Utilisateur:Cours de communication/Brouillon

Covid-19 et religion
Expansion du virus[1].
Maladie
Origine
Localisation
Monde Monde entier (voir liste des pays touchés et le tableau complet)
Foyers principaux (plus de 100 000 décès confirmés), par ordre alphabétique :

Drapeau de l'Allemagne Allemagne (article)
Drapeau de l'Argentine Argentine (article)
Drapeau du Brésil Brésil (article)
Drapeau de la Colombie Colombie (article)
Drapeau des États-Unis États-Unis (article)
Drapeau de la France France (article)
Drapeau de l'Inde Inde (article)
Drapeau de l'Indonésie Indonésie (article)
Drapeau de l'Iran Iran (article)
Drapeau de l'Italie Italie (article)
Drapeau du Mexique Mexique (article)
Drapeau du Pérou Pérou (article)
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni (article)
Drapeau de la Russie Russie (article)
Date d'arrivée

Bilan
Cas confirmés
260 511 421 ()[2]
Cas soignés
235 469 913 ()[2]
Morts
5 203 100 ()[2]
6 à 8 millions (estimations de l'OMS[3])

Situation sanitaire:

La pandémie de Covid-19 Écouter est une maladie infectieuse émergente, appelée coronavirus ou Covid-19, provoquée par le coronavirus. [4]. En France, le 11 mars 2020, l'épidémie de Covid-19 est déclarée pandémie mondiale par l’OMS, à la suite duquel, elle instaura une mise en place de mesures de protection nécessaire, pour retarder la création de nouveaux foyers de contagions et préserver les capacités d'accueil du corps médical. Ayant pour conséquence, la décision d’une mise ne place d’un confinement. Cette mesure inédite, engendra de profondes modifications des institutions, notamment des cultes religieux.

L'mpacte de la pandémie sur les institutions religieuses modifier

Judaïsme modifier

1.Réorganisations des fêtes religieuses modifier

 
La table pour la fête familiale de Pessah.

Le mercredi 8 et jeudi 9 avril de l’année 2020 , marque la Pâque juive dite : « Pessah », au cours duquel les croyants juifs commémorent la délivrance des Hébreux de l’esclavage. Habituellement, cet événement est l’occasion pour les familles élargies de se retrouver autour de grandes tablées pour lire la Haggada (le récit de l’Exode), instruire les plus jeunes dans une atmosphère animée et conviviale. Mais cette année, le covid-19 interdit les rassemblements familiales ,situation regrettable , résumé avec humour par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF)voir site officiel, qui explique qu’il faut « sortir d’Egypte sans sortir de chez soi ».[5]

2. Obsèques juives modifier

L’épidémie du covid-19 implique une réorganisation de la gestion des obsèques juives traditionnelles. Le 23 mars 2020, Le Grand Rabbin de France a dévoilé les nouvelles instructions concernant le déroulement des obsèques juives. Ces nouvelles mesures, ont ensuite été reprises dans différents décrets. Premièrement, aucune toilette rituelle est autorisée pour les défunts atteints du covid-19. Ensuite, la prière de Mehila, de rigueur durant l’enterrement est maintenue seulement le cercueil reset fermer, et les gestes barrières ainsi que le port du masque doit être respectés.[6]

3.Annulation des pèlerinages modifier

Le pèlerinage annuel juif de la Ghriba, prévu du 7 au 13 mai de l’année 2020 en Tunisie , est annulé en raison de la pandémie du Covid-19, a annoncé mardi 21 avril à l'AFP Perez Trabelsi, responsable de cet événement rassemblant habituellement des milliers de pèlerins du monde entier .La synagogue de la Ghriba, la plus ancienne en Afrique, située sur l'île de Djerba (sud)[7], est fermée depuis la propagation du nouveau coronavirus en Tunisie, où 886 cas ont été officiellement déclarés, dont 38 décès, depuis le 2 mars. Ainsi les pèlerinages sont annuler comme l’explique ,Perez Trabelsi, le présidents de la communauté juives de Tunisie : «Nous ne ouvrons la synagogue qu'une fois dépassé le danger du virus».[8][9]

Islam modifier

 
Pourcentage de musulmans par pays en 2009.
 
