Éléonor Jacques Marie Stanislas Perier de Salvert

officier de marine

Éléonor Jacques Marie Stanislas Perier de Salvert
Éléonor Jacques Marie Stanislas Perier de Salvert
Portrait inconnu.

Surnom « Perier de Salvert »
Naissance
Brest, Royaume de France
Décès (à 34 ans)
Au large de Gondelour, à bord du Flamand
Mort au combat
Origine Français
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Arme Pavillon de la marine royale française Marine royale française
Grade Lieutenant de vaisseau
Commandement Le Furet (1770-1773)
La Subtile (1780-1781)
La Fine (1781-1782)
Le Flamand (1782-1783)
Conflits Guerre d'indépendance des Etats-Unis
Faits d'armes Bataille de Provédien
Bataille de Négapatam
Bataille de Gondelour
Distinctions Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis Chevalier ribbon Ordre royal et militaire de Saint-Louis
(Chevalier)
Hommages Temple Éléonor Jacques Perier de Salvert
Autres fonctions Membre adjoint de l’Académie royale de marine
Famille de Perier

Emblème

Éléonor Jacques Marie Stanislas Perier de Salvert né à Brest le et tué au large de Cuddalore le [1] est un noble[2] français, lieutenant de vaisseau, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, membre de l'Académie royale de marine, franc-maçon haut gradé et fondateur de la loge « La Triple Espérance » à Port-Louis.

Biographie modifier

Famille et origines modifier

Perier de Salvert est issu de la famille de Perier[3]. Il est né le 14 novembre 1748 à Brest de l'union d’Antoine Alexis Perier de Salvert (1691-1757), frère de Étienne de Perier[3], et d’Angélique Aimée Rosalie de Laduz de Vieuxchant[3]. Il a notamment pour demi-frère Louis Alexis de Perier de Salvert[4], chef d'escadre et membre honoraire de la Société des Cincinnati de France[5].

Le nom de Salvert est hérité de son père Antoine Alexis Perier de Salvert qui l'ajouta à son patronyme en 1724 ou avant[6],[7].

 
Assiette d'alliance de Éléonor Jacques Marie Stanislas de Perier de Salvert (1748-1783) et Pauline Bigot de Morogues, 1770.

En 1770, il épouse Pauline[8],[9],[10] Bigot de Morogues[11], fille du lieutenant général des armées navales Sébastien-François Bigot de Morogues[12],[13],[14], mariage sans postérité[15]. À la suite du décès de Perier de Salvert en 1783, Pauline Bigot de Morogues épouse en secondes noces Henri de Pontevès-Gien[15].

Carrière militaire modifier

À l'école des gardes-marine (1762-1764) modifier

En 1762, à l'âge de 14 ans, il entre à l'école des gardes-marine[16],[17], obligatoire pour tout jeune noble. De 1762 à 1763, il y reçoit une formation pluridisciplinaire dispensée par les Jésuites. En 1763, s'y substitueront les cours de mathématiques de Étienne Bézout[18].

Premières armes (1764-1780) modifier

Dès sa sortie de l'école en 1764, il embarque sur le Diligent de 74 canons durant six semaines, puis sur l'Union de 64 canons, du 11 mai au 6 septembre 1764, sur la Licorne du 28 mars au 30 novembre 1765, sur la Légère du 21 octobre 1766 au 22 juillet 1767, et à nouveau sur l'Union, de décembre 1770 à juillet 1772[16]. Il est promu enseigne de vaisseau le 15 août 1768, et lieutenant de cannoniers en 1770[19],[20].

Le Furet de six canons, lancé à Bordeaux en 1770, constitue son premier commandement, du mois d'août au mois de novembre 1772[16],[21].

Il s'embarque le 27 mars sur le vaisseau l'Indien, de 64 canons, pour l'Île de France, au service de la Compagnie des Indes[22]. Dès son arrivée à Port-Louis il embarque sur le Curieux, de la Compagnie des Indes, à destination du comptoir de Pondichéry où il est affecté à la Tourterelle de 32 canons, puis au Brillant en tant que commandant en second de Jean-Baptiste François Lollivier de Tronjoly (en) en mars 1776, à la Pourvoyeuse du 3 septembre au 9 octobre sous les ordres de Louis-Bernard Saint-Orens (en), puis l'intermède de l'Enighead (un navire danois capturé qu'il doit ramener à l'Île-de-France[17]), de nouveau à la Pourvoyeuse du 9 au 29 décembre 1778[16].

