Stade olympique châtelleraudais

club de football français

Le Stade Olympique Châtelleraudais, couramment abrégé en SO Châtellerault et surnommé le SOC, est un club de football français fondé en 1914 et situé à Châtellerault dans le département de la Vienne.

SO Châtellerault
Logo du SO Châtellerault
Généralités
Nom complet Stade olympique châtelleraudais
Surnoms Le SOC, les Petits Rouges
Noms précédents

Club Athlétique Socialiste Châtelleraudais
(1914-1919)

Club Amicale Sportif Châtelleraudais
(1919-1941)
Fondation 1914[1]
(109 ans, 4 mois et 23 jours)
Statut professionnel Non
Couleurs Rouge et blanc
Stade Stade de la Montée-Rouge (4 800 places dont 1610 assises)
Siège 91, avenue des stades
86100 Châtellerault
Championnat actuel National 3
Président Julien Lamouche et Vincent Mallet
Entraîneur Abdes Tahir
Joueur le plus capé Geoffray Pénoty (396)
Meilleur buteur Pierre Matton (170)
Site web sochatellerault.com

Maillots

Domicile

Extérieur

Neutre

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
National 3 2023-2024
0

Dernière mise à jour : 27 septembre 2023.

Le SOC quitte les divisions régionales pour la première fois en 1949 puis il se maintient de manière durable dans les championnats Nationaux et de CFA de 1959 à 2016 cumulant 34 saisons au troisième niveau national.

Lors de la saison 1987-1988, il dispute le championnat de France de football de deuxième division et participe aux quarts de finale de la Coupe de France.

À l'issue de la saison 2018-2019, le club termine premier de la Poule A de Régional 1 et retrouve le championnat de National 3.

Le SOC dispute ses matches à domicile au stade de la Montée-Rouge et joue en rouge et blanc.

Histoire modifier

Les premières années modifier

 
La première équipe du Club Athlétique Socialiste Châtelleraudais (CASC) en 1915 et ancêtre du SO Châtellerault.

Le club est fondé le [2],[3],[4] par un groupe de treize ouvriers de la Manufacture d'armes de Châtellerault mené par Charles Pageault, alors conseiller municipal socialiste SFIO et syndicaliste CGT[5]. Dans le contexte de l’Union sacrée  , il prend le nom de C.A.S.C, le "casque" (Club Athlétique Socialiste Châtelleraudais) en hommage aux soldats de la Première Guerre mondiale. Les couleurs du club sont le rouge avec une étoile blanche sur le maillot. Au C.A.S.C, il n'y a pas que le football puisque l'athlétisme, la gymnastique, le rugby, le hockey sur gazon et la boxe y sont pratiqués avec des fortunes diverses[6].

La paix revenue, le C.A.S.C perd sa connotation politique et devient le 25 octobre 1919 le Club Amical Sportif Châtelleraudais[7]. Il adhère la même année à la Fédération française de football. De 1924 à 1938, la section football du C.A.S.C évolue au plus haut niveau régional du Championnat du Centre 1re série et remporte le championnat d’honneur en 1934 en battant en finale l'Athlétic Club d'Amboise, 2-1[8]. Les joueurs les plus connus sont le gardien Maurice Devergne, Jean Roux et le capitaine Louis Héraud.

Le 9 juin 1941, la guerre et l'occupation obligent le club à fusionner avec l'US Châtellerault et le CO Châtellerault, les deux autres clubs sportifs de la ville, respectivement de rugby et d’athlétisme, créés durant l’entre-deux guerres. Il prend le nom de CASC-US après cette fusion. Le Stade Olympique Châtelleraudais naît l'année suivante le après changement de nom, au café du Globe, boulevard Blossac[9]. Au début, le SOC est un club omnisports (football, rugby, basket, athlétisme, hockey sur gazon) mais la section football est la plus active. À l'époque, ce n'est qu'une formation de niveau départemental championne de la Vienne de 1re division et invaincue en 1942 et en 1943. La hiérarchie régionale est retrouvée en 1945, un paradis perdu depuis 1938. En 1947, un club de supporters est créé : "Allez SOC" mais le club peine à sortir de l'anonymat des compétitions locales[2].

L'après-guerre entre DH et CFA modifier

Avec sa fameuse aile gauche composée d'André Greskowiack dit "Gresko" et de Pierre Matton[10], joueurs arrivés en provenance du nord de la France[11], le SOC signe ses premiers résultats probants en 1948-49. Il décroche son premier titre de champion de DH de la Ligue du Centre-Ouest et participe pour la première fois aux trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France contre le champion de France 1947, le CO Roubaix-Tourcoing, le à Orléans[12]. Le titre de DH permet au club d'évoluer en Championnat de France Amateurs pour la première fois, alors 3e échelon du football français, où le SOC se maintient deux saisons (1949-51) avec Camille Malvy[13]. Aller-retour en CFA en 1953 puis en 1959 à la suite de nouveaux titres régionaux. En , le SOC abandonne le stade de Luna Park, situé à l'époque entre les actuelles rues Pierre Fillaud et de Beauséjour, pour évoluer au stade de la Montée Rouge, quelques centaines de mètres plus loin. Le SOC se maintient alors en CFA cinq saisons consécutives avec Manuel Garriga, Claude René et l'entraîneur-joueur Eugène Fragassi. En 1968, l'équipe remonte en CFA mais elle est reléguée la saison suivante par tirage au sort[2],[14].

