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CORE-TEX Labs.
DeadMan (aka Zip le Robot) & Noisebuilder @ Halloween '98 Heretik Soundsystem
Informations générales
Genre musical Tribe, Techno Hardcore, Expérimental, Speedcore, Breakcore
Années actives Depuis 1996
Labels Network 23/ OG Records/ Death Records
Site officiel [1]
Logo de CORE-TEX Labs..

Description

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Le groupe Techno CORE-TEX Labs. (abreviation CRTX) est l'un des dinosaures du mouvement des Free Parties (Raves) en Europe. L'un des premiers groupes/labels, "live act" Techno Hardcore (également décrit sous les qualificatifs Tribe, Speedcore, Expérimental et Breakcore) auto produit, d'origine française lié a l’émergence de ce mouvement de musique électronique alternative, radicalement anti-clubs. Leur technique de jeu en direct était basé sur un système largement orienté vers l'improvisation. Ils sont bien connus pour leurs performances épiques au début des Teknivals avec entre autre, Spiral Tribe et les raves illégales en région parisienne avec Heretik Soundsystem vers la fin des années 90. Ils évoluaient dans des zones obscures de la connaissance, façonnaient leur propre réalité grâce a des détournements quasi systématiques des instruments et outils disponibles a leur portée. CORE-TEX Labs., plus connu du public sous le nom de "les Core-tex" fait partie intégrante de la connaissance commune et du folklore oral des anciens de la scène des Free Parties en Europe. Le groupe a cessé son activité scénique depuis 2002 mais existe toujours en temps que label et collectif de producteurs indépendants internationaux par notamment le biais de la plateforme internet, toujours grandissante: core-tex.org.

Histoire

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1995, les instruments électroniques (sampleurs, boites a rythmes, séquenceurs, synthétiseurs etc) commençaient à devenir abordable, les classes moyennes y avaient finalement accès, favorisant des l'ors la pénétration des artistes alternatifs dans ce style musical alors que n’était préalablement réservé aux classes privilégiées . Zip Le Robot, a cette heure, ex hard-rockeur et punk banlieusard mis sur pied son premier set live, après avoir bazardé sa Gibson et son ampli a lampes, avec Morgan Navarro sous le nom de "Les Robots" qui se limitait a l’époque a une boite a rythme Roland R8 et un multi-effet Yamaha REX-50. Leurs rythmes saccadés et sons mélodiques, durs et enchantés aux consonances industrielles les amenèrent a croiser sur diverses scènes rave en race campagne, DJs et Lives locaux notamment TMX, Oxia ou Daft Punk. Apres dissolution des Robots suite a une dispute déclenchée autour de l'appropriation d'une donzelle (aujourd’hui la femme de Morgan Navarro) , Zip rencontre en 1996, Kevin de Spiral Tribe (New Skin) en exil a Grenoble, a cette heure, dealer de drogue international notoire qui l’amènera a rencontrer Mark Harrison (Invisible SP), créateur même du groupe Spiral Tribe . Quelques premières collaborations avec des DJs locaux sur des productions avortées avec comme exemple le non moins notable Michel Amato alias The Hacker. Naissance du logo original CRTX, bidouillé de part a un processus innovant, séries de flous, sélections semi aléatoires et extrusions créant des volumes et contrastes artificiels. Parution d'un article dans le fanzine Demag, (rédigé par Mark des "Spi") unique organe de presse dédié au mouvement Tekno Underground, distribué via Nerwork23 lança les premières rumeurs décrivant l'arrivée du phénomène.

