Discussion:Noir

Dernier commentaire : il y a 3 jours par Ariel Provost dans le sujet Élaboration personnelle
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Archive des discussions concernant des états antérieurs de la page. PolBr (discuter) 22 mai 2014 à 13:41 (CEST)Répondre

Niveau de noir

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Sur les écrans de toutes sortes, aussi bien qu'en photographie papier, le noir est une notion en rapport avec le contraste. La définition actuelle (tous les niveaux de lumière suffisamment faibles pour qu'on n'y distingue pas de nuances) convient à ce cas, mais il y a des particularités, notamment en vidéo, avec le niveau du noir, tant à la prise de vues qu'à la restitution. Le niveau du gris considéré comme un noir peut être manipulé pour arriver au meilleur résultat visuel. Je ne mets rien pour le moment à ce sujet faute de sources, mais je crois que c'est à faire. PolBr (discuter) 22 mai 2014 à 13:41 (CEST)Répondre

Noir & Blanc & Gris !

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Dans le cinéma et la photographie, les gens utilisent à tort le terme Noir & Blanc mais c'est dépassé ! C'est le gris qui est le plus présent dans toutes les dits films et dites photos en noir & blanc ! Premier prix le gris ! Cepandant le noir & blanc existe réellement ! Exemple ; dans un damier ou échiquier ou une salle de bain en carreaux ! Il faut appeler un chat un chat , un chien un chien !

[24 mai 2014 à 19:13‎ 90.21.237.16] Vincent Thouvenot

Amicalement : l'article connexe Noir et Blanc devrait vous donner satisfaction. L'article Noir se borne à son sujet, je crois. PolBr (discuter) 24 mai 2014 à 22:35 (CEST)Répondre

Êtres, choses et objets

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Hum, j'ai des doutes sur la pertinence de la section Êtres, choses et objets. Qu'en pensez-vous ? --Jimmy-jambe (discuter) 14 janvier 2015 à 12:09 (CET)Répondre

Le noir n'est pas une couleur

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Le 1 juillet 2017 à 20:50‎ Lomita (d · c · b) renverse la contribution d'une IP « le noir n'est pas une couleur ». Cette affirmation trop péremptoire n'est pas une bêtise absolue. Pour certains auteur (vérifier notamment Goethe), le noir est absence de couleur. Leur notion de couleur se confond avec celle, savante, de chromaticité : le noir, les gris, le blanc ne sont pas colorés, donc ce ne sont pas des couleurs. Ils ne font en somme que de mettre de la logique ou le langage ordinaire s'en passe sans souci. Pour d'autres, notamment les teinturiers, le noir est une couleur.

Si Lomita (d · c · b) en est d'accord, je lui propose de renverser son revert, et d'ajouter au début « Pour certains auteurs, » et à la fin {{référence nécessaire}}. Je ne doute pas que cette référence existe ; mais j'aimerais une explication de la question, comme celle que j'ai porté ci-dessus, sans l'appuyer sur une source, ou toute autre qui nous éclaire sur la question. La requête le noir n'est pas une couleur sur les moteurs de recherche renvoie trop de résultats pour qu'on puisse se défausser de la question. PolBr (discuter) 2 juillet 2017 à 13:21 (CEST)Répondre

Finalement, ça fera peut-être même une section. PolBr (discuter) 2 juillet 2017 à 13:31 (CEST)Répondre

noir+jaune = vert

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Bernard Guineau et Jean Vezin, « Etude de recettes et d'indications de couleurs relevées sur un manuscrit d'Adémar de Chabannes (Leiden, Voss. lat. O. 15): l'exemple de la couleur gladius », Scriptorium, t. 60,‎ , p. 80-95 (DOI https://doi.org/10.3406/scrip.2006.3921, lire en ligne) indiquent des recettes de mélange de noir et de jaune pour obtenir du vert. Chacun a pu vérifier que la peinture noire mélangée à de la peinture jaune donne en effet des jaunes rabattus verdâtres. On n'arrivera pas facilement à ombrer la représentation d'un citron avec de la peinture noire; en sélectionnant le pigment, on peut en effet produire des couleurs olivâtres. Ce fait devrait figurer dans l'article.

Cependant, les auteurs attribuent cet effet à la diffusion de Mie : si le noir est achromatique par transparence, il est constitué de grains, qui diffusent la lumière. Si ces grains sont suffisamment fins par rapport aux longueurs d'ondes de la lumière visible (dans le liant, de 0,5 à 1 µ), la dispersion est inversement proportionnelle à cette longueur d'onde à la puissance 4, et concerne donc 16 fois plus le bleu que le rouge. Cette lumière diffusée à dominante bleue va éclairer les grains de pigment jaune, d'où une tendance globale verte. Les auteurs appuient leur propos par une vérification expérimentale (p. 89-92).

Cette analyse est d'un grand intérêt pour la caractérisation des pigments et devrait à ce titre figurer dans l'article. J'ai cherché une source centrée, mais je n'en ai pas trouvé. Bernard Guineau est l'auteur de plusieurs ouvrages sur la couleur, peut-être a-t-il traité la question ailleurs. Mais il y a un problème.

