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Un jardin au bout du monde
et autres nouvelles
Auteur Gabrielle Roy
Pays Drapeau du Canada Canada
Genre Recueil de nouvelles
Éditeur Beauchemin
Lieu de parution Montréal
Date de parution 1975
Nombre de pages 217

Un jardin au bout du monde est un recueil de nouvelles écrit par Gabrielle Roy, publié en mai 1975.

L'action de la plupart des nouvelles du recueil se passe dans les provinces des prairies canadiennes quelques décénnies après le début de la conquête de l'Ouest canadien: « Un vagabond frappe à notre porte » met en scène une famille franco-manitobaine dont le père est né au Québec; « Où iras-tu Sam Lee Wong? » se passe, pour la majeure partie, dans un village de la Saskatchewan; c'est également dans cette province que se déroule l'action de « La vallée Houdou »[1]; quant à la nouvelle éponyme, « Un jardin au bout du monde », elle se passe dans un village fictif du nord de l'Alberta.

Écriture modifier

Le recueil de nouvelles est précédé d'une courte préface signée par l'autrice, dans laquelle elle précise que les nouvelles Un vagabond frappe à notre porte et La vallée Houdou avaient déjà fait l'objet d'une publication antérieure. Les deux autres nouvelles, pour leur part, étaient inédites avant la publication du recueil[2].

Roy y explique que la nouvelle Un vagabond frappe à notre porte « représente assez bien [...] l'aspect quelque peu moyenâgeux, l'aspect "image sainte" [...] sous lequel [lui] apparaissait le Québec » à travers les récits que lui en faisaient ses parents, immigrés québécois[2].

Avant-textes de la nouvelle éponyme modifier

Bien que la nouvelle elle-même dans l'état où elle figure dans le recueil soit inédite, « Un jardin au bout du monde » a fait l'objet de cinq « avant-textes[3] », sous la forme d'un reportage pour le Bulletin des agriculteurs; d'une nouvelle intitulée « La lune des moissons » qui a fait l'objet d'une parution en 1947 dans La Revue moderne; ainsi que de trois textes inédits, dont une nouvelle, un roman et un scénario[3], ces deux derniers étant inachevés[4]. En plus du personnage féminins central, ces autres versions du texte ont en commun un cadre spatial, soit celui d'un « environnement sauvage que l'être humain s'acharne à civiliser[5] ». L'expression « au bout du monde » se retrouve aussi textuellement dans les trois avant-textes inédits[5].

Les textes inédits n'étant pas datés, il est cependant difficile d'établir clairement la génétique entre la nouvelle « Un jardin au bout du monde » et ses avant-textes[6].

Nouvelles modifier

Le recueil est composé de quatre nouvelles :

  • « Un vagabond frappe à notre porte »;
  • « Où iras-tu Sam Lee Wong? »;
  • « La vallée Houdou »;
  • « Un jardin au bout du monde ».

Résumé modifier

« Un vagabond frappe à notre porte » modifier

Les Trudeau, une famille franco-manitobaine, reçoit la visite inattendue d'un vagabond, Gustave, qui prétend être un cousin venu du Québec. Après trois semaines passées auprès de la famille, le vagabond reprend la route, une nuit, sans prévenir.

La famille Trudeau et Gustave correspondent par courrier postal pendant quelques années, avant qu'il revienne visiter la famille un soir, fiévreux et délirant. Les Trudeau prennent soin de Gustave pendant la nuit, avant qu'il les quitte à nouveau le lendemain matin.

Résumé détaillé modifier

Un vagabond frappe à la porte de la famille de Ghislaine Trudeau, la narratrice, jeune fille d'une dizaine d'années. Il affirme venir de Québec et être un cousin, le fils de « celui qui a disparu[7] », que le père de la narratrice, Arthur Trudeau, identifie comme son frère Gustave, qu'il croyait mort. Arthur est enchanté de rencontrer ce cousin qu'il n'a jamais connu, quoique la mère de la narratrice, Albertine, semble être méfiante à son égard. Le vagabond, qui dit s'appeler Gustave, comme son père, est reçu à souper et promet de raconter des histoires du Québec, ce à quoi il s'emploie au courant de la soirée.

