Discussion:Trente-six fugues de Reicha

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thèses et autres

Dernier commentaire : il y a 9 ans3 commentaires2 participants à la discussion

Flopinot2012 : Hello ! quelques sources possibles, à trouver les textes, mais voici les ref documentaires oclc :

(OCLC 212866490)
(OCLC 220215028)
(OCLC 757358445) en français Monsieur !
(BNF 43785180)
(OCLC 150590079) pour l'édition barenreiter citées 1973, mais il y aurait une réédition/reprint ? 2012 (OCLC 821263239) et la fiche est plus complète.

Sur data j'ai ajouté la ref bnf, donc Autorité doit au moins la donner.

Date et revue :

Langer : (Prague, octobre/novembre 1996, Panton 71 0459-2 / Supraphon SU 3750-2 131)^[1] (OCLC 54679974)

Trucs en vrac :

« Il se pourrait également que Franck ait subi l’influence de l’un de ses premiers professeurs, Antonín Reicha, qui pratiquait les formes de façon peu conventionnelle, comme en témoigne son recueil foncièrement sinueux de fugues pour piano^[2]. » J'aime bien l'expression (soulignée par moi).
(pt) Marcos Pablo Dalmacio As fugas para piano de Anton Reicha, uma visão de futuro Anton Reicha's piano fugues, looking to the future – Au premier coup d'œil, des tableaux très intéressants sur les caractéristiques de chaque pièce. 13 pages. Apprends le portugais dès maintenant...
Livret quatuors Donne une ref. sur l'influence sur l'Eroica de LvB. À verser au chapitre influence !
(en) Thèse Christopher Buerkle Thomas (2011) Antonín Reicha’s missa pro defunctis and the nineteenth-century concert requiem. Donne des ref. sur l'ensemble de l'œuvre et peut-être des idées sur les prochaines œuvres à traiter, non ?
« 36 Fugues pour Piano » (partition libre de droits), sur le site de l'IMSLP.

Voilà, j'ajoute à l'occasion. a+ Patachonf (discuter) 9 avril 2015 à 13:50 (CEST)Répondre

Ref et passages :

Albert Lavignac et Lionel de La Laurencie (Dir.), Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, vol. 1–11, Paris, Delagrave, 1913–1931 (OCLC 269272, BNF 37069136, lire en ligne), p. 3551. Article Reicha, où une petite mention sur la page et la suivante cause de l'œuvre qui nous occupe.
François-Joseph Fétis, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. [vol. 7], Paris, Firmin-Didot, 1866–1868, 553 p. (OCLC 614247299, lire en ligne), p. 202–206. Informations concourantes. Patachonf (discuter) 9 avril 2015 à 16:42 (CEST)Répondre

Flopinot2012 : Refs biblio :

Autre thèse : Thomas Norman Elsberry, Anton Reicha's Thirty-Six Fugues for Piano, Op 36 : A Comparative Study with Representative Fugues of His Contemporaries. Florida State University.
Article qui va te plaire : Michael Bulley, Reicha's 13th Fugue. The Music Review 46/3 Consort 40 (1984) p. 163–169. [(BNF 37577510) a priori]
Article : http://www.cairn.info/zen.php?ID_ARTICLE=MUSUR_141_0059 La « fugue phrasée » dans les écrits et les œuvres d’Antoine Reicha par Louise Bernard de Raymond. Musurgia 2014/1 (Volume XXI) Pages 59–78 (OCLC 5797090348), DOI 10.3917/musur.141.0059 – seul le RÉSUMÉ en ligne.
Politonalidade: discurso de reação e trans-formação Par Lina Maria Ribeiro de Noronha Un tout petit passage, p. 30, dans le contexte "polytonalité", citant Bulley point 2.
Antonín Reicha e Beethoven: una relazione controversa? Maria Teresa Arfini. Il Saggiatore musicale Anno 16, No. 1 (2009), pp. 5-33. – un peu d'italien pour varier. Page 7, tu vas aimer...

↑ (en) Jed Distler, « Reicha: Fugues for piano/Langer », sur www.classicstoday.com (consulté le 9 avril 2015)
↑ Edward Blakeman (1998), livret du disque Franck, Chandos CHAN 9680, p. 12.

Bonjour Patachonf (d · c · b),

Que c'est beau, tout ça !

Il y a des recherches à faire encore, mais on dispose de pas mal de bons éléments, ainsi

Merci infiniment pour ton aide.

En tous cas, je suis fier d'avoir débrouillé tout seul les six sujets de la fugue n°15

:

C'est un peu la jungle sans GPS, cette fugue — géniale, mais super serrée... Moi qui n'ai jamais mis les pieds dans une salle de cours de conservatoire de musique (à plus forte raison, une classe de contrepoint et fugue) je me régale

À suivre : je mettrai les illustrations et exemples musicaux quand ce sera nécessaire.

Cordialement, FL^{ni d'yeux n'y mettre} 9 avril 2015 à 20:32 (CEST)Répondre

Compléments

Dernier commentaire : il y a 9 ans4 commentaires2 participants à la discussion

Flopinot2012 Hello !

Anton Reicha, Maître de Franck par M. Emmanuel Le Correspondant, 10 mai 1929, p. 449–465. sur Gallica. Tu devrais y trouver plein de pistes et l'occasion de dizaines de notes. Le tout sans doute repris dans l'ouvrage de 1937, mais là accessible en ligne ! Il y a ausi plein de notes avec ref qui mériteraient considération.
Traité de haute composition musicale (1833) sur Archive.org
Le compte rendu du livre d'Emmanuel par Jean Chatavoine C'est fou les qualificatifs accolés à Reicha. Ici c'est « curieux chercheur ». J'en ai croisé d'autres, mais ce texte est le plus intéressant.
Jolie expression : « Chez Grétry, comme chez Anton Reicha, le visionnaire n’aura pas été égalé par le créateur. » La mise en perspective entre le créateur et le visionnaire devrait pouvoir être replacée avec bonheur. Le modèle qui va bien :
[Collectif], La Grande encyclopédie, Paris, Larousse, 1971–1978 (ISBN 2-03-000900-8, OCLC 895419974, BNF 43443579, lire en ligne)

Patachonf (discuter) 12 avril 2015 à 15:45 (CEST)Répondre

GRRRRAWRRRR !

Traduire : Bonjour, mais avec enthousiasme !

Emmanuel, c'est EX-CEL-LENT ! Et en effet, à citer in extenso. Son article renseigne très peu sur les 36 fugues, mais beaucoup sur ceux qui en ont parlé, comme de leur auteur : c'est extrêmement intéressant pour bien « mettre en lumière » certains éclairages faussés du XIX^e siècle. D'ailleurs, Emmanuel est un compositeur immense qui souffre de la même réputation cérébrale que Reicha... On commence à peine à lui rendre justice (Jean Chantavoine est bien marrant quand il parle de ses six sonatines « quasi-expérimentales » !)

Le reste aussi ! De mon côté, j'ai effectué les recherches nécessaires vers C.V. Alkan, compositeur influencé par Reicha et ses 36 fugues — et que je trouve génial jusque dans ses triples dièses !