Minamoto no Makoto
Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
源信Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Père
Fratrie
Uchiko (d)
Nimmyō
Seishi
Minamoto no Kiyohime (d)
Minamoto no Hiromu (d)
Minamoto no Tokiwa (d)
Minamoto no Yutaka (d)
Minamoto no Akira (d)
Minamoto no Sadamu (d)
Minamoto no Ikeru (d)
Minamoto no Yasushi (d)
Minamoto no Tōru
Minamoto no Shizumu (d)
Minamoto no Tsutomu (d)
Minamoto no Hiraku (d)
Minamoto no Kiyoshi (d)
Ninshi (d)
Nariyoshi (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Minamoto no Hirashi (d)
源恭 (d)
Minamoto no Tamotsu (d)
Minamoto no Tamotsu (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Minamoto no Makoto (源 信?, 810 – 13 février 869) est le septième fils de l'empereur du Japon Saga et le premier courtisan à recevoir le nom « Minamoto ». À l'origine nom honorifique donné à un certain nombre de courtisans sans relations entre eux par quelques empereurs différents, le clan Minamoto devient un clan familial intégré, l'un des plus importants et des plus puissants de toute l'histoire du Japon.

Makoto, aussi connu sous le nom Kitabe-daijin, est le frère de l'empereur Nimmyō, Minamoto no Tokiwa et Minamoto no Tōru. Il reçoit le nom « Minamoto » en 814.

Vers la fin de sa vie, en 866, la porte principale (Ōtemmon) du palais impérial est détruite par un incendie. Dans l'une des intrigues de cour les plus fameuses de l'époque de Heian, Makoto est accusé par son rival politique Tomo no Yoshio d'être à l'origine du sinistre. Cet incident est appelé « conspiration Ōtenmon » (応天門の変, Ōtemmon no Hen). Avec l'aide de ses puissantes relations à la cour, Makoto est en mesure de prouver son innocence. On découvre plus tard que Ban Tomo est lui-même l'auteur de l'incendie.

Bibliographie modifier

Voir aussi modifier

  • Genshin - Moine du Xe siècle sans lien avec MInamoto mais dont le nom s'écrit avec les mêmes caractères que Minamoto no Makoto (源信)

Source de la traduction modifier

[1]

Notes et références modifier

  1. Mitsuo Kure, Samuraïs, Editions Piquier, 190 p.