Gustave raconte des histoires de la famille Trudeau au Québec. On comprend, d'après son intérêt, qu'il s'agit d'histoires qu'Arthur, émigré au Manitoba au début de l'âge adulte et n'ayant pas revu sa famille depuis plusieurs dizaines d'années, a besoin d'entendre. À la fin de la soirée, Arthur insiste pour qu'on prépare un lit au vagabond. Une fois ce dernier assoupi, Albertine fait part à Arthur de ses doutes par rapport à l'identité de l'étranger, sur les bases du fait qu'il ne ressemble en rien à la description qu'Arthur faisait de son frère Gustave, et qu'il semblait s'appuyer lourdement sur les noms et les événements cités par Arthur pour filer ses histoires.

Les semaines passent. La famille Trudeau traite Gustave comme un serviteur le jour, l'occupant à diverses besognes dans la maison. Albertine a vraisemblablement hâte à son départ, sentiment qui n'est pas partagé par son mari. Le traitement de Gustave le jour dépend souvent des histoires qu'il a raconté le soir précédent, ce qui affine son talent de conteur.

Un soir, à la demande du père, Gustave raconte l'histoire d'Ephrem Brabant, un charlatan qui a fait fortune en vendant à tout le monde le même remède, peu importe la maladie.

Éventuellement, Gustave gagne l'estime d'Albertine en racontant des histoires pieuses, telles que les pélerinages vers Sainte-Anne-de-Beaupré et avec une description du frère André, qu'il affirme avoir rencontré.

Après trois semaines, le vagabond quitte la famille Trudeau sans laisser d'adresse. Les parents de la narratrice vérifient qu'il n'a rien et volé. Lorsqu'ils constatent que rien ne manque dans la maison, ils s'offusquent de son départ précipité.

Quelques années plus tard, la famille reçoit des lettres de Gustave, écrivant depuis la Saskatchewan et l'Alberta, disant qu'il est allé rencontrer d'autres cousins.

Plusieurs années après leur première rencontre, un soir de tempête, la famille Trudeau reçoit de nouveau la visite du vagabond, fiévreux et délirant. Une fois couché, il se présente successivement, dans un demi-sommeil, comme « Barthélémy [...] le garçon de votre frère Alcide[8] », puis comme « l'Honoré au père Phidime qu'on avait cru mort[9] ». La supercherie est révélée aux yeux de la famille, puis confirmée par Arthur qui réalise, après un tour dans le voisinage, que Gustave s'est fait passer pour un lointain cousin de pratiquement tout le village. Arthur, révolté d'apprendre que les histoires de Gustave au sujet de sa famille étaient fausses, veut le livrer à la police, mais Albertine le défend en disant qu'il « faut tout de même qu'il soit le parent de quelqu'un[10] », incitant son mari à le traiter comme s'il faisait réellement partie de la famille.

Le lendemain matin, rétabli et un peu honteux, Gustave reprend la route, salué par Albertine.

« Où iras-tu Sam Lee Wong? » modifier

Sam Lee Wong, un immigrant chinois, choisit, à son arrivée au Canada, de s'établir dans les prairies. Il arrête son choix sur le petit village de Horizon (en), en Saskatchewan, où il loue un local et installe un restaurant. Dans un premier temps, les affaires sont rudes et Sam Lee Wong n'a qu'un seul client, le basque Smouillya. Cependant, le restaurant devient graduellement plus achanlandé, jusqu'à ce que survienne une sécheresse, qui provoque un exode massif et une période de dépression économique.

