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Les arbres remarquables du Québec sont des arbres vivants exceptionnels en raison de leur âge, de leur rareté, de leurs dimensions, de leur morphologie, de leur histoire, de leur caractère paysager ou d'autres critères.
Un arbre est qualifié de remarquable autant pour ses valeurs dendrologiques que culturelles, qu’il soit situé sur le domaine public ou privé, qu’il fasse partie d’un alignement ou encore qu’il pousse en isolé ou dans la forêt.
Ce Tuya occidental est remarquable par son âge estimé de plus de 1000 ans. Il serait le plus vieil arbre du Québec. C'est un arbre à croissance très lente, avec un diamètre de seulement 20 à 30 centimètres de diamètre pour quatre ou cinq mètres de hauteur, malgré son grand âge[1]. L'isolement insulaire a probablement protégé cet arbre des feux de forêt.
Ce spécimen serait l'un des plus gros tulipiers de Virginie du Québec. Il est situé bien plus au nord que la zone de répartition de cette espèce. Circonférence mesurée à 209 cm en 2007[2].
Le peupler de Noyan serait le plus gros peuplier deltoïde du Québec. Ses dimensions sont hors norme : 7,16 m de circonférence[3] pour une hauteur de près de 40 m.
Ce spécimen est l'un des plus gros et des plus anciens Ginkgos bilobas du Québec. Le tronc a un diamètre de 104 cm de diamètre et une imposante cime d'une envergure de 20 m[4].
Suzanne Hardy, Nos champions : Les arbres remarquables de la Capitale, Austin, Éditions Berger, , 224 p. (ISBN9782921416771).
Marie-Fleurette Beaudoin, Les Arbres remarquables du Jardin botanique de Montréal, Saint-Laurent, Trécarré, , 187 p. (ISBN9782892492392)
Bronwyn Chester et Jean-Luc Trudel, Une île d'arbres : 50 arbres, 50 façons de raconter Montréal, Montréal, Marchand de feuilles, , 288 p. (ISBN9782923896731)