Art néolithique

les hommes du Sahara faisaient les peintures sur les roches d'où l'art rupestre. ces peintures représentaient des animaux, des scènes de guerre et religieuses.

L'art néolithique est extrêmement diversifié dans ses expressions. Les préoccupations esthétiques au Néolithique s'expriment à travers la décoration des objets utilitaires (céramique, haches polies) mais aussi par la réalisation de sculptures, de parures et d'œuvres d'art rupestre et pariétal.

Stonehenge, site important d'art mégalithique, forme majeure d'art néolithique.

Il existe de grandes différences régionales. En Europe, l'art figuratif est souvent beaucoup plus schématique et moins réaliste que l'art animalier du Paléolithique. L'art néolithique du Sahara allie des représentations animales très réalistes et des figures anthropomorphes souvent schématiques.

L’art néolithique européen

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Répertoire iconographique du néolithique dans la vallée des Merveilles[1].

L’art mobilier néolithique

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Outre de nombreux éléments ornementaux et cérémonials, l’art mobilier néolithique comprend une large gamme de formes de poteries et autres objets quotidiens. La céramique présente d’innombrables variantes (en fonction de la morphologie et de la décoration imprimée, gravée ou peinte). On peut citer à titre d’exemple :

  • la céramique imprimée du Cardial, propre des phases les plus anciennes du Néolithique méditerranéen et caractérisée par la décoration par impressions faites à l’aide de coquilles de mollusque ;
  • la céramique linéaire, que l’on trouve au cœur du continent et dont la décoration est gravée avec des motifs géométriques sous forme de rubans aux courbures sinueuses.

Dans le sud-est de l'Europe, du fait de l’influence orientale, la céramique peinte prédomine.

La sculpture néolithique

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La sculpture connaît un développement précoce et original : pratiquement dans toutes les cultures néolithiques d'Europe orientale apparaissent, dès les phases anciennes, des figurines féminines de terre cuite mais aussi de pierre, supposées représenter une hypothétique « Déesse Mère » symbolisant la fertilité. Quelques exemplaires remarquables ont été mis au jour à Khirokitia dans le Néolithique précéramique de Chypre, à Sesklo et Dímini, en Grèce, et surtout, dans les cultures de Vinča, Serbie et de Cucuteni ou Hamangia en Roumanie. À Lepenski Vir en Serbie, des sculptures de pierre grossièrement taillées représentent des personnages d'aspect si particulier qu'ils ont été interprétés comme des êtres hybrides mi-hommes, mi-poissons.

Il existe également des parures, notamment des bracelets de schiste, des perles de collier en matériaux divers (pierre, os, coquille...), des pendentifs en os ou en canines animales, des figurines et des objets usuels décorés, presque toujours avec des motifs abstraits. À la fin du Néolithique apparaissent les premiers objets ornementaux en cuivre natif martelé.

L’art du Levant espagnol

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L'art du Levant espagnol était rattaché au Mésolithique jusqu’à une époque récente. Il est désormais attribué au Néolithique. Certaines représentations rupestres mettent en scène des animaux domestiques (à Cogull notamment) et certains objets figurés (faucilles) permettent de supposer que les peintures ont entre 8 000 et 5 000 ans.

Il s’agit de peintures murales qui apparaissent dans les falaises rocheuses et les abris-sous-roche peu profonds en montagne et dans les zones escarpées des provinces méditerranéennes espagnoles, depuis Lérida jusqu'en Andalousie ; les sites de Cogull, Alpera et Barranco de la Valltorta peuvent être mentionnés, parmi tant d'autres.

Aucun art mobilier ne semble associé à ces peintures rupestres, réalisées avec des pigments naturels broyés et dilués dans des matières grasses animales. La thématique principale est liée à l'être humain et ses activités quotidiennes (scènes montrant le bétail, chasse, danses rituelles) ou même des scènes de luttes violentes. Le style est très spontané et vivace : les personnages forment d'authentiques scènes dynamiques. Les personnages sont représentés par des silhouettes stylisées et monochromes (rouge ou noir), plates et sans modelé.