Une fois la sécheresse passée, on découvre du pétrole dans la région, ce qui cause un boom démographique et économique dans le village. Incapable de suivre le rythme et subissant l'interdiction d'engager de la main d'œuvre blanche, le restaurant de Sam Lee Wong est vendu à une compagnie pétrolière. À la suite d'une série de malentendus, les habitants du village organisent au restaurateur une grande fête pour célébrer son départ, croyant qu'il quitte de son plein gré. De son côté, le chinois, qui se croit banni, prend le train et s'établit dans un village voisin, Sweet Clover, très semblable à Horizon tel qu'il l'avait trouvé 25 ans plus tôt, lors de son arrivée.

Résumé détaillé modifier

Sam Lee Wong est un chinois qui, de son enfance, n'a que le vague souvenir des montagnes. À l'âge adulte, il quitte la Chine pour le Canada dans l'espoir de s'échapper de la foule opressante de son pays natal. Il est pris sous l'aile de la Société d'Aide aux Fils d'Orient et choisit, presque par hasard, porté par la présence d'une petite chaine de montagnes, de s'établir à Horizon (en), en Saskatchewan.

Dès son arrivée à Horizon en train, Sam Lee Wong fait le tour du village, qu'il trouve peu populeux, mais vaste en superficie. De peine et de misère, parlant peu anglais, il parvient à louer un local et y installe un restaurant. Smouillya, un Basque sans le sou installé au village, est le premier client de Sam Lee Wong. Ayant de la difficulté à se faire comprendre à cause de son accent, de son mauvais anglais et de ses problèmes de système respiratoire, Smouillya est fui par les autres villageois. Pourtant, Sam Lee Wong parvient à le comprendre et les deux se lient d'amitié. Lorsque vient le temps de payer, Smouillya n'a pas l'argent et promet au chinois qu'il le remboursera. Ce dernier lui assure que ce n'est pas nécessaire, convaincu que son premier client lui portera chance. Smouillya promet de revenir le lendemain.

Au cours des mois, le restaurant de Sam Lee Wong gagne tranquillement en popularité dans le petit village, d'abord auprès des hommes vieux et tristes, attirant finalement des jeunes lorsque Sam Lee Wong fait installer une sorbetière. À l'aide des profits qu'il parvient à faire, Sam Lee Wong rembourse tranquillement sa dette envers la Société d'Aide aux Fils d'Orient, à l'aide de lettres que Smouillya, qui a une excellente calligraphie, envoie pour lui et signe à son nom: « Sam Lee Wong, esquire ». Smouillya ne comprend cependant pas pourquoi son ami s'entête à rembourser sa dette auprès de la société qui, à ses dires, n'a pas besoin de son argent. Sam Lee Wong explique que c'est une affaire d'honneur, et explique qu'il souhaite que son corps soit envoyé en Chine après sa mort, afin qu'il puisse être enterré dans la terre de ses ancêtres.

Soudain, une sécheresse frappe la région de Horizon et les affaires ralentissent. Beaucoup de gens quittent le village et les problèmes respiratoires de Smouillya s'empirent pendant l'hiver, l'empêchant de sortir de chez lui. Sam Lee Wong, seul, vieillit.

Peu après l'épisode de sécheresse, on découvre du pétrole dans la prairie. La ville connaît un boom démographique et économique, qui cause dans le restaurant de Sam Lee Wong un achalandage qu'il n'a pas les moyens de soutenir, n'ayant notamment pas le droit d'embaucher de la main-d'œuvre blanche pour lui venir en aide. Un inspecteur d'hygiène lui annonce que son restaurant ne respecte pas les critères et devra fermer; Sam Lee Wong, dans une tentative de moderniser son établissement, va s'adresser au propriétaire du bâtiment, qui lui annonce l'avoir vendu à une compagnie pétrolière: le restaurateur a trois mois pour quitter les lieux.

Sam Lee Wong explique la situation à Smouillya, qui fait le tour du village pour tenter de défendre la cause de son ami. Puisque personne ne peut le comprendre et que tous le fuient, il s'adresse à la téléphoniste du village. Celle-ci croit comprendre que Sam Lee Wong quitte volontairement le village pour retourner en Chine, et mobilise tout le village pour organiser au restaurateur une grande fête de départ.

