent dans la migration pendulaire et ceux qui en font le choix car ils n'ont pas besoin d'aller en ville. Papillus 20 nov 2004 à 15:48 (CET)

Bien entendu, mais le sondage indique un souhait assez marqué. Dans ces conditions, est-ce qu'une politique intelligente ne consisterait pas à répartir mieux les emplois, plutôt que d'en concentrer un maximum au centre de l'agglomération, je pense en particulier aux administrations qui pourraient être déconcentrées. Pour ce qui concerne les prix prohibitifs, n'est-il pas exégéré d'en attribuer la cause exclusivement à la spéculation, n'est-ce pas tout simplement l'effet de la demande, tout le monde voulant être au centre ? Spedona 20 nov 2004 à 18:03 (CET)

Certaines municipalité ont pris des mesures pour limiter la spéculation immobilière via par exemple le locatif public et les prix ont fortement baissée, mais on peut aussi l'integrer dans un logique offre/demande. La déconcentration que tu suggère demande des investissement publics d'aménagement du territoire, actuellement, on ferme les bureaux de postes les moins rentables (donc les moins fréquentés, ceux dans les zones peu peuplées en majorité), la concentration que tu déplore vas a mon avis s'amplifier, le service public de proximité est actuellement sacrifié. Mais cela detruit des zones de peuplement anciennes ou faibles et pas l'etallement urbain qui n'est pas que de nouvelles construction dans des villes moins peuplées en peripherie des agglomérations mais surtout des ilots de maisons reliés au reste de l'humanité par une route, le resau de gaz, de téléphone et d'électricité, des sous-produit de la spéculation immobilière, la même qui les a chassé des villes. On est loin des cités-jardin !Papillus 27 jun 2005 à 18:06 (CEST)

Fusionner ? modifier

Ne faudrait-il pas fusionner cet article avec périurbanisation ? Les deux termes me paraissent quasiment synonymes, en tout cas les deux articles décrivent le même phénomène. El pitareio (d) 27 décembre 2007 à 14:21 (CET)Répondre

Proposition de fusion entre Densification urbaine et Étalement urbain modifier

Les deux articles me semblent parler du même sujet de fond. Il devraient être soit fusionné soit faire fortement référence l'un à l'autre ske (d) 2 septembre 2010 à 20:26 (CEST)Répondre

Je verrais plus une fusion entre Renouvellement urbain et Densification urbaine, et même comme cela, il me semble d'une entrée spécifique pour Densification urbaine, vu l'importance du sujet, n'est pas absçon. (Bon après l'article est très moyen...) --Nouill (d) 2 septembre 2010 à 22:55 (CEST)Répondre
J'archive finalement la requête. Je n'ai pas trouvé de solution qui me semble optimale, un article sur la densification me semble pertinent. Il n'y a pas eu d'avis en 2 semaines. On peux cependant relancer une quelconque requête, si de nouveaux avis veulent s'exprimer. --Nouill (d) 24 septembre 2010 à 21:38 (CEST)Répondre

Article confus et doublon avec périurbanisation modifier

Cet article me paraît poser plusieurs problèmes. Outre certaines parties dont l'intitulé n'a qu'un lointain rapport avec le contenu ("Un impact sur le tourisme"), certaines n'ont que très peu d'intérêt ("Quelques cas d'étalement urbain") et d'autres décrivent un autre phénomène qui constitue la cause principale de l'étalement urbain mais ne lui est pas synonyme : la périurbanisation. Je propose donc qu'une partie de cet article soit évacuée, soit vers la corbeille soit vers périurbanisation et que le reste soit largement restructuré. Huesca (d) 26 novembre 2010 à 18:05 (CET)   pour les "Quelques cas d'étalement urbain" Huesca (d) 26 novembre 2010 à 18:12 (CET)Répondre

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