Le pèlerinage à La Mecque en Arabie saoudite, est un des piliers de l'islam


1.Réorganisation des fêtes religieuses modifier

En France , le 24 avril 2020 s'est déroulé le ramadan . Cette période sacrée de jeûne , est traditionnellement l’occasion des grandes retrouvailles familiales . Mais cette année les autorités , craignant une augmentation des cas de Covid-19, ont interdit ces rassemblements .[10][11]

Cette période sainte s'accompagne , au cours de l’année 2020, par une seconde fête religieuse :l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice), l’une des plus importantes fêtes du calendrier musulman.

L'Aïd al-AdhaExplications est une période de rassemblement, mais c'est aussi un mois de prière au cours duquel les musulmans convergent en nombre vers les mosquées. Cependant en raison de la pandémie du covid-19, presque tous les pays musulmans ont imposé des restrictions aux fidèles, leur demandant de prier chez eux, et ont parfois instauré des couvre-feux. D’autres mesures sanitaires , altérants le processus habituelle de cette célébration , ont été mises en place .En effet , le CFCM (Conseil français du culte musulman) appelle à « rendre brefs les deux rassemblements » et « De même, l'acte sacrificiel ayant lieu dans les abattoirs, qui sont des potentiels clusters, doit encourager le sacrifice par délégation, l'étalement du sacrifice sur trois jours et la livraison des sacrifices à des points plus sûrs », souligne encore le CFCM.[12][13]


2.Obsèques musulmanes modifier

L’épidémie du covid-19 implique une réorganisation de la gestion des obsèques musulmanes traditionnelles. En mars 2020, le Conseil Français du Culte Musulman et Musulmans de France ont communiqués , des décrets, sur les nouvelles procédures à suivre concernant, l’enterrement des défunts en cette période de crise. Ces mesures ont été transcrites en décrets. Les rites religieux de rigueurs, ont été soumis à de profonds changements. Tout d’abord, le lavage du corps dit : « Taghcil », qui constitue le lavage rituel du défunt est interdit. Ensuite, l’étape de l’enveloppement du corps du mort par des linceuls, appelé ; doit être, désormais, réalisé par un agent hospitalier uniquement. De même, selon le contexte du décès, la prière funéraire n’est plus systématiquement célébrée avant l’enterrement, et est permis de l’effectuer, après que l’enterrement a été terminé. Il est aussi possible de célébrer la prière mortifère de l’absent « salat-al-ghaieb » sur le défunt. Il n’est donc pas nécessaire que le défunt soit présent durant la prière.[14]


3.Annulation des pèlerinages modifier

Le hajj Explication , grand pèlerinage à la Mecque, qui doit se dérouler du 28 juillet au 2 août pour l’année 2020 , est menacé d'être annulé , à cause de la situation sanitaire[15] .Cette décision difficile, crainte par tous les croyants musulmans est inédite est serait sans précédent depuis 1932 et la fondation de l’Arabie saoudite. En effet, les afflux de pèlerins venus du monde entier , faisant de la Mecque un foyer de contamination . D’autant qu' une grande partie des pèlerins, sont des personnes à risque car relativement âgées, et le système de santé saoudien, reste assez précaire, avec un nombre de lits par habitant relativement faible.


Catholicisme modifier

 
Christianisme - Pourcentage par pays.

1.Réorganisation des fêtes religieuses modifier

Le début du mois d’avril de 2020 est accompagné d’une semaine Sainte très particulière pour les catholiques : « Pâques ». Habituellement la messe de Pâques que préside le pape François réunis un ensembles de croyants, sur l'immense place de la Sainte Pierre à Rome :Il s'agit du plus important moment liturgique de la tradition chrétienne, qui célèbre la résurrection du Christ. [16] Toutefois cette sainte périodes est bouleversée par la crise sanitaire , comme l’explique le Vatican qui précise que toutes les célébrations liturgiques de la semaine de Pâques se tiendront sans fidèles . « En raison de l’actuelle urgence sanitaire internationale, toutes les célébrations liturgiques de la Semaine Sainte se tiendront sans la présence physique des fidèles », écrit dans un communiqué la Préfecture de la Maison Pontifical.site officiel

