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Francis Delvert
Francis Delvert
Naissance	21 janvier 1938 Villeneuve-sur-lot (Lot et garonne)
Origine	France
Distinctions	Académicien ; Chevalier de l’Ordre national du Mérite ; Chevalier des Palmes Académiques ; Médaille d’or de la Jeunesse et des Sports. Médailles d’or des Biennales Internationales du portrait en 1960 et 1962. Grand Prix de la PMA de Los Angeles pour « Réflexion » en 1978.

Francis Delvert (ou DELVERT-LE), né le21 janvier 1938 à Villeneuve-sur-Lot (Lot et Garonne),est Académicien, docteur ès Science et photographe connu et reconnu au niveau international. Durant plus de 50 ans, il a œuvré dans la photographie et l’image ainsi que la cinématographie.

Enfance

C’est le 21 janvier 1938 à Villeneuve-sur-Lot (Lot et Garonne) que nait Francis Delvert de l’union de Raymond Delvert et de Raymonde Lacroix.Héritier de trois précédentes générations de photographes, il va suivre ses ‘Ainés’dans diverses créations, inventions et réalisations importantes dont trois premières mondiales en imagerie spatiale.

Arrière petit-fils de l’inventeur Joseph Lacroix (1861-1949), grand ami de l’inventeur de la photographie des couleurs Louis Ducos du Hauron (1832-1920), qui crée le ‘Vélocigraphe’, premier appareil photographique à plaques tombantes pour des prises de vues rapides et instantanées, la nef Lacroix-De Laville, voiture à trois roues commercialisée dans les années 1900, la radiographie en trois dimensions qui permit de situer les projectiles reçus par les soldats pendant la guerre de 14, et surtout la centrifugeuse auto équilibreuse permettant de séparer les globules blancs des globules rouges, petit-fils de Léon Lacroix (1889-1970), peintre de l’École des Beaux Arts, dans l’atelier de Fernand Cormont, qui sort premier de sa promotion où il côtoie, entres autres, Salvator Dali(1904-1989)et TsugouharuFujita(1886-1968), Grand Prix de la Ville de Paris, et photographe, et fils de Raymond Delvert (1914-1992), photographe aérien, embrasse le domaine de l’image et de la photographie dès son plus jeune âge. Elevé par ses grands-parents, suite à la séparation de ses parents, il va hériter directement de son arrière-grand père et de son grand-père la connaissance de la lumière et de l’image.

Deux femmes vont le soutenir et l’influencer. Avec Colette Barras, sa première épouse, qui lui donne son premier fils Jean-Luc et qui décède prématurément en 1977, c’est l’artiste qui s’épanouit et transcende. Avec Geneviève Guerret, sa seconde épouse, qui lui donnera deux fils, Fabrice et Damien, il révèle la lumière de l’esprit, de la raison. C’est avec son postulat “C’est l’ombre qui crée la Lumière ! Sans lumière pas d’ombre, Sans ombre pas de lumière”, que Francis Delvert se met au travail.

Carrière artistique

En sus de ses ‘pairs familiaux’, trois hommes viennent compléter le patrimoine familial : Maurice Selb qui l’initie à la retouche et dont il fera sienne ses qualités ; Jean Cousin, photographe qui sera tour à tour son maître, son patron et son ami ; Jean Fage, fourreur de métier, dont l’amour pour l’image et la passion des appareils photographiques présideront à la fondation du Musée Français de la Photographie.

Ainsi près avoir été opérateur puis premier opérateur chez son grand-père Léon Lacroix qui lui apprend le métier, et chez Jean Cousin à Toulouse, il rejoint la capitale et devient agent technique d’exploitation de film RTF. Il sera ensuite chef de plateau puis directeur de la photographie à l’ORTF jusqu’en 1967.Durant les années qu’il partage avec Colette, Francis s’affirme sous diverses réalisations. Il écrit seul, avec son épouse, ou en collaboration avec d’autres auteurs tels Gérard Bouhot, Ronhan Loaëc ou René Bouillot. Il publie avec elle notamment le livre-disque : “La Merveilleuse Aventure de la Photographie” interprétée par Rosy Varte, François Perier et Roger Carel. D’autres suivront dont ”Les Ecrivains de Lumière” initialement conçu pour France Culture.