Au sommet de l'élite amateur modifier

Sous la présidence de René Wittersheim et sous la conduite de Pierre Barlaguet, au club depuis , le SOC est promu en 3e Division en 1971[15].Brillante, l'équipe de Pierre Barlaguet lorgne jusqu'en 1973 sur la 2e place qui assurait la montée en D2. Le club se maintient finalement dix saisons en D3 avec de bons joueurs du cru autour de l'ancien joueur professionnel du SCO d'Angers et de l'AS Angoulême-Charente, Silvio Sérafin, en fin de carrière, entraînés par Louis Leclerc, Jean-Pierre Turci, Pierre Tordo et Francis Bizot. La descente en D4 provoque le retour à la barre du président Michel Morinet. Le club est alors moribond et chute jusqu'en DH en 1983... Les entraîneurs Jean-Pierre Colin puis Alain Felden font repartir le club de l'avant avec deux montées successives. Le stade de la Montée Rouge connait alors quelques travaux afin d'améliorer l'accueil des spectateurs avec l'érection d'une nouvelle tribune. De plus, le terrain qui appartenait à la gendarmerie est racheté. Repêché à la moyenne de spectateurs en 1986, le club est promu en D2 douze mois plus tard ! Après avoir éliminé les réserves de Monaco et du Paris-SG, le club s'incline seulement en finale nationale pour le titre de D3 face à la réserve de Sochaux.

Alain Felden qui ne pouvait plus concilier sa vie professionnelle avec les exigences d'une formation de D2 préfère alors passer le relais à Prudent Bacquet. Un budget nettement insuffisant (6,5 MF) malgré le soutien total d'Édith Cresson, maire de Châtellerault, condamne le club à faire l'ascenseur en 1987-88. Une petite saison en D2, puis s'en va. 10 victoires, 7 nuls et 17 défaites plus tard, le SOC regagne le troisième niveau pour un seul point malgré une moyenne de 1 844 spectateurs par rencontre et les renforts de Lionel Justier, Jean-Louis Garcia, Dominique Carlier, Hector Garcia et Eric Hély. La lutte pour ne pas redescendre fut terrible, puisque sept clubs se tinrent en 2 points. En Coupe de France, en revanche, l'équipe passe les obstacles et termine son parcours en quarts de finale, éliminé par le Stade de Reims[16].

Sous la houlette de Dominique Carlier, les Rouge et Blanc échouent cinq fois consécutivement à un souffle de l'antichambre de l'élite. C'est encore la Coupe de France qui fait briller le SOC avec un huitième de finale disputé en 1994 face au RC Paris après avoir éliminé le FC Metz 3-1 (après prolongations) au tour précédent emmené par leur avant-centre Franck Maufay. L'ex avant-centre "canari" marquera 50 buts en 3 saisons au SOC (dont 35 buts en championnat, 1992/1995)[14].

De 1997 à 2005, le SOC glisse au quatrième niveau national mais Stéphane Moulin quitte le club avec une montée longtemps espérée. Le , après la relégation administrative du Racing 92 qui l'avait devancé la saison dernière, le SOC accède en National et retrouve le 3e échelon national. Le club fait partie des soixante meilleures équipes en France[2],[17].

De la 3e Division au niveau régional en passant par le CFA modifier

 
Match de CFA2 (National 3) entre le SO Châtellerault et le FC Bressuire au stade de la Montée Rouge à Châtellerault, le 14 mai 2016.

Après deux saisons passées en National, le SOC (après s'être sauvé au cours de la dernière journée de la saison 2005-2006) n'a pas réussi cet exploit en 2006-2007 et se retrouve donc en CFA la saison suivante[14].Deux ans plus tard, l'histoire se répète au niveau inférieur et le SOC tombe en CFA2[18]. Lors de la saison 2012-2013, le club termine 11e et est condamné à la descente en division d'honneur, mais il est repêché[19],[20]. En proie à des soucis financiers depuis quatre ans, éprouvant des difficultés à attirer des partenaires privés et devant aussi faire face à une baisse des subventions des collectivités locales, le SOC est sanctionné par la DNCG au cours de l'année 2016[21]. Le club doit repartir en Division d'Honneur au sein de la Ligue du Centre-Ouest de football, un niveau régional qu'il n'a pas connu depuis l'exercice 1982-1983. En 2019, le club accède au championnat de France de national 3[22].