2.Obsèques catholique modifier

L’épidémie du covid-19 implique une réorganisation de la gestion des obsèques catholique traditionnelles. Le 17 mars 2020, les paroisses concernant les funérailles ont communiqué de nouvelles recommandations concernant les obsèques religieuses, qui ont donné suite à différents décrets. Tout d’abord, il n’y a plus d’eucharistie, durant les cérémonies religieuses, le célébrant effectue seulement une bénédiction. Ensuite, « les rites de la lumière », qui dans la tradition, renvoie aux cierges transmis et allumé par les proches du défunt, et désormais, uniquement allumer par le célébrant de la cérémonie. De même, durant « le rite de l’eau » seul le célébrant peut tenir le goupillon pour asperger le défunt d’eau bénite.[17]

3.Annulation des pèlerinages modifier

Face à la crise pandémique liée au coronavirus qui menace le monde entier , dans un souci de responsabilité, l’équipe du service des pèlerinages du diocèse d’Aix et d'Arles a décidé d’annuler le pèlerinage diocésain à Lourdes prévu du 13 au 17 juillet 2020. Notons que le 16 mai 2020 , est marqué par la réouverture du pèlerinage , toutefois le sanctuaire de Lourdes subit l’annulation de la quasi-totalité des pèlerinages organisés. Par ailleurs ,à cause du Covid-19, “80 % des pèlerins ont annulé leur venue” , explique Thierry Lavit, le maire de la cité mariale aux pieds des Pyrénées.

De profondes modifications modifier

l’imitation des jauges dans les lieux de cultes modifier

Compte tenu du caractère inquiétant de la situation sanitaire, il a été fixé une jauge de 30% de la capacité globale d'accueil de chaque lieu de culte. Seulement la Conférence des évêques de France avait dénoncé, une mesure "non nécessaire, disproportionnée et discriminatoire", espérant une annulation de la mesure sanitaire prise par le Premier ministre : Jean Castex. Notons, que l'association identitaire Civitas, également à l'origine de la saisine du Conseil d'Etat, avait souligné, confiera via un tweet, que "si Saint-Sulpice avec ses 6 170 m² ne peut accueillir que 30 personnes, cela fait 205 m² par personne alors qu'on est à 8 m² pour les commerçants »[18]. L’issu de se conflits aboutira aune satisfaction de la part des croyant comme en témoigne le tweet comme en témoigne le porte-parole de l'épiscopat, qui salua, décision du Conseil d'Etat : « Nous nous réjouissons pour tous les catholiques qui peuvent venir en communauté retrouver la source et le sommet de leur foi : l'Eucharistie ».[19] Quant aux croyants musulmans, afin de palier à la contrainte de la limitation de jauges, ils ont créé des sites internet, permettent aux croyant de se connecter et de faire la prière en visioconférences, accompagner de d’autres adhérents. Cette alternative avait comme objectif de reconstituer le contexte conviviale et fraternelle, présent dans les lieux de cultes.

De nouvelles manière d’exercer sa confession modifier

« On s’adapte, on réinvente »[20], voilà le nouvel adage des religieux, contraint par la crise sanitaire. Plusieurs cultes religieux ont, effectivement, dû trouver des alternatives, face aux contraintes imposées par la situation sanitaire. Les cérémonies religieuses, se diffuse alors de manière différée, par des vidéos héberger par internet, et d’autre de manière immédiate, via les réseaux sociaux ou des visioconférences. Ainsi l’épidémie n’a causé aucunes une rupture entre les croyants et leurs foies, néanmoins un nouveau mode communication à était introduits. Pour exemple, nous pouvant prendre, le tweeter du Pape, très qui s’est révélé très actif durant cette période de crise. Le but étant de faire garder espoir aux croyants et conservé leur foie, comme le montre l‘un de ces tweets, énonçant un dicton grec : « L’ami est un autre moi ». Dans ce contexte de crise de santé publique, où il est très important de garder le lien humain, « la Congrégation de l’Armée du Salut » de Rouen[21], a organisé les cultes en vidéo sur la plateforme YouTube, animé les dimanches à 10 heures. Le Lieutenant, Stéphane Gratas créa, également, un groupe WhatsApp, nommé : « Communauté de Rouen » permettant le passage des prières, et l’échange de nouvelles des personnes de la communauté chrétienne.De même, certains croyants musulmans , effectuer leur cinq prières quotidiennes , avec un lien internet permettant par visioconférence, d’accéder à une reconstitution du lieu de culte . Le but étant de reconstituer l'atmosphère sainte et fraternelle , présente dans les lieux saints .

