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Auguste-François Michaut
A.F.Michaut
Naissance
Décès
Nom de naissance
Auguste François Michaut
Nationalité
Activité
Formation
Maître
Distinction
L'aigle français sur le Wolga par A.F.Michaut
5 Francs Louis XVIII
Médailles William I, Pays Bas par A.F.Michaut
20 francs or Charles X
Avénement de Louis Philippe par A.F.Michaut
Versailles Abbé de l'Épée

Auguste-François Michaut, né à Paris le et mort à Versailles le est un graveur des monnaies de France (Louis XVIII, Charles X) et des Pays Bas (Guillaume I), un médailleur et un sculpteur français .

Biographie modifier

Beaux Arts : Grand Prix de Rome et vie d’artiste modifier

Auguste François Michaut[1] naît à Paris en 1786 dans un milieu artistique. Son père Jean, associé à son frère Jean Baptiste est fondeur d’objets d’arts et ciseleur (rue du Temple)[2]. Sa mère meurt lorsqu'il a quinze ans.

Il rentre aux Beaux Arts vers 1809. Ses goûts le portent d’abord vers la sculpture. Ses premiers maîtres sont François-Fréderic Lemot et Jean-Guillaume Moitte, statuaires. Il est admis à concourir au Grand Prix de Rome en 1809. Mais sa mauvaise santé[3] due à une maladie de poitrine l’oblige à renoncer à la Sculpture.

Il se tourne alors vers la gravure en médaille. André Gallé (dit « Gallé l’aîné ») lui en enseigne les premiers éléments. Durant cette période, il se lie d’amitié avec James Pradier son condisciple qui fut, lui aussi, élève de Lemot. À 25 ans, le 13 juin 1812, il remporte le second prix de Rome du concours de gravure en médailles de l’Académie des Beaux Arts[4] avec L'Hercule français, l’Académie ayant décidé de ne pas attribuer un premier prix. L'année suivante, il concourt à nouveau, mais le jury exprime curieusement le regret[5] de ne pas avoir deux premiers prix à accorder, Michaut ayant déjà remporté un second prix, n’était susceptible que d’obtenir le premier. Il grave pour le gouvernement de Napoléon 1er la médaille de l’Aigle Française sur le Wolga sous la direction de Dominique Vivant Denon (1812).

Son fils Auguste Victor Michaut naît le 19 février 1814; il sera légitimé lors de son mariage dix ans plus tard avec Jeanne Louis, qui est, fait remarquable, de cinq ans plus âgée que lui et divorcée d’un premier mari en 1804. Ce fils sera d’abord comme son père, artiste et fera les Beaux Arts en peinture puis deviendra homme de lettres et écrira même un long poème [6] comme éloge funèbre après l'enterrement de James Pradier, l'ami de son père. Il épousera par dérogation du roi Louis Philippe, sa nièce, fille de son demi-frère, le fils qu’a eu sa mère avec son premier mari.

Graveur des Monnaies de Louis XVIII modifier

Lors de la première Restauration, un « Concours pour la perfection de la gravure des monnaies » est ouvert le 2 août 1814 afin de définir le futur type des monnaies de Louis XVIII et l’entière confection d’un système monétaire. Michaut se met sur les rangs et propose un modèle de pièce de 40 Francs, en différents métaux, et quatre types de pièce de 5 Francs. Il remporte à 28 ans le concours[7] où participaient six graveurs beaucoup plus âgés et plus renommés que lui : Bertrand Andrieu (53 ans), Nicolas Guy Antoine Brenet (44 ans), Jean-Pierre Droz (68 ans), Nicolas Marie Gatteaux (63 ans), Pierre-Joseph Tiolier (51 ans).

L'ordonnance du 9 décembre 1815 fixe au premier janvier 1816 les nouvelles émissions de monnaies signées du graveur Michaut. Son modèle pour une monnaie française de cinq francs (ou écu) lui vaut à l’époque les commentaires élogieux du critique d’art Edmond About lorsqu'on jette cet écu sur le comptoir d'un marchand on ne se doute pas qu'on dépense un chef-d’œuvre et ceux de Thérèse Vallier dans son éloge d’un autre graveur Hubert Ponscarme[1][2] :  Sous la Restauration, la glyptique a pour tenants de solennels pompiers. Michaut seul fait exception. Dans un éclair de génie, il donne, avec son écu à l'effigie de Louis XVIII, une vraie petite merveille d'élégance et de clarté. Il en est très fier puisqu'il en a fait hommage en juin 1813[8] à sa classe de l’École des Beaux Arts.