Résultats sportifs modifier

Palmarès modifier

Bilan saison après saison[25] modifier

Bilan du Stade Olympique de Châtellerault
Saison Championnat Coupe de France
Division Résultat Points|J|G|N|P Bp-Bc
1919 Championnat du Centre 3e série 1er[26] Non inscrit
1919-1920 Championnat du Centre 2e série 1er Non inscrit
1920-1921 Championnat du Centre 1re série Non inscrit
1921-1922 Championnat du Centre 1re série 5e Non inscrit
1922-1923 Championnat du Centre 1re série 1/2 finales Non inscrit
1923-1924 Championnat du Centre 1re série 5e Non inscrit
1924-1925 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 4e Non inscrit
1925-1926 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 4e Non inscrit
1926-1927 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 3e Non inscrit
1927-1928 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 2e 17 Non inscrit
1928-1929 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 3e Non inscrit
1929-1930 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 2e Non inscrit
1930-1931 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 6e Non inscrit
1931-1932 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 4e 30 Non inscrit
1932-1933 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 5e 27 Non inscrit
1933-1934 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 1er 62-16 Élimination au 3e tour[27]
1934-1935 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 3e 31 Élimination au 3e tour
1935-1936 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 7e 30 Élimination au 3e tour
1936-1937 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 6e 34 Non inscrit
1937-1938 Championnat d'Honneur de la ligue du Centre 8e 30 Non inscrit
1938-1939 Championnat de Promotion d'Honneur de la Ligue du Centre 3e 27 93-24 Non inscrit
1939-1940 Promotion du championnat de la Vienne 1er Non inscrit
1940-1941 Promotion d'Honneur du championnat de la Vienne 1er 82 125-57 Non inscrit
1941-1942 championnat du District la Vienne 2e Élimination au 2e tour[28]
1942-1943 1re Division du District la Vienne 2e 42 35-11 Élimination au 1er tour
1943-1944 Division d'Honneur du Poitou, Poule A 7e 11 Élimination au 3e tour
1944-1945 PH Centre-Ouest poule B 1er[29] 18 36-13 Élimination au 1er tour
1945-1946 DH Centre-Ouest poule B 2e[30] 28 62-28 Élimination au 4e tour
1946-1947 : DH Centre-Ouest 9e 22 47-54 Élimination au 4e tour
1947-1948 DH Centre-Ouest 5e 24 59-40 Élimination au 4e tour
1948-1949 DH Centre-Ouest 1er 37-22-18-1-3 81-25 Élimination en 32e[31]
1949-1950 CFA groupe Ouest 8e 22 42-53 Élimination au 5e tour[32]
1950-1951 CFA groupe Ouest 10e 18 39-47 Élimination au 4e tour
1951-1952 DH Centre-Ouest 3e 35 78-40 Élimination au 4e tour
1952-1953 DH Centre-Ouest 1er 36 76-36 Élimination en 64e[33]
1953-1954 CFA groupe Ouest 12e 12 22-53 Élimination au 3e tour
1954-1955 DH Centre-Ouest 2e 36 65-32 Élimination au 4e tour
1955-1956 DH Centre-Ouest 4e 26 52-32 Élimination au 3e tour
1956-1957 DH Centre-Ouest 2e 43 77-22 Élimination au 4e tour
1957-1958 DH Centre-Ouest 2e 33 53-25 Élimination au 4e tour
1958-1959 DH Centre-Ouest 1er 29 37-16 Élimination au 4e tour
1959-1960 CFA groupe Sud-Ouest 5e 23 29-27 Élimination au 5e tour
1960-1961 CFA groupe Ouest 10e 23 25-31 Élimination au 5e tour
1961-1962 CFA groupe Ouest 8e 21 26-30 Élimination en 64e[34]
1962-1963 CFA groupe Sud-Ouest 8e 23 30-30 Élimination en 32e[35]
1963-1964 CFA groupe Sud-Ouest 10e 18 20-27 Élimination au 4e tour
1964-1965 DH Centre-Ouest 3e 26 37-23 Élimination au 4e tour
1965-1966 DH Centre-Ouest 5e 25 35-36 Élimination au 4e tour
1966-1967 DH Centre-Ouest 8e 18 28-32 Élimination au 3e tour
1967-1968 DH Centre-Ouest 1er 33 56-26 Élimination au 5e tour
1968-1969 CFA groupe Ouest 11e 22 33-48 Elimination en 32e[36]
1969-1970 DH Centre-Ouest 9e 51 34-39 Élimination au 4e tour
1970-1971 DH Centre-Ouest 1er 56 44-18 Élimination au 5e tour
1971-1972 D3 groupe Ouest 4e 36 46-28 Élimination en 32e[37]
1972-1973 D3 groupe Sud-Ouest 4e 35 45-36 Élimination au 6e tour
1973-1974 D3 groupe Centre-Ouest 9e 30 50-48 Élimination au 5e tour
1974-1975 D3 groupe Centre-Ouest 9e 29 41-37 Élimination en 32e[38]
1975-1976 D3 groupe Centre-Ouest 9e 28 41-39 Élimination au 5e tour
1976-1977 D3 groupe Centre-Ouest 12e 26 48-59 Élimination au 6e tour
1977-1978 D3 groupe Centre-Ouest 8e 31 40-44 Élimination au 5e tour
1978-1979 D3 groupe Centre-Ouest 9e 29 36-34 Élimination au 7e tour
1979-1980 D3 groupe Centre-Ouest 13e 28 38-47 Élimination au 5e tour
1980-1981 D3 groupe Centre-Ouest 16e 16 18-47 Élimination au 4e tour
1981-1982 D4 groupe E 14e 9 17-54 Élimination au 4e tour
1982-1983 DH Centre-Ouest 1er 58 48-22 Élimination au 6e tour
1983-1984 D4 groupe E 2e 38 44-19 Élimination au 7e tour
1984-1985 D3 groupe Centre-Ouest 8e 32 37-33 Élimination au 7e tour
1985-1986 D3 groupe Centre-Ouest 14e 25 24-38 Élimination au 7e tour
1986-1987 D3 groupe Centre-Ouest 1er 44 51-23 Élimination en 64e[39]
1987-1988 D2 groupe A 18e 27 26-49 Élimination en 1/4[40]
1988-1989 D3 groupe Centre-Ouest 4e 36 38-28 Élimination au 7e tour
1989-1990 D3 groupe Centre-Ouest 5e 36 34-26 Élimination au 8e tour
1990-1991 D3 groupe Centre-Ouest 2e 44 45-20 Élimination au 5e tour
1991-1992 D3 groupe Centre-Ouest 3e 36 42-30 Élimination au 7e tour
1992-1993 D3 groupe Centre 2e 40 49-27 Élimination en 8e[41]
1993-1994 National 1 groupe B 11e 27 39-38 Élimination en 8e[42]
1994-1995 National 1 groupe A 5e 36 35-41 Élimination au 8e tour
1995-1996 National 1 groupe A 6e 44 37-39 Élimination au 8e tour
1996-1997 National 1 groupe A 17e 31 29-55 Élimination au 5e tour
1997-1998 CFA groupe C 11e 44 44-52 Élimination en 32e[43]
1998-1999 CFA groupe C 4e 92 43-32 Élimination en 16e[44]
1999-2000 CFA groupe C 12e 76 40-46 Élimination au 7e tour
2000-2001 CFA groupe C 2e 90 68-53 Élimination au 7e tour
2001-2002 CFA groupe C 5e 90 44-40 Élimination au 8e tour[45]
2002-2003 CFA groupe D 12e 76 46-46 Élimination au 8e tour[46]
2003-2004 CFA groupe D 2e 97 49-31 Élimination au 7e tour
2004-2005 CFA groupe D 2e 94 50-30 Élimination au 7e tour[47]
2005-2006 National 16e 42 37-47 Élimination au 5e tour
2006-2007 National 19e 35 35-46 Élimination en 32e[48]
2007-2008 CFA groupe D 10e 78 45-52 Élimination au 7e tour[49]
2008-2009 CFA groupe C 16e 68 50-66 Élimination au 8e tour[50]
2009-2010 CFA2 groupe G 11e 67 38-47 Élimination au 6e tour[51]
2010-2011 CFA2 groupe G 8e 63 40-50 Élimination au 5e tour
2011-2012 CFA2 groupe G 9e 69 53-57 Élimination au 4e tour
2012-2013 CFA2 groupe G 11e 56 31-54