#FFFF00
#BCBC00
#898900
#636300

Le jaune #FFFF00 se calcule, selon sRGB, comme un métamère de lw=570.46nm, lum=0.93, pureté=0.865. À chaque plage suivante, la luminance est divisée par 2, les autres paramètres restant égaux. La conversion en CIE L*a*b* donne (97.228,-25.014,109.651) pour la première, (40.675,-12.521,54.884) pour la dernière. Le rapport a*/b* reste stable à 0.228. L'angle de teinte (L*u*v*) reste parfaitement stable. La colorimétrie ne prévoit aucun décalage vers le vert.

Sur un écran, on ne peut attribuer le glissement vers le vert à la diffusion. J'y vois pourtant du vert.

Un jaune écran #FFE655 donne les valeurs a*,b* -8,82 de l'échantillon jaune pur des auteurs. Il s'obtient aussi avec lw=573.84, lum=78.5%, pureté=76.8%

#FFE655
#BBA93C
#897B29
#62581B
#63591C

Le carré en deuxième ligne indique la couleur la moins lumineuse possible à l'écran, avec les valeurs a*=-10, b*=53 qui corresponde au diagramme de Guineau et Vezin.

PolBr (discuter) 12 mai 2021 à 10:41 (CEST)Répondre

Élaboration personnelle

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Le 22 juin 2024 Bfjbdj (d · c · b) ajoute ce long passage dans le résumé introductif.

« Le noir est analogué au violet, car la couleur blanche est un ensemble de sept couleurs, dont parmi elles, la couleur violette, qui en est la sixième couleur, et est située entre le bleu (cinquième couleur) et le rose (septième couleur). Un filtre de chacune des sept couleurs sur une lumière blanche, donne une lumière de la couleur en question, et un filtre noir sur une lumière blanche donne une lumière violette, et cette même lumière, peut rendre la peau noire à son exposition. Le violet est donc du noir, couleur qui porte donc les propriétés de l'extinction, des ténèbres, et de la violence. Pour noircir la peau, la couleur violette doit éteindre les six autres couleurs, donc le violet est toujours associé à l'extinction, autrement dit, au noir. Certains humains sont blancs, d'autres sont plus foncés, du jaune au noir total, en passant par le brun. Le brun et le jaune ne sont qu'en quelque sorte, des dérivés du blanc, avec un peu moins des six autres couleurs que le noir. L'extinction s'assimile à la violence, car pour donner un exemple, un cocard signifie l'extinction de cellules sanguines avant le remplacement de celles-ci, et le rétablissement d'un hématome. Ce lien entre le noir et la violence, laisse comprendre que les propriétés des six autres couleurs primaires sont non-violentes (rouge, orange, jaune, vert, bleu, et rose). Certains humains sont blancs, et d'autres sont noirs, mais les blancs sont aussi noirs, vu que le noir vient du blanc. Si le blanc était un trousseau de clés, il contiendrait sept clés de couleurs différentes, dont le rouge, le orange, le jaune, le vert, le bleu, le violet, et le rose. Il est même possiblement de considérer que le blanc froid (exemple : lait froid), contiendrait symboliquement sept clés, dont deux clés bleues, le bleu, couleur du froid, remplaçant le rouge, couleur du chaud, et de considérer que le blanc chaud (exemple : lait chaud), contiendrait symboliquement sept clés, dont deux clés rouges, le rouge, couleur du chaud, remplaçant le bleu, couleur du froid. En opposant le blanc et le noir, le blanc n'est pas forcément la couleur de la paix, car le drapeau blanc symbolise l'effacement de la déclaration de guerre (page blanche) en situation de guerre, mais pourrait très bien symboliser l'effacement de la déclaration de paix. »

  1. Il s'agit d'une élaboration personnelle sans aucune source : lire WP:CVS
  2. Avec les sources nécessaires, sa place serait dans la section #Symbolique.

Je renverse la contibution, il la remet, je la déplace dans la section avec {{référence nécessaire}}.

PolBr (discuter) 22 juin 2024 à 21:05 (CEST)Répondre

Bonjour @PolBr,
Je m'apprêtais à annuler cette modification quand j'ai vu que vous l'aviez déplacé.
Je suis personnellement d'avis qu'il vaut mieux supprimer ce long paragraphe, tout d'abord parce qu'il n'y a aucune source donc on est sur du pur TI, mais aussi parce que la partie sur la couleur des humains me met très mal à l'aise et m'interroge sur le message qu'il faut tirer de ce texte... Même si ce n'est as l'intention de l'auteur, la rédaction me parait suffisamment maladroite pour que ce soit (très) mal interprété. Rartroz (Pour discuter c'est par ici) 22 juin 2024 à 21:27 (CEST)Répondre
Bonsoir. Je suis bien d'accord avec votre évaluation de cette contribution. J'avais révoqué ce passage dans au résumé introductif, l'auteur l'a remis illico. Je ne voulais pas engager une guerre d'édition, donc je l'ai déplacée. Je ne crois pas qu'on puisse trouver une source pour la première phrase, ni pour la seconde, ni pour aucune des assertions qui suivent. Je ne me plaindrai pas de sa disparition. Cordialement, PolBr (discuter) 22 juin 2024 à 21:39 (CEST)Répondre
Bonjour PolBr et Rartroz  . J'ai vu l'historique de la page « Noir » avant de voir la présente discussion. J'ai supprimé l'ajout avec le motif « élucubration charabiesque et, naturellement, sans aucune source ». — Ariel (discuter) 23 juin 2024 à 08:18 (CEST)Répondre
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