 
Décoration de chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, XVIIIe siècle.

De retour à Port-Louis, et lieutenant de vaisseau depuis le 14 février 1778, il embarque sur la Consolante de 40 canons du 16 mai 1779 au 7 mai 1780[16]. C'est sur ce dernier vaisseau qu'il adresse sa demande de la croix de Saint-Louis qu'il obtient la même année, appuyé par son commandant qui écrit : « Monsieur de Salvert, lieutenant de vaisseau employé actuellement sur la frégate La Consolante, a l'honneur de vous écrire pour vous faire la demande de la Croix de St-Louis dont plusieurs de ses cadets viennent d'être décorés, Il est vrai que son ancienneté au service est postérieure à la leur, mais si cette grâce peut s’accorder au zèle, au talent et au désir de servir utilement, Monsieur de Salvert est fondé à la réclamer, c’est un sujet vraiment digne de vos bontés[16] ». Le 13 septembre 1780 il prend le commandement de la frégate la Subtile de 24 canons[23], jusqu'au 19 septembre 1781[16], puis de la Fine en novembre 1781 à Port-Louis[16],[24].

Dans l'escadre de Suffren (1780-1783) modifier

Perier de Salvert est intégré à l'escadre de Pierre-André de Suffren partie de Brest pour reprendre le contrôle de l'océan Indien et des Indes aux Anglais. Il y commande la même frégate la Fine de 36 canons[16],[25]. Le 8 février 1782 il s'empare du brick Retory de 10 canons. Le 14 février, il est envoyé par Suffren pour reconnaître les approches de la rade de Madras ; il s'agit de sonder les fonds, repérer les courants et les vents dominants, les possibilités de mouillage sains et les risques que pouvait présenter le découpage de la côte[16]. Il découvre alors que l'escadre de l'amiral Edward Hugues a précédé les Français et revient faire son rapport à Suffren[16]. Ce dernier décide de ne pas attaquer, décision que critique ouvertement Perier de Salvert, arguant qu’il est le seul à s’être approché suffisamment pour savoir que les Anglais sont mouillés à une distance de la côte telle qu’elle permettrait indubitablement à l’escadre française de s’insérer derrière eux[16].

Bataille de Sadras (1782) modifier
 
La bataille de Sadras, par Dominique Serres (1782).

Insensible à l’argument, Suffren l’envoie surveiller les mouvements de l’ennemi, puis lui ordonne de rejoindre l’escadre qu’il a décidé d’emmener vers Sadras (en), une centaine de milles plus au sud. Le convoi ne suit pas, la brise est soudainement passée au nord-est et les navires se dispersent. Le 17 février 1782 à l’aube, Perier de Salvert signale treize voiles entre lui et la terre. L'amiral Edward Hugues veut saisir l’occasion de s’emparer des navires de charge[16].

Bataille de Provédien (1782) modifier
 
La bataille de Provédien, par Dominique Serres (1782).

Le 10 avril 1782, Perier de Salvert capture un bâtiment anglais et s'empare de liasses de documents diplomatiques de grande importance[16]. Le 12 avril 1782 vers midi et demie la bataille de Provédien s'engage entre les navires français de Suffren et anglais de Hugues. Le Héros, navire amiral de Suffren, est endommagé : Perier de Salvert est chargé de lui amener une remorque, mais le temps est très mauvais et la visibilité réduite. La Fine est vigoureusement abordée par la frégate anglaise L'Isis forte de 50 canons. L'ancre de bossoir de la Fine s'emmêle avec le gréement de l'Isis[16].

Bataille de Négapatam (1782) modifier
 
La Bataille de Négapatam, par Dominique Serres (1786).

Le 9 mai, il est envoyé en reconnaissance vers le sud, dans la direction de Négapatam. Le 16 il annonce à son amiral le ralliement des navires de charge à l’escadre. Le 5 juin, il signale l’approche de deux navires anglais. La chasse est lancée avec le Sphinx et l'Artésien, mais les Anglais parviennent à fuir, profitant du peu d’enthousiasme au combat d’Hippolyte Bernard Bidé de Maurville, le commandant de l'Artésien. Le 15 juin la Fine s'empare du Yarmouth et de la Fortitude de 22 canons. À la bataille de Négapatam, le Flamand subit de très graves avaries et perd 80 hommes, mais les deux vaisseaux britanniques qui l’avaient attaqué ne purent l’achever. Dans la soirée les Anglais abandonnaient[16]. Sur rade de Négapatam le 14 juillet 1782, Perier de Salvert est muté comme commandant du Flamand de 54 canons, en remplacement de Louis-Hyacinte de Cavelier de Cuverville (en), promu sur le Vengeur[26],[27].