De nombreuses expositions jalonnent la période artistique de Francis Delvert qui rend ainsi hommage à de nombreux artistes et personnages qu’il a côtoyés et dont certains sont devenus des amis. Il recouvre ainsi les domaines les plus variés et accompagne les plus grands comme Michel Boulard professeur au Museum d’Histoire Naturelle de Paris, pour “Rencontre du quatrième type” ; Haroun Tazieff pour “De Glace et de Feu” ; Serge Chirol et Anne Gaël pour “Châteaux de la France Médiévale” ; Jean Graton pour “De la photo à la B.D. Michel Vaillant ! » ; Akira Kurosawa pour “Run”; Hugues Vassal pour “Piaf”, pour laquelle Yves Montand le félicitera et le remerciera personnellement, et tant d’autres...

Sa préférence reste néanmoins celles concernant l'inventeur Louis Ducos du Hauron qui invente la photographie des couleurs en additif et en soustractif ainsi que l’impression trichromique. Réunissant quasiment tous les originaux illustrant les brevets de l’Institut National de la Propriété Industrielle, Francis réalise la Première Exposition au Monde de ce grand inventeur et empêche ainsi la vente de ces premières photographies à l’étranger.Il est à l’origine de nombreuses photographies parmi lesquelles, se trouvent “Ambivalence ou double portrait”, symbolisant une autre représentation de la morphopsychologie de l’image, et « Etude sur les mains » de 1963

Carrière professionnelle

Depuis plus de cinquante ans, il démontre et confirme, si besoin était, “qu’impossible n’est pas Français.” Après un passage à la télévision en tant que directeur de la Photographie et réalisateur, où il travaillera avec de nombreux reporters et journalistes, il continue la photographie et se spécialise dans la mode et le portrait. Il remporte deux médailles d’or en 1960 et 1962 lors de la Biennale Internationale du Portrait.Il est aussi réalisateur d'audio-visuel et remportera le Grand Prix de la PMA de Los Angeles en 1978. A partir de 1984, il anime plus de 300 émissions en direct sur ‘la Photographie’ en compagnie d’Anne-Marie Blanchet, Michel Chevalet, Denis Vincenti, Patrice Drevetet,Jean-Pierre Chapel sur TF1. Il met au point des systèmes pour rapporter l’intensité de la solitude du Grand Large partagée par les navigateurs modernes tels : Michael Birch, Robin Knoch Johnson, Alain Gauthier, Isabelle Autissier, Florence Athaud ou Olivier de Kersauzon, et Diemberger le cinéaste vainqueur du toit du monde : l’Everest. Il œuvre aussi entre ciel et terre, entre feu et glace. Rien ne l’arrête. Ni la chaleur insoutenable des volcans fréquentés par son ami Haroun Tazieff pour lequel il prépare un matériel susceptible d’opérer entre -40 et +50° C pour le Mont Erebus, ni le froid du toit du monde, que fréquentent, Jean Afanasieff, Nicolas Jaeger, Walter Cecchinel, Pierre Mazeau et bien d’autres alpinistes lors de leurs ascensions de l’Everest ou celui du lac d’Aragonite room “Caribasd Cave” dans le nouveau Mexique aux Etats-Unis d’Amérique pour les frères François-Marie et Yan Callot.

En 1985, il crée et met au point un système de positionnement de l’appareil photographique pour Guy Sauvage, vice-champion du monde de saut en chute libre, y adaptant un viseur à cadre sur le casque du chuteur relié à un déclencheur au pouce. Ce matériel subira plus de 300 sauts, plus de 300 chocs à l’ouverture, sans aucun incident.Il participe directement en tant que pilote à la finalisation de son système de transmission d’images aériennes instantanées par voie hertzienne plus connue sous le nom de procédé :“M. A. R. I. A. N. E.”. Il met au point un système de prises de vues pour des ...aveugles qui s’initient au ... parapente. Autour de la création d’un matériel permettant d’analyser la repousse des cheveux et leur comptage électronique en 1987, se greffent des réalisations nombreuses et variées.