En 1996, un premier morceau "Raw01", mixage de sons triturés a partir d'images digitales converties en sons de par cette même technique (fichier .raw). A cette époque la rareté des banques de samples, aujourd’hui largement disponibles sur internet, obligeaient a faire preuve d'une certaine imagination. Le morceau fut donc publié sur le prestigieux label Stormcore (Netwok 23). Une association notoire avec le Mr X (TMX) revenant alors de la guerre en Serbie, fut la suite logique dans la mise a feu du premier live Hardcore sous le nom de CORE-TEX Labs. grâce a l'approche mathématique radicale de Mr X..(sortant de Math Spé) de son K2000 Kurtzweil et des samples effectués sur base de l'enregistrement de messages militaires codés ramenés de Serbie. Départ spontané sur le Teknival du nouvel an 1998 a Turin, execution d'une oeuvre de plus de 3 heures sur la sono gigantesque de 200.000W des groupes Sound Conspiracy, Lego, Mutoid Waste et OQP. enregistrent de leur première mixtape (K7) officielle sous le nom de Live Conspiracy . Avec l'entrée en jeu de Mister X le CORE-TEX Labs. avait une porté intéressante pour ainsi s'attaquer a des tournées autofinancées en l'Europe et suivre les tribus, soundsystems et Teknivals grâce a leur technique de mix en direct dite "a l'arrache".

Depuis leur studio dans le sous sol du squat d'artiste le Brise Glace a Grenoble ils composèrent les morceaux a publier sur la première sortie de leur propre label (Vengeance, Clockworks Crawlers Attack). Rencontre avec (Richard) Antez, musicien, résident permanent au Brise Glace, bruitiste bien connu sur la scène locale (Le 102 rue d'Alembert) depuis les années 80, possédant un bon nombre de percussions hybrides électroniques et de synthés analogiques notamment le Korg M550 (raccordé a des déclencheurs sur fûts de batterie) dont ils inclurent le morceau Primitif Soon composé en 1982, apparaissant comme l'un des plus anciennes tentatives se rapprochant au style Tekno punk alternatif. La sortie du 1er maxi CORE-TEX Labs. se fut peu remarquer mais eu lieu a cette époque, fruit d'une gravure effectuée a Londres (Wembley) par un ingénieur recommandé de Christophe Fringelli (Praxis)

De 1997/98, le live était lancé sur les routes, Italie, Hollande, retour en France et départ sur Paris pour y baser le nouveau studio. Apres une brève résidence au squat de la Moscova porte de Clignancourt ils s’installèrent dans une cave insonorisée dans un souterrain prés de Metro Belleville. qui devint alors la nouvelle base et leur dernier studio connu en date. Ils jouèrent dans les raves illégales parisiennes (Architek, UFO etc) et rejoignirent le groupe Heretik Soudnsystem qui les amena a jouer live pour leurs projets de soirées raves bien souvent dans des sous terrains et usines désaffectes, pourchassés par la police culminant a des concentrations de plus de 15.000 fans (y compris cette performance légendaire à la piscine Molitor Parti Pirate à Paris 2001). Création de la 1ere version html du site internet avec les modems dérobés a cybercable, distribution gratuite des morceaux de musique en mp3, anti copyright inspiré par les sites c8.com, widerstand.org et speedbass.org. Collaborations et sous labels realisé sur divers styles tels que, Mange de la Basse, Résistance Records , TMX et beaucoup d'autres, comptant projets externes ainsi que de nombreuses mixtapes. Départ de Mister X, remplacé par Noisebuilder sur la plupart des dates et enregistrement du live Torturium (voir anecdotes ci dessous). Rencontre avec Erik Electric, ex Gelstat et nouvelle formation CORE-TEX Labs., alors une nouvelle fois restructuré, grâce a ce dernier, apport des banques de samples de Frankensound, son vieil ami Punk ensuite largement distribuées sur le net et utilisé par de nombreux musiciens de cette époque, genèse du projet Signal Electrique dans le Studio de Belleville. Tournées CORE-TEX Labs. alternant DeadMan (ex Zip le Robot) et Noisebuilder, ou/et Erik Elektrik.