Succès et renommée : un artiste européen aux Pays Bas en 1815 modifier

Auguste François Michaut est appelé ensuite au Royaume des Pays-Bas pour exécuter des monnaies d'or et d'argent du royaume, les grands sceaux de l'État et d'autres médailles. Guillaume Ier, Roi des Pays bas, Prince d’Orange Nassau, Grand Duc de Luxembourg, le nomme par décret royal du 4 octobre 1815, graveur des monnaies et médailles à sa cour pour trois ans. Logé dans les Hôtels des Monnaies de l’État (Bruxelles, La Haye, Utrecht 1817), il reçoit des appointements annuels de 2000 florins. Le 9 décembre 1816, le roi lui confie la gravure des coins [9] pour les pièces de 10, 3, 1 et 1\2 florins, à son effigie, tandis que, D. van der Kellen et A. J. van der Monde, graveurs de la Monnaie d'Utrecht, sont chargés de frapper les pièces de monnaie en argent et en cuivre, ainsi que des ducats en or.

La signature de Michaut se trouve donc sur les pièces de monnaie néerlandaises suivantes :

  • 1817. 10, 3, 1 et 1|2 florin ;
  • 1817. 3 florins, nouveau type ;
  • 1818. 10 florins.

Il exécute également plusieurs médailles et notamment la médaille de la réunion de la Belgique à la Hollande (1815). Il est nommé Membre de la société royale des beaux arts et de littérature de Gand (Classe de Gravure-1820)[10] et aussi Membre de l’Institut Royal des Pays Bas. Il fait connaître en Belgique le tour à portrait, machine permettant d’obtenir une copie réduite d’une médaille, d’un portrait.. en amenant celui inventé par Anatole Hulot[11].

Retour en France et accident modifier

De retour à Paris en 1820, à 34 ans, il obtient le titre de graveur en médailles de Monsieur le Dauphin et est décoré de la Légion d’honneur par Louis XVIII, le 28 avril 1821. Elle lui sera remise aux Beaux Arts par François Lemot le professeur de ses débuts. Mais en 1821, un incendie[12] ravage son appartement à Paris et le blesse grièvement alors qu’il voulait arrêter la progression des flammes. Il réalise néanmoins de nombreuses médailles et expose au Salon en 1827 [13] et en 1831[14] des cadres de médailles et épreuves couronnées aux concours monétaires.

Graveur des Monnaies de Charles X modifier

A l’avènement de Charles X, il imagine la médaille dite « des vœux des habitants de Versailles », exprimant le souhait des versaillais de voir le roi retourner dans ses appartements de Versailles. Dans le même temps,en 1825, est ouvert le concours pour l’effigie de Charles X sur les monnaies. Le premier concours reste sans résultats. Il n’y a pas participé. Mais, les pièces de 5 et 40 Francs vont alors lui être commandées au second concours et il est donc choisi [15] pour graver le nouveau système, non sans soulever quelques accusations de faveurs ministérielles[16]. Il va se faire payer pour sept systèmes 448 000F en comparaison des 25 000 Florins obtenus aux Pays Bas pour quatre systèmes. En 1829, le ministère de la Marine le charge de graver une médaille pour le conseil privé des colonies (sujet: Charles X donnant la charte aux Colonies). De plus, il exécute avec James Pradier deux médailles, l'une à la gloire de Philippe d'Orléans, dont le buste apparaît au milieu d'enseignes représentant les différents partis avec l'inscription Par patriotisme acceptant la couronne, il déjoue les partis[17] et une autre dédicacée à la Garde Nationale (Général Lafayette)[18].

Séquelles de ses brûlures modifier

Mais les brûlures graves aux mains contractées pendant l’incendie lui rendent le maniement des outils extrêmement pénibles. Néanmoins, il essaie de vaincre ces difficultés pour concourir à l’effigie de Louis Philippe 1er sur les monnaies (1830). Mais le Roi ne lui accordera pas la séance particulière qu’il lui avait fait demander par le Ministre des Finances, estimant que les chances devaient être égales pour tous les concurrents. Les pièces seront faites par Nicolas Pierre Tiolier plutôt que Gallé entre 1830 et 1831 à sa grande insatisfaction. Et à partir de 1831, Joseph François Domard, un condisciple de Michaut en 1810, aux Beaux Arts, remporte le concours.

