Discussion:Joanny Rendu

Merci pour l'évaluation et modifications

Comme vous l'avez constaté c'est ma première biographie. Joanny Rendu m'a motivé par le fait que les informations sur sa vie ont une résonance avec l'actualité. Je vous remercie pour cette évaluation dont je partage les commentaires et les corrections.Je doit pouvoir améliorer les références prochainement. D'accord pour que vous retiriez les portails ou les catégories qui ne vous semblent pas pertinents par manque de substance. Bien à vous. --La Tour176 (discuter) 11 juin 2020 à 23:15 (CEST)

Pas clair

Il faudrait une source permettant de vérifier que Joanny Rendu est bien la même personne que Jean Claude Amand Rendu, car si les dates, le lieu de naissance, et l'origine familiale est bien la même, quelque chose ne colle pas, car je me demande comment, dans la deuxième partie de sa vie, Joanny Rendu peut être à la fois gynécologue privé à Lyon, voyageur en Tunise, et pour Jean Claude Amand Rendu, même période, être professeur suppléant à Paris et donner des cours à Necker. La source dont je dispose sur Jean Claude Amand Rendu ne mentionne pas qu'il serait connu sous le nom de Joanny Rendu.--Pat VH (discuter) 12 juin 2020 à 17:00 (CEST)

Bonjour, Je vous remercie pour votre remarque mais je n'ai aucun doute sur cette page écrite sur ce Joanny Rendu à partir de la biographie écrite par son petit fils Christian Rendu qui avait accès à toutes les archives familiales. Il est bien identifié sur les généalogies de Geneanet tel que https://gw.geneanet.org/jybarbier?n=rendu&oc=&p=jean+claude+armand+dit+joanny Écrite en 1997 cette biographie, dont je possède un exemplaire, est très détaillée mais ne mentionne pas que ce Joanny Rendu fut professeur à Necker. Ses contacts à Paris semblent se limiter à des aller-retour Lyon-Paris en 1877-1878 lorsqu'il fit publier aux editions Masson en 1878 une "Etude expérimentale et comparée sur l'Arsenic et l'huile de foie de morue dans le traitement de la phtisie pulmonaire". La biographie, comme le livre "la Saga des pionniers" explique bien les circonstances dans lesquelles ce médecin chercheur s'est intéressé à la Tunisie pour finalement y investir dans la culture des oliviers. Je suis intéressé par approfondir votre source qui parle d'un Joanny Rendu à Necker. Bien cordialement,

(message précédent déplacé de ma PDD). Ma source est Françoise Huguet, les professeurs de la faculté de médecine de Paris : Dictionnaire biographique 1794-1939, INRP - CNRS, 1991 (ISBN 2-222-04527-4), p. 621.. Il s'agit d'une courte notice mentionnant Jean Claude Amand Rendu comme professeur suppléant de la faculté de médecine de Paris, il n'est pas indiqué qu'il serait connu sous le nom de Joanny Rendu. De plus, selon les sources on voit Jean Claude Amand ou Jean Claude Armand. L'état civil est bien le même, mais la source Huguet ne mentionne que l'activité parisienne de Jean Claude Amand Rendu que je peux citer ici : 1878 professeur agrégé, 1879 chef de clinique obstétricale, 1883 chargé de cours des maladies des enfants, 1884 chargé de cours de pathologie interne, 1890 suppléant de Bouchard, 1894 chargé de cours annexe de clinique médicale à Necker. Par confrontation avec les autres sources, et pour rester cohérent, il faudrait admettre que de 1878 à 1884, il s'agit d'une carrière lyonnaise, qui devient parisienne dans les années 1890.

Je suis perplexe sur l'identité JCA Rendu = Joanny Rendu, le point faible c'est que Geneanet semble se baser sur la biographie écrite à compte d'auteur sur archives familiales, le point favorable c'est que Bouchard a d'abord été interne à Lyon, avant d'être professeur à Paris, ce qui rend plausible l'existence d'une communauté médicale lyonnaise dans les hôpitaux de Paris. Cependant les sources de l'article me paraissent faibles (du point de vue wikipédien), par exemple Joanny Rendu ne dit pas qu'il a rencontré Semmelweis à Vienne dans ses notes de voyages (je remarque que Joanny Rendu se présente comme chef de clinique d'accouchement de la faculté de Lyon), et le rapport Paul Bourde ne mentionne pas Joanny Rendu (on peut juste en déduire qu'il a dû suivre la procédure indiquée en annexe pour planter des oliviers en Tunisie). Ces sources primaires me paraissent un peu tirées par les cheveux... Bien à vous.--Pat VH (discuter) 16 juin 2020 à 11:23 (CEST)

