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Sermilik
Panorama du fjord de Sermilik.
Panorama du fjord de Sermilik.
Géographie humaine
Pays côtiers Drapeau du Danemark Danemark
Subdivisions
territoriales 		Drapeau du Groenland Groenland
Géographie physique
Type Fjord
Localisation Océan Atlantique Nord
Mer de Norvège
Coordonnées 66° 00′ 00″ nord, 37° 52′ 00″ ouest
Longueur Entre 85[1] et 90[2] km
Largeur
· Maximale 12[2] km
· Minimale 5[2] km
Profondeur
· Moyenne Environ 800 m (0,5 mille[3] m
Géolocalisation sur la carte : Monde
(Voir situation sur carte : Monde)
Sermilik
Géolocalisation sur la carte : Océan Atlantique
(Voir situation sur carte : Océan Atlantique)
Sermilik
Géolocalisation sur la carte : Groenland
(Voir situation sur carte : Groenland)
Sermilik
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(Voir situation sur carte : Amérique du Nord)
Sermilik
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Sermilik, ou — en danois : Egede og Rothes Fjord —[4],[5],[6] est un fjord situé dans le sud-est du Groenland. Il fait partie de la municipalité de Sermersooq.

La localité de Tasiilaq (ou Tassîlaq, Angmagsalik, Angmagssalik)[6],[7], bourg le plus proche de Sermilik est distant d'environ 20 km en axe est de l'embouchure du fjord[8],[9]. L'embouchure du fjord se trouve à une distance de 10 km de la station de recherche météorlogique de Tasiilaq[1].

Sermilik a été identifié comme correspondant à l'Aptafjord, toponyme mentionné dans les anciens textes littéraires norrois[10].

Le réseau formé par le fjord recouvre une superficie de 1 103 km2 et se développe sur une longueur totale d'environ 85 km à 90 km, pour une largeur s'échelonnant entre un minimum de 5 km et un maximum de 12 km[1],[2],[3]. Le fjord atteint une profondeur moyenne d'environ 800 m (0,5 mille[3]. Son bassin versant s'étend sur une surface de 58 054 km2. Le fjord relie directement l'inlandsis du Groenland à la mer d'Irminger[1],[11]. L'embouchure du fjord est située à 65° 51′ 25″ N, 38° 00′ 22″ O et s'élève à une altitude minimale 112 m, tandis que sa tête s'établie à 66° 13′ 34″ N, 37° 35′ 35″ O et s'élève à une cote de 76 m[12]. Ces deux éléments, datés au béryllium 10 (10Be), sont essentiellement formés de blocs erratiques[12],[13]. L'un et l'autre sont distants de 81 km[13]. L'embouchure de Sermilik, datée de 12,7 kyr (127 000 années) ± 700 années. Sa lithologie est constituée de gneiss associé à du schiste. Le front du fjord, qui trouve son emplacement à la jonction entre le fjord d'Heilheim et celui de Fenris, est formé de paragneiss. Il est daté de 121 000 années ± 700 années[13].

Sermilik se décharge sur trois principaux glaciers : celui d'Helheim, de Fenris et celui de Midgard[1]. Les glaciers de Sermilik forment une barrière d'environ 700 m de hauteur[3]. Le fjord se décharge également sur glacier de Mittivakkat (en)[1],[12]. Ce glacier, localisé au point 65° 41′ 31″ N, 37° 54′ 25″ O et qui atteint 90 m d'altitude, repose sur des couches stratigraphiques composées d'argile et de grès[12]. La vallée de Sermilik, la vallée de Toqulertivit Imiat, dont les coordonnées sont 65° 45′ 25″ N, 38° 17′ 35″ O, présente une altitude moyenne inférieure à 400 m. Sa roche-mère a été datée grâce aux isotopes du 10Be et l'aluminium 26 (26Al)[12].

Géographie modifier

Situation, géologie et topographie modifier

 
OpenStreetMap Localisation du fjord de Sermilik, ici à gauche de l'île d'Ammassalik, au sein de la municipalité de Sermersooq.
 
Vue panoramique de Sermilik et du glacier de Mittivakkat.
 
.