Après la disparition de Colette, il rejoint le groupe Olympus où il occupe les postes de responsable de la formation, attaché de direction technique puis chef de la section technique au sein de la société SCOP à Rungis. Il y restera jusqu’à sa ‘préretraite’. Durant plusieurs années Francis Delvert se spécialise dans la recherche. Il exécute diverses études et produits pour les laboratoires l'Oréal, les laboratoires de recherche pour les Musées de France ou encore l'Equipe de France de Voile (4 médailles d'or aux J.O. de Séoul et 2 à Barcelone).En 1992 et 1996, il crée un équipement spécifique de transmission d’images pour le trophée Jules Vernes, “Tour du Monde en Moins de 80 Jours” pour Olivier De Kersauzon.Geneviève, docteur en médecin, s’occupe de sa santé et lui procure une réelle tranquillité d’esprit. Ce qui est capital pour ce scientifique.Il saisit une même action en synchronisant neuf appareils à neuf vitesses différentes, pour le plot “Instant et Durée” pour la Cité des Sciences et de l’Industrie à la Villette. Il capture l’image d’une enceinte ”Cabasse” en pleine action, puis il invente un système à fort grandissement pour l’étude des différentes couches de peinture destinée au laboratoire de recherches des Musées de France. Il photographie la mise à feu d’une allumette, la décomposition structurelle d’une goutte de lait, l’explosion d’une ampoule électrique avec sa décomposition, sous l’impact d’une balle de pistolet et en stéréo.

Il sera aussi le Président national de la Société Française d’Iconographie Médicale et Scientifique. D’autres premières suivent tel le tirage et le développement en 1993, dans une rue de Bièvres, dans le département de l’Essonne, de la plus grande photographie du Monde qu’il réalise avec son ami Didier Pilon et en 1997 l’une de ses inventions majeures : “l’Essonnien” le plus grand appareil du Monde qui produit des images de 2 mètres sur 3.

En 1988, il s’attaque à l’ultime dimension : l’Espace. Entouré de son équipe, Jean Moutet, Philippe Farge, et Alain Gislot, il va concevoir et mettre au point le “Vélocigraphe II”, nom donné en hommage à son arrière grand-père (Joseph Lacroix) inventeur du “ Vélocigraphe ”. La conception de cet appareil photographique est une première mondiale et spatiale. Lancé dans l’espace le 27 avril 1989 par la fusée soviétique “Photon”, il intègre l’expérience “SEPHA” (séparateur de phase) avec Françoise Escale devant résoudre l’un des problèmes de l’écologie spatiale : Etudier l’écoulement monophasique (liquide / liquide) et diphasique (air / liquide) en absence de toute gravité et en accélération de l’apesanteur.Or le problème pour les photographier était de trouver un appareil qui résisterait à une accélération égale à 60 fois la gravité terrestre appliquée à son poids et à 7.000 hertz en vibration tridimensionnelle, tout en restant capable de faire de la macrophotographie dans l’espace.Le Vélocigraphe II résistera à toutes les contraintes mécaniques, aux accélérations linéaires, aux vibrations aléatoires et aux champs magnétiques pour ne citer que ces points. Il prendra 350 vues en automatisme complet. A son retour, l’appareil photographique est escorté par les fameux gendarmes du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) chargé de la sécurité et de la protection de l’équipe.

Il relève un nouveau défit en créant un nouvel appareil générateur d’images pour l’espace. Il intègre le projet “Extrem” et conçoit le ‘Vélocigraphe III’ qui doit travailler dans l’ultra vide, c’est-à-dire par 10 -7 atmosphère.D’où l’utilisation de matériaux agréés par le European Space Agency pour éviter toute contamination due au dégazage. Cet appareil doit photographier dans le spectre invisible 140 Angström rayonnement ultra-violet. Le film Solar X Ray/XUV-TMax 100 est fabriqué par la société Kodak. Le Vélocigraphe III est mis dans l’espace en 1995 et le Vélocigraphe IV suivra dévoilé en 2010.Nouvelles réussites !

