Laurent Grison

écrivain français

Laurent Grison, né le à Reims, est un historien de l’art, critique d'art, poète et essayiste français[1].

Laurent Grison
Description de l'image Laurent Grison, auteur français.png.
Naissance (60 ans)
Reims
Activité principale

Publications modifier

Livres modifier

  • L’Homme élémentaire, Color Gang Édition, coll. Atelier, 2017[2],[3],[4]
  • L'Œil arpente l'infini, Éditions Jacques Flament, coll. Images&mots, 2017, avec le photographe Nathan R. Grison[2]
  • Le Chien de Zola, Éditions Henry, coll. La Main aux Poètes, 2016[5],[6]
  • Anacoluthe, Éditions Apeiron, 2015, avec le photographe Nathan R. Grison[7]
  • Le Tombeau de Georges Perec, Éditions La Porte, coll. Poésie en voyage, 2015[8],[9],[10]

Histoire de l’art - Critique d’art modifier

  • Figures fertiles : Essai sur les figures géographiques dans l’art occidental., Jacqueline Chambon-Actes Sud., coll. « Rayon art »,
  • Les Stries du temps. L’artiste, le lieu et la mémoire, Éditions Champ social, coll. Théétète. Esthétique, 2005[11],[12]
  • Intrasformazione. Rivista di storia delle idee, université de Palerme (Università degli Studi di Palermo), vol. 6, no 1, 2017[13]

Notes et références modifier

  1. « Laurent Grison : Une approche géographique des images de l'art occidental », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Marilyne Bertoncini, « Note sur deux recueils de Laurent Grison », Recours au Poème - Poésies & Mondes poétiques, 2017
  3. Lieven Callant, « L'Homme élémentaire », Traversées, 2017
  4. Jean-Paul Gavard-Perret, « L'Homme élémentaire », lelitteraire.com, 2017
  5. Jean-Paul Gavard-Perret, « Le Chien de Zola », lelitteraire.com, 2016
  6. Marilyne Bertoncini, « Le Chien de Zola », Recours au Poème - Poésies & Mondes poétiques, 2016
  7. « Avec Anacoluthe, le photographe et le poète proposent une œuvre « en repons » : à la magie des mots fait écho celle des lignes, des formes, des volumes et des lieux. (…) Voûtes, blocs, cryptes, galeries souterraines ou à ciel ouvert, escaliers, passerelles – en leur confrontation au poème compagnon de leur présence - jouent du contrepoint, ferraillent « au royaume des contraires », là où tout demeure à l’état de vide et de déréliction dans le « pas du pas » cher à Blanchot »Jean-Paul Gavard-Perret, « Laurent Grison & Nathan R. Grison, "Anacoluthe" », sur www.lelitteraire.com, (consulté le )
  8. « Ainsi évoquer Georges Perec est pour l’auteur l’occasion de donner au langage poétique une dimension toute personnelle. Émouvant et dense, Le Tombeau de Georges Perec propose donc avant tout une rencontre, celle d’un poète qui écrit à celui qui a écrit que la substance de son œuvre est matière vivante. » — Carole Carcillo Mesrobian, Recours au Poème[réf. à confirmer]
  9. « De bout en bout, ce petit livre fait entendre le timbre si délicat de la « mélancolie / de l’entre-deux ». Sans jamais aborder les choses – la vie, l’œuvre de Perec – frontalement (ce n’est pas son propos), par un subtil jeu de correspondances, il construit, comme un modèle réduit, l’espace et la forme d’un dépossession poignante. » — Laurent Fourcaut, Place de la Sorbonne[réf. à confirmer]
  10. « Dans le livre de Laurent Grison, je retiens notamment ce quatrain, à la toute fin : « le noir est parole / dans la boutique obscure / le recollement des ombres / est un travail de voyant. »Florence Trocmé, « une oreille, une plaque vibrante, un ébranlement, une secousse, un bercement », sur poezibao.typepad.com, (consulté le )
  11. Eveline Boulva, « GRISON, Laurent (2005) Les stries du temps. L’artiste, le lieu et la mémoire – Collages., Nîmes, Champ Social Éditions, 131 p. (ISBN 2-913376-53-3) », Cahiers de géographie du Québec, vol. 50, no 139, 2006, p. 120-121
  12. Régine Detambel, Laurent GRISON, Les stries du temps, encres-vagabondes.com
  13. « Espace vif et temps mort : le New York de Steve Reich », in Intrasformazione, vol. 6, no 1, 2017.

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