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Gustave Miklos (30 juin 1888, Budapest – 5 mars 1967, Oyonnax), artiste d'origine hongroise, naturalisé français en 1922, peintre, décorateur, sculpteur, émailleur, illustrateur, créateur de reliures et de laques. S'il est connu essentiellement pour ses sculptures, on sait aujourd’hui qu’ il a œuvré pendant près de vingt ans comme nègre du célèbre graveur et éditeur François-Louis Schmied et aussi pour le trio que ce dernier formait dans son atelier avec Jean Dunand et Jean Goulden. Avangardiste, Miklos a influencé durablement d'autres créateurs avec qui il a collaboré. Après la mise au jour de ses archives inédites, reconsidérant l’ensemble de sa production et plusieurs aspects de son talent, il est permis d’avancer qu’il fut l’un des premiers concepteurs, des plus originaux, remarquables et prolixes du style Art Déco en France.

Biographie modifier

Né à Budapest (Hongrie), dans une famille modeste, il fut un enfant aux dons précoces en peignant des sujets historiques et religieux déjà à l'âge de sept ans [1]. Gustave Miklos est arrivé en France en 1909, suivant de peu son compatriote et ami Jozsef Csaky [2]. Ayant été formé à l'École Royale des Arts Décoratifs de Budapest et à la peinture académique par Ladislaus Kimnach (1857-1906), c'est comme peintre qu'il fit ses débuts à Paris, exposant au Salon d'automne dès 1910[3]. Il trouve rapidement le moyen de gagner sa vie en travaillant comme nègre pour des étudiants nantis de l'École Spéciale d'Architecture[4]. Il s'inscrit à la Palette et fréquente les ateliers de Henri Le Fauconnier et de Jean Metzinger. Dès 1911, il expose avec les cubistes au Salon des indépendants[3]. En août 1914, il s'engage dans la Légion étrangère comme volontaire sous le pseudonyme de Rameau et est incorporé dans l'Armée d'Orient[5]. Pendant ces années de guerre il découvre, avec son ami polonais, Jean Lambert-Rucki, au gré du déplacement des troupes, l'Afrique du Nord, la Grèce et les Balkans[6]. Il en profite pour s'initier aux artisanats arabes et berbères, à l'art byzantin, à l'art grec archaïque et classique. Ces expériences orientales auront une influence décisive sur la naissance de son nouveau style appliquant systématiquement la « science de l'effet »[7], et la " divine proportion "[8].

De retour en France en 1919, il repart de zéro et se remet aussitôt à peindre et exposer. Toutefois, il abandonne brutalement la peinture en 1922. Cette rupture se situe exactement au moment où il passe une sorte de " contrat " avec l'éditeur F.-L. Schmied[9], qui s'était lancé dans la production de livres et reliures Art Déco, d'un luxe inouï, pour les cercles de bibliophiles. Comme on l'apprendra plus tard (Cf. G. Miklos, Un Grand œuvre caché), grâce à la découverte du cahier de comptes des Travaux pour François [Louis Schmied], qu'il a tenu de 1922 jusqu'en 1941, pour Miklos cette collaboration consistait à concevoir entièrement les livres (illustrations, maquettes, reliures ornées de laques, émaux, fers, etc.), toujours signés par Schmied[10].

À la même époque, il est découvert par le couturier et mécène, Jacques Doucet, et dès 1921, il travaille pour lui comme assistant de Pierre Legrain à la décoration du studio Saint James[11]. Il y conçoit des œuvres fort diverses. Les revenus qu'il retire de ces travaux lui permettront d'investir dans la fonte de ses premières sculptures en bronze qui trouveront acquéreurs grâce à la protection du mécène[12]. Léonce Rosenberg lui ouvre les portes de sa galerie L'Effort moderne en 1923. Gustave Miklos y expose des bas-reliefs en métal repoussé, des sculptures, des émaux, dont les commentateurs de l'époque admirent la sensibilité et la qualité d'exécution[13].