Bataille de Trinquemalay (1782) modifier
 
La bataille de Trinquemalay, le 3 septembre 1782, vue par le peintre Dominique Serres (1719-1793).

Il prend part, en tant que commandant du Flamand, à la bataille de Trinquemalay le 3 septembre 1782 au large de Trinquemalay[28].

 
Le vaisseau le Flamand, par Frédéric Roux (1827).

Bataille de Gondelour et décès (1783) modifier

 
La Bataille de Gondelour, le 20 juin 1783.

Lors de la bataille de Gondelour au large de Cuddalore[26], le 20 juin 1783, le Flamand commandé par Perier de Salvert[20]cherche à s'insérer dans la ligne française. Son objectif est de faire un abri à son chef de file (le navire qui se trouve devant dans la ligne de bataille), le vaisseau le Fendant, à bord duquel le feu s'est déclaré[29]. Dans ce but, le navire vient faire une arabesque et un jeu de hanche sous le nez de l'escadre anglaise. Mais le Flamand est accueilli par une « tornade de feu »[30], et son capitaine, Perier de Salvert, est tué par la première bordée tirée par les Britanniques[31], touché de plein fouet par un boulet[30] : « Pendant cette manœuvre hardie qui sauva peut-être la flotte française, le capitaine fut emporté d'un boulet de canon, et paya de sa vie sa généreuse conduite »[32]. Il est ainsi l'une des premières victimes de cette action. Son commandant en second, Jacques Trublet de Villejégu, prend alors le commandement du navire[33].

Éléonor Jacques Marie Stanislas de Perier de Salvert était âgé de 34 ans[31].

Le cessez-le-feu de la guerre d'indépendance des États-Unis était pourtant conclu depuis le 11 avril 1783[34] mais la nouvelle était parvenue avec retard aux Indes[32].

Au-delà de la perte de son capitaine, le Flamand est le navire français le plus touché au cours de la bataille de Gondelour : une centaine d'hommes sont tués à son bord[33].

Franc-maçonnerie modifier

Admis à la loge de l'Heureuse Rencontre à Brest[35], il est initié à la franc-maçonnerie le 13 août 1774 et élevé au grade de compagnon le 22 août, puis à celui de maître le 9 septembre 1774[36].

En février 1777, de passage à La Réunion, il réactive les travaux des loges « Saint-Jean » et « La Concorde », il crée également « La Parfaite harmonie »[37],[38]. Le 18 décembre 1778, porteur du grade maçonnique de Souverain Prince Rose-Croix et mandaté par le Grand orient[35] pour régulariser les différentes loges en place aux îles de France et de Bourbon[39], Perier de Salvert crée avec deux autres officiers de la Marine, la loge « La Triple Espérance » à Port-Louis, qu'il préside[37]. Le 30 décembre de la même année, il en laisse la direction à Louis Joseph Chrysostome Ricard de Bignicourt[16]. En 2018, cette loge est encore en activité[40].

Distinctions modifier

Postérité modifier

Fondé en 1958, un temple maçonnique appartenant à la loge « L'Amitié » du Grand Orient de France porte son nom[43], à Saint-Denis, il est rénové en 2012[44].

 
Plaque du temple Éléonor Jacques Perier de Salvert, à Saint-Denis.