La fête a lieu. Sam Lee Wong ne comprend pas tout ce qui s'y passe, mais il sait, pour l'avoir observé auparavant, que lorsqu'on organise une fête de la sorte pour quelqu'un, cette personne quitte presque imméditatement le village, pour ne plus y revenir. Se croyant banni, le chinois quitte amèrement Horizon et prend le train jusqu'à l'autre côté des montagnes. Il s'établit un nouveau restaurant dans le village de Sweet Clover, épargné par le boom pétrolier et semblable en presque tout point à Horizon tel qu'il était 25 ans auparavant.

« La vallée Houdou » modifier

Un groupe de doukhobors arrivés au Canada cherchent un endroit où s'établir. Après plusieurs jours, trois chefs, accompagnés d'un guide local, tombent sur « la vallée Houdou », un endroit inhospitalier et infertile qui, sous l'effet d'un mirage, se transforme en vallée paradisiaque dans la lumière du soleil couchant. Malgré les protestations de leur guide, les chefs choisisent la vallée Houdou pour s'y installer de façon permanente.

Résumé détaillé modifier

Un groupe de doukhobors, tout récemment installés au Canada, cherchent un endroit convenable où s'établir de façon permanente, sans trouver nulle part qui les satisfasse. Le guide qui les accompagne devient exaspéré, en raison de leurs critères rigoureux: en effet, les doukhobors doivent trouver une terre suffisamment grande et fertile pour accueillir et nourrir toute la tribu. Le groupe est désillusionné de l'image du Canada comme terre promise qu'ils avaient à leur départ de Russie et sont en attente d'un signe divin.

Après une journée entière de voyage et un mauvais détour, le guide et les trois chefs du clan doukhobor découvrent un endroit connu par les peuples autochtones comme « la vallée Houdou », jugé infertile, au sol pauvre et aux fleurs vénéneuses. Au coucher du soleil, la vallée Houdou prend des allures paradisiaques trompeuses: un mirage fait apparaître des montagnes et une rivière là où il n'y en a pas. Devant la vue de la vallée fertile, les chefs doukhobors vivent un extase et, malgré les protestations du guide, qui tente de leur expliquer le phénomène visuel, y voient un signe divin de s'y installer.

« Un jardin au bout du monde » modifier

Précédé d'un chapitre où la narratrice homodiégétique croise une femme à l'ouvrage dans son jardin, la nouvelle raconte, dans une narration hétérodiégétique, trois saisons dans la vie de Martha et Stépan Yaramko. Les Yaramko, un couple d'immigrants ukrainiens, sont installés dans la ville fictive de Volhyn, dans le nord de l'Alberta, depuis une trentaine d'années. L'histoire se déroule dans les années 1950[11] et se concentre principalement sur la vie intérieure des personnages. Martha prend soin de son jardin malgré sa maladie et se questionne sur le sens qu'a eue sa vie.

Résumé détaillé modifier

La narratrice se promène dans la ville fictive de Volhyn, dans le nord de l'Alberta. Elle tombe sur un jardin magnifique, qui lui inspire la nécessité de raconter l'histoire, « telle qu'[elle] apprit à la connaître[12] », de celle qui s'est occupé de ce jardin, une femme du nom de Maria Martha Yaramko.

Un printemps, en raison d'une douleur à son flanc, Martha peine à prendre soin de son jardin. Elle fait de la soupe à Stépan, son mari grognon, avec qui elle ne partage plus rien. Petit à petit, Martha comprend qu'elle va mourir. Elle s'occupe de son jardin le jour, et trouve de la joie dans la lecture d'un vieux catalogue Eaton's (en) le soir.