Les mégalithes

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Le phénomène mégalithique pourrait être considéré comme la première manifestation architecturale monumentale en Europe. Sa naissance paraît avoir lieu à la fin du Ve millénaire av. J.-C. dans plusieurs foyers simultanés le long de la façade atlantique, depuis Huelva (en Espagne), jusqu'aux Shetland et au Jutland. Chronologiquement, le mégalithisme perdure bien au-delà de la phase néolithique, pendant l'âge du bronze, notamment dans le nord. Il s’accompagne alors d’une évolution des procédés de construction.

Un mégalithe peut être défini comme une construction en pierres de grandes dimensions (megas : géant et lithos : pierre). Si la typologie se diversifie au cours des périodes postérieures, au Néolithique il existe essentiellement quatre types de monuments mégalithiques :

  • le menhir, qui consiste en une grande pierre brute dressée à la verticale, isolée ;
  • l'alignement, qui correspond à une association de plusieurs menhir en lignes ;
  • le cromlech, qui correspond à une association de plusieurs menhir en cercles ; ces cercles de pierre connaissent un développement important durant les Âges des métaux dans les îles Britanniques, où ils reçoivent le nom de henges" ;
  • le dolmen, tombe mégalithique collective composée d'au moins une chambre funéraire couverte à l’origine par un tumulus, qui a le plus souvent disparu depuis. Ce schéma est le plus commun, mais il existe de nombreuses variantes plus complexes ou plus simples. La chambre funéraire abritait généralement les restes de nombreux cadavres avec leur mobilier funéraire.

La décoration des mégalithes est généralement abstraite même si certains présentent aussi des sujets figurés schématiques. Trois régions principales ont livré des dolmens décorés : la Bretagne (dolmens de Barnenez et Jaillisse Kerionez par exemple), l'Irlande (Newgrange ou Loughcrew, entre autres) et le Nord-Ouest de la péninsule Ibérique (Antelas et Padrão au Portugal, Granja de Tiñinuelo et El Soto en Espagne).

Les premières phases décoratives sont généralement abstraites (formes curvilignes et géométriques, cupules), gravées ou peintes. Avec le temps apparaissent des formes schématiques identifiables (armes, anthropomorphes, zoomorphes...). Ces décorations paraissent être néolithiques même si, dans certaines représentations, il est possible de reconnaître des objets métalliques impliquant une longue survivance chronologique.

 
Décoration en spirales de l’entrée de Newgrange (Irlande)

Les pétroglyphes atlantiques sont associés aux monuments mégalithiques, dans les zones rocheuses de la façade atlantique, depuis l'embouchure du Tage, au Portugal, jusqu'aux Orcades au Royaume-Uni en passant par la Galice, la France et l'Irlande.

Leur thématique paraît proche : motifs curvilignes, méandres, cupules, spirales, labyrinthes, carrés... Les représentations anthropomorphes ou zoomorphes sont rares. L’apogée de cet art correspond toutefois au IIe millénaire av. J.-C., c'est-à-dire l’âge du bronze. Il n'est pas rare que ce type de manifestations survive durant des phases plus tardives, comme il advient avec les henges britanniques. Cette décoration doit avoir une valeur fortement symbolique et doit représenter des concepts dont le contenu nous s'échappe.

   
Pétroglyphes de la façade atlantique européenne

L'art néolithique du Sahara

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On trouve au Sahara:

  • Des peintures rupestres[2]des gravures, ainsi que des objets (outils de chasse, meules, outils de travail: silex taillés ou polis, grattoirs, racloirs, couteaux, perçoirs) témoignent d'une activité humaine au néolithique, telle que la céramique, la taille du silex, la chasse, l'agriculture (troupeaux). Une hypothèse récente de Giorgio Samorini est que les peintres aient usé de champignons hallucinogènes pour exécuter leurs peintures sur lesquelles sont représentés ces champignons :« Sur les peintures est possible visualiser au moins deux espèces, l’une de petite taille, souvent dotée d’une «papille» au but supérieur, caractérisant la plupart des Psilocybe hallucinogènes actuellement connues; et un autre avec dimensions plus grandes (type Boletus ou Amanita). »[3]. Pour Henri Lhote, il est certain que ces grottes étaient aussi des sanctuaires.
  • Les bétyles : On trouve surtout des bétyles[4] à Tan Khadija (Tassili Azguer) : ce sont aussi des pierres dressées, de petite taille. Certains furent découverts par Henri Lhote (1969)[5]. Ces bétyles (edbaden) seraient recouverts de tissus par les touaregs et les maquillaient comme des idoles, parfois à tête de chouette et marquent l'emplacement d'une sépulture (adebni ou edebni René Basset) et incarneraient des hommes et des femmes pétrifiés par les divinités[6]. L'un[7], signalé en 1987 pour la première fois, fait 65 cm de hauteur : il est gravé, et se trouve à Tarahamt, Tassili de Immidir, entre Tamanrasset et In-Salah, dans le Parc National du Hoggar : il représente une silhouette d'homme debout, les deux bras en l'air, légèrement pliés.

L'art rupestre

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Plus de 1500 peintures et gravures rupestres datées depuis 6000 ans avant notre ère jusqu'aux premiers siècles illustrent la faune du Sahara et la vie de hommes. Ces fresques sont souvent associées à des inscriptions en tifinagh dites « inscriptions lybico-berbères »[10]. En France l'Association des Amis de l'art rupestre saharien ou AARS, a été créée en 1991 : Elle publie chaque année une lettre et un bulletin[11].

Chronologie

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Au XIXe siècle Heinrich Barth (1850, Libye) et Henri Duveyrier (Algérie), Erwin de Bary et Fernand Foureau font les premières découvertes de l'art rupestre saharien[12]. Le Capitaine Cortier en 1909, puis le géologue Conrad Kilian, ensuite le lieutenant Charles Brenans, remarquent de nombreuses peintures dans les oued Djerat et Amazar. Théodore Monod contribue à faire connaître le Sahara. Les premières cartes de sites archéologiques rupestre sont alors dessinées[13]. Yolande Tschudi, ethnologue suisse, découvre en 1950 les sites du Tassili nord et sud. Henri Lhote, s'appuyant sur les notes de Brenans, organise une expédition en 1956, poursuit ses recherches plusieurs années, en lien avec le Musée de l'Homme et l'Abbé Breuil, qui aboutissent en 1974 à la création d'un Parc national archéologique en Algérie qui fut notamment dirigé par Malika Hachid chargée de la conservation de ce patrimoine, auteur d'ouvrages sur le Sahara et l'art néolithique comme Les pierres écrites de l'Atlas saharien[14],[15],[16].

Le sub-continent Nord-Africain et Saharien est loin d’avoir livré la totalité de ses richesses en art rupestre[17].

 
Gravure rupestre du Sud-oranais, R'cheg Dirhem, Algérie
Principaux sites de peintures et gravures rupestres
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Jabbaren, Algérie
Datation des fresques
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[25],[26]

  • La « période bubaline » (gravures de faune sauvage) et la période des têtes rondes de 6500 ans av. J.-C. à 4000 ans av. J.-C.
  • La « période bovidienne » ou bovidien (scènes pastorales) de 4000 ans av. J.-C. à 1500 av. J.-C.[27]
    • Groupe Sefrar-Ozonéraé: personnages négroïdes, scènes pastorales, ton ocre
    • Groupe Abaniora: personnages europaoïdes, ou noirs non négroïdes scènes pastorales et scènes de guerre, armes, détails internes, ton plats
    • Groupe Iheren-Tahilahi: personnages europaoïdes uniquement, bœufs, chèvres et moutons, vêtements[28]