Notes et références modifier

  1. Philippe Henrat, Notice biographique Eléonor Perier de Salvert, Comité des travaux historiques et scientifiques
  2. Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France, Supplément tome VII, p. 413
  3. a b et c Philippe Haudrère, Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, (lire en ligne), Page 96
  4. Claude-Youenn Roussel, Esclaves, café et belle-mère, de Brest à Saint-Domingue, SPM, , 325 p. (ISBN 9782917232279, lire en ligne), p. 18-22
  5. Ludovic de Contenson, La Société des Cincinnati de France et la guerre d'Amérique (1778-1783), Éditions Auguste Picard, (lire en ligne), p. 258
  6. En effet dans sa Nouvelle relation de l'Afrique occidentale (1728, cf. bibliographie de la page Antoine Alexis de Perier de Salvert), Jean-Baptiste Labat rapporte que lors du deuxième siège du fort d'Arguin en 1724, il signe ainsi la sommation aux Hollandais : Perier de Salvert.
  7. Raymond de Bertrand dit quant à lui que Antoine Alexis de Perier de Salvert, père de Éléonor Jacques Marie Stanislas de Perier de Salvert, aurait ajouté le nom Salvert à son patronyme vers 1729, lors de son premier mariage. Référence : Raymond de Bertrand, Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts : Notice historique sur Antoine-Alexis Perier de Salvert, chef d'escadre, natif de Dunkerque, t. 8, Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862, (lire en ligne), p.  229-263.
  8. Académie impériale des sciences de St.-Pétersbourg, Bulletin de l'Académie impériale des sciences de St.-Pétersbourg, (lire en ligne), p. 94
  9. Louis Pierre d' Hozier, Armorial général de la France,volume 15 (lire en ligne), p. 73
  10. Archives parlementaires de 1787 á 1860 recueil complet des débats législatifs & politiques des chambres françaises imprimé par ordre du Sénat et de la Chambre des députés sous la direction de J. Mavidal... et de E. Laurent. Première série (1787 à 1799)., (lire en ligne), p. 90
  11. André Jean Ducom, Constant Pionnier, Émile Colombey, Gaston Barbier, Georges Lefebvre, Jérôme Mavidal, Louis Claveau, Louis Lodoïs Lataste, Marc Bouloiseau, Marcel R. Reinhard, Archives parlementaires de 1787 à 1860 recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises, Librairie administrative de P. Dupont, (lire en ligne), p. 743
  12. France. États Généraux, 1789, France. Assemblée nationale constituante (1789-1791), France. Chambre des députés, France. Chambre des pairs, France. Corps Législatifs, 1852-1870, France. Sénat, Archives parlementaires de 1787 à 1860: recueil complet des débats législatifs et politiques des chambres françaises, France, Assemblée nationale constituante (1789-1791), (lire en ligne), Page 743 : "PERIER DE SALVERT (Demoiselle de Morogues, veuve du sieur), 35. M. 1° 1782, 500 ; 2° 1784, 1200. La première, sans retenue, en considération des services de son père, lieutenant-général des armées navales. La seconde, aussi sans retenue, en considération des services de son mari, tué dans le combat du 20 janvier 1783."
  13. Jean Mascart, La vie et les travaux du chevalier Jean-Charles de Borda, 1733-1799: épisodes de la vie scientifique au XVIIIe siècle, A. Rey, imprimeur-éditeur, , 821 p., Page 455 : "Périer de Salvert : gendre de Bigot de Morogues ; garde 5 avril 1762 ; lieutenant de vaisseau, le 14 février 1778 . Avec la Fine, prend part aux combats des 17 février, 12 avril, 6 juillet 1782."
  14. Louis Marie Chauffier, René Pocard du Cosquer de Kerviler, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne Volume 3, (lire en ligne), p. 226
  15. a b et c Louis Pierre d' Hozier, Armorial général de la France, Firmin Didot frères et fils, (lire en ligne), Page 680 et 681
  16. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Jean-Marc Van Hille, Éléonor Jacques Périer de Salvert (1748-1783), lieutenant de vaisseau, fondateur de la loge La Triple Espérance à l’Orient de Port-Louis dans l’Île de France
  17. a et b Claude-Youenn Roussel, Claude Forrer, Tromelin et Suffren, un conflit entre marins, Kronos, (lire en ligne)
  18. Étienne Bézout, Cours de mathématiques à l’usage des gardes du Pavillon et de la Marine., Paris, Imprimerie de Baudelot et Eberhart. (lire en ligne)