Ainsi des communautés virtuelle ont été renforcées. Privés de rassemblement, de nouveau support de communication ont émergés dans la sphère religieuse : groupes de discussion ou de prières en ligne, échanges par WhatsApp, cours de formation religieuse.[22]

Les bienfaits de la crise sanitaire modifier

Ce n’est pas un châtiment divin! modifier

 
Le péché originel représenté par Le Dominiquin, Chatsworth House.

Tous les croyants issus de religions différentes, s’accordent à penser, que la dureté de la crise sanitaire, a permis de se rapprocher des choses essentiels du quotidiens, à savoir la famille de la foi religieuse. Ainsi la pandémie rappelle que « l’homme n’est pas tout puissant », qu’il doit reconsidérer son milieu, qu’il ignore depuis trop longtemps. La crise est : « un révélateur de l’urgence ». Comme l’énonce une sexagénaire belge, membre d’une aumônerie : « Les religions sont porteuses de valeurs et d’utopies qui, selon la manière dont on les aborde, peuvent s’avérer nourricières et inspiratrices dans nos sociétés en quête de souffle ». La crise sanitaire a donc permis au croyant de développer et focaliser leur attention sur le foie religieuse. Ainsi la pandémie n’est pas perçue comme un châtimentt. Par ailleurs, le président de la Conférence des Eglises réformées, Jean-Baptiste Lipp, dit : « Nous pouvons écarter tout de go l’hypothèse de la punition divine. »[23], de même, Hafid Ouardiri, ancien porte-parole de la mosquée de Genève, affirme « Nous n’avons pas à accuser Dieu de quelque mal que ce soit », propos repris, par François Garaï, rabbin de la synagogue du judaïsme libéral de Genève, qui assène a son tour : « Dieu n’est pas responsable de la pandémie !».[24]

Appel à la solidarité modifier

 
Liste de symboles religieux.

« Aider son prochain » s’érige en maxime, durant cette période de crise. La situation sanitaire a fortement concerné les plus vulnérables, tels que les SDF et les familles en situation précaire. Les organisations religieuses se sont donc mobiliser pour venir en aide aux plus démunis en continuant de diffuser des sacs de premières nécessité. Toutefois l’action sociale ne s’arrête pas aux familles nécessiteuses, elle s’applique plus largement au reste de la population comme en témoigne les diverses actions mises en place par les différents cultes. En effet, l'église des Highlands, une megachurch chrétienne évangélique, a offert des tests Covid-19 gratuits. Pareillement, les croyants de confession musulmane, qui ont redoublé de vigilance durant la période sainte que constitue le ramadan. Pour pallier les manques de ressources, des familles pauvres et modestes, ont été organisées des maraudes. De même, le souci envers son prochain fait écho aux propos tenus par le rabbin François Garaï : «Un texte talmudique dit que les juifs sont liés les uns aux autres et je crois qu’il faut utiliser tous les moyens possibles pour que cette relation d’entraide existe entre tous, toutes croyances et incroyances confondues.»[25]. Finalement cette période de confinement, à un rôle d’unificateur, plaçant « l’autre » au centre des intentions, sans distinction d’appartenance religieuses.

Une réconciliation avec la mort modifier

Cette période de Covid 19 a permis d’intégrer le passage de la mort, qui est une étape inéluctable, auxquelles tous les mortels se contraignent. Pour autant, « Après le sexe, la mort est devenue le nouveau tabou » déplore Jean-Baptiste Lipp. Toutefois depuis l’épidémie, la mort est omniprésente, notamment à travers les décomptes journaliers de décès liés au virus. Les religieux des trois grandes religions monothéistes, perçoivent donc cette période comme un moyen d’appréhender la mort. Notons , qu’un verset coranique, rentre en résonnance avec l’idée que la mort et la vie sont deux notions conjointes, (v. 2 s 67) : “ C’est Dieu qui a créé la mort et la vie afin de vous éprouver pour savoir qui de vous est le meilleur en œuvre ”[26]. La sagesse consiste donc à accepter que vivre implique la mort.[27] [28][29]

Expérimentation de la foi modifier

 
La Création d'Adam, détail du plafond de la chapelle Sixtine.