Joanny Rendu

Les demandes d'éclaircissement sont légitimes et, de plus fondées en ce qui concerne Ignace Philippe Semmelweis car ce dernier était décédé lorsque Joanny Rendu s'est rendu à Vienne. Quelques recherches et précisions demandent un peu de temps et une proposition de correction concernant tous les sujets abordés. Je vous prie, Pat VH, de m'accorder ce délai pour y parvenir dans l'esprit Wiki. Bien à vous;--La Tour176 (discuter) 19 juin 2020 à 18:12 (CEST)

La phrase sur Semmelweis est une erreur issue de conversations au milieu de la pandémie du COVID-19 et doit être retirée comme vous l’avez justement relevé car il était mort quand Rendu a voyagé à Vienne. Après une relecture des sources je propose de modifier /compléter comme suit : Lavement des mains Le jeune interne, devenu médecin obstétricien, s'intéresse ensuite à la manière de lutter contre la fièvre puerpérale, fléau numéro un des salles d'accouchement de l'époque, et qui sera l'objet de sa thèse de doctorat « De l'utilité des lavages intra-utérins antiseptiques dans l'infection puerpérale en 1878.

Entre 1879 et 1880 Il va faire des voyages expérimentaux dans les principaux centres hospitaliers d’accouchement de Londres, Berne, Zurich, Prague, Naples, Vienne etc… Il en tirera des enseignements pratiques qui feront l’objet d‘un rapport ; « Note de voyage à l’étranger du point de vue de l’obstrétrie et de la gynécologie 1879-1880 » ;

Il s’est entretenu de ses recherches avec les spécialistes les plus compétents de l’époque tel que Briesky à Prague ou Koeberlé à Strasbourg, il s’intéresse non seulement au lavage de main mais à la manière dont se font les pulvérisations d’eau phéniquée (P 16) C'est à Vienne chez les professeurs Braun, Carl et Speith qu'il se penche sur les opérations du col de l’utérus (P 28) et il étudiera l’ovariotomie dans le département de gynécologie (p 15) ainsi qu’au Kings Collège de Londres avec Thomas Spencer Wells. A son retour à Lyon Joanny Rendu commencera un cours sur « Maladies des femmes » et une carrière libérale après avoir été affecté à la maternité de la clinique de l’Hôpital de la Charité.

Sur l'identité JCA Rendu = Joanny Rendu, J’ai retrouvé son acte de naissance dont copie versée dans Wikimedia Commons et pense qu’il ne faut pas confondre JCA Rendu et Henri Jules Rendu qui fait l’objet d’un autre article wikipedia en raison de sa notoriété avec la maladie Rendu-Osler.

Il ressort de ces recherches que c’est Henri Jules Rendu qui était agrégé et présent à Necker « En 1873, il passe une année à l'Hôpital Necker dans le département du professeur Pierre Carl Édouard Potain (1825-1901).. ce qui peut expliquer cette possible confusion entre deux J :  Joanny (surnom tardif) et Jules.. 

Sur la présence de Joanny Rendu en Tunisie et sa rencontre avec Paul Bourde ; Il ressort des diverses sources dont la biographie (pages 98-102-104) rédigée par Christian Rendu et le livre « La Saga des pionniers », que Joanny n’a peut-être pas rencontré Paul Bourde mais a fait de fréquents voyages en Tunisie sans y résider. Toutefois la rencontre n’est pas impossible car le premier voyage de Joanny Rendu est indiqué page 98 en 1891 et le rapport Bourde date de 1892. Joanny Rendu dirigeait ses investissements à partir de Lyon mais, comme précisé dans le texte existant, il a « délégué » la gestion sur place à son neveu Emile Rendu puis à Régis Rendu, fils de ce dernier. On retrouve aussi ces informations dans les archives du D.O.S Domaines Oleicoles Sfaxiens qui sont déposés aux archives nationales. A mon avis il n’y a pas lieu de modifier, pour incohérence, ce paragraphe mais de le compléter par plus de détails issus des différentes sources. Je dois pour cela relire la Biographie de Paul Bourde, écrite par le même Christian Rendu. Bien à vous, . --85.169.146.34 (discuter) 22 juin 2020 à 15:51 (CEST)