  19. Alexandre Mazas, Théodore Anne, Histoire de L'ordre royal et militaire de Saint-Louis ... jusqu'en 1830, terminée per T. Anne, (lire en ligne), p. 325
  20. a et b Émile Salomon, « Une famille de marins sous l'ancien régime ; les Perier de Salvert », Nouvelle revue héraldique, historique et archéologique,‎ , p. 137 à 140 (lire en ligne)
  21. Jean-Michel Roche, Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours 1671-1870, (ISBN 978-2-9525917-0-6), Page 87
  22. Louis Rivaltz Quenette, La franc-maçonnerie à l’île Maurice, La Vauverdoise,
  23. Henri Moris, Journal de bord du bailli de Suffren dans l'Inde (lire en ligne), p. 61, 65, 71, 138, 147, 150, 172, 276
  24. Guy-M. Oury, « Une famille canadienne dans la tourmente révolutionnaire Le Chevalier de la Corne », Les Cahiers des dix,‎ , p. 67-94 (lire en ligne)
  25. Charles de La Roncière, Georges Clerc-Rampal, Histoire de la marine française, (lire en ligne), p. 175, 403, 404
  26. a et b Lacour-Gayet, Georges, La marine militaire de la France sous le règne de Louis XV, Paris, Honoré Champion, (lire en ligne), Page 546
  27. Charles Cunat, Histoire du Bailli de Suffren, Rennes, A. Marteville et Lefas, (lire en ligne), Page 447
  28. https://www.academiedemarine.com/documents/biographies/P%C3%89RIER%20de%20SALVERT.pdf
  29. En effet dans la stratégie de ligne de bataille, tout vaisseau au sein de la file est protégé par celui qui le précède et celui qui le suit.
  30. a et b Alfred Doneaud Du Plan, Histoire de l'Académie de marine, Paris, 1878-1882 (lire en ligne), p. 100
  31. a et b Charles Cunat, Histoire du Bailli de Suffren, Rennes, A. Marteville et Lefas (lire en ligne), Pages 323, 333, 415, 417
  32. a et b Mémoires de la Société Royale des Sciences, Belles lettres et arts, Tome cinquième., Orléans, Imprimerie de Danicourt et Pagnerre, (lire en ligne), p. 117
  33. a et b Jean-Claude Castex, Dictionnaire des Batailles franco-anglaises, Les Éditions du Phare-Ouest, , 423 p. (ISBN 9782921668194, lire en ligne), p. 189, 190, 340
  34. (en) Avalon Project, « British-American Diplomacy Proclamation Declaring the Cesssation of Arms; April 11, 1783 »
  35. a et b Simon Deschamps, Sociabilité maçonnique et pouvoir colonial dans l'Inde britannique (1730-1921), Presses universitaires de Bordeaux, , 420 p. (ISBN 9791030004786, présentation en ligne)
  36. France. Commission d'histoire économique et sociale de la Révolution française, Mémoires et documents Volumes 20-21, Bibliothèque nationale, (lire en ligne), p. 409
  37. a et b Martine Acerra, Guy Martinière, Guy Saupin,, Les villes et le monde: Du Moyen Âge au XXe siècle (lire en ligne), p. 88
  38. « LES DEBUTS DE LA FRANC-MACONNERIE A LA REUNION », sur LE GRAND ORIENT DE FRANCE A LA RÉUNION
  39. Hervé Perret, « De l'amour impossible d'un franc-maçon pour une esclave à l'Ile Bourbon ou le procès d'un transgresseur », Dix-Huitième Siècle, no 36,‎ (lire en ligne)
  40. « La Loge La Triple Espérance rappelle sa contribution au développement du pays », sur Radio One,
  41. Anonyme, Nouveau Supplement a la France Litteraire, Paris, Veuve Duchesne, (lire en ligne), p. 58
  42. Institut français de la mer, La Revue maritime Volume 73, (lire en ligne), p. 66
  43. Louis Rivaltz Quenette, La franc-maconnerie à l' l̂le Maurice, 1879-1939, , 185 p. (lire en ligne), p. 1, 7, 147
  44. « Temple rénové », sur 7Magre, (consulté le ).

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Principaux ouvrages modifier

Articles modifier

  • Hervé Perret, De l'amour impossible d'un franc-maçon pour une esclave à l'Ile Bourbon ou le procès d'un transgresseur, Dix-Huitième Siècle, no 36, 2004, p. 1 et autres.
  • Jean-Yves Guengant, Histoire abrégée de l’affiliation des loges des 5 ports militaires de la France, Humanisme, 2010/3 (no 289), p. 82 à 86
  • Cure de jouvence pour le temple Perrier de Salvert, Clicanoo, 15 février 2012.
  • Alain Junot, À Bourbon, très tôt, les loges ont diffusé des idées nouvelles, Clicanoo, 16 mai 2016.
  • Inquiétude au Grand Orient de France, L'Eco austral, no 342, 1er août 2019.

Articles connexes modifier

Fonds d'archives modifier

Liens externes modifier