Chemin de Bordeblanche
Le chemin de Bordeblanche (en occitan : camin de Bòrda Blanca) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.
Le chemin de Bordeblanche vu du chemin du Ramelet-Moundi. | |
Situation | |
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Coordonnées | 43° 35′ 00″ nord, 1° 23′ 10″ est |
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Métropole | Toulouse Métropole |
Ville | Toulouse |
Secteur(s) | 6 - Ouest |
Quartier(s) | Les Pradettes |
Début | no 12 avenue Arthur-Huc |
Fin | no 65 chemin du Ramelet-Moundi |
Morphologie | |
Longueur | 485 m |
Largeur | entre 12 et 14 m |
Odonymie | |
Nom actuel | XVIIe siècle |
Nom occitan | Camin de Bòrda Blanca |
Histoire et patrimoine | |
Création | avant le XVIIe siècle |
Notice | |
Archives | 315551011249 |
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Situation et accès
modifierDescription
modifierLe chemin de Bordeblanche est une voie publique. Il se trouve dans le quartier des Pradettes, dans le secteur 6 - Ouest.
Il naît perpendiculairement à l'avenue Arthur-Huc. Long de 485 mètres, il est orienté au nord-est. Il rencontre, après 113 mètres, la rue André-Broussin, à gauche, et la rue Daniel-Sorano, à droite. Il se termine après 363 mètres au carrefour du chemin du Ramelet-Moundi. Il est prolongé au nord-ouest par la rue Jacques-Cartier.
La chaussée compte une voie de circulation automobile dans chaque sens. Elle appartient à une zone 30 et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il n'existe pas d'aménagement cyclable.
Voies rencontrées
modifierLe chemin de Bordeblanche rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
- Avenue Arthur-Huc
- Rue André-Broussin (g)
- Rue Daniel-Sorano (d)
- Chemin du Ramelet-Moundi
Transports
modifierLes stations de vélos en libre-service VélôToulouse restent relativement éloignées. Les plus proches sont les stations no 276 (1 chemin du Marin) et no 277 (10-12 allée Zamenhof).
Odonymie
modifierLe chemin tient son nom de la ferme et du domaine de Bordeblanche (bòrda blanca en occitan) qu'il desservait au XVIIe siècle (emplacement de l'actuel no 1). Au milieu du XVIIe siècle, il s'étendait sur 152 arpents, soit presque 90 hectares[1] : des constructions, seul subsiste le pigeonnier, édifié dans le deuxième quart du XIXe siècle (actuel no 8 impasse Daniel-Sorano)[2].
Histoire
modifierPatrimoine et lieux d'intérêt
modifierNotes et références
modifier- Salies 1989, vol. 1, p. 167.
- Notice no IA31115794, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
- Notice no IA31115634, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
- Notice no IA31115635, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
- Notice no IA31115636, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, Toulouse, éd. Milan, (ISBN 978-2-86726-354-5).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Notice no 315551011249 », Au nom de la voie, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 20 septembre 2021 (consulté le ).
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).