Carrière d’enseignant et d’universitaire

Il lance l’école de photographie de Toulouse avec son ami “Yan”, Jean Dieuzaide, en 1969, cent ans après l’invention de Louis Ducos du Hauron. Hommage qui le conduit à enseigner dans l’atelier de recherche sur le visage. Après deux courtes années à Lisieux, comme directeur artistique et conseiller technique aux établissements Flashomatic, il rejoint un poste à l’ENNA Saint-Denis sur les techniques audiovisuelles. Diverses divergences l’amènent, comme son vieux complice et ami Michel Chevalet, à claquer la porte de l’Education Nationale.

L’écrivain est aussi journaliste, rédigeant de nombreux articles pour des revues nationales et internationales. Enseignant et historien, il conduit des formations et invente plusieurs procédés tel un cadre pédagogique pour présenter le “Polifoliumchromodialitique”, des diaporamas agréés par l’OFRATEME pour l’Education Nationale, pour ne citer que ceux-ci. L’écrivain et journaliste se fait également peintre. Peu de gens connaissent son “Taureau” peint en image numérique sur son ordinateur. En revanche, l’image qu’il a créée pour les Internationaux de Tennis est plus populaire ; mais peu de gens savent qu’elle est l’œuvre de Francis Delvert.Peu aussi sont ceux qui connaissent ses actions internationales en sus de ses responsabilités.

Depuis 1977, il est conseillé scientifique et technique, et administrateur du Musée Français de la Photographie. Par ailleurs, depuis 1985, il devient le Président Européen des meilleurs livres photographiques (historique, artistique, technique). Le grand Prix Européen de la technique photographique qui a lieu tous les ans en Belgique se nomme : “Grand Prix Francis Delvert”. De 1991 à 1998, il est nommé Vice-président du Musée Français de la Photographie et appelé de nouveau en 2000 et de 1996 à 1998, Président de la Société Française d’iconographie Médicale et Scientifique. En 1997 il devient conseiller scientifique, muséologique et muséographique pour la photographie et rencontre les hauts responsables des Musées Royaux d’Art et d’Histoire à Bruxelles l’année suivante. Cette même année, il devient le représentant de la Commission Scientifique Française pour le futur Musée Français de la photographie.

En 1998, il anime et participe à la formation des six cents conseillers pédagogiques de France à l’histoire de l’image et des expérimentations pour aboutir à l’invention de la photographie. Il a l’idée de transformer pour la première fois une salle de classe en “Camera Obscura” et en appareil photographique. Il effectue de très nombreuses conférences pour des chercheurs du CNES, CNRS, de l’INSERM, de l’INA, du CEA Saclay et d’autres centres comme l’Institut du Globe.Il renouvelle en extérieur en direct, et en public pour la première fois l’expérience de la découverte de la photographie sur bitume de Judée par Joseph Nicéphore Niepce avec Marc Mocqué.

Son intérêt pour les arts martiaux et les sports de combat le mène à saisir l’instant le plus précis. Président de l’Académie du Couteau et de Défense en Situation (ACDS), il réalise des clichés pour plusieurs ouvrages de Raymond H.A Carter et Kim Oriol concernant ce sujet.

Durant toutes ces années Francis travaille assidûment, toujours soutenu par Geneviève. Entouré de ses plus proches amis également photographes, notammentDidier Pilon, Rémy Poinot, Jacques Perriault, Marc Moqué et Alain Gislot, il fonde en 1998, l’association à but scientifique “Cercle Image International” dont le siège est à Bruxelles dont il devient président.Entre 2002 & 2004, il estChargé de Cours en DESS de Psychologie Cognitive de l’expertise et aide à la conception d’outil éducatif à l’Université Paris X à Nanterre.Le 14 juin 2006, il soutient sa thèse de docteur ès Science à l’Université de Nanterre sur le sujet : « La construction de l’image photographique de connaissances scientifiques et techniques sur des phénomènes survenant dans des conditions extrêmes ». De 2002 à 2004, il est Chargé de recherche au laboratoire CRIS (Centre de Recherche sur l'information Spécialisée), équipe d'accueil N° 1738; et au laboratoire SERIES(section d’Etude et de Recherche sur les industries Electroniques du Savoir, responsable Jacques Perriault), Université Paris X Nanterre.