Élimination au 4e tour

2013-2014 CFA2 groupe G 10e 60 41-43 Élimination au 6e tour[52]
2014-2015 CFA2 groupe B 12e 57 34-46 Élimination au 5e tour
2015-2016 CFA2 groupe B 6e 59 34-34 Élimination au 5e tour
2016-2017 DH Centre-Ouest 8e 59 38-54 Élimination au 4e tour
2017-2018 R1 Nouvelle-Aquitaine poule A 4e 49 62-32 Élimination au 6e tour[53]
2018-2019 R1 Nouvelle-Aquitaine poule A 1er 54 51-17 Élimination au 7e tour
2019-2020 National 3 Nouvelle-Aquitaine groupe A 11e 20 24-30 Élimination au 6e tour
2020-2021 National 3 Nouvelle-Aquitaine groupe A 9e 4 3-7 Élimination au 5e tour
2021-2022 National 3 Nouvelle-Aquitaine groupe A 11e 26 27-40 Élimination au 5e tour
2022-2023 National 3 Nouvelle-Aquitaine groupe A 5e 40 42-41 Élimination au 8e tour
2023-2024 National 3 Nouvelle-Aquitaine groupe C En cours Élimination au 6e tour[54]

Coupe de France modifier

Le club participe pour la première fois à la Coupe de France en 1933. Châtellerault obtient son meilleur résultat en coupe de France lors de la saison 1987-1988, où l'équipe est éliminée en quart de finale par le Stade de Reims après les éliminations de Limoges, Caen puis Créteil.

Le club dispute également deux huitièmes de finale, en 1992-1993 avec une élimination par le club de D1 Montpellier sur le score de 0-1 et en 1993-1994, éliminé par le Racing CF après avoir battu le FC Metz (3-1 a. p.) de Robert Pirès au tour précédent.

Le club disputa également un quart de finale de la coupe Gambardella (2006-2007)[55].

Personnalités du club modifier

Entraîneurs[56],[57] modifier

Le tableau suivant présente la liste des entraîneurs du club depuis 1937, année de la nomination du premier entraîneur. Stéphane Moulin dirigea le plus grand nombre de rencontres en championnat (294 matches de 1997 à 2005).