Notes et références

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  1. 1: corniformes simples ; 2 : corniformes attelés (la barre transversale représente un joug attelé à un timon qui peut être prolongé par un araire ou une herse ; 3 : armes et instruments (poignards, hallebardes, pointes de flèches, faux, haches) ; 4 : figures anthropomorphes (simples, complexes, corniformes anthropomorphisés) ; 5 : figures topographiques (interprétées comme des cabanes avec enclos, des cultures) ; 6 : figures géométriques (soléiformes tels que cercles rayonnants et rouelles, réticulés dont les cases évoquent un plan parcellaire, croix aux branches bouletées ou digitées...) ; 7 : tannage de peaux ; 8 : figures filiformes. Cf Jean-Marie Pérouse de Montclos, L'art de France. De la préhistoire au Moyen Âge, Mengès, , p. 30.
  2. Site de référence Saharanéolitique,,Un site "didactique"
  3. The oldest Representations of Hallucinogenic Mushrooms in the World(Sahara Desert, 9000-7000 B.P.) Giorgio Samorini, Integration, vol. 2/3, p. 69-78, 1992 et Usage de champignons hallucinogènes dans le sahara prehistorique Giorgio Samorini, Bullettin de l’Association Entrevalèse de Mycologie et Botanique Appliqué vol. 24, p. 7-12, 1992
  4. Photographie
  5. Mais ils furent mentionnées par Oberlin en 1932 et par G.-B.-M. Flamand et E. Laquière, qui en ont publié une description détaillée, sous le nom d'« idoles sahariennes à tète de chouette », indiquant que leur hauteur variait de 25 à 50 centimètres : Pierres roulées à tête de chouette du Sahara central G. B. M. Flamand - 1909 Bull, et Mém. de la Soc. d'Anthrop. de Paris, Sème série, 10, : 1 80- 1 97
  6. Essai sur les origines des Touaregs: herméneutique culturelle des Touaregs (page 132) sur Google Livres, Hureiki, éditions Karthala. ref ancienne: ... Par Jacques Hureiki
  7. [PDF]Le betyle gravé de Tamahamt, ICOMOS référence: Bétyle gravé de Tarahamt (Immidir, Algérie) by Gauthier, Yves -Lluch, P. Publication: 1998. p. 11-15 - 1998
  8. Encyclopédie berbère : Bracelet-Caprarienses, sous la direction de Gabriel Camps.
  9. Gazelle sculptée dans la pierre : Tikoubaïne (Nord de Djanet. Sahara central), Henriette Camps-Fabrer, Thierry Tillet, Bulletin de la Société préhistorique française, Année 1989, Lhote H., 1961 - Nouvelles statuettes néolithiques du Sahara. Objets et Mondes, Musée de l'Homme, Paris, I, : 21-32, Les sculptures néolithiques de l'Erg d'Admer. Leurs relations avec celles du Tassili- n-Ajjer. Henriette Camps-Fabrer, Libyca, t. 15, 1967, p. 101- 123
  10. L'écriture "libyco-berbère".
  11. AARS, Association des Amis de l'Art Rupestre Saharien blog
  12. The lesser gods of the Sahara: social change and contested terrain amongst , Jeremy Keenan, page 196,« Découverte des Fresques du Tassili »
  13. [En 1937, R. Perret publie dans le journal de Africanistes, une « Carte des gravures rupestres et des peintures à l'ocre d'Afrique du nord » qui est le premier inventaire des stations rupestres du Sahara, suivit dans cette entreprise cartographique en 1921 de Flamand, puis Frobenius et Obermaier, dans un ouvrage monumental allemand publié à Münich en 1925 ne fut pas traduit, enfin R. Vaufrey dont l'ouvrage « Art rupestre Nord Africain », en plus de leur localisation, date les peintures découvertes [lire en ligne] L'art rupestre des Ouled Naïl Paul Bellin, Bulletin de la Société préhistorique française, année 1957, Volume 54, Numéro 5-6, p. 299-306].