1999, soutien exprimé par Lenny Dee de Industrial Strenght (IST) conduisant à un tour côte Est des Etats-Unis avec Capsule Corporation, conduit par SPAZ de San Francisco et Black Cat de New York en Juin 1999. 2000 et au delà, tournées non stop en France, Grande Bretagne, République Chèque, Hollande Allemagne, Espagne. Evénement tragique, cambriolage du studio de Belleville ne leur laissant que la paire de moniteurs et 2 vieux PC compromettant les formations live lourdes et obligeant le CORE-TEX a utiliser les techniques digitales combinées avec du matériel analogique léger. Résistance de plusieurs mois au squat de la rue de Charonne vers les Champs Elisés dans les anciens studios Tréma. Le CORE-TEX, depuis le studio souterrain sous Paris devenait une zone créative appréciée par un bon nombre d'artistes techno ou drum'n bass. collaboration avec Matt des Fraktal, Willy Man, Gelstat , Popof. et aussi Explore Toi. Rencontre avec DJ Zeitgeist (DJ Hardcore Australien) alors en tournée en Eurpe, et réalisation de la K7 mixée "L'invité Fantôme". Rencontre avec Yann Dub et gravure des vinyles dorénavant confiés a son studio Reverse et son exceptionnelle technique incluant la gravure forcé par azote liquide. 2001, départ de Zipster (DeadMan) pour Sydney ou il joue notamment a Graffiti Hall of Fame un duo avec Mute Freak sur System Corrupt (SY:CO), sound système animé par Dj Toecutter et Dj Manson. Extension de la tournée jusqu’à Mutonia, parc de sculptures géantes au milieu du désert australien.

2002 cession de l’interaction avec les précédent membres opérateurs, DeadMan poursuis les dates avec d'autres musiciens, Paf le Chien, Speck ou Nico RiPiT et joue sur des dates plus officielles au Zenith de Bordeaux, Pau etc... Nous entrons dans l’époque post free et DeadMan (ZIpster) commence a planifier une retraite anticipée due a l’évolution du mouvement alternatif vers un système plus commercial et concurrentiel. Le public n'est plus le même.

2003 départ définitif du dernier membre du CORE-TEX vers l'Australie pour retraite permanente. Retour de Lord Von Zipstor (ex DeadMan) extrêmement rare, ou il rejoue des mixages des sons libres en partage sur le site internet, toujours très fréquenté.

Releases puis élargis pour devenir coproductions afin d'aider les jeunes comme passagers de merde, [http: //www.discogs. com / artiste / 10115-Knifehandchop Knifehandchop], John Dark, Maladroit , Paf le Chien etc .. Certains des premiers EP, en particulier destruction 3.0, vend maintenant jusqu'à 300 $ la pièce sur le marché des amateurs .

Le siège CORE-TEX (http://core-tex.org) a été une présence très bien connu sur les internets depuis 1997 et a été contaminer la planète avec leurs sons tordus, des vidéos et des concepts politiques ainsi que la distribution à travers le Audiowarez FTP Undergronde projet avec un groupe de pirates dans les tout premiers jours de réseaux informatiques. Il est toujours actif de nos jours, même si Seigneur Von Zipstor (aka Zip le robot, DeadMan ..) a évolué vers de nouvelles aventures dans un pays lointain. Depuis la libération de vinyle a cessé, et l'utilisation de MP3 par des DJs a augmenté, siège FONDAMENTALES-Tex se présente comme l'un des plus connus sources ce est genre. Il tient toujours comme un moteur indépendant et ne achète pas dans la nouvelle vague de médias tels que SoundCloud etc, aucun moyen en enfer.

Chaque maintenant et puis, Seigneur (Lord) Von Zipstor revient en Europe pour une tournée, live et mélangeant les pistes les plus folles sur le site Web maintenant recruter une armée complète des artistes de partout dans le monde . France, Allemagne, République Tchèque, Russie, Australie, Etats-Unis et la communauté ne cesse de croître

[Paragraphe a venir: Propagande anti CRTX]

Technique Live

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L'une des grandes nouveautés qu'ont apportée les Free Parties a la scène Rave, était le live act effectué en face de la sono, au milieu du public. En effet, grâce au fait de l’absence de transducteur microphoniques, (exemple micro ou cellule de platine Dj), les risques de larsen sont totalement élimines. L’embarras de jouer deriere la sono est donc ecarté, offrant alors une comunion directe avec le plublic, offrant une perspective analytique plus objective et un meilleur guidage créatif.