Rang Nom Période
1   Robert Pont 1937-1940
2   Jean Roux 1940-1944
3   Laurent Dierricks 1944-1947
4   Roger Roux 1947-1948
5   Marcel Bardin 1948-1949
6   Camille Malvy 1949-1952
7   Marcel Poblome 1952-1953
8   Gérard Merle 1953-1954
9   Francis Leseignoux 1954-1960
10   Joseph Ibanez 1960-1961
11   Eugène Fragassi 1961-1964
12   Louis Lemasson 1964-1966
Rang Nom Période
13   Mariano Lirio 1966-1967
14   Georges Amanieu 1967-1968
15   Eugène Verbrugghe 1968-1969
16   Pierre Barlaguet 1969-1973
17   Louis Leclerc 1973-1974
18   Jean-Pierre Turci 1974-1975
19   Pierre Tordo 1975-1980
20   Francis Bizot 1980-1981
21   André Dégéa 1981-1982
22   Jean- Pierre Collin 1982-1983
23   Alain Felden 1983-1987
24   Prudent Bacquet 1987-1988
Rang Nom Période
25   Dominique Carlier 1988-1994
26   Jean-Luc Charrier 1994-1995
27   Yves Herbet 1995-1997
28   Stéphane Moulin 1997-2005
29   Pierre-Yves David 2005-2007
30   Geoffray Pénoty 2007-2008
31   Fabien Croze 2008-2009
32   Geoffray Pénoty 2009-2017
33   Rodolphe Levrault 2017-2021
34   Abdes Tahir[58] 2021-

Présidents modifier

Le tableau suivant présente la liste des présidents du club depuis 1914 avec leurs fonctions civiles[59]. Avec 14 années, Michel Morinet exerça le plus long mandat (1973-1978 et 1980-1989).

Rang Nom Période Fonction
1 Charles Pageault 1914-1916 Ouvrier, conseiller municipal
2 Troesler 1916-1918 Ouvrier
3 Manceau 1918-1920 Pharmacien
4 René Cerf 1920-1924 Avocat
5 Faugere 1924-1926
6 Georges Michaud 1926-1928 Professeur
7 Charles Arregnon 1928-1930 Libraire
8 Camille Verdon 1930-1935 Industriel
9 René Bernuau 1935-1942 Agent horticole
10 Robert Delorme 1942-1946 Industriel
11 Marcel Cantin 1946-1947 Négociant
Rang Nom Période Fonction
12 René Couturier 1947-1950 Industriel
13 Marcel Baulu 1950-1952 Industriel
14 André Archambault 1952-1957 Marchand de bestiaux
15 Bernard Zawadski 1957-1963 Commerçant
16 Claude Audat 1963-1965 Médecin
17 René Wittersheim 1965-1973 Instituteur
18 Michel Morinet 1973-1975 Conseil d'entreprises
19 Michel Susset, Michel Morinet et Jean Robin 1975-1978 [60]
20 Jean Robin 1978-1980 Commerçant
21 René Wittersheim et Brosset 1980 Instituteur
22 Michel Morinet 1980-1989 Conseil d'entreprises
Rang Nom Période Fonction
23 Bernard Chauvineau 1989-1990 Fonctionnaire
24 Joël Tondusson 1990-1995 Médecin
25 Jean Bernardeau 1995-2007 Fonctionnaire
26 Jacky Maurel 2007-2008 Employé de banque
27 Jean-Paul Durand 2009 Fonctionnaire
28 Jacques Pasquerault 2009-2012 Cadre
29 Pierre Jeannette 2012-2015 Restaurateur
30 Dominique Denis 2015-2017 Expert comptable
31 Christian Delcel 2017-2022 Instituteur
32 Julien Lamouche et Vincent Mallet 2022- Assureur et Gestionnaire[61]

Joueurs emblématiques modifier

L’histoire du club châtelleraudais a toujours été tournée vers la formation en accord avec la section football-études du collège George-Sand depuis 1980. Les derniers joueurs professionnels sont Quentin Bena[62], Thibault Jaques[63], Kevin Vergerolle[64], Gaëtan Charbonnier[65],Vincent Demarconnay[66], Quentin Bernard[67], Omar Benzerga[68], Eddy Viator, Mickaël Lauret, Laurent Chatrefoux, Philippe Guillemet, Thierry Princet.

Structures du club modifier

Infrastructures modifier

 
Le stade de la Montée Rouge dans les années 1950 et 1960 avec ses tribunes en bois et sa piste d'athlétisme.
  • Stades :

C'est l'herbe d'un terrain situé aux « eaux bues », dans l'actuelle zone de la Désirée, qui accueillit les premiers footballeurs du C.A.S.C.. Ils en furent vite chassés et se réfugièrent d'abord sur un terrain près de l'actuel centre technique municipal, au nord du quartier et faubourg de Châteauneuf, puis sur celui de l'équipe de « La Patriote » à « La Cible » (actuellement le terrain annexe de « La Montée Rouge »). Le C.A.S.C y affronte amicalement la Patriote, la Franco-belge des réfugiés de Belgique, le Potache AC, les cuirassiers de Tours ou encore Angers.

 
Le fameux stade de Luna Park, théâtre des premiers exploits du SOC après-guerre avec sa doublette André Greskowiack dit Gresko - Pierre Matton dans les années 1950 avant sa destruction quelques années plus tard et alors situé entre les actuelles rues Pierre Fillaud et de Beauséjour à une centaine de mètres au sud-ouest de celui de la Montée Rouge, tout juste construit.