Le 09 mars 2011, Francis Delvert devient Académicien de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts d’Agen, la plus ancienne Académie de France datant de 1776, suite à la décision de son président Robert de Flaujac et de Raymond Constant, docteur en Histoire et Jean-Pierre Poussou, Recteur de l’Académie de Bordeaux et Président de l’Université Paris-Sorbonne.

A Saintry-sur-Seine, il crée le blason et ses armoiries qu’il fait agréer en 2000 par le Service Officiel de l’Héraldique de France, des Archives, et du Ministère de la Culture et ce en un temps record. Il porte la devise suivante : “Ne Quid Nimis”... Un Parvis « Francis Delvert » a été inauguré dans cette ville en 2009.

Il travaille actuellement sur plusieurs projets d’ouvrages et de films dont un livre sur « Louis Ducos du Hauron, l’inventeur de la photographie en couleur » avec le professeur Jean-Claude KEIFFER et le docteur Raymond H. A. Carter.

Formation

• Doctorat ès Science de l’Université de Nanterre en 2006.
• Plusieurs diplômes du Musée Français de la photographie de Bièvres (1981, 1982, etc.).
• Formateur agréé par la ‘Formation Permanente’ par l’Education Nationale en 1974.
• Diplôme de Photographe en 1960.

Bibliographie et créations

• « Miroir d’un Visage » de 1958 fait œuvre de pionnier dans le domaine de la morphopsychologie.
• « Livre pédagogique au service du portrait » deDelvert,F. et Boyé, M. 1968. Puis, en 1973, Quelques exemples d’éclairage du portraitphotographique. Paris : Mazarine. Ministère du Commerce et de l’Artisanat, Direction de l’Artisanat.
• Créations de Produits Pédagogiques pour l'Education Nationale. Produit pédagogique agréé par l'OFRATEME (1973-1975) :Livre - Disque et Diaporama : Delvert C. et Delvert, F. (1976). Produits pédagogiques propriété exclusive du CERPET,en collaboration avec : R. Rastelli, Michel Boyé et Alain Gislot.Diaporamas : ‘De la Camera Obscura à l'Appareil Photographique’ ; ‘Approche à la Photographie ; L'Image Photographique et son Langage’ ;‘Ombre et Lumière en Photographie’ ;‘Lumière et Photographie-principes d'éclairage’ ; Produit Culturel offert à l’Education Nationale ; Création de l’exposition “Ecrire avec la Lumière”. 50 pages historiques qui se lisent, chacune, en moins de 2 minutes et qui sont offertes gracieusement dans les écoles, les collèges, les lycées et les établissements d’études supérieures.

