Discussion:Eau-forte

Dernier commentaire : il y a 6 ans par Daehan dans le sujet Histoire de l'eau-forte
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Corrections sur la page modifier

J'ai remanié le paragraphe sur Seghers et Goya. Ils ne sont pas du XIXe. J'ai copié/collé du texte extrait de leur page respective. Et pareil pour Anne Claude de Caylus. J'ai aussi remanié le paragraphe des XIXe et XXe siècles, par ordre chronologique de date de naissance.

--Aldine Esperluette (discuter) 3 février 2017 à 17:11 (CET)Répondre

Bonjour Aldine Esperluette,
Le remaniement est pertinent. Par contre, Goya a tout de même réalisé des eau-fortes importantes au XIXe siècle avec rien de moins que Les Désastres de la guerre et les Disparates.
Cordialement, — Daehan [p|d|d] 3 février 2017 à 18:57 (CET)Répondre
Il faudrait effectivement mettre ces oeuvres, dans ce cas, mais la rédaction n'est pas mon point fort...

--Aldine Esperluette (discuter) 3 février 2017 à 20:11 (CET)Répondre

Histoire de l'eau-forte modifier

Pour si un jour on se décide à développer cet article, je copie là des paragraphe à reprendre dans l'histoire de l'eau-forte :

« Avant 1600, l'eau-forte était encore peu employée. On ne se servait guère que du burin qui permettait seulement un dessin linéaire. L'eau-forte n'avait pas encore pris son envol et, comme pour lagravure au burin, on avait coutume de travailler d'après un dessin. Les eaux-fortes manquaient donc de spontanéité et comme elles se bornaient à reproduuire sur le cuivre un dessin, leur rôle artistique était limité.

Ce n'est qu'au XVIIe siècle que certains artistes ont tenté de se libérer des contraintes que leur imposait cette technique, trop proche de celle du graveur. Ils découvrirent que la pointe offrait des possibilités plus grandes que le burin et permettaient de délaisser la ligne continue au profit de la ligne brisée et du point. Cette nouvelle technique, qui permettait un dessin beaucoup plus libre, a été employée par Esaias Van de Velde, Buytewech et Vinckeboons. Elle donnait à leurs créations une profondeur et un contraster qu'il était impossible d'obtenir auparavant. Seghers a fait des recherches assez poussées dans ce sens et employait du papier de couleur pour l'impression ; il accentua l'illustion de la profondeur et de l'espace en coloriant ses eaux-fortes. La sensibilité de Rembrandt a dû être touchée par les recherches de son entourage qui l'ont probablement influencé quoique, à cette époque, cela ne soit pas encore sensible dans ses oeuvres. »

— Karel G. Boon (trad. Van Hermijnen), Rembrandt : L'Œuvre gravé, Paris, Arts et métiers graphiques - Flammarion, , 287 p. (ISBN 2-08-012952-X), p. 7

Daehan [p|d|d] 20 août 2017 à 16:36 (CEST)Répondre

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