De l'artillerie lourde...

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La technique de mixage sonore de CORE-TEX Labs. s'apparentait a une ancienne technique utilisé dans la musique "dub" rebaptisée "A l'arrache". Aucune structure fixe n'était volontairement mise en place, (au contraire des autres lives de l’époque des clubs qui laissent défiler une longe séquence pré écrite) afin de laisser cours a l'improvisation, ouvrant la porte a une multitude de possibilités modulables a loisir, en fonction des paramètres extérieurs comme par exemple le type de public, ou temps impartis, permettant une vaste flexibilité et créativité. Une performance live pouvait varier d'une extrémité l'autre en terme de style ou de durée si bien que le temps de jeu pouvait atteindre parfois de durées marathoniennes de plus 12 heures. La séquence d'événements déroulée par le séquenceur était réduite a un empilement boucles de 8, 16 ou 32 mesures. Ces boucles "type", reproduites sur canaux midis séparés étaient alors interprétés par n'importe quelle générateur sonore disponible qui était, a la volée, assignée au canal par les opérateurs. Les sons reproduits alors par ces machines, cadencées par le séquenceur, étaient mixés au travers des pistes d'une console de type analogique. Les changements perçus comme la structure musicale par l'auditeur, étant alors des groupes de mutes repartis sur les canaux du mixage effectués manuellement, en cadence, de manière spontanée. Les sons circulant donc dans les circuits de la consule. étaient traités ou altérés en cours de route soit par les égaliseurs de tranche, soit envoyés vers les effets externes ou synthétiseurs, eux même contrôlés en direct depuis leur interface ou panneau de contrôle. Les effets et synthétiseurs n’étaient pas connectés en retour d'effet de manière régulière, mais sur des tranches complètes afin de pouvoir les re-injecter sur eux mêmes via auxiliaire et aussi produire des effet de larsen hypnotiques (technique dub). La plus grande partie des sons mixé par CORE-TEX Labs. sont assujetti a un taux de distorsion systématique des l'entrée mixage produite généralement par une exagération volontaire du niveau de gain. La distorsion était utilisée dans ce contexte comme un moyen d'enrichir les sonorités musicales permettant aux harmoniques impaires de prédominer sur les faiblesses de l’électronique et des transducteurs, favorisant un son plus jouissif en fin de chaîne de traitement (sortie haut parleur). Tout particulièrement, les pieds ou "kicks" étaient d'office réglés de manière nettement exagérée pour atteindre volontairement les segments rouges du PPM (Vu-mètre). La distorsion ainsi obtenue, saturant les circuits de traitement de électronique, donnait ce que Mister X appelait la "compression naturelle" d'une table de mixage. Ce moyen radical de traitement sonore est bien entendu fatal, a certaine échéance, pour un système audio électrique d'amplification. Il est arrivé a mainte reprises d'observer de la fumée sortir des haut parleurs ou bien des amplificateurs s'allumer de flammes. Des systèmes d'échantillonnage en direct étaient parfois mis en place afin de reproduire et remixer des combinaisons de boucles ou bien des sons prélevés dans la salle au hasard.