De 1920 à 1959, le club a évolué au stade de Luna Park, route de Colombiers, situé entre les rues actuelles Pierre Fillaud et de Beauséjour. Le stade porta le nom du café-restaurant-dancing qui autorisa le club à créer un terrain de football sur sa propriété. Chaque année de 1925 à 1954, le lundi de Pâques, le club y organisa des matches contre des équipes professionnelles. Le terrain de « Luna Park » vit ainsi la visite du Stade Français, du CA Paris, du Red Star, du RC Paris, du FC Sochaux, du FC Metz, des Girondins de Bordeaux, de Toulouse, l'équipe d'Espagne de 1928, du Kispest de Budapest ou encore du FK Spartak Subotica. La salle de réunion du café de l'industrie était ornée des fanions des équipes venues rendre visite au club.

 
Match de football au stade de la Montée Rouge en mai 2016.

En , le SOC se transporta une centaine de mètres plus loin au stade de la Montée-Rouge qui répondait beaucoup mieux aux normes réglementaires du Championnat de France.

Depuis un rapport de visite de la FFF en date du 11 avril 2019, la capacité d'accueil du stade est aujourd’hui de 4 800 places dont 1 610 assises[69].

  • Siège social :

Depuis 2010, le siège social du SOC se situe au stade de la Montée Rouge, 91 avenue des Stades. De 1992 à 2010, il se situait à la maison des associations rue de l'abbé Lalanne, près de l'ancienne clinique Sainte-Anne [70]. Le siège social « historique » du SOC reste le Café de l'Industrie[71], boulevard Blossac, face à l'hôtel de ville de Châtellerault, de 1919 à 1992.

Aspects juridiques, économiques et financiers modifier

Éléments comptables modifier

Pour l’exercice clos en 2018, le budget global du club est de 286 000 euros[72],[73]. À la clôture de l’exercice du 30 juin 2021, le chiffre d’affaires de l’association était de 257 580 [70]. À côté de l'association, en 1997 une SAEMS (Société Anonyme d'Économie Mixte à vocation Sportive) est mise en place avec 65 % des parts à la ville et 20 % au SOC. La SAEMS est mise en sommeil en 2002.

Image et identité modifier

  • Couleurs, logos et équipementiers :

Les couleurs du club sont depuis l'origine le rouge et le blanc. Le premier maillot est rouge avec une étoile blanche mais rapidement la couleur blanche s'impose avec une étoile rouge. En 1949, l'étoile est remplacée par l'écusson de la ville et les shorts sont bleus. Dans les années soixante, le SOC n'abandonne pas sa couleur blanche mais et joue parfois aussi en rouge avec des tenues signées Le Coq Sportif comme beaucoup de club à partir de cette période. Depuis les années soixante-dix, les socistes rejouent avec un ensemble à dominante rouge et à détail blanc avec diverses variantes. Le premier sponsor apparaît sur les maillots en 1973. À cette époque, l'équipementier allemand Adidas réalise les maillots rouges du club et cela jusqu'à la fin des années 1980. Puma prend le relais d'Adidas à partir des années 1990 et cela pendant une bonne décennie. À partir des années 2000, le SOC évolue à nouveau avec des maillots Adidas.

  • Évolution du maillot depuis la création du club :
 
 
 
 
 

Tenue du CASC
 
 
 
 
 

Premiere tenue du SOC dans les années 40
 
 
 
 
 

Tenue dans les années 50
 
 
 
 
 

Tenue dans les années 60
 
 
 
 
 

Tenue dans les années 70 & 80
 
 
 
 
 

Tenue dans les années 90
 
 
 
 
 

Tenue dans les années 2000
 
 
 
 
 

Tenue lors du centenaire du club
  • Blason et logo depuis la fondation du club :

Dans les années 1940 le club reprend l'étoile rouge du Club Amical Socialiste Châtelleraudais comme cité précédemment, avant d'être remplacé par le blason de la ville de Châtellerault dans les années 1960. Peu de temps après, un écusson qu'on appelle aujourd'hui logo, apparaît aux couleurs du club. Il représente un ballon blanc aux bordures dorées où est inscrit le sigle "SOC" sur un fond rouge. Dans les années 1990, un nouveau logo est créé. Sur ce dernier, on aperçoit en noir l'inscription "S.O Châtellerault" avec en son centre un petit bonhomme rouge tapant dans un ballon sur une pelouse de football. Ce dernier sera simplifié quelques années plus tard avec l'unique inscription "S.O C". Lors du centième anniversaire du club en 2014, le logo actuel est créé.

Rivalité sportive modifier

 
Avant match du derby de la Vienne (86) entre le SO Châtellerault et le Stade Poitevin au stade de la Montée-Rouge à Châtellerault le 29 février 2020.

Le derby de la Vienne oppose traditionnellement le SO Châtellerault au club représentant la ville de Poitiers, c'est-à-dire aujourd'hui le Stade Poitevin FC. La première rencontre entre le SOC et son rival poitevin se déroula le au stade de Luna Park à Châtellerault lors du premier tour de la coupe de France (victoire du Sporting Club Poitevin, ancêtre du Stade PEPP puis du Stade Poitevin FC à l'époque, par 4-3 après prolongation)[74].