La même année, tournant résolument le dos à son passé de peintre, il montre au Salon d'Automne deux tours architecturales abstraites en bois polychrome[14]. Tandis que la critique salue la production bibliophilique de Schmied - à l'occasion d'une exposition organisée à New York en 1927 -, Miklos poursuit son évolution et élabore, dans l'atelier de la rue Saint-Jacques, trente sculptures qui seront exposées en 1928 à la galerie de La Renaissance, rue Royale. " J'ai été un des premiers à goûter le charme de votre modernisme byzantin ", écrit Jacques Doucet en exergue du catalogue[15].

En 1929, il est des fondateurs de l'Union des artistes modernes (UAM)[16], et s'associera régulièrement aux expositions annuelles qu'elle organise.

Les conséquences de la crise économique mondiale de 1929 se ressentent durement en France vers 1932. L'éditeur Schmied, bientôt ruiné, ferme ses ateliers de la rue Hallé, puis s'exile au Maroc. Gustave doit désormais compter sur le soutien quasi exclusif mais indéfectible du mécène Jacques André[17]. En 1940, Miklos se trouve réquisitionné par l'Éducation nationale, envoyé à Oyonnax, dans le Jura, comme professeur auxiliaire de dessin[18]. Durement affecté par les rigueurs du temps, l'amertume d'un exil en terre indifférente à son art, et la maladie[19], Miklos n'a plus de forces pour lutter. Seulement après sa mort survenue en 1967 une certaine reconnaissance se profile. Les collectionneurs et les galeristes s'intéressent à la période Art Déco, les prix se mettent à grimper. En contrepartie, alors que, de son vivant, le sculpteur n'avait produit que des pièces uniques patiemment patinées, certaines de ses sculptures ont fait l'objet, depuis une quarantaine d'années, de nombreux tirages posthumes non autorisés.

La récente étude (" Un Grand œuvre caché ", Editions Fata Libelli, 2013), publiée sur la base des archives inédites conservées par les héritiers de Miklos et aussi de recherches, de recoupements et d'une analyse stylistique approfondie, apporte un éclairage nouveau sur l'apport décisif du génie de Miklos à l'équipe Schmied-Dunand-Goulden (qui constituait avec Paul Jouve le Groupe des Quatre). L'examen attentif des meilleures créations de ce trio comparées aux sculptures signées de Miklos, révèle un style de construction commun[20], un modernisme, une inventivité, un sens du dessin, des harmonies de couleurs inédites[21]. Autant de caractéristiques qui gardent l'empreinte des expériences esthétiques et humaines de Miklos.

Enfin, on y trouve, mis pleinement en évidence le rôle de Miklos, cet européen hongrois-viennois-méditerranéen-oriental-occidental, dont on peut dire qu'il a été un des pionniers du style Art Déco[21].

Œuvres graphiques modifier

Livres illustrés par Gustave Miklos (établis par François-Louis Schmied, dans l'ordre de parution)[22].

1 - Salammbô ; 2 - Les Climats ; 3 - Daphné ; 4 - Le Cantique des cantiques ; 5 - Deux Contes ; 6 - Viatique (Archange de la boxe) ; 7 - Histoire de la princesse Boudour (tirage à 20 ex.) ; 8 - Histoire de la princesse Boudour (ex. unique) ; 9 - La Légende du martin-pêcheur ; 10 - Les Ballades françaises ; 11 - Histoire charmante de l'Adolescente Sucre d'Amour ; 12 - Histoire charmante de l'Adolescente Sucre d'Amour (tirage à 25 ex) ; 13 - La Création ; 14 - Les Douze Césars ; 15 – Aphrodite (ex. unique) ; 16 - Le Livre de la Vérité de Parole ; 17 - Ruth et Booz ; 18 - Kim ; 19 - Le Livre des Rois ; 20 - Le Paradis musulman ; 21 – L'Odyssée ; 22 - Les Aventures du Dernier Abencérage ; 23 - Chemin de Croix (ex. unique) ; 24 – Peau-Brune ; 25- Lueurs et pénombre (Archange de la poésie) ; 26 - Chansons des heures ; 27 - Paysages Méditerranéens ; 28 - Le Sud-Marocain ; 29 - Le Tapis de prières ; 30 - Chansons de Tanger ; 31- Faust ; 32 - Prométhée enchaîné.