...au système le plus mobile du Teknival

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La mise en place de cette configuration pouvait durer plus de 1 heure sans compter le démontage. Zip le Robot, avait alors, des 1998 elaboré une alternative qui lu permettait de sauter rapidement d'une performance a l'autre sans montage fastidieux. Dans les festivals (Teknivals) les occasions de jouer un set affluaient généreusement pour un musicien live. Un PC portable (seul) était alors employé. grâce a Hammerhead ou le premier Fruity Loops. Ces programmes n'étaient bien évidement pas conçus pour jouer en direct devant un public. Zip se fessait alors monter du doigt comme une bete curieuse. Les Djs et autres musiciens étaient stupéfait par ce curieux liveur improvisant seulement a partir d'un PC portable. Apres 1999, le cambriolage du studio de Belleville obligea alors la formation CORE-TEX a se recentrer autour de ce système. Les lives CORE-TEX d’après 2000 étaient généralement des boucles rythmiques débitées par ordinateur et les effets spéciaux et mélodies reproduites a la volée sur un sythé, généralement le Kawai 100F ou Micro Modular (CRTX en Vacances, The Tape Witch is Black...) Principe similaire de boucles rythmiques empilées sur le logiciel, a la différence que le séquenceur est arrêté a la volée en cours de reproduction, créant une pose de généralement une mesure pour délivrer des changements plus radicaux. Durant la courte pause, le release des boucles continue, permettant de muter et dé-muter rapidement des pistes de manière dissimulée et créer un effet de surprise. C'est la technique "Start/Stop" élaborée par DeadMan. Ce dernier proposa sa collaboration aux développeurs du logiciel Fruity Loops courant 2000 dans l'espoir d'obtenir une copie du beta test de la version 3.5 qui offrait la possibilité de router sur différentes sorties audio, permettant alors l’alléchante possibilité de remixage externe en live. Bien qu'argumentant l'originalité de son expérience pionnière de l'utilisation de leur logiciel, la proposition fut furieusement rejetée par Didier Dambrin le créateur du logiciel.. Une semaine plus tard, DeadMan jouissais pleinement de Fruity Loops 3.5 beta, grâce a une intrusion réussie dans les archives du serveur dédié au développement de l'entreprise Imageline grâce a une faiblesse du système de sécurité. L’opération de piratage fut alors orchestrée par la sous division de piratage informatique UNDERGRONDE (voir paragraphe ci dessous). "Fruity Loops a bien évolué depuis avoir été un petit soft bien pratique.... il est aujourd’hui devenu une grosse merde encombrante, bel effort du service développement." -DeadMan.

Internet, Copyleft et Audio Warez

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L’intérêt vivace des membres du CORE-TEX pour la cybernétique des réseaux internet était ressentie des les prémisses de la formation, en 1995. Le premier site OG Records incluant CORE-TEX en HTML bricolé vit le jour en 1997, alors hébergé par le site portail freetekno.org. Le site internet faisait office de point d'information, mais avant tout d'archive musicale ou tous les enregistrements, productions et inédits étaient mis a disposition des internautes, a ce stade encore beaucoup moins nombreux que les DJs en magasin de disques. A aucun moment, la compétition éventuelle entre le site internet et les bacs n'a été considéré. Alors que la plupart des autres artistes du milieu underground redoutaient avec stress une baisse de leurs ventes en magasin de leurs produits a cause de la prolifération du mp3, CORE-TEX favorisait au contraire cette pratique en ripant eux mêmes leurs productions et les livrant aux pirates accompagnés leur compliments. De cette manière, le contrôle de la qualité était totale, donc, y compris pour les mp3 distribués sur les réseaux pirates. Le dénominatif Copyleft trône sur chaque page du site web ainsi que sur toutes les productions phonographiques, encourageant alors a la copie de leur œuvres par qui veuille bien s'en donner la peine. Le site contiens également les illustrations pour pochettes au format CD pour une reproduction encore plus fidèle. Cette stratégie visait a répandre leur matériaux sonores et visuels de la manière la plus vaste possible, n'excluant ni les classes les plus défavorisées, ni les plus jeunes ni les pays lointains dépourvus de réseau de distribution.