• « La Photographie » pour France culture.Colette & Francis Delvert racontent à Matinale : 1976. 15 Emissions de radio de Jacques Fayet et Claude Dupont.
• «La Merveilleuse Aventure de la Photographie» en 1976pour les éditions Adès Le «Petit Ménestrel» avec François Périer, Rosy Varte et Roger Carel.
• « Réflexion », Grand Prix de la PMA de Los Angeles en 1978.
• 1980 : Création de la galerie les “Rencontres d’Olympus” (1980) : Exposition d’un photographe de notre temps et d’un autre photographe ayant travaillé sur les mêmes sujets, quelques cent ans avant d'où le titre : “Rencontre entre un photographe d’hier et d’aujourd’hui”.
• Exposition (1981). En 1868 Louis Ducos du Hauron invente la photographie des couleurs en additif et en soustractif ainsi que l'impression trichromique. Réunissant presque tous les originaux illustrant les brevets de l'Institut National de la Propriété Industrielle, réalisation dela Première Exposition au Monde de ce Grand Inventeur. Empêchant ainsi la vente de ces premières photographies en couleurs à l'étranger.
• A partir de 1984, il anime plus de 300 émissions en direct sur ‘la Photographie’ sur TF1.
• Photographie d’ouvrages spécialisés (1991-1992) comme Technique de combat au corps à corps. (3 tomes) - Carter Raymond H. A.. & Oriol K. (1991). Technique de combat au corps à corps. Le corps et le combat - La self défense - La boxe totale. Tome 1. Paris : Chiron. Carter R. & Oriol K. (1992). Technique de combat au corps à corps.Neutralisation - Intervention et arrestation - Combat aquatique. Tome 2. Paris : Chiron.- Carter R. & Oriol K. (1992). Technique de combat au corps à corps. Bâton et fusil - Techniques spéciales - Pédagogie du combat. Tome 3. Paris : Chiron ;puis en 1996-1997) Technique de combat au couteau, La boxe Thaïlandaise et le Kick – Boxing ; Carter R. (1996). Technique de combat au couteau. Paris : Chiron.Carter R. & Boyard, P. (1997). La boxe Thaïlandaise et le Kick-Boxing. Paris Chiron ; Avec Pascal Boyard Champion d’Europe de boxe thaïlandaise - Champion d’Europe de Kick-Boxing.)
• « Les Ecrivains de Lumière » en 1995-1996.Le grenier de Toulouse : Quarante émissions de radio : “Une petitehistoire de la photographie” ; & pour Sud Radio : Emission en direct : “Louis Ducos Du Hauron, inventeur de la photographie des couleurs, en 1869, sa vie, son œuvre”.
• « L’Essonnien », le plus grand appareil photographique du monde est créé en 1997 à Bièvre où il se trouve actuellement.L’Image est de 2 mètres sur 3 Fabrication de la structure par Proscenium Rennes. L’Objectif est de 2 mètres de focale. Fabrication de l’objectif Europtics Draveil. Surface sensible Ilford Lyon.27 radios et 89 télévisions internationales ont rendu compte de l’invention du plus grand appareil photographique du monde “l’Essonnien”.
• Emissions Télévisions (1997). France-Inter : Emission de radio “Le Téléphone Sonne”. TF1 : Présentation de "La Petite Science" et plus de Cinq Cents émissions en direct avec Michel Chevalet, Patrice Drevet , Jean-Pierre Chapel, Yves Mourousi, Jean-Pierre Pernaud et Parick Poivre d’Arvor.
• “Imagene” en 1998.Présentation d’outils générateurs d’images pour les 600 conseillers pédagogiques de France. Livret de 70 Expériences.
• « L’aventure de l’Ecriture avec la Lumière » Cercle Image International, Association internationale à But Scientifique reconnue par Arrêté Royal du 18 mai 1998.

“La nuit Kidnappera le jour” en 1999.Le 11 août, éclipse totale, tout ce qu’il faut savoir pour cet évènement. Information à la population : Le saviez-vous? Comment ça marche : Croyance et superstition. Petite Histoire. Comment photographier une éclipse?Grand Prix de la meilleure information réalisée par une ville attribué par la Société Française d’Iconographie Médicale et Scientifique.

• Ouvrage de présentation intitulé sur les « Réalisation, inventions, créations » de Francis Delvert, 2001.
• Participation à l’écriture du livre : Perriault, J. (2002). Education et nouvelles technologies. Théorie et pratiques. Paris : Nathan, 2002.
• Cadre pédagogique pour présenter : le “Polyfoliumchromodialitique” en 2003, afin de faire comprendre le fonctionnement de la trichromie.
• « Quatre Génération de photographes par le ‘photographe de l’impossible » en 2004 avec Michel Chevaler, Didier Pilon, Marc Mocqué, Hélène Parant et Raymond H. A. Carter.
• « Quatre générations de photographes », livre réalisé en 2004 avec Raymond H. A. Carter.
• « Le Vélocigraphe II » en 1989 et le « Vélocigraphe III » en 1991, 1992 & 1993.

Liens externe

• Francis Delvert sur You tube
• LABOAIME
• Processus Photo
• Journal de Saintry-sur-seine
• Journal de la Charente
• Site du musée de la photographie
• F^te de la science

Références

- « Le Prix Francis Delvert » de photographie existe en Belgique depuis 1985.