Dans le carnet des « Travaux pour François... » tenu par Gustave Miklos[23], ont également été répertoriés une vingtaine de mises en pages, « arrangements », ornementations, couvertures, etc. faits pour les livres édités par F.-L. Schmied (parfois à l'enseigne du Bélier), Ph. Gonin, Le Livre Contemporain, Plon, Séquana et pour les livres illustrés par Paul Jouve ainsi que diverses créations graphiques pour le Salon des Artistes Décorateurs, des publicités, les musées nationaux, etc. Son cahier de travaux révèle aussi la création de 200 projets de reliures, laques et émaux pour le compte de F.-L. Schmied[24].

Sculpture modifier

Le catalogue raisonné des sculptures, à paraître fin 2013[25], devrait compter près de 150 pièces. Voici une courte sélection de sculptures, toutes pièces uniques, exécutées par Miklos.

  • Tête de femme, 1921. Bas-relief en cuivre repoussé et laqué brun-noir, fond martelé monté sur panneau de bois. Premier travail en relief réalisé par Miklos dans cette technique.
  • Baigneuse, 1922. Plâtre. Première sculpture de l'artiste. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Bolide, 1924. Bronze.
  • Femme sur un animal, vers 1924. Lingot de cuivre forgé.
  • Sculpture architecturale, vers 1924. Bronze.
  • Femme à l'oiseau, vers 1924-25. Bas-relief en ciment rose.
  • Figure et son ombre, vers 1924-25. Haut-relief en ciment.
  • Femme montant une marche, 1925. Bois de poirier.
  • Lions ou Deux bêtes affrontées, vers 1925-26. Bronze ciselé et patiné or avec émaux de couleurs.
  • Femme voilée, 1926. Bronze, socle en marbre.
  • Divinité noire, 1926. Diorite noire de Scandinavie.
  • Coupe ansée de deux têtes de bronze, vers 1926. Deux anses en bronze laqué couleur brique sur une coupe ancienne de granit noir et blanc.
  • Jeune homme debout, 1927. Bois de poirier.
  • Animal (ou chien) tournant, 1927. Bronze.
  • Animal cornu, 1927. Bronze.
  • Sculpture architecturale hommage à Franz Liszt, vers 1927-28. Bronze.
  • Boxeur, 1928. Bronze.
  • Divinité solaire, vers 1928. Bronze.
  • Femme debout, vers 1928. Bronze.
  • La Méduse ou Masque de Gorgone, 1930. Haut-relief en bronze.
  • Grand masque, 1930. Haut-relief en bronze. Musée d'Art moderne de la Vile de Paris.
  • Amitié, vers 1930. Bronze.
  • Faucon, 1933. Bronze patiné.
  • Baigneuse, 1933. Bronze.
  • Prométhée, 1934. Haut-relief en plâtre polychromé. Musée des beaux arts de Calais.
  • La Parisienne, vers 1936. Bronze. Musée d'Art moderne de la Vile de Paris.
  • Les Fiancés, dit aussi Le Couple, 1937. Plâtre patiné argent. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • L'UAM accueille les jeunes et Tête de femme entourée d'éléments architecturaux, 1937. Bas-relief monumental en quatre parties. Plâtre.
  • Le Grand clown dit aussi Clown au tarogato, vers 1939. Plâtre polychromé. Musée d'art et d'industrie de Saint-Etienne.
  • Tête de jeune fille sans écran, 1949. Bronze.
  • Femme debout, 1963. 1ère version, plâtre patiné, 77 cm.
  • Femme debout, 1963. 2e version, bronze, 51 cm.

