Utilisateur:Ecologie-socialisme-république/Brouillon
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Biographie
modifierHomme politique français, secrétaire national du Parti de Gauche chargé des relations extérieures et unitaires[1]. Né fin 1958, marié et père de deux enfants et citoyen du 11ème arrondissement de Paris. Comme beaucoup de gens de sa génération, Eric Coquerel s’éveille à la politique dès le collège à travers les manifestations contre la loi Debré qui réformait le régime du sursis militaire (1973). Attiré d’abord par la mouvance libertaire, il se rapproche de la LCR en 1981 où il soutient les courants favorables à un parti large et à l’unité. Au cours des années 80 il poursuit ses études d’Histoire tout en étant salarié. Il participe activement à la mobilisation contre la réforme Devaquet (1986) tant à la Faculté Paris X de Nanterre, qu’à la coordination nationale étudiante et au sein de l’UNEF ID.[réf. nécessaire] En 1998, il démissionne de la LCR quand cette organisation choisit de s’allier avec Lutte ouvrière et tourne ainsi le dos à la stratégie de construction d’un parti large de la gauche de transformation dans laquelle elle était engagée.[réf. nécessaire] En 2002, il soutient la candidature de Jean-Pierre Chevènement[réf. nécessaire], qui lui semble pouvoir bouleverser la donne à gauche et contester sérieusement l’hégémonie social-démocrate.[Quoi ?][réf. nécessaire] Il affirme[Où ?] que le double échec au XXème siècle de la sociale démocratie et du communisme d’Etat a en effet redonné toute sa valeur à la primauté de la souveraineté populaire et aux fondements républicains pour refonder un projet transformateur, et que sur ces questions, le MDC a vu juste avant le reste de la gauche. Mais l’évolution de la campagne le place assez rapidement en porte-à-faux : il se montre en désaccord avec la République « au-delà de la gauche et de la droite » sur laquelle JP. Chevènement fait sa campagne. Se reconnaissant dans la pensée de Jaurès, il défend une conception de la République comme processus émancipateur ayant pour but l’égalité sociale et ne pouvant se dissoudre dans un programme social ignorant les conflits de classe entre le capital et le travail au nom d’un intérêt national qui lui serait supérieur.[pas clair] Retrouvant cette critique chez beaucoup de militants du MDC, Eric Coquerel crée un courant dont l’objectif est de ramener le parti créé à l’issue de la campagne, le MRC, sur une ligne qui tourne le dos à cette dérive[Laquelle ?]. Elu secrétaire national à l’issue du congrès fondateur de St Pol sur Mer, il constate rapidement l’impossibilité de modifier le cours des choses, et démissionne du MRC. En 2003, avec Eric Halphen, Michel Naudy, Jeannick Le Lagadec, François Cocq et Hayat Dhalfa, il fonde Le Mars, Mouvement pour une alternative républicaine et sociale, dont il prendra la tête.[réf. nécessaire] Il signe la même année l’appel dit « Ramulaud » pour une « coordination permanente pour une alternative à gauche résolument antilibérale », où on retrouve, entre autres signataires, Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard.[réf. nécessaire] Lors des élections européennes de 2004, il est candidat sur la liste de rassemblement entre le PCF, Alternative Citoyenne et le Mars conduite en Ile de France par Francis Wurtz. En 2005, Eric Coquerel est l’un des porte-paroles de la campagne du « non » de gauche au traité constitutionnel européen. Avec le Mars, il s’engage ardemment pour une candidature unitaire de la gauche antilibérale à la présidentielle de 2007, démarche qui n’aboutit pas ; face à la division qui s’ensuit, il refuse de soutenir l’un des candidats. En 2008, lorsque Jean-Luc Mélenchon et Marc Dolez démissionnent du PS, il les rejoint immédiatement avec ses camarades du Mars pour cofonder le Parti de Gauche, dont il est depuis l’un des secrétaires nationaux. Membre de la coordination nationale du Front de Gauche, il participe activement à sa construction. En 2009, il est désigné tête de liste sur Paris de la liste du Front de Gauche pour les Régionales (« Ensemble pour des régions à gauche ») qui dépasse les 6% sur la capitale[2]. Il est élu conseiller régional d’Ile de France, ce qui constitue son premier mandat électif. Il siège dans le groupe « Front de Gauche & Alternatifs ». Conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon pendant la campagne présidentielle de 2012, il se présente ensuite aux législatives dans la 2ème circonscription de Corrèze (Brive). La même année il publie Au cœur du Front de Gauche aux éditions Arcane 17, premier ouvrage consacré à une histoire de l’intérieur du Front de Gauche[3]. Républicain social qui a traversé, en plus de trente ans de militantisme, plusieurs familles de la gauche, Eric Coquerel a participé activement depuis 2003 à toutes les tentatives de regroupement de la gauche antilibérale. Eric Coquerel poursuit également une carrière professionnelle dans la communication sportive. Il a ainsi collaboré avec quelques uns des plus grands marins français (Michel Desjoyeaux, Isabelle Autissier), écrit et réalisé plusieurs documentaires et livres[Lesquels ?] sur ce domaine.[réf. nécessaire]
Références
modifierOuvrages
modifierAu coeur du Front de Gauche, Paris, Arcane 17, 2012.
Medias
modifierJournaux
modifierPortrait dans Libération : http://www.liberation.fr/politiques/2013/09/26/eric-coquerel-la-mer-est-rouge_934965
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Le-Front-de-gauche-veut-ecrire-un-nouveau-chapitre-571357
Radio
modifierInvité d'Europe 1 http://www.dailymotion.com/video/x158wx5_eric-coquerel-sur-europe-1-francois-hollande-est-il-le-president-des-patrons_news
RFI http://www.rfi.fr/emission/20130530-eric-coquerel-secretaire-national-parti-gauche
Télévision
modifierInvité du Grand Journal http://www.dailymotion.com/video/xy0qfq_eric-coquerel-face-a-daniel-cohn-bendit-le-grand-journal-du-06-03-13_news
http://www.dailymotion.com/video/xvwkb9_eric-coquerel-invite-du-grand-journal-de-canal_news
On va se mentir
http://www.lepartidegauche.fr/lateledegauche/media/eric-coquerel-dans-on-va-se-mentir-24927