Michaut se propose alors comme conservateur à la monnaie des médailles puis inspecteur-vérificateur des coins devant servir à frapper les monnaies et adresse à l’administrateur plusieurs courriers sur la réorganisation de la monnaie des médailles. Sans succès. Il gravera peu de médailles à partir de cette date et se retire à Versailles, rue de Vergennes, Quartier des Chantiers.

« Michaut des monnaies » : retour à la sculpture modifier

Il se fait appeler dorénavant « Michaut des monnaies » (des monnoies comme on dit à l'époque) et vit de diverses rentes (loyers de divers appartements versaillais et parisiens, indemnité de logement de 300 Francs annuel donné par le Bureau des Sciences et des Beaux Arts au Ministère du Commerce et Travaux Publics, juillet 1832).

Il s'intéresse toujours à la sculpture et réalise une statue en buste[19] [20] de l’Abbé de l'Épée, l'inventeur d'un premier langage fondé sur des signes méthodiques destiné aux sourds muets en 1770. Mais la longue maladie et la mort de son père le détourne de ce projet. Il le reprend en 1839 et réalise une statuette[21] qu’il fait circuler. Une commission est finalement créée pour surveiller l’exécution d’un monument à la gloire de l’Abbé de l'Epée et provoquer des souscriptions. Cela sera sa dernière œuvre à 57 ans. Il sculpte la statue et la fait couler en bronze à ses frais[22]. L’abbé est représenté debout, tenant dans la main gauche une tablette sur laquelle est gravée le mot Dieu ; sa main droite est levée, et les doigts forment la lettre D dans l’alphabet de la langue des signes. Une médaille de sa main sera offerte aux souscripteurs et plus tard en 1859, il fera des bas reliefs apposés sur le socle de la statue. Cette statue qui a souvent été déplacée au grès des travaux ou aménagement sur la voie publique [3] , retrouve actuellement sa place initiale sur la Place de la Cathédrale Saint Louis. Il entre au conseil municipal de Versailles et en recevra une médaille d’argent en 1843.

Il meurt à Versailles (Boulevard de la Reine) le 26 décembre 1879 à l’age de 93 ans.