Un jour, l'été venu, Martha va porter des lys rouges aux Saintes icônes de la chapelle du village. Elle se remémore son arrivée au Canada. Malgré sa douleur, elle nettoie le plancher de la chapelle, discute avec le vent et songe au passé et à l'avenir du village. Elle songe avec satisfaction que personne ne pourra dire que Volhyn est mort avant elle.

Au cours de l'été, une tempête de vent, puis la sécheresse, mettent à l'épreuve le jardin de Martha, laquelle n'a plus l'énergie de le protéger aussi efficacement qu'elle le faisait lors des années précédentes. Alors que le vent déracine des fleurs rares, Martha rappelle à sa mémoire leur acquisition au cours des années.

Un soir, Stépan va boire à Codessa, la ville voisine. Sur la route, il se rappelle des souvenirs de l'immigration et des enfants qu'il a eus avec Martha, de qui il ne sait aujourd'hui presque plus rien. Il se fait la réflexion que ses enfants auraient honte de leur mode de vie rustique et de leur anglais rudimentaire. Une fois saoul, il se confie à un ami quant à la maladie de Martha, admettant qu'il est irrité par la conduite pieuse et la nouvelle douceur de sa femme, partiellement parce qu'il ne s'agit pas là d'un comportement qu'elle a adopté de façon constante toute sa vie et partiellement parce qu'il comprend que Martha agit de cette façon puisqu'elle sent la mort approcher. Cet ami explique à Stépan que les morts sont, une fois au Ciel, les estimés confidents du Seigneur, et Lui rapportent ce qu'ils ont vus sur Terre. Stépan en vient à craindre que Martha ne fasse un villain portrait de lui au Seigneur et regrette sa conduite auprès d'elle. En l'absence de Stépan, Martha va traire les vaches avec grande difficulté.

Le lendemain matin, Martha n'arrive plus à sortir du lit. Stépan songe à lui apporter une soupe, mais il réalise qu'il ne se sont pas parlés depuis si longtemps qu'il ne saurait comment lui adresser la parole. Il renonce finalement à s'occuper d'elle.

L'automne arrive. Stépan, qui considérait précédemment le soin que sa femme avait pour ses fleurs comme frivole, finit par préparer le jardin pour l'hiver de la façon dont il avait vu Martha le faire. Martha le regarde faire un instant, mais se détourne rapidement de la fenêtre pour que son mari ne soit pas gêné qu'elle le voie prendre soin de ses fleurs. Reconnaissante d'avoir vu ses fleurs « intactes pour un jour encore[13] », dont l'âme va rejoindre le vent.

Thèmes modifier

« La communication et la solitude[14] », « l'isolement spatial » et interpersonnel[14] ainsi que « [l]e sentiment d'oppression [et] de fascination qu'exerce la plaine sur l'esprit humain[15] » ont été identifiés par la critique comme des thèmes centraux du recueil. Dans une moindre mesure, les nouvelles du recueil proposent également une réflexion sur la fiction et, particulièrement dans le cas d'« Un vagabond frappe à notre porte » et d'« Un jardin au bout du monde », sur la fiabilité de l'instance narrative[16].

Le thème de la fiction dans le recueil est agrémenté par celui de la création, omniprésent dans l'œuvre de Gabrielle Roy[15]. En effet, les personnages du recueil sont rapprochés par leur désir de « contrer l'espace inhumain, sauvage et insensible[15] » que représentent les territoires nouvellement colonisés de l'Ouest et des prairies canadiennes. Dans Un jardin au bout du monde, les représentations les plus évidentes de ce thème sont le jardin de Martha Yaramko[15] et le restaurant de Sam Lee Wong.