Les religieux ne considèrent pas la mort comme une fatalité, mais comme l’accès à une autre vis soumis au lois de l’éternel comme l’entend l’abbé Philippe Blanc: «Redécouvrons la mort non pas comme un échec ou une punition, mais comme ce fameux passage vers la vie avec Dieu d’une manière plénière.». « Les épreuves nous font toujours réfléchir à nos limites », fait remarquer, directeur de la Fondation pour l'Entre-Connaissance.[30]


Notes modifier

  1. (en) « Operations Dashboard for ArcGIS », sur gisanddata.maps.arcgis.com, .
  2. a b c et d (en) « COVID-19 Dashboard) », OMS, (consulté le ).
  3. « Covid-19 dans le monde : la pandémie a fait plus de six millions de morts, estime l’OMS », sur lemonde.fr, .
  4. [1]
  5. https://www.lefigaro.fr/international/coronavirus-en-tunisie-annulation-du-pelerinage-annuel-juif-de-la-ghriba-prevu-en-mai-20200421
  6. [http://Covid-19%20:%20consignes%20pour%20les%20obsèques%20juives%20-%20AdVitam
  7. https://fr.wikipedia.org/wiki/Djerba
  8. https://africa.la-croix.com/coronavirus%E2%80%89-le-pelerinage-annuel-juif-de-la-ghriba-annule-en-tunisie/
  9. https://www.tunisienumerique.com/tunisie-actualite/perez-trabelsi/
  10. https://www.france24.com/fr/20200423-entre-covid-19-et-confinement-en-france-les-musulmans-vont-vivre-un-ramadan-particulier
  11. https://www.bfmtv.com/societe/ramadan-sous-covid-19-quelles-consequences-pour-le-mois-de-jeune_AV-202104130124.html
  12. https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/coronavirus-ramadan-aid-deconfines-coeur-n-y-est-pas-vraiment-1830786.html
  13. https://www.euro.who.int/fr/health-topics/health-emergencies/coronavirus-covid-19/publications-and-technical-guidance/2020/safe-ramadan-practices-in-the-context-of-the-covid-19-interim-guidance,-15-april-2020
  14. https://advitam.fr/guides-obseques/religion-deuil/coronavirus-obseques-musulmanes
  15. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-l-arabie-saoudite-hesite-a-annuler-le-grand-pelerinage-annuel-a-la-mecque_3993867.html
  16. https://www.lavoixdunord.fr/726335/article/2020-03-15/coronavirus-les-messes-suspendues-en-france-paques-sans-fideles-rome
  17. https://advitam.fr/guides-obseques/religion-deuil/coronavirus-obseques-catholiques
  18. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/ceremonies-religieuses-le-conseil-d-etat-ordonne-au-gouvernement-de-modifier-la-limitation-a-30-personnes-jugee-disproportionnee_4200147.html
  19. https://twitter.com/VNeymon/status/1332996292159688704
  20. https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/04/09/coronavirus-pour-la-fete-juive-de-pessah-entre-confinement-et-visioconference-on-s-adapte-on-reinvente_6036055_3224.html
  21. https://www.armeedusalut.fr/spiritualite/temoignages/au-coeur-de-la-crise-du-covid-19-larmee-du-salut-represente-un-rayonnement
  22. https://www.letemps.ch/societe/capsules-video-prieres-virtuelles-foi-temps-confinement
  23. https://www.letemps.ch/societe/regards-religieux-pandemie
  24. https://www.franceguyane.fr/actualite/sante/coronavirus/mgr-lafont-dieu-n-est-pas-responsable-de-cette-pandemie-466951.php
  25. https://www.letemps.ch/societe/regards-religieux-pandemie
  26. https://www.le-coran.com/
  27. https://theconversation.com/la-foi-chretienne-renouvelee-par-la-covid-19-150192
  28. https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2007-1-page-163.htm
  29. https://www.letemps.ch/societe/regards-religieux-pandemie
  30. https://www.letemps.ch/societe/regards-religieux-pandemie