Design : objets décoratifs et aménagements modifier

Le catalogue raisonné des objets mobiliers et projets d'art décoratif [25], à paraître fin 2013, compte une centaine de références. Il comprend des réalisations de tapis, plaques décoratives en argent laquées, lampes, meubles, miroirs, coffret de jeux, boîtes et étuis, bijoux, meubles (paravents, banquettes, table, meubles d'appui), proue de yacht, jeu d'échecs, pendules, postes de radio, décorations d'appartements, etc. Y figurent aussi des projets et des études pour plaques et panneaux laqués ou émaillés, fontes émaillées, vitraux, vases, flacons, et aussi des décorations pour façades, halls, grand magasin ou chambres.

Peinture modifier

Le catalogue raisonné des peintures (dessins, gouaches, aquarelles, hors illustrations pour les livres), à paraître fin 2013[25], devrait compter près de 140 pièces. En voici une sélection :

  • Idylle dans un parc, 1906. Peinture refusée par le jury du Salon national de Budapest de 1906. Refus qui, parmi d'autres motifs, encouragea Miklos à quitter son pays.
  • Nature morte, 1909. Huile. « Première peinture peinte en France ».
  • Paysage de Meudon, 1909. Peinture à l'huile sur contreplaqué. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Baignade au bord de la Marne, vers 1909-1910. Huile sur toile. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Femme assise (Figure of a woman sitting), 1913. Huile sur toile. Tableau figurant parmi les dix Cubist & futurist paintings importerd from France présentés dans une exposition itinérante aux États-Unis.
  • Nus cubistes, vers 1913. Trois huiles sur toile.
  • Paysage breton, 1914. Peinture à l'huile sur isorel. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Le vieux clown, 1922 [-1940]. Peinture à l'huile sur toile. Le dernier tableau que Miklos peignit, en 1922, avant sa longue interruption due à son travail d'illustrateur pour Schmied.
  • Portrait de Mme Gustave Miklos [vers 1940-1942]. Détrempe.
  • Vierge bleue, 1942. Gouache sur papier mince.
  • Saint-François d’Assises, [vers 1942]. Huile sur toile.
  • L'Étang du moulin, [vers 1942]. Peinture à l'huile sur toile. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Baigneuse, 1912-1962. Huile sur bois. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Composition au taureau, entre 1942-1965. Huile sur toile. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Femme à la gazelle, entre 1942-1965. Détrempe. Musée de Brou, Bourg-en-Bresse.
  • Mère et son enfant, 1965. Mine de plomb. Musée du peigne et des Plastiques d’Oyonnax.

Annexes modifier

Références modifier

  1. - Patkaï (Christiane), Gustave Miklos 1888-1967 : sa vie et son œuvre de sculpteur. S.l. [Paris]. Mémoire de maîtrise (Histoire de l'art, Paris IV), 1978, page 5.
  2. - Opus cité, page 11.
  3. a et b - Opus cité, page 100.
  4. - Opus cité, page 14.
  5. - Opus cité, page 20.
  6. - Opus cité, pages 20 et 21.
  7. - Opus cité, page 23.
  8. - Opus cité, page 24.
  9. - Opus cité, page 33.
  10. - Cichocka (Danuta), avec la collaboration de Bastin (Étienne), Patkaï (Christiane) et Renoux (Jacques), Gustave Miklos. Un grand œuvre caché. Livres, reliures, graphisme. Paris, éditions Fata Libelli, 2013, pages 8 sqq.
  11. - Patkaï, Opus cité, page 38.
  12. - Opus cité, page 34.
  13. - Rambosson (Yvanhoé), in Comœdia, 6 janvier 1923.
  14. - Opus cité, page 104.
  15. - [catalogue] Œuvres de Gustave Miklos, galerie La Renaissance, Paris, 1928.
  16. - Patkaï, Opus cité, page 49.
  17. - Opus cité, page 60.
  18. - Cichocka et collab., Opus cité, page 39.
  19. - Patkaï. Opus cité, page 69.
  20. - Cichocka et collab., Opus cité, page 12.
  21. a et b - Cichocka et collab., Opus cité, pages 50 sqq.
  22. - Cichocka et collab., opus cité, pages 66 sqq.
  23. - Cichocka et collab., opus cité, pages 160 sqq.
  24. - Cichocka et collab., opus cité, pages 167 sqq.
  25. a b et c - Les catalogues raisonnés annoncés ici seront publiés dans le second volume de la monographie de l'artiste, à paraître, aux éditions Fata Libelli, fin 2013.