Éditions modifier

  • Montréal, Librairie Beauchemin, 1975
  • Montréal, Éditions Boréal, coll. Boréal compact, 1994

Notes et références modifier

  1. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 133
  2. a et b Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 7-8
  3. a et b Sophie Montreuil, « Petite histoire de la nouvelle « Un jardin au bout du monde » de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 23, no 2,‎ , p. 361 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/201371ar, lire en ligne, consulté le )
  4. Sophie Montreuil, « Petite histoire de la nouvelle « Un jardin au bout du monde » de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 23, no 2,‎ , p. 367 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/201371ar, lire en ligne, consulté le )
  5. a et b Sophie Montreuil, « Petite histoire de la nouvelle « Un jardin au bout du monde » de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 23, no 2,‎ , p. 365 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/201371ar, lire en ligne, consulté le )
  6. Sophie Montreuil, « Petite histoire de la nouvelle « Un jardin au bout du monde » de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 23, no 2,‎ , p. 377 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/201371ar, lire en ligne, consulté le )
  7. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 16
  8. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 50
  9. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 51
  10. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 61
  11. Sophie Montreuil, « Petite histoire de la nouvelle « Un jardin au bout du monde » de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 23, no 2,‎ , p. 362 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/201371ar, lire en ligne, consulté le )
  12. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 156
  13. Gabrielle Roy, Un jardin au bout du monde, Montréal, Librairie Beauchemin, , 217 p. (ISBN 0-7750-0340-9 et 978-0-7750-0340-6, OCLC 2107051, lire en ligne), p. 214
  14. a et b Sophie Montreuil, « Petite histoire de la nouvelle « Un jardin au bout du monde » de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 23, no 2,‎ , p. 363 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/201371ar, lire en ligne, consulté le )
  15. a b c et d Nicole Bourbonnais, « La symbolique de l’espace dans les récits de Gabrielle Roy », Voix et Images, vol. 7, no 2,‎ , p. 368 (ISSN 0318-9201 et 1705-933X, DOI 10.7202/200326ar, lire en ligne, consulté le )
  16. Estelle Dansereau, « Le mutisme ethnique ou l'enjeu de la parole dans "Un jardin au bout du monde" de Gabrielle Roy », André Fauchon (dir.), Langue et communication, Actes du neuvième colloque du CÉFCO (12, 13 et 14 octobre 1990), Saint-Boniface, CÉFCO, 1990, p. 94.


https://www.noovomoi.ca/en-vedette/les-chefs-saison-12-candidats.html


Saison 12 modifier

La diffusion de la douzième saison commence le 10 avril 2023.

Lors de la quatrième semaine de compétition, la créatrice de parfum Ruby Brown est invitée à présenter le défi.

Participant(e) Âge Ville Classement (par semaine) Jumelage
1 2 3 4 5 6 7 Semaine 2 Semaine 3 Semaine 4 Semaine 7
Équipe Équipe adverse
Émilie Bégin 30 Montréal D Mauve Rose Gris Bleu
Félix Emery 28 Montréal D D D Bleu Vert Gris Vert Michael
Gabriel Gervais 26 Montréal D D Rose Mauve Gris Orange
David Giroux 24 Ste-Thérèse 1re Rose Mauve Blanc Vert Ronan
Michael Ho 26 Montréal 2e D Mauve Rose Blanc Bleu Félix
Élodie Larivière 36 North Hatley 1re 1er Rouge Orange Blanc Orange Raphaël
Raphaël Théberge 32 Québec D 1er Vert Bleu Blanc Orange Élodie
Ronan Ulliac 28 Montréal 2e D 3e Bleu Vert Blanc Bleu David
9e Valeria Gonzalez Rodriguez 30 Whistler (C.-B.) 3e D D Vert Bleu Gris Vert
10e Charles-Antoine Sirois 26 Québec D D Rouge Orange Gris
11e Olivier Graton 26 Montréal D Orange Rouge
11e Cédrick Gouge 28 Québec D Orange Rouge
13e Samuel Boyer 28 Blainville D

Légende :

  • Le candidat a effectué l'une des meilleures performances de la semaine.
  • Le candidat a effectué l'une des moins bonnes performances de la semaine.
  • Le candidat a reçu une mention spéciale.
  • D - Le candidat a remporté le duel.
  • D - Le candidat a perdu le duel et a été éliminé.