  14. Peintures rupestres du Sahara, Tassili-n-Ajjer, René Gardi, Yolande Neukom-Tschudi et Yolande Tschudi. Les Peintures rupestres du Tassili-n-Adjer. Traduction de Georges Piroué. Préface de Paolo Graziosi, éditions de la Baconnière
  15. Henri Lhote, L'art rupestre du Sahara et HALLIER Ulrich W. ; HALLIER Brigitte Chr Following the tracks of Henri Lhote: New paintings in the Tassili-n-Ajjer (South-Algeria) = Sur les traces d'Henri Lhote : nouvelles peintures dans le Tassili-n-Ajjer (Sud de l'Algérie) Les Cahiers de l'AARS ISSN 1627-2773 dans « hommages à Henri Lhote », 2002, vol. 7, p. 107-118
  16. [lire en ligne] « Algérie – Peintures et gravures du Tassili n’Ajjer» L’art au temps des pluies le 17 novembre 2010, ZigZag Magazine et Scribd Loïc Le Quellec L'art rupestre au Sahara [lire en ligne]
  17. François Soleilhavoup L’art rupestre du Sahara Occidental : un patrimoine culturel à inventorier à protéger, et Sahara Visions d’un explorateur de la mémoire rupestre. 128 pages, 130 photographies, 40 relevés rupestres, 4 similis. (ISBN 2-913955-04-5)
  18. Le néolithique algérien
  19. Le site néolithique de Tin Hanakaten (Tassili Azjer, Sahara algérien) AUMASSIP Ginette ; Les Dossiers d'archéologie.- 2003, no282, p. 72-78 [7 page(s) (article)] (17 ref.) ISSN 1141-7137.-Article INIST « Fortement faillé, le Tassili Azjer se termine au sud par un compartiment affaissé, hérissé d'une multitude de gour, souvent échancrés à leur base. Ces échancrures ont servi d'abris aux populations néolithiques qui ont laissé d'innombrables peintures sur leurs parois. »
  20. Assali--n-Trakfine : la « Grande Dalle » gravée de Youf Eheket de I AMARA - [1]
  21. carte de 50 sites néolithiques
  22. Assali--n-Trakfine : la « Grande Dalle » gravée de Youf Eheket de I AMARA - .doc
  23. -Jan Jelinek SAHARA.- Histoire de l'art rupestre libyen 2-84137-149-2 - 560 p. - 166 figures nb ; 560 photos nb - Jérôme Millon.- 2004 -longue bibliographie
  24. Art rupestre et préhistoire du Sahara, le Messak libyen par Jean-Loïc Le Quellec Payot & Rivages 1998.- 616 p.- Collection : Bibliothèque scientifique.- (ISBN 2228891908).
  25. Pour la datation des peintures et fresques, [lire en ligne] Milieux, hommes et techniques du Sahara préhistorique. Problèmes actuels, Ginette Aumassip, p. 105 : «L'Art rupestre saharien et ses problèmes ». ; Le néolithique saharien Les gravures et peintures rupestres de l'Acacus (Libye): une révision de la classification et de la chronologie relative traditionnelle, MUZZOLINI A. ; KOLMER H. ;
  26. Dossier Futura Sciences sahara-neolithique
  27. Hommes et cultures du Sahara ancien et Qu'as tu fait de ta liberté? Ne sais tu pas que la maison est le tombeau des vivants? (Proverbe Touareg)
  28. [lire en ligne] Le groupe europoïde d'Iheren-Tahilahi, étage « bovidien final » des peintures du Tassili, A. Muzzolini, Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, Année 1981, Volume 32

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Jean Guilaine, Arts et symboles du Néolithique à la protohistoire, Errance, , 300 p.
  • Henri J. Hugot, Maximilien Bruggmann, Sahara. Art rupestre, éditions de l'Amateur, , 590 p.
  • (en) John Onians, Atlas of World Art, Laurence King Publishing, , p. 24-51
  • Serge Cassen (dir.), Corpus des signes gravés néolithiques. Programme collectif de recherche (PCR) relatif à l’enregistrement et à la restitution de l’art rupestre néolithique en Armorique en vue de son étude et de sa conservation numérique, LARA, , 628 p. (lire en ligne)

Article connexe

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