La partie sud-est du fjord est située à gauche de l'île d'Ammassalik[14]. Sermilik est établi à environ 30 km à l'ouest du fjord de Johan Petersen et est borné par le massif de Schweizerland[4]. Positionné à proximité du cercle arctique[15] , il se trouve entre le cap Gustav Holm (ou Tasiilap Karra) et le cap Poul Løvenørn (ou Kiammut Kangera)[5]. En outre, le fjord est situé dans la partie sud-est de région du roi Christian IX[4]. La localité de Tasiilaq (ou Tassîlaq, Angmagsalik, Angmagssalik)[6],[7], bourg le plus proche de Sermilik est distant d'environ 20 km en axe est de l'embouchure du fjord[8],[9]. L'embouchure du fjord se trouve à une distance de 10 km de la station de recherche météorlogique de Tasiilaq[1].

Sermilik a été identifié comme correspondant à l'Aptafjord, toponyme mentionné dans les anciens textes littéraires norrois[10].

Le réseau formé par le fjord recouvre une superficie de 1 103 km2 et se développe sur une longueur totale d'environ 85 km à 90 km, pour une largeur s'échelonnant entre un minimum de 5 km et un maximum de 12 km[1],[2],[3]. Le fjord atteint une profondeur moyenne d'environ 800 m (0,5 mille[3]. Son bassin versant s'étend sur une surface de 58 054 km2. Le fjord relie directement l'inlandsis du Groenland à la mer d'Irminger[1],[11]. L'embouchure du fjord est située à 65° 51′ 25″ N, 38° 00′ 22″ O et s'élève à une altitude minimale 112 m, tandis que sa tête s'établie à 66° 13′ 34″ N, 37° 35′ 35″ O et s'élève à une cote de 76 m[12]. Ces deux éléments, datés au béryllium 10 (10Be), sont essentiellement formés de blocs erratiques[12],[13]. L'un et l'autre sont distants de 81 km[13]. L'embouchure de Sermilik, datée de 12,7 kyr (127 000 années) ± 700 années. Sa lithologie est constituée de gneiss associé à du schiste. Le front du fjord, qui trouve son emplacement à la jonction entre le fjord d'Heilheim et celui de Fenris, est formé de paragneiss. Il est daté de 121 000 années ± 700 années[13].

 
Environnement topographique du fjord.

Sermilik se décharge sur trois principaux glaciers : celui d'Helheim, de Fenris et celui de Midgard[1]. Les glaciers de Sermilik forment une barrière d'environ 700 m de hauteur[3]. Le fjord se décharge également sur glacier de Mittivakkat (en)[1],[12]. Ce glacier, localisé au point 65° 41′ 31″ N, 37° 54′ 25″ O et qui atteint 90 m d'altitude, repose sur des couches stratigraphiques composées d'argile et de grès[12]. La vallée de Sermilik, la vallée de Toqulertivit Imiat, dont les coordonnées sont 65° 45′ 25″ N, 38° 17′ 35″ O, présente une altitude moyenne inférieure à 400 m. Sa roche-mère a été datée grâce aux isotopes du 10Be et l'aluminium 26 (26Al)[12].

Géologie modifier

Hydrologie modifier

Climatologie, glaciologie et océanographie modifier

Sur la période allant de 1999 à 2008, fjord comprenait en moyenne un volume de 40,4 × 109 m3 ± 4.9 d'eau douce, dont 85 % issue de la fonte de ses glaciers de décharge — 65 % provenant uniquement du glacier d'Helheim — ; 11 % issue des eaux de ruissellement ; 3 % issue des précipitations ; et 1 % issue de lacs subglaciaires. Entre 1999 et 2005, le volume des eaux de ruissellement a varié de 2,9 × 109 m3 ± 0.4 à 5,9 × 109 m3 ± 0.9[16].

Sur la période de 1999 à 2008, température annuelle moyenne relevée à 2 m au-dessus de la surface des eaux du fjord s'élevait à −4,8 °C, cette moyenne s'échelonnant entre un maximum d'environ 0 °C, température observée à proximité de Tasiilaq et des autres localités côtières et un minimum d'environ −19 °C, température observée au niveau de la calotte polaire du Groenland[16].

De récentes recherches glacilogiques et océanographiques de l'Institut océanographique de Woods Hole (WHOI) ont montré que l'un des principaux glaciers de décharge de Sermilik, que la profondeur sous la surface de l'eau du glacier d'Helheim, a reculé de 1 500 (profondeur initilale) à 1 000 pieds (profondeur actuelle)[3].