Fin 98, l’internet a grande vitesse ferait son entrée au studio de Belleville grâce a une série de modems Cybercable acquis au marché noir et connectés par le boitier de raccordement de l'immeuble de manière discrète. Grace a l'aide de "Scalp" (NowFuture), vieil ami de Zip, Elive (Mas-I-Mas Soundsystem) en charge de l'intendance et classification des répertoires de l'archive Zone Alpha et PsiloCybe depuis son terminal a Rotterdam, le groupe "UNDERGRONDE" était désormais paré a distribuer gratuitement les précieux programmes de MAO désespérément recherchés par la majorité des jeunes producteurs du courant techno alternatif visant alors a les aider a parfaire leur style, indépendamment de leur situation financière. L’équipe UNDEGRONDE scannait le réseau internet 24/24 grâce a un programme expérimental, destiné a trouver des serveurs configurés sous Microsoft (MS Server), bien connu pour ses failles de sécurité. Les serveurs alors pris d’assaut, pénétrés et ensuite contrôlés a distance grâce a Serv-U, servaient de miroirs éphémères pour l'archive Zone Alpha, constamment mise a jour grâce au stream Zero Day Audio Warez recueillis sur les canaux IRC. Les adresses IP des miroirs étaient ensuite relayés aux communautés d'artistes indépendants grâce aux forums, mailing lists et cartes de visites glissées discrètement aux liveurs rencontrés dans les Teknivals et Teufs. La communication UNDERGRONDE s'effectuait au travers d'envois des documents en .nfo contenant de l'art graphique en ACII. L'archive Zone Alpha regroupait une total de plus de 5000 programmes craqués, plugins et banques de samples tous classé et référencés sous une arborescence logique et intuitive de maniere a aider les "Lamas" (utilisateurs novices) a trouver les outils appropriés a leur projet. Les "Lamas" pompaient jours et nuits sur les FTP de l'UNDERGRONDE. Cette opération rencontra une popularité notoire au sein de la communauté et fut maintes fois saluée pour son efficacité par un bon nombre d'utilisateurs. Cette méthode de partage de fichier est aujourd’hui obsolète auprès du public depuis l’arrivé de la technologie P2P. Pendant la durée de cette opération, le label CORE-TEX Labs. profita de l'occasion pour communiquer au travers de la propagande UNDERGRONDE son souci de trouver des nouveaux artistes a produire et mit a disposition un dossier d'upload appelé le "dumpstor" sur le FTP pour les utilisateurs de la ressource (concept/service/rétribution), les lamas procédant aux uploads recevaient le statut de "eco-lama". Le maxi vinyle CRTX05 "FTP Uber Alles" avec la participation de Knifehandshop, ex lama de l'UNDERGRONDE illustre tout a fait cette période.

Performances Épiques

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Nouvel an 1997/98 Milan (Italie). Fin Décembre 1997, zip et Mister X mettent le cap sur la rave gratuite organisée par Sound Conspiracy, (Ex Spiral Tribe), incluant OQP de Mareille, les LEGO de Berlin venus avec le groupe d'artistes ambulants Mutiod Waste Company. Bien que peu connus a l’époque, ils réussirent tout de même a négocier un set sur le gros mur de son central de plus de 200.000 watts pour le deuxième soir. L'entrée en scene en direction de la tour de live, en plein milieu de l'immense hangar, s'effectua a pied en traversant le public. La grosse console, enfermée dans son coffre artisanal de bois peinte en noir posée sur haut d'un flight case comme un chariot par les 2 hommes, revêtus de leurs capuches noires. La scène apparut au public comme une procession macabre, 2 hommes masqués dans la pénombre, poussant un cercueil. La performance dura plus de 4 heures dans la nuit du premier au deux Janvier. C’était l'un des premiers lives hardcore a percer dans les grandes raves tribales, l'athmosphere était électrique. L’installation du matériel du CORE-TEX dans la cabine de façade, combiné a celui de 69db et Crystal Distortion pouvait faire penser a une scène dans le vaisseau spatial de Star Trek. La pochette de la K7 "Live Conspiracy" (extrait du live) est une photo prise par dessus la console, de la bananière Sound Conspiracy suspendue en haut de la sono vue de la tour.

Techno parade 2001. Apparition de DeadMan, Erik Elektik et Noisebuilder sur le camion Heretik affublé de la sonorisation la plus imposante du défilé, les gigantesques hauts parleurs 72 pouces aussi gros que des réacteurs de jumbo jet. Les membres du groupe Heretik etaient sous une dose de psychotropes telle qu'il leur etait impossible de jouer leur set, ou même de tenir debout. Ils gisaient, jonchés sur le haut du mur de son ne pouvant bouger. Les membres du CORE-TEX, étant les seuls en forme certaine pour le spectacle. Le camion suivait la procession et fendait la foule de 100.000 personnes sous les cadences hardcore a plus de 200 BPM. A mi parcours, le camion s’arrête net. Des Heretiks sortent de la cabine du conducteur et expliquent que le conducteur (chauffeur professionel, employé par la parade) ne peux plus conduire car il est "confus", il n'arrive plus a se rappeler comment conduire sa machine. Les gens de l’organisation a bord du camions se regardent en secouant la tête. Le chauffeur est accompagné vers une ambulance. Les autres chars de la parade, dépassent le camion heretik, planté au milieu de la rue. Le public des heretiks est toujours la, amassé autour du char immobile, dansant sur les rythmes exrtemes hardcore de CORE-TEX Labs. DeadMan est aux commandes du sequenceur et le gros son hardcore dejanté du core-tex dégobille ses puissantes decibeles destructrices. La foule est en furie. La police encercle la scene... Le régisseur du char se dirige vers DeadMan et lui ordonne de d'aretter la musique. DeadMan le regarde d'un air navre et lui dis "Si j'arette le son, la foule vas me lyncher, de plus je suis un artiste, je ne fais que mon travail.." Le régisseur reste planté la et rétorque "Je comprends la situation, cependant nous sommes sur le point d'essuyer un assaut de la police anti émeute. En effet, la parade est partie loin devant, et nous sommes considéré a cette minute comme un trouble de l’ordre publique." DeadMan pointa son index en direction de la barre d'espace et lui dis: "Arette la machine, c'est ta responsabilite, pas la mienne, vas y..". Le son s'arette brutalement, la foule hule et jette des projectiles sur le regisseur. DeadMan s'en amuse. Le regisseur detale a l'abris des canettes. La foule est en rage, la sono reste inerte... Caché derrière un écran, le musicien débobine le tempo du séquenceur aretté a la vitesse minimale de 50 BPM. A ce moment, les amplis et les mixeurs sont toujours allumés a fond, uniquement le séquenceur est stoppé..... DeadMan a declache la machine et les kickdrums repartent, mais au ralenti. Les fans sautent en l'air en cadance. La cadance accelere. Le harcore atteins son maximum de 220BPM et la fête atteins son climax. La police panique et commence a attaquer la foule de ravers. L'un des Heretiks perds connaissance suite a une surdose de kétamine et est achemine au dessus de la foule a l'arierre du camion, les bras en croix en direction d'une ambulance. Peu après, le son est brutalement aretté par l'un des policiers et le camion est conduit escorté de la brigade en vitesse accéléré vers les pelouses de Rueillis ou le reste de la parade était rassemblé.

-Voodoos at teknival 98

(Reste a ecrire)

-Halloween Heretik 98

(Reste a ecrire)

-Furious avec sam (anecdotique)

(Reste a ecrire)

-Eclipse tekos

(Reste a ecrire)

-Machine Guns of Dawn (Earthdream 2001)

(Reste a ecrire)

Formations, Binômes réguliers:

Zip le robot et Mr X (original)

DeadMan et Noisebuilder

Deadman et Machin Dub aka Erik Electrique (Signal Electrique)

Formations Occasionelles:

Deadman et Paf le Chien

Deadman et Pimax

Deadman et Speck

Deadman et Nico Ripit

Deadman et Pongoid

Deadman et K5K

Deadman et Drillbit

Deadman et Mute Freak

Lord Von Zipstor et Yarrdesh

Controverse (reste a écrire)

== == Références {{}} reflist <! --- Après la liste de vos sources se il vous plaît citer les utiliser citations inline et les placer après les informations qu'ils citent. Se il vous plaît voir http://en.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:REFB pour des instructions sur la façon d'ajouter des citations. --->