François-Robert Secousse
| Curé Paroisse Saint-Eustache (d) | |
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| - | |
Léonard de Lameth (d) Jean-François-Robert Secousse (d) | |
| Vicaire général Archidiocèse de Paris |
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Léonard de Lameth (d) (oncle) |
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François-Robert Secousse, abbé, né le et mort le à l'abbaye Saint-Victor, est un ecclésiastique français. Docteur en théologie, curé de l'église Saint-Eustache de Paris de 1699 à 1729. Son neveu, Jean-François-Robert Secousse (1697-1771), lui a succédé à cette charge en 1729.
Biographie modifier
François-Robert Secousse naît le [1]. Il est le fils de François Secousse, procureur de la cour au parlement de Paris, et d'Étiennette Corcessin, ainsi que le frère de Jean-Léonard Secousse et le neveu de Jean-Marie Ricard.
Docteur en théologie de la Faculté de Paris, Maison et Société royale de Navarre en 1686, il devient vicaire de Saint-Eustache de Paris. En 1698, il succède à son grand-oncle Léonard de Lamet en tant que curé de Saint-Eustache de Paris[1].
Il devient vicaire général.
Il résigne à son tour ses fonctions de curé de Saint-Eustache en faveur de son neveu Jean-François-Robert Secousse en 1729[2].
Il se retire alors à l'abbaye Saint-Victor de Paris, il y meurt le 18 février 1736.
Il était propriétaire du château de la Faulotte, alors connu sous le nom de « château Secousse ».
Publications modifier
- Sentimens pacifiques, touchant le commissaire qui doit gouverner la province, 1692.
- Mémoire pour messire François-Robert Secousse, Prêtre, Docteur en Théologie de la Maison & Société Royale de Navarre ; Louis-Alexandre Croiset, chevalier, marquis d'Estiau... Administrateurs honoraires ; et autres administrateurs de la compagnie de charité érigée en la paroisse de S. Eustache à Paris, sous le titre de confrérie Nôtre-Dame, dite de Bon-Secours..., apellansr. Contre Jacques Fagnou l'aîné Marchand epicier à Paris, intimé
Références modifier
- L. Gaudreau, Notice descriptive et historique sur l'église et la paroisse Saint-Eustache de Paris, (lire en ligne), p. 84
- Ségolène de Dainville-Barbiche :, Devenir curé à Paris : institutions et carrières ecclésiastiques, 1695-1789, (lire en ligne), p. 16