  • Les glaciers et icebergs de Sermilik
  •  
    Glacier d'Hanngletscher (de) au sein du fjord de Sermilik.
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    Glacier de Hann.
  •  
    Vue satellite du glacier d'Helheim.
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    Front du glacier d'Helheim en 2005.
  •  
    Glacier d'Helheim.
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    Glacier de Mittivakkat.
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    Rivière formée par la fonte du glacier de Mittivakkat.
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    Glacier de Midgard, ici dans le massif du Schweizerland.
  •  
    Icebergs formés sur les marges du fjord (ici, au niveau de la station de recherche de Sermilik.

Histoire modifier

La région d'Ammassalik, comprenant le fjord de Sermilik, est occupée dès 2 000 ans av. J.-C.. Les eskimos de la culture de Dorset s'établissent vers 500 av. J.-C.. Les peuples thuléens leur succèdent à partir du bas moyen âge[17].

Au moyen âge, selon les sources littéraire norroise, Sermilik correspondrait à l'Alptafjord, un territoire où se serait établi le viking Helgi Thorbrandson[18]

Peut-être ici : https://books.google.fr/books?id=PYdBH4dOOM4C&pg=PA307&dq=ammassalik&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjrvpba2dXZAhULZFAKHVf9DOEQ6AEIHjAE#v=onepage&q=ammassalik&f=false

 
L'explorateur Gustav Holm.

Au cours de l'été 1884, l'explorateur Gustav Holm entreprend une expédition dans la région d'Assammalik[19]. Après avoir atteint l'île Dannebrog en date du , Holm et son équipe traversent Sermilik et atteignent l'établissement d'Assamalik le [20]. L'explorateur danois prend alors contact avec la population iniute locale (413 habitants à cette époque)[19].

 
L'explorateur Fridtjof Nansen.
 
Le navire Jason.

L'histoire de Sermilik est également liée à l'explorateur danois Fridtjof Nansen. Lors de son expédition à bord du navire Thyra, à la fin des années 1880, l'explorateur polaire estimait que Sermilik pourrait lui offrir une route pour atteindre la calotte glaciaire et ainsi mener à bien son projet de traversée terrestre du Groenland d'est en ouest et rejoindre Qasigiannguit (ou Christianshåb, en danois)[21]. En date du , un chasseur norvégien, le navire Jason (en) ramasse le groupe de Nansen dans le port islandais d'Ísafjörður, au nord-ouest de l'Islande[21]. Une semaine plus tard, la côte du Groenland a été aperçue, mais les progrès ont été entravés par la banquise épaisse. Le , alors que le navire se trouvait encore à 20 km de la côte, l'expédition arrive en vue de Sermilik et Nansen décide de mettre [21]. L'équipe de Nansen quitte le navire à 7 heures du matin, et, d'après le capitaine du Jason Mauritz Jacobsen, « dans la bonne humeur et avec l'espoir d'un résultat heureux »[21]. Il s'ensuivit des jours de frustration extrême pour la partie car, empêchés par les conditions météorologiques et maritimes, d'atteindre la côte, ils dérivèrent vers le sud avec la glace. La plus grande partie de ce temps était consacrée au camping sur la glace elle-même - il était trop dangereux de lancer les bateaux[22]. Le , ils étaient à 380 km au sud du point où ils avaient quitté le navire. Ce jour-là, ils ont finalement atteint la terre, mais étaient trop au sud pour commencer la traversée[23]. Le , après un bref repos, Nansen et son équipe décide de retourner dans les bateaux et de commencer à ramer vers le nord. Après avoir naviguer sur une distance de 30 km, ils parviennent en vue d'île connue sous le nom de Karra Akugnak[23]. En date du , ils atteignent la baie d'Umivik[24]. Au , Nansen décide finalement de commencer sa traversée au niveau de cette baie[25],[26].

Au début du XXe siècle, l'anthropologue Marcel Mauss réalise une étude sur les habitants inuits d'Ammassalik[27].

(mouais, bof) https://books.google.fr/books?id=3JtlBAAAQBAJ&pg=PA74&dq=alptafjord&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjc2N2P2NXZAhVCb1AKHXEnBecQ6AEIDDAA#v=onepage&q=alptafjord&f=false ? ;

 
Expédition d'Alfred de Quervain au Groenland en 1912[28].

En 1912, l'explorateur et météorologiste suisse Alfred de Quervain entreprend une expédition au Groenland. Partant de Gronvald, à l'ouest de l'île, il rallie Sermilik le de la même année[29]. En arrivant au fjord, l'explorateur découvre un massif montagneux qu'il baptise Schweitzerland. Cette région montagneuse comporte notamment le mont Forel, dont le sommet culmine à 2 770 m d'altitude[29]. Une seconde expédition suisse est effectuée en 1938 et débute à Sermilik et aux environs d'Ammassalik[30].