Articles de revues et journaux (ordre chronologique) modifier

  • Guiffrey (Jean) – « Gustave Miklos », La Renaissance, n° 5, 1928, pp. 199-206.
  • « L'Exposition Gustave Miklos (Galerie de la Renaissance) » – La Presse, 22 mai 1928.
  • Benoist (Luc) – « Gustave Miklos, sculpteur », Art et Décoration, février 1931, pp. 45-48.
  • Antonioli (Paul) – « Ramener la sculpture moderne à la simplification des formes de l’Égypte antique / tel est le credo de Gustave Miklos / précurseur parisien « replié » à Oyonnax » – Le Dauphiné Libéré, 27 novembre 1948.
  • « Entretien avec G. Miklos, peintre et sculpteur », Le Dauphine Libéré, 11 août 1966.
  • « Suite des entretiens avec M. Gustave Miklos, peintre et sculpteur moderne», Le Dauphine Libéré, 13 août 1966.
  • Rousseau (Maurice) – « J'ai deux amours, la couleur et la forme », nous dit le sculpteur-peintre Gustave Miklos, qui vient d'achever son dernier chef-d'œuvre : « Jeunesse » – Le Progrès, 13 août 1966.
  • Barcellini (Serge) – « Brou accueille la donation Miklos », La Voix de l'Ain, 9 juillet 1976.
  • Pezon (J) – « Le retour de Gustave Miklos », La Voix de l’Ain, 9 décembre 1983.
  • « Gustave Miklos à Oyonnax. Un Picasso inconnu », Courrier de l’Ain, 16 décembre 1983.
  • « Hommage à Gustave Miklos », La Voix de l’Ain, 30 décembre 1983.
  • Poncet (Catherine) – « Exposition Miklos : L’émotion sereine », Le Progrès, 22 janvier 1984.
  • « L’après Miklos. Une rétrospective pleine d’enseignements », La Voix de l’Ain, 3 février 1984.
  • Renoux (Jacques) – « Gustave Miklos dans l'ombre de l'atelier Schmied », in Le Magazine du bibliophile, n°107, été 2013.

Principaux catalogues d’expositions modifier

  • Émaux champlevés et métaux par Gustave Miklos, Galerie L’Effort moderne / Léonce Rosenberg, 31 janvier au 23 février [1923].
  • Œuvres de Gustave Miklos, galerie La Renaissance, Paris, 1928.
  • Union des Artistes Modernes, musée des Arts décoratifs, Paris, 1930.
  • Union des Artistes Modernes, galerie Georges Petit, Paris, 1931.
  • La Sculpture contemporaine en France, galerie Georges Petit, Paris, 1934.
  • Un siècle de sculpture française, Stedelijk Museum, Amsterdam, 1939 ; Palais des beaux-arts, Bruxelles, 1940.
  • Gustave Miklos sculpteur, galerie À L'Enseigne du cerceau, Paris, 1972.
  • Donation Miklos, Bourg-en-Bresse, 1976.
  • Gustave Miklos, exposition rétrospective, Centre culturel Aragon, Oyonnax, 1983.

Liens externes modifier

Serveur Joconde des musées – .
Gustave-miklos-monographie.com.
Musée d'art moderne Saint-Étienne métropole – .
Musée du Peigne et des Plastiques d'Oyonnax – .
La Parisienne au Musée d'Art moderne de Paris – .
Pour les livres édités par F.-L. Schmied et illustrés par G. Miklos –l .
Pour les reliures sorties des ateliers F.-L. Schmied et autres réalisées d'après les projets de G. Miklos – .