Œuvres modifier

    • Visites à La Monnaieou Monnaies de visite:
      • de Paris: 1817 du duc et de la duchesse de Berry (module 2 Francs); 1817 de la duchesse d'Angoulême(module de 5 Francs) ;1817 du duc et de la duchesse de Berry (mod. ot 5 Francs, sev. var.)(module de 2 Francs)  ; 1818 de Monsieur (Charles X) (mod. de 5 Francs, sev. var.);1822 du Prince et de la princesse du Danemark(module de 2 Francs) ;
      • de Lille:1814 du duc de Berry (module de 5 Francs; plusieurs sortes) ; 1815 du duc d'Orléans (module de 5 Francs) ;
      • de Marseille: 1814 du Comte d'Artois;
      • Ministère des Finances: Comte Corvetto, Ministre des finances, 1817 (mod.5 francs) ; M. Roy, Secrétaire des finances, 1820 (mod. de 5 Francs).
    • Pays Bas Musée Teyler,Haarlem,Hollande
      • Grand Sceaux du Royaume des Pays-Bas* ;
    • 1815 Association des Pays-Bas au Royaume-Uni des Pays-Bas*;
    • 1815 Prix de William 1er;
    • 1818 En l'honneur d'Alexandre Ier*,tsar de Russie Congrès d'Aix la chapelle ;
    • 1819 Médailles d'honneur [4] fabriquées pour la monnaie d'Utrecht, avec buste de William I. de Hollande côté face,et le nom gravé de la personne décorée ou de l'institution entouré d'une couronne de laurier côté pile(3 var.);comme en 1828 celles pour H.Rotgans attribuée en fonction des services dans l'incendie de l'usine de poudre à canon Nieuwendijk, pour W. van Leeuwen décernée pour comportement philanthropique,pour Kaas Bolding, service des incendies,Nieuwendam; en l'honneur de John Goldingham (1768-1849) premier astronome officiellement nommé au service de la Compagnie des Indes à Madras;
    • 1820 En l'honneur de la famille royale des Pays Bas et leurs parents*;
    • 1820 Le roi Guillaume Ier et la reine Wilhelmina;
    • 1820 Anna Pavlovna, princesse des Pays-Bas et épouse de William Frederick;
    • 1820 Reine Wilhelmina, épouse du roi Guillaume Ier;
    • 1820 Prince Frederik et la princesse Marianne, fils et fille de la reine Wilhelmina et du roi Guillaume Ier;
    • 1821 Conquête de Palembang (Sumatra) par les troupes néerlandaises ;
    • 1832 Remise de la citadelle d'Anvers par l'armée hollandaise dirigée par le général David Chassé aux troupes françaises (siège de la citadelle d'Anvers), [23].La Médaille du siège d’Anvers récompensait les membres du corps expéditionnaire français en Belgique[5].
    • France
      • 1812 Napoléon empereur des français et son fils le roi de Rome*
      • 1812 L'aigle française sur le volga* [24]
      • 1814 Docteur Francois Broussais*, auteur de la médecine physiologique; et un autre de 1836 ;
      • après 1814 Marie-Thérèse-Charlotte de France*, duchesse d'Angoulême, dite Madame Royale Carnavalet
      • 1816 Pour les élèves de Louis David* Carnavalet
      • 1816 Mariage de Louis d'Angoulême avec Marie-Thérèse de Bourbon en 1799 Carnavalet;
      • 1817 Rétablissement de la statue d'Henri IV sur le Pont-Neuf, 1817 Carnavalet
      • 1818 Médailles de la ville de Rouen [25]
      • 1818 Jean-Francois Ducis*, poète [26]
      • 1820 En collaboration avec James Pradier, Médaille Commémorative du duc de Bordeaux Archives de la monnaie de Paris[lire en ligne];
      • 1823 Monument élevé à Versailles à la mémoire du duc de Berry [27]
      • 1824 Rétablissement des statues des rois de France Bibliothèque Université de Gand
      • 1826 La ville de Versailles* à Charles X [28]; 1824 Carnavalet;
      • 1827 Jeton Octogonal de la société des notaires de Paris*
      • 1827 Colonies Françaises - Cour d'assises* Bnf
      • 1827 Hyppolite Magloire Bisson[29]
      • 1828 Jean-François Ducis[30], [31]
      • 1828 Prudhomme-Sénat et Conciliat
      • 1828 Voyage du roi, Industrie de la Moselle
      • 1829 Digue de Cherbourg
      • 1829 Médaille du prix Botanique de la Belgique
      • 1830 Avènement de Louis Philippe Bibliothèque de l'Université de Gand;Bnf ; cette médaille réalisée avec J.Pradier a fait l'objet d'une étude sur le forum Pradier [32]
      • 1830 Charte constitutionnelle
      • 1830 Visite du Roi à Versailles, revue de la garde nationale
      • 1830 Timbre sec Etat major de la Garde Nationale (Général La Fayette)
      • 1833 Jeton de la Compagnie des notaires Marseille
      • 1832 Jeton de la Compagnie des notaires Seine et Oise
  • Autres
    • Statue de l'Abbé de l'Epée [33]
    • Légions d 'honneur: plusieurs bijoux de grand croix du modèle dit de Biennais avec buste de Henri IV gravé au centre [6]


Bibliographie modifier

  • L.Forrer, Biographical dictionary of Medallists, Londres,1909, t.IV, p. 60.
  • Charles Gabet, Dictionnaire des artistes de l'école française au XIXe siècle, 1834.
  • Natalis Rondot, Les médailleurs et les graveurs de monnaies,jetons et médailles en France, Paris,  éd.Ernest Leroux,1904,p. 394.
  • Spink & Son, The Numismatic circular,vol. 62-64,London,1954,p. c445.