Expé 1932 : https://books.google.fr/books?id=Pxrj-FsfZpwC&pg=PA186&dq=ammassalik&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjrvpba2dXZAhULZFAKHVf9DOEQ6AEIOTAJ#v=onepage&q=ammassalik&f=false

https://books.google.fr/books?id=ggxqdikT9b0C&pg=PA14&dq=ammassalik&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjrvpba2dXZAhULZFAKHVf9DOEQ6AEIMzAI#v=onepage&q=ammassalik&f=false
https://books.google.fr/books?id=ii-AFnb5rDIC&pg=PA283&dq=ammassalik&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjL5brl2tXZAhWMKVAKHX7WD804ChDoAQgKMAA#v=onepage&q=ammassalik&f=false
https://books.google.fr/books?id=_YvvYpu0LPcC&pg=PA142&dq=ammassalik&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjrvpba2dXZAhULZFAKHVf9DOEQ6AEIDjAB#v=onepage&q=ammassalik&f=false

Archéologie modifier

 
Vestiges d'un habitat eskimo.
 
Vue d'ensemble des ruines.

Les premières investigations archéologiques sont réalisées au milieu des années 1880 durant la mission d'exploration de Gustav Holm à Sermilik et à Ammassilik[31],[32]. Ultérieurement, d'autres fouilles ont été menées dans les années 1970 aux environs de Tasiilaq et sur l'île d'Ammassalik[33] (note to myself = ?) Des vestiges de bâtiments datés de la période thuléenne ont été identifiés sur la localité de Sivinganeq — le site se présente sous la forme d'une péninsule de petite taille et situé à environ 5 km au nord d'Ikkatteq (en)[5] — anciennement connue sous les toponymes norrois de Fjeldskråning ou Skråning[34]. (http://eng.gst.dk/media/2916234/greenland-pilot-sailing-directions-for-east-greenland.pdf) (http://www.qaasuitsup.plania.gl/download/sektorplan/sektorplan_for_frirum.pdf) [35] (http://docplayer.dk/36978665-Nunat-aqqinik-aalajangiisartut-naa-groenlands-stednavnenaevn.html ?) [36] (https://books.google.fr/books?id=_YvvYpu0LPcC&pg=PA77&lpg=PA77&dq=sivinganeq+Sermilik&source=bl&ots=ZNDfCoeE6q&sig=GrThKAt5qqCKrp_V7YL9OAeQFSI&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjZuY6Kt9XZAhWBKlAKHZZ0ACIQ6AEIGjAG#v=onepage&q=sivinganeq%20Sermilik&f=false [31]. Sivinganeq est découverte au cours de la mission dans l'océan Arctique, en 1869-1870, par l'explorateur allemand et capitaine du navire Hansa, Paul Friederich August Hegemann[4].

 
Couteau de type ulu.

Des couteaux, de type ulu, ont été découverts à Ammassilik au cours des années 1880, puis lors d'une campagne de fouilles effectuée en 1923 et 1924[19],[31].

En outre, des vestiges d'églises, construites au cours du XIVe siècle, ont été mis en évidence durant les années 1890 aux environs de Sermilik[37].

Des artefacts de culture thuléenne, confectionnés en bronze, ont été mis en évidence sur le site de Sivinganeq. Le site, ainsi que d'autres localisés sur l'île d'Amassalik et établis à proximité des rives de Sermilik, tels que celui d'Ikaasap Ittiva, ont délivré des vestiges et des mobiliers archéologiques, certains attribués à la culture de Saqqaq — outillages, notamment grattoirs fabriqués en silex —, d'autres à celles de Thulé et Dorset — industrie lithique divers, dont microlames, pointes en silex[31],[38].