Records modifier

Les matches et les buts modifier

Joueurs les plus capés en championnat [6].
no  Nom Matches Période
1 Geoffray Pénoty 396 1990-2005
2 Nicolas Treguer 383 1999-2011
3 Jean-Claude Bordier 360 1963-1976
4 Kevin Vergerolle 324 2007-2023
5 Robert Banc 300 1943-1963
6 Gilbert Princet 270 1966-1979
7 Patrice Billy 260 1980-1993
8 Rodolphe Levrault 254 1992-2004
9 Gérard Lesca 250 1958-1974
10 Pierre Andrault 240 1951-1966
Meilleurs buteurs en championnat[6].
no  Nom Buts Période
1 Pierre Matton 170 1945-1954
2 Kevin Vergerolle 152 2007-2023
3 Maurice Pascal 95 1944-1957
4 André Gresko 65 1945-1953
5 Étienne Pia 60 1926-1936
6 Thierry Princet 58 1970-1975
6 Thierry Porcher 58 1973-1986
8 Yves Kibuey 57 1998-2009
9 Géo Aubugeau 55 1919-1935
10 Jean-Jacques Meinie 54 1964-1974
  • Meilleur buteur sur une saison en championnat :

46 buts par Pierre Matton (1948-1949)

  • Meilleur buteur sur un match en championnat :

5 buts par Pierre Matton (Soc-Saintes 1949 et Soc-Gallia Angoulême 1949)

  • Équipe de France A :

Le joueur Manuel Garriga (Bordeaux, en 1950) et l'entraîneur Yves Herbet (Sedan, en 1965) sont les seuls socistes à avoir été sélectionnés en Équipe de France.

Victoires et défaites modifier

  • Plus large victoire en championnat :

11-0 C.A.S.C - SC Chartres, .

  • Plus large défaite en championnat :

0-9 Feytiat - S.O.C, .

Spectateurs modifier

Meilleure affluence pour un match du SOC au Stade de la Montée-Rouge : 3 928 spectateurs, SOC-Poitiers, .

Meilleure affluence à Châtellerault: 5 857 spectateurs, SOC-Rochefort au stade de Luna-Park, [6].

Meilleure affluence à la Montée-Rouge : 4 168 spectateurs, Tours-Montmorillon en Coupe de France, .

Autres équipes du club modifier

Le club recense 460 licenciés et 25 équipes dont 7 évoluent au niveau régional[75].

L’équipe réserve du SOC évolue en Régional 3.Elle a joué à un niveau national (CFA 2) lors des saisons 2003-04, 2006-07 et 2007-08[14].

Au mois de juin 2021, le SOC absorbe le FC Senillé-Saint Sauveur. Une troisième équipe senior est donc recréée. Elle évolue au quatrième niveau départemental[76].

La commission des jeunes a été créée en 1952[6]. Le club est représenté dans toutes les catégories de jeunes, des moins de 18 ans aux moins de 6 ans. Les meilleurs résultats sont une victoire au concours du jeune footballeur en 1955 avec James Sabourault[77], un huitième de finale (1999) puis un quart de finale (2007) de la coupe Gambardella et une qualification pour la phase finale du championnat de France des cadets (1980).

Le football féminin a fait son entrée au SOC en 2015 avec une entente avec Saint-Gervais-les-Trois-Clochers et Antran[78]. L’équipe première monte en championnat de France de troisième division nationale en 2023[79].