Liens externes modifier

Medieval and modern coin search engine,AFMichaut

Notes et références modifier

  1. Orthographe du nom : dans diverses lettres, actes, articles on trouve des terminaisons variés propres à ce nom : Michaux, Michaud, Michault ou Michau. En fait, Auguste signait ses pièces et médailles avec un T et sur son état civil (passeport) Michaut prend un T; son acte de naissance un T; mais l'acte de mariage de ses parents un X.
  2. eclatdebois
  3. Ferdinand Berthier, L'Abbé de l'Epée : sa vie, son apostolat, ses travaux, sa lutte et ses succès, avec l'historique des monuments élevés à sa mémoire à Paris et à Versailles, 1852,p. 219.
  4. Agnès Goudail, Catherine Giraudon, Jean-Michel Leniaud, Procès verbaux de l’Académie des beaux arts 1811-1815, vol. 1-2, p. 148
  5. Agnès Goudail, Catherine Giraudon, Jean-Michel Leniaud,Procès verbaux de l’Académie des beaux arts 1811-1815,vol. 1-2, p. 218
  6. Auguste Michaut, "James Pradier, statuaire",Versailles, Imprimerie de Montalant-Bougleux, 8 avenue de Sceaux,Versailles,1852
  7. Le site du collectionneur
  8. Agnès Goudail, Catherine Giraudon, Jean-Michel Leniaud,Procès verbaux de l’Académie des beaux arts 1811-1815,vol. 1-2,p. 496
  9. Arthur Engel, Raymond Constant Serrure, "Traité de numismatique moderne et contemporaine", vol. 1,  éd.Ernest Leroux,Paris,1897,p. 633
  10. Annuaire de la province de la Flandre-orientale,p. 167
  11. Revue numismatique, Société française de numismatique, Paris, éd.Les belles lettres,p. 256
  12. Le Constitutionnel, 2 février 1821, p. 135
  13. les oeuvres présentes dans ce tableau sous forme d'essais,médailles,monnaies sont marquées d' une astérisque
  14. "Explication des ouvrages de peinture, sculpture, gravure,... et architecture des artistes vivans", exposés au Musée royal, le 1er mai 1831, Paris,  éd.Vinchon, 1831, p. 187
  15. Arthur Engel, Raymond Constant Serrure,"Traité de numismatique moderne et contemporaine", vol. 1,Paris, éd., 1897,p. 622
  16. Le constitutionnel: journal du commerce,politique et littéraire,29 mai,2 et 3 juin 1825.
  17. Journal des débats politiques et littéraires 1830/08/11
  18. Journal des débats politiques et littéraires 1830/09/12
  19. Paris guide: La vie, deuxième partie, éd. Librairie internationale,1867,p. 1976
  20. L'Ami des sourds-muets,Journal de leurs parents et de leurs ...,vol. 1-5,p. 142
  21. L'Ami des sourds-muets; Journal de leurs parents et de leurs ...,vol. 1-5,p. 159
  22. Joseph Adrien Le Roi, Histoire de Versailles : de ses rues, places et avenues, depuis l'origine de cette ville jusqu'à nos jours, vol.  2, p. 262.
  23. Joconde Portail des collections des musées de France[lire en ligne]
  24. Trésor de numismatique et de glyptique, ou Recueil général de médailles, monnaies, pierres gravées, bas-reliefs tant anciens que modernes sous la direction de M. Paul Delaroche... , Paris,  éd.Vve Lenormant,1831-1850, p. 120.
  25. Jacques Tanguy,"Rouen-Médailles de la ville de Rouen"
  26. Explication des ouvrages de peinture, sculpture, gravure,... et architecture des artistes vivans, exposés au Musée royal, le 1er mai 1831, Paris, Vinchon, 1831, p. 187
  27. Gorjeu,Salino,A. Chabouillet, "Catalogue des poinçons, coins et médailles du Musée Monétaire de la commission des monnaies et médailles",Paris, éd.Pihan de la forest,1833
  28. Journal des debats politiques et litteraires 1824/11/18
  29. Amédée Gréhan,"La France maritime", vol. 2,Paris, éd.Postel,1837,p. 132.
  30. Journal des debats politiques et litteraires 1828/03/10
  31. L.Forrer, "Biographical dictionary of Medallists", Tome IV, Londres,1909,p. 60-64
  32. Douglas Siler,"Étude : une médaille Louis-Philippe 1830 inconnue" [lire en ligne]
  33. L'Illustration, No. 0029, 16 Septembre 1843 [lire en ligne]