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L'impossibilité physique de la mort dans l'esprit d'un vivant modifier
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L'Impossibilité physique de la mort dans l'esprit d'un vivant, en anglais originel The Physical Impossibility of Death in the Mind of Someone Living, est une œuvre d'art du plasticien britannique Damien Hirst réalisée en 1991. Elle est constituée d'une vitrine contenant un requin tigre dans du méthanal. L'Impossibilité physique de la mort dans l'esprit d'un vivant
Le concept de l'œuvre modifier
Le concept de cette ouvre est plutôt très original. Celle de pêcher un requin qui nage dans l'océan de le tuer pour en faire une œuvre d'art dans une grande exposition londonienne.
Sa conception modifier
Sa dégradation, décomposition et remplacement modifier
La controverse dont elle fait l'objet modifier
SITE:
The Physical Impossibility of Death in the Mind of Someone Living. Traduire : L’impossibilité physique de la mort dans l’esprit de quelqu’un de vivant.
Damien Hirst, icône de l’art britannique à travers le monde
1991 : Damien Hirst est alors le membre le plus influent du groupe des Young British Artists, collectif d’artistes contemporains britanniques pour la plupart issus du Goldsmith College de Londres, fondé dans les années 80. Hirst, qui sort largement du lot, présente à ce moment-là au public l’une de ses oeuvres aujourd’hui incontournable : un requin-tigre conservé dans une cuve transparente de formol, une commande du collectionneur et galeriste Charles Saatchi. Ce dernier avait réclamé une oeuvre à Hirst sans plus de précisions, lui donnant ainsi carte blanche.Hirst travaillait à cette période sur un nouveau projet, animé par l’intention de rendre l’art “plus réel qu’une peinture”. Pour ses créations, il ne travaillait qu’exclusivement sur des cadavres d’animaux. Leur putréfaction, inévitable, était ralentie par l’utilisation du formol dans lequel l’artiste les plongeait. Ainsi, le requin-tigre, pour des raisons de conservation, est remplacé par un nouveau spécimen en 2006, entraînant immédiatement un débat sur la notion d’original en art.Pour répondre à la commande de Saatchi, celui que l’on surnomme “l’enfant terrible de l’art” s’offre un requin “assez grand pour avaler un homme” pour la modique somme de 6000 livres. Il commercialisera cependant son oeuvre finale pour 50 000 livres. A ce sujet, les tabloïds de l’époque titrent, non sans humour : “50 000 pounds for a fish without chips !”.
En 2007, à l’occasion de l’exposition du nouveau requin, le Times explique : «Monsieur Hirst essaie souvent de perturber l’esprit (et échoue plus qu’il ne voudrait l’admettre ), et réussit en offrant à nos yeux des expériences viscérales, desquelles ce requin reste surement la plus exceptionnelle. Si l’on s’en réfère au titre, le requin est tout à la fois la vie et la mort, incarnée d’une façon incompréhensible, jusqu’à ce que la vérité éclate, suspendue, silencieuse, dans sa vitrine. »
Une description froide, mais juste, du travail de Hirst, qui, s’il manque souvent sa cible en tombant dans la surenchère, n’en réussit pas moins à ébranler l’art contemporain, finalement bien moins subversif qu’il n’y paraît