Notes et références modifier

  1. Stéphane Bideau, "La fabuleuse histoire du SO Châtellerault : La mémoire retrouvée", Châtellerault, Deshouilleres, décembre 2000, page 4
  2. a b c et d « HISTORIQUE », sur SO Châtellerault (consulté le ).
  3. Stéphane Bideau, La fabuleuse histoire du SO Châtellerault : la mémoire retrouvée, Châtellerault, Deshouilleres, , p. 4
  4. Thierry Berthou, Dictionnaire historique des clubs de football français, Créteil, Pages de Foot, , p. 111
  5. « Charles Pageault »
  6. a b c d et e La fabuleuse histoire du SO Châtellerault, la mémoire retrouvée par Stéphane Bideau, 2000.
  7. « Le CASC en 1919 »
  8. « vainqueur ligue du Centre en 1934 »
  9. Marie-Claude Albert, "Châtellerault sous l'Occupation", Geste, Témoignages, La Crèche, 2005. 358 pages. (ISBN 978-2-84561-212-9)
  10. « Gresko-Matton »
  11. « une rue pour deux legendes »
  12. Coupe de France de football 1948-1949
  13. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Championnat_de_France_amateurs_de_football_1949-1950#cite_note-equipe020550-1
  14. a b c et d « SO Châtellerault Football », sur statfootballclubfrance.fr (consulté le ).
  15. https://m.lanouvellerepublique.fr/chatellerault%252Frene-wittersheim-figure-du-sport-chatelleraudais-est-decede
  16. https://m.lanouvellerepublique.fr/chatellerault%252Fmorinet-l-ex-boss-du-soc
  17. « Au bonheur de Moulin », La Nouvelle Republique du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne)
  18. https://m.lanouvellerepublique.fr/vienne%252Fles-tops-et-les-flops-du-soc
  19. https://m.lanouvellerepublique.fr/vienne%252Fle-so-chatellerault-relegue-avec-honneur
  20. https://m.lanouvellerepublique.fr/vienne%252Fla-fiche-1390
  21. « rétrogradation DH »
  22. « accession N3 »
  23. Le palmarès du Championnat DH du Centre-Ouest sur le site de la Ligue du Centre-Ouest
  24. Le palmarès de la coupe du Centre-Ouest sur le site de la Ligue du Centre-Ouest
  25. « Stat Football Club France » (consulté le )
  26. champion de la Vienne.
  27. par Cholet 2-3 juste avant les 32e de finale
  28. par la Roche-Rigault 0-3
  29. bat en finale Chartres 5-2 à Amboise
  30. battu en finale par Niort 3-2, 0-1,1-4
  31. par Roubaix-Tourcoing (D1) 0-4 à Orléans
  32. (64e de finale de l’époque) par le FC Limoges 3-0
  33. par Roche la Molière 2-3
  34. par le Red Star (D2) 1-1 a. p., puis 3-5 au deuxième match
  35. à Nantes par Girondins de Bordeaux (D1) : 0-1 a. p.
  36. par Cholet (D3) 1-2 ap à Tours
  37. par Nîmes (D1) 0-6 à Brive
  38. par Lorient 1-2(D2) à Saumur après avoir battu deux D2 (Angoulême et Blois)
  39. par AEP Le Bourg La Roche-sur-Yon (D2) 2-4 ap
  40. par le Stade de Reims après les éliminations de Limoges, Caen puis Créteil
  41. par Montpellier (D1) 0-1
  42. par le Racing CF après avoir battu le FC Metz (3-1 a. p.) de Robert Pirès au tour précédent
  43. par Sochaux (D2) 1-2
  44. par Angoulême (Nat) 0-1
  45. par Châteauroux (D2) 0-1
  46. par La Rochelle (CFA2) 2-0
  47. par Le Mans (D2) 1-2
  48. par Toulouse (3e de Ligue 1 cette saison-là) à la Montée-Rouge aux tirs au but (1-1 a. p.)
  49. par Romorantin (Nat) 2-3
  50. par Éclaron Valcourt (DH) 0-1
  51. par Niort (CFA) 0-5
  52. par Chauvigny (DH) 0-2 a. p.
  53. par Limoges (N2) 1-2
  54. [1]
  55. « coupe Gambardella 2007 »
  56. Stéphane Bideau, La fabuleuse histoire du SO Châtellerault : La mémoire retrouvée, Châtellerault, Deshouilleres, , p. 85
  57. https://www.rsssf.org/players/trainers-fran-clubs.html#a
  58. « Abdes Tahir nouvel entraîneur du so Châtellerault », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne)
  59. Stéphane Bideau, La fabuleuse histoire du SO Châtellerault : La mémoire retrouvée, Châtellerault, Deshouilleres, , p. 87
  60. Chef d'entreprise, conseil d'entreprises, commerçant
  61. https://m.lanouvellerepublique.fr/chatellerault%252Fn3-christian-delcel-va-passer-la-main-au-soc
  62. « Quentin Bena joueur professionnel »
  63. « Thibault Jaques joueur professionnel »
  64. « Kevin Vergerolle joueur professionnel »
  65. « Gaëtan Charbonnier joueur professionnel »
  66. « Vincent Demarconnay joueur professionnel »
  67. « Quentin Bernard joueur professionnel »
  68. « Omar Benzerga joueur »
  69. Le stade de la Montée Rouge
  70. a et b [2]
  71. Le siège historique du SOC
  72. « Budget SOC »
  73. « Budget SOC »
  74. Le football à Châtellerault et ici pour Poitiers depuis 1946. Châtellerault jouant ses matchs à domicile à l'ancien stade Luna Park depuis 1920..
  75. https://www.avisclient-soc.com/
  76. https://m.lanouvellerepublique.fr/poitiers%252Ffootball-le-so-chatellerault-et-le-stade-poitevin-s-etendent
  77. James Sabourault sur www.sco1919.com
  78. https://m.lanouvellerepublique.fr/chatellerault%252Ffootball-le-pole-feminin-du-so-chatellerault-limite-la-casse-durant-la-crise-sanitaire
  79. https://m.centre-presse.fr/article/https%253A%252F%252Fwww.centre-presse.fr%252Farticle-881315-football-feminin-le-so-chatellerault-monte-en-d.html

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Stéphane Bideau, La fabuleuse histoire du SO Châtellerault : La mémoire retrouvée, Châtellerault, Imprimerie Deshouilleres,
  • Thierry Berthou/Collectif: ''Dictionnaire historique des clubs de football français.'' Pages de Foot, Créteil 1999 – Band 1 (A-Mo) (ISBN 2-913146-01-5), Band 2 (Mu-W) (ISBN 2-913146-02-3)

Liens externes modifier