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. ↑ a b c d e f g h i j et k (en) Sebastian H. Mernild, Marit-Solveig Seidenkrantz, Petr Chylek et al., « Climate-driven fluctuations in freshwater flux to Sermilik Fjord, East Greenland, during the last 4 000 years »,  The Holocene (en), vol. 22, no 2,‎ 22 novembre 2011 , p. 155-164 (DOI 10.1177/0959683611431215, lire en ligne, consulté le ).
  2. ↑ a b c d et e (en) Camilla S. Andresen, Fiammetta Straneo et Mads Hvid Ribergaard, « Rapid response of Helheim Glacier in Greenland to climate variability over the past century », Nature Geoscience,‎ (DOI 10.1038/NGEO1349, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  3. ↑ a b c d e f g et h (en) Rebecca Jackson, « A Mooring in Iceberg Alley : Fjords may link warming oceans and melting glaciers », Oceanus magazine, vol. 51, no 2,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. ↑ a b c et d (da) Jan Løve, Østgrønlandske stednavne - fra den første kortlægning, NAA – Nunat Aqqinik Aalajangiisartut, (lire en ligne [PDF]).
  5. ↑ a b et c « Umiiviip Kiammut Kangera (Kap Poul Løvenørn) − Tasiilap Karra (Kap Gustav Holm) », dans Greenland Pilot Sailing Directions for East Greenland, Danish Geodata Agency, , 1re éd. (ISBN 978-87-92107-61-9, lire en ligne [PDF]).
  6. ↑ a b et c (en) Ancker Weidick, « Tables 12-14 », dans Ancker Weidick, Sattellite Images of Glaciers of the World - Greenland, vol. 1386, t. Partie 3, U.S. Geological Survey Professional Paper, (lire en ligne), pages 112 à 114.
  7. ↑ a et b (en) Ancker Weidick, « Greenlandic Place-names », dans Ancker Weidick, Sattellite Images of Glaciers of the World - Greenland, vol. 1386, t. Partie 3, U.S. Geological Survey Professional Paper, (lire en ligne), pages 8.
  8. ↑ a et b (en) Ancker Weidick, « Images of Southern-East Greenland », dans Ancker Weidick, Sattellite Images of Glaciers of the World - Greenland, vol. 1386, t. Partie 3, U.S. Geological Survey Professional Paper, (lire en ligne), pages 83 à 87.
  9. ↑ a et b (en) « The Sermilik Scientific Research Station », sur le site de l'Ign danois, Univerité de Copenhague (consulté le ).
  10. ↑ a et b (da) Robert Bergensen, « Hvor ligger Hrafnsfjord? », Tidsskrift Grønland, vol. 41, nos 7-8,‎ , p. 285-297 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  11. ↑ a et b (en) Straneo, F., G.S. Hamilton, L.A. Stearns et D.A. Sutherland, « Connecting the Greenland Ice Sheet and the ocean : A case study of Helheim Glacier and Sermilik Fjord », Oceanography, vol. 29, no 4,‎ , p. 34–45 (DOI 10.5670/oceanog.2016.97., lire en ligne [PDF], consulté le ).
  12. ↑ a b c d e f g h i et j (en) Laurence M. Dyke, Anna L.C. Hughes, Tavi Murray et al., « Evidence for the asynchronous retreat of large outlet glaciers in southeast Greenland at the end of the last glaciation », Quaternary Science Reviews, vol. 99,‎ , p. 244-259 (lire en ligne, consulté le ).
  13. ↑ a b c d e et f (en) A.L.C. Hughes, E. Rainsley et T. Murray, « Rapid response of Helheim Glacier, southeast Greenland, to early Holocene climate warming », Geology, vol. 40, no 5,‎ , p. 427-430 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  14. ↑ « https://www.openstreetmap.org/way/405932413#map=8/65.933/-37.791 », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  15. ↑ Pierre Robbe, « Climat d'Angmagssalik. », Cahiers du Centre de recherches anthropologiques, vol. XIIe Série, t. 8, no fascicule 1-4,‎ , pages 137-166 (DOI 10.3406/bmsap.1971.2032, lire en ligne, consulté le ).
  16. ↑ a et b (en) Sebastian H. Mernild, I. M. Howat et Y. Ahn, « Freshwater flux to Sermilik Fjord, SE Greenland »,  The Cryosphère, no 4,‎ , p. 453-465 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
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  22. ↑ Roland Huntford, « 13 - Threatened by ice », dans Roland Huntford, Nansen : The Explorer as Hero, Hachette UK, , 768 p. (lire en ligne).
  23. ↑ a et b Roland Huntford, « 14 - Eskimo and Lapp », dans Roland Huntford, Nansen : The Explorer as Hero, Hachette UK, , 768 p. (lire en ligne).
  24. ↑ (en) William J. Mills, « Nansen, Fridtjof : A Historical Encyclopedia », dans William J. Mills, Exploring Polar Frontiers, vol. 2 (lire en